Prise Au Jeu

Je vais vous contenter un aventure qui s’est produite il y a quelque semaine lors d’un
voyage à Las Vegas. Moi et mon mari fêtions notre 10ème anniversaire de mariage. Nous
avions passé du bon temps. Mon mari avait la main chanceuse dans les casinos et avait
amassé un jolie somme. Il voulait pousser sa chance au carte, art qu’il maîtrisait de
mieux en mieux.

Pour conclure notre voyage, il prit rendez-vous avec un riche ami qu’il s’était fait
au table du casino. Il voulait jouet une dernière partie décisive ou son nouvelle ami
aurait la chance de récupérer son capital et où mon mari pourrait gagner davantage. Il
parlait déjà de quitter son emploie et de faire le tour du monde avec moi. J’étais
séduite par l’idée. Il voulait que je sois présente pour la chance disait-il. Pour
l’occasion, les deux hommes s’étaient pris une salle de jeu privé. L’endroit était
propre et vaste. Le croupier était un beau jeune homme à la mis vingtaine, bien
habillé, les cheveux bien coupé et le regard frais. Il me sourie et posa un regard
prolongé sur moi. Il examina ma poitrine et jeta un regard plus rapide sur ma
silhouette. J’avais mise une robe de grande occasion ajusté qui mettait mes formes en
valeur. Je me permettais rarement ces excentricités, juste quand les occasions
l’exigeaient. Je le trouvais pervers de me mater ainsi, mais son attention me flattait
puisqu’il faisait bien 10 ans de moins que moi. Heureusement, mon mari ne porta pas
attention à son impertinence. Au faites, son attention portait davantage sur la dames
qui venait tout juste d’entrée dans la pièce. Jeune, belle et elle portait une robe
qui cachait à peine l’essentiel. Sa ressemblait plus à un foulard qui faisait le tour
de son corps. Il couvrait ses seins mais laissait paraître les plis sous les seins et
le lobe au-dessus des seins.

Son ventre laissé à nu laissait paraître un joli bijou
qui pendait de son nombril. Le foulard passait donc dans son dos contournait sa hanche
pour venir couvrir son pubis continuait sur sa fesse pour ensuite remonter sur son
hanche opposé pour refaire le même chemin mais opposé pour couvrir l’autre partie du
pubis où du moins presque couvrir le pubis. Ses jambes nus qui n’en finissaient plus
n’étais pas le plus choquant, en faite, c’étais le “v” de chair ainsi créé sur son
pubis et dans le haut de sa raie qui pointaient ses régions intimes. On pouvait même
voir la repousse de son pubis fraîchement rasé. Elle était au bras du rival de mon
mari. Elle était une femme magnifique et très jeune, s’en était presque choquant
puisque lui faisait bien la cinquantaine avancé. Ils s’assirent tout les deux face à
nous.

Nous étions que nous cinq, ce qui rendait le tout très solennelle et à la fois intime.
Mon mari sortie ses jetons et ce n’est que là que je compris vraiment la valeur de
l’évènement. Mon mari avait accumulé durant notre voyage 500 000 $ américain et il
avait l’intention de doubler ou triplé cette somme. Les jeux commença, je ne
comprenais pas grand chose au jeu mais de toute évidence mon mari gagnait toujours.
Ses jetons étaient de plus en plus nombreux et il arriva bientôt à la somme de 2
millions $. Son adversaire semblait mécontent. Je suggéra à mon mari d’arrêter là.
Mais il voulait en essayer une dernière.

Le croupier distribua les cartes. Je vis le rival sourire lorsqu’il reçu ses cartes.
Mon mari lui restait toujours de glace. Son rival misa 2 millions question de
récupérer ses gains. Mon mari étais très confiant il faut croire et mit ses deux
millions sur la table lui aussi. Sa compagne semblait tout excité par la tournure des
évènements mais pour ma part je paniquais un peu, c’étais 2 millions.
Pour eux ce
n’étais rien pour nous c’étais tout. Le vielle homme me regarda brièvement de la tête
au pied. C’étais la première fois de la soirée qu’il faisait mine de me regarder et il
y avait quelque chose de pas nette dans son regard. Il renchérit un million
supplémentaire. Mon mari avait tout mit. Il demanda au croupier si le casino lui
avancerait la somme. Il se leva et alla au téléphone et fit un appelle. Il revint
rapidement et fit signe de la tête que non. Le couple mal assortie commença à
chuchoter ensemble durant quelque seconde qui me parut interminable. L’homme prit la
parole.

-Vous avez une bien jolie femme vous savez, je vous propose un marché. Je vous avance
les 1 millions supplémentaires mais je prends votre femme comme gage. Si vous perdez
elle me paiera en nature votre dette.

J’étais choqué, comment osait-il ? Sa copine n’étais pas du tout choqué, même
satisfaite voir surexcité. Mon mari en revanche et heureusement pour lui avait l’air
quelque peu contrarier. Il regarda ses cartes, me regarda, regarda ses cartes, me
regarda. Je commençais à paniquer puisqu’il semblait envisager avec sérieux l’offre du
vielle homme et de sa petite pute de compagnie.

Il me fit signe de lui suivre et nous avons quitté la pièce.

-Écoute mon amour, je n’est nullement l’intention de te donner à cette homme. Ma main
est très bonne, je vais gagner.

-Tu en es sûre ?

-J’en suis sûre

-Et si tu te trompais ? Tout ce qu’on possède ne couvrira jamais cette somme.

-Je sais, mais c’est un risque à prendre, imagine, j’ai déjà mis 2 millions sur la
table que je ne veux pas perdre, plus 3 millions supplémentaires nous attendent.
C’est cinq millions.

Il disait vrai.

-Tu dois prendre le risque mon mari, je suis avec toi !

-Si je perd, tu est prêt à accepter l’idée de devoir couché avec lui ?

- .
.... Oui.

Nous retournions dans la salle privé. Mon coeur débattais comme jamais. J’étais gêner
de se que mon mari allait dire. De quoi avais-je l’air.

-C’est correct croupier j’accepte !

Le croupier intervint ...

- Je veux juste mettre les choses au clair, votre femme s’engage à avoir des relations
sexuelles avec monsieur ici pour la somme de 1 millions, proposition rachetable si
vous gagné. Peut-on mettre cela par écrit pour que votre dame le signe.

-Bien sur !

Le vielle homme ses entretenus avec le croupier pour sta la nature du contrat.
Il écrivit clairement et proprement notre entente.

Pour la sommes de 1 millions $ Américain Madame ****** s’engage avoir des
relations sexuelles buccales, vaginales et anales avec Monsieur ***** et Madames *****
durant une période de 2 heures.

Je les lu et fit presque une attaque, tendit le papier a mon mari. Il le lit et resta
calme, ne dit rien, le relit.

- D’accord. Signe !

Comment cela signe ... Je ne peux pas faire cela. Avait-il bien lu ? Comment pouvait-
il dire signe. Il savait bien que je ne faisais pas tout cela. La relation vaginale ne
me disait rien imagine le reste. Tous les yeux tournés vers moi qui faisaient pression
pour que je signe y compris mon mari. Je pris le crayons et à contre coeur je signa et
priait pour qu’il gagne.

Le croupier prit le papier, l’examina et consenti a poursuivre le jeux.

- Montrez vos mains messieurs.

Ils tournèrent leur carte, tous avait les yeux rivé sur la table. Personne ne disait
rien, tout le monde était tétanisé. Que se passait-il? Il avait gagné, il avait perdu
? Impossible de savoir.

Le croupier me regarda et ensuite tour à tour tous les yeux étaient fixé sur moi.

- Elle le prend bien, je trouve.
-Moi aussi
-Moi aussi

Et mon mari de dire

- Elle ne connaît rien au carte voilà pourquoi elle réagit si bien.


Je ne savais toujours pas le verdict. Mon mari regarda les uns les autre au tour de la
table, un peu complice, il faisait durer le suspense.

-Désolé chérit, j’ai perdu.

Je me mis à trembler à l’annonce. Je savais maintenant ce qui m’attendait.
Je voulais qu’on en finisse vite pour passer à d’autre chose, j’allais mourir sinon.

- On le fait ce soir, à votre chambre ou la nôtre.

La tension et la tremblote se sentait dans ma voix. Je voulais avoir l’air solide,
j’avais déjà si honte de la tournure des évènements. Je pris de profonde respiration
pour me détendre et je souris et essaya d’avoir l’air heureuse et détendu.

Le croupier pris la parole.

-La salle dans laquelle nous sommes est disponible toute la nuit. Ce serait un terrain
neutre pour conclure la transaction.

Putain,j’étais devenue une transaction.

-Il serait bien que je sois présent comme témoin que la transaction à bien été
complètement effectué.

Bonne idée, pourquoi pas un plus a se rincer l’oeil, une petite pipe avec ça ?

Tout le monde avait l’air d’accord. Le croupier ramassa les cartes et libéra la table.
Mon mari s’éloigna et s’assis sur un fauteuil non loin de moi dans le coin de la pièce
d’où il pouvait tout observer. Le croupier resta à sa place ou bout de la table. Le
couple se leva et pris chacun son côté de la table pour me rejoindre. Je me leva non
pour fuir bien que j’aurais aimé. Je me tenais après la table, les mains moites. La
jeune femme à moitié vêtue à ma droite et le vielle homme à ma gauche. La jeune femme
détacha sa robe et la fit tomber par terre. Son absence totale de pudeur me
déconcertait. Elle était nue et magnifique. Elle se mis derrière moi et commença à me
toucher sous le regard de tous. Elle me touchait le ventre et monta à ma poitrine pour
ensuite caresser mes fesses et mon entrecuisse. Elle baissa le zipper de ma robe
jusqu’au bas des fesses, un frisson me parcouru le corps. Le buste de ma robe décolla
de sur ma poitrine et je sentis un courant d’air sur ma poitrine moite. Mes pitons
s’érigea. J’aurais aimé porter un soutien gorge, mais avec cette robe s’était
impossible.
Le vieux se rapprocha de mon visage et jeta un oeil sur mes seins qu‘il pouvait
apercevoir d’où il était. Je sentis une sensation de picotement et un tension dans le
bas ventre. Pour mon plus grand étonnement la situation m’excitait. Je me suis
retournée vers mon mari qui semblait prendre plaisir à la seine. La jeune femme
toujours derrière moi plaça son visage entre moi et mon mari que je regardais question
de garder toute mon attention. Sa main délicate à la peau douce caressait mon dos et
descendait bien bas. Je n’étais pas du tout habitué à se genre de contact avec une
femme. Elle s’approcha encore plus et déposa ses lèvres sur ma joue et me donna de
doux baiser jusqu’à mes lèvres. Ses seins magnifiques pendaient sous mes yeux. Elle se
pencha, mis ses mains sur mes jambes qu’elle caressait et bécotait. Ses mains glissa
sur mes cuisses jusqu’à ma culotte qu’elle me retira. Elle la jeta en direction de mon
mari. Elle se redressa, pris mes bretelles et les éloigna de mes épaules et les laissa
tomber. Ma lourde robe s’affaissa sur le sol avec le doux son du tissu qui touche.
Vous savez comme le son du rideau qui tombe à la fin du spectacle, mais voilà ici le
spectacle commençais et le rideau étais levé. Mes fesses, mes seins et ma chatte
fraîchement rasée étaient à découvert à la vu de tous. Elle continua de caresser mon
dos et finalement elle frôlait délicatement mes fesses. Elle observait mes réactions à
ses caresses. Elle était entrain de me convaincre. Son corps sublime s’approcha de moi
et son corps chaud pris contact avec moi. Ses seins pointu sur ma peau,ensuite ses
hanche, son corps, peau sur peau. Sa main s’égara sur mes seins et l’autre effleurait
mon intimité. Elle couvrait mon coup de petit baisé et se mis a y poser sa langue sur
ma peau et à la goûter. Elle descendu dans mon dos doucement jusqu’au bas de mon dos.
Sa langue glissait sur ma colonne vertébrale lassant un chemin de bave au milieu de
mon dos. Je pensais qu’elle arrêterait avant ma raie mais elle poursuivi sur le chemin
de ma vallée. Les capteurs de ma raie me signalait intensément une présense subtile et
électrisante. Sa petite langue éveillait des sens jusque là inconnu. Elle chatouilla
ma rondelle avec le bout de pointu de sa langue. J’avais peine à le croire, mais quel
sensation agréable. Sa main trop court avait quitté mes seins au profit de ma ventre
qu’elle se mit à caresser. Elle avait toujours la bouche dans entre mes fesse où elle
tentait d’aller plus loin mais avec un peu de mal. Elle garda une main sur mon ventre
et la main qui jouait à l’aveuglette dans mon intimité posa dans mon dos et elle
positionna mon corps à sa guise pour lui donner l’angle désirer. Elle cambra mes reins
pour faire ressortir ma chatte entre me cuisse. Elle continua son chemin jusqu’a mes
lèvres. Sa petite langue s’insinuait dans toutes les parois et recoins de mon
intimité, tout y passa : mes lèvres charnues, mes lèvres intérieurs, l’entrée de mon
vagin. J’étais excité comme jamais. Elle se redressa, me regarda dans les yeux, courba
les épaules par en arrière pour pointer ses seins vers le ciel, elle souriait
fièrement pour l’effet qu’elle m’avait faite. Elle se mit dos à la table de jeu et
sauta les fesses dessus, écarta les jambes pour exposer sa chatte.

-À ton tour ma belle !

Ses jambe pendaient dans le vide. Je m’approcha d’elle et me mis toujours debout entre
ses jambes. Elle mis ses jambes fine et douce autour de mon corps. Elle pris ma tête
dans ses mains, me tira vers elle et m’embrassa. Sa chatte chaude coller sur mon
ventre, ses seins écrasé sur les siens. Sa douce langue dans ma bouche et lèvre contre
lèvre : j’y prenais goût. Je mis mes bras autour d’elle et l’enlaçait passionnément.
Je poursuivis avec de doux baisés sur son visage, son cou et sa poitrine. Je léchais
ses mamelon dure et mordillait délicatement ses bouts. Elle gémissait de bonheur. Je
poursuivi ma descente vers son nombril et mi ma langue dedans. Je ralentis ma cadence
d’appréhension près de son mon de vénus car je savais ce qui m’attendais : mon premier
cunnilingus. J’y mettais de petit bec un peu prude, et continus ainsi sur ses lèvres,
je recula à peine à son anus, et sortie ma langue un peu timide et lapa rapidement en
surface une fois et attendu, une autre fois rapide en surface : j’effleurais la peau
fragile et sensible. Finalement je me mouilla, je sorti la langue à plein et bien
juteuse et lui lécha la rondelle lentement. Et je recommença plusieurs fois. Je poussa
ma langue dans son trou et la salope ouvrait son sphincter pour que j’aille plus loin.
Je remonta à sa vulve, et lécha son trou et m’appliqua sur son bouton d’amour. Elle
sauta de la table. Elle me chuchota à l’oreille.

-Ton mari baise t-il aussi bien que toi

- Si tu cherche à le savoir je t’arrache les deux yeux est-ce que c’est claire ?

- Oui, je ne lui touche pas.

Un peu frustrer, elle alla s’asseoir sur une chaise à côté de mon mari. Mine de rien,
il ne portait plus de pantalon ni de sous-vêtement et se flattait la queue en érection
en me regardant. Le croupier en avait fait autant. Le vielle homme s’approchait de
moi. On passait maintenant au chose plus sérieuse. Voyons voir de quoi avait l’air mon
objet de , l’arme de destruction massive. Je me mis à genou et le regardait
avec un sourire de garce en manque. Mon visage étais au niveau de son pantalon et un
affreuse bosse poussait à l’intérieur. Je baissa le zip, entra la main dans la fente
de son boxer et attrapa le serpent. Au toucher il me semblait bien gros. Je l’amena
vers la sortie et quel surprise. L’engin étais énorme : large et long. Je voulais
mourir. Le scrotum était énorme et bien rempli. Je flattais la peau douce de sa verge
et tira délicatement la peau vers les testicules pour faire sortir le gland. Il était
tout rouge et gluant. Je commença par lui lécher les testicules et lapa sa verge
jusqu’au gland et j’introduis avec dédain son gland dans ma bouche. Je jouais avec ma
langue sur et sous son gland et faisait de petit va et vien. Je n’étais pas experte
mais il semblait apprécier mes efforts. Sa copine vint à côté de moi et pris sa queue
en bouche pour me montrer à quoi ils s’attendaient. Je m’efforça de limiter. Il se
leva et monta sur la table de poker et se coucha dessus. Je monta dessus la table et
me mis à cheval dessus. Sa queue bien qu’énorme entra avec aise. Il massait mes fesses
et mes seins et prenait plaisir à toucher mon clitoris. Il prit ma tête et me força à
l’embrasser. Sa me faisait étrange d’embrasser un homme si vieux. Mon vagin était
ouvert comme jamais et j’aimais bien la sensation. Au risque de choquer mon mari je me
mis à exprimer ma satisfaction. Au départ par de petit soupir, ensuite quelque
gémissement. Mais voilà que je l’encourageais ay aller de plus belle, plus loin, plus
fort, plus vite. Il me demanda de changer de côté. Je m’appuyais sur les mains dos à
lui, les seins vers le ciel et la chatte bien en vu par mon mari que je voyais devant
moi. J’introduis son pieux dans mon vagin. Le spectacle qu’avait mon mari devait être
exceptionnelle. Ma chatte ouvert tout grand, mes lèvres écartelés de chaque coté du
pénis d’un autre homme. Le pénis luisant de ma mouille, de mon excitation pour des
inconnus, qui facilitait l’entrée et la sortie d’un membre beaucoup trop gros.
D’énorme testicules qui venaient ballotter sur mon clitoris et mes lèvres. Le son de
claquement de d’autres hanches que les siennes qui venaient cogner sur mes fesses.
D’autres mains qui caressait mon corps mes seins et ma chatte. Je prenais plaisir à
sentir mon vagin rempli au point d’exploser et tellement vide par la suite que je
sentais un courant d’air.
Je me levais bien haut avec mes jambes pour sortir tout son pénis et je me laissais
retomber sans retenu tant et si bien que sa queue tomba de mon vagin. Il proposa de la
remettre. Il ne visait pas à la bonne place, mais il le savait trop bien. Il était sur
ma rondelle.

-Laisse toi tomber !

L’idiote, je l’ai écoutée. Je me suis laissée tombé. Son membre viril et dur ne plia
pas le moins du monde. Je vous dit pas combien j’ai eu mal. J’en ai criée. La douleur
a continué quelque seconde. Une douleur aigu sur la rondelle, comme quelqu’un qui vous
pince mais dans le cul. Se fut néanmoins une douleur intéressante et excitante.
Sa queue n’était toujours pas entrée. Il essaya a nouveau de me pénétrer mais rien à
faire. Dès qu’il touchait ma rondelle avec sa pine mon sphincter se contractait même
contre ma volonté. Sa copine intervint.

-Détend toi ! Relax ! Détend ton muscle anal.

Elle me massa les fesses, ensuite l’anus. Elle me mit ma mouille dans mon cul et
introduit quelques doigts.

- Laisse toi aller, ne refuse pas cette intrusion. Relâche ton muscle quand j’entre
mes doigts. Ne fais qu’un avec mes doigts tout comme avec la queue, accueille la en
toi au lieu de la rejeter.

J’y fini par comprendre, mais son membre rentra de justesse. Ma peau sensible et
élastique étais étiré à son comble. Se fut néanmoins merveilleux. C’étais différent de
mon vagin mais aussi bon. Tranquillement, mon anus et mon rectum en redemandait et je
voulais faire avec mon cul se que je faisais précédemment avec mon vagin. Je
contrôlais mon sphincter pour serrer son pénis ce qui augmentait la sensation. Je
réussis finalement à sortir toutes sa queue et retombé dessus. Ses couilles frappaient
cette fois mes lèvres au lieu de mon clitoris. Mon mari se régalais toujours du
spectacle. Mon nouvel amant alternait mon vagin et mon cul pour me faire sentir la
différence. J’étais trop lubrifiée je risquais de dégouliner sur la table. Sa copine
est venu me nettoyer la chatte et l’anus. Il entrait a nouveau dans mes trous et elle
lui à bien nettoyé la queue. Ensuite elle est grimpé sur la table pour tout me cracher
dans la bouche durant qu’il continuait de me ramoner les trous.

-Avale salope! Avale j’ai dit !!!

J’obéis.

- Oups! Ton mari n’a pas pu se retenir.

En effet, il avait la queue plein de sperme. Elle prit une paille qui traînait sur un
table. Et elle alla tout recueillir le sperme sur la queue de mon mari en prenant soin
de ne pas lui toucher. Elle revint au-dessus de mon visage et versa le tout dans ma
bouche. Je n’avais jamais goûté le sperme de mon mari, mais j’étais si excité que la
situation ne m’écoeurait pas. J’avala le tout. Je trouvais la boisson sucré et
délicieuse. Elle alla ensuite s’occuper de la queue de notre croupier, question de lui
vider les couilles. Elle revint bientôt la bouche bien pleine et elle me mit tout dans
la bouche. J’étais excité à l’idée que le sperme que j’avais en bouche venait d’un
beau jeune homme vigoureux et qu’il était habituellement destiné à de toute jeune
fille. Il retira sa queue de mon cul. J’avais une sensation agréable de détente anale
et vaginal. Vous savez le plaisir de faire ses petits besoins, de se décharger d’un
gros morceaux, c’étais trop bon. Les muscles vaginales et annales malmenés maintenant
à l’abandon me laissait sereine et satisfaite.

Nous avons tous débarqués de la table, et il vida ses couilles lui aussi dans ma
bouche. J’avais les yeux concentrée sur sa queue, particulièrement sur le bout de son
gland. C’étais la première fois que je voyais une éjaculation d’aussi près et sa
m’excitait de ne pas s’avoir quand je me ferais gicler dessus. Enfin, il se mit a
râler et déversa du sperme sur mon visage et dans ma bouche. Sa copine récupéra le
sperme qui avait manqué la cible et le mis dans ma bouche, son sperme à lui aussi
étais très bon.

J’étais couvert de mouille de sperme et de bave. Je me sentais sale. Le temps avais
passé si vite sa faisait déjà un heure et demi que je me faisais pilonner. La copine
surexcité voulais que je lui lèche. Elle s’est assise sur un fauteuil jambe écarté et
je me mis au travail. Je lui malaxais les seins. Elle couinait fort de bonheur parfois
avec de léger spasme. À ma grande surprise, la cochonne fini par me giclé en plein
gueule. Comme si je n’étais pas assez sale, j’étais maintenant couvert de pisse. Le
temps était presque écoulé, à peine 10 minutes, mais le vieux avait repris un peu de
vigueur et voulais profiter du temps qu’il restait. Toujours à genou devant sa copine,
il se mit derrière moi et présenta sa bite sur ma rondelle. Mon cul était encore très
sensible encore plus que tantôt. Il pénétra mon cul jusqu’au fond et ressortie
complètement. C’étais si bon, une douloureuse inconfort dans un endroit interdit et
vierge suivi d’un soulagement aussi intense.

- Encore !!!

Il pris possession de mon rectum à nouveau et butta le fond. Je mis mes doigts dans
mon vagin pour prendre encore plus conscience qu’il était dans le mauvais trou. La
réalisation de la perversion du moment m’allumant encore plus que tout à l’heure. Je
me mis à lécher la chatte devant moi tout en donnant des coups de cul sur la bite
derrière moi. Le croupier signala qu’il ne restait que deux minutes au ébat. Mon vieux
partenaire accéléra la cadence ainsi que l’écart de distance entre mon cul et sa
queue. Il prenait une élan pour entrer avec plus d’intensité dans mon cul. J’avais la
rondelle en feu, mais le temps nous manquait pour conclure, il étais vieux et étais
déjà venu. Il faut avoir de la patience pour les personnes âgés. Sa copine se
redressa et porta sa main à ma chatte pour jouer avec mon clitoris. Il n’en fallais
pas plus, je n’en pouvais plus. Pour la première fois, je jouis du cul. Je me mis
avoir de violent spasme incontrôlable suivi de tremblement interminable. Le vieux
n’arrivait plus à s’enligner dans mon cul. Il se releva, mis sa bite près de mon
visage et se masturbait frénétiquement. Sa copine lui léchait les couilles et la verge
tout en massant sa raie. Elle fini par lui mettre un doigt dans le cul et à l’agiter
un peu. Et de grosse gigler se mit à pleuvoir du ciel. Et le croupier cria.

- Terminé !!! ....Bon je veux pas paraître impolis mais généralement on laisse un
pourboire au croupier vous savez.

Tout les autres acquiesçaient y compris mon mari. Je me retourna et en marchant à
quatre patte comme un chaton en me balançant le cul de droite à gauche. Je marchais
vers le croupier, jeune, beau et énergique. La queue raide et à la peau jeune. Je
savais déjà ce que sa queue goûtais. Je lui caressais les cuisses et son engin
tressautais déjà, plein de vitalité. Je lui lécha les cuisses les couilles et sa tige.
J’enfouis sa queue au complet dans ma bouche et fi de grand va et vient, en lui
caressant les bourses. En deux heures à peine j’étais devenu une pro. Je le sentis
venir dans ma bouche. Je continua mes va vient avec ma bouche jusqu’à la fin de ses
spasmes. J’ai tout aspirer dans ma bouche. J’embarqua à cheval sur ses cuisses et
introduit sa queue dans mon vagin. Je l’embrassa avec la bouche pleine de foutre, des
coulisses dégoulinaient de nos visages et tombaient sur nos corps. Je quitta sa bouche
pour mieux me positionner sur sa queue. Mes seins tombait devant son visage et il se
mit à me lécher les seins couvert de foutre d’un peu tout le monde. Sa queue était
plus dure et bonne que ses prédécesseur. Je me mis à sauter sur ses cuisses avec
violence pour le sentir bien au fond de mon vagin. Il m’aidait de ses bras puissantes
pour me lever et me laissait retomber. Il m’arrêta un instant pour diriger son dard
dans mon cul. Il m’enfila violemment et claquait ma peau avec la sienne. Tous derrière
moi voyaient la scène horrible d’une autre queue dans mon cul. Il vint rapidement en
moi. Sa queue se contractait encore lorsque je la retira pour l’enfouir dans ma
bouche.

Je remis ma robe mais je n’ai pas pu ravoir ma petite culotte. Sans doute quelque
voulait-il la garder en souvenir. Je sentais la mouille glisser entre mes jambes et
entre mes fesses. Cette sensation unique d’être nu et gluante sous ma robe m’excitait
terriblement. Avant de sortir, de la pièce a la main de mon mari, le croupier me
tendit la main. Je fis de même et il mit dans ma main des jetons.

- Qu’es ce que sait ?

- Six millions très chère. Et au faites, pour votre gouverne, quatre As, c’est bon,
c’est très bon au poker !!!

Je me suis retournée vers mon mari tout décontenancer.

- Je sais chérie, six millions, c’est un choc.

- Quoi!

- Non, non, je sais,, je suis désolé, c’étais plus fort que moi. Te voir te faire
baiser comme cela, sa valait largement plus de six millions.

Bon j’étais en colère mais j’avais pris largement mon pied alors....
Nous avons fini la soirée dans notre chambre. Il ne voulait pas que j’aille prendre ma
douche, il voulait me lécher le corps et tremper sa queue dans la sauce des autres.
Quel pervers ! Il entra dans tous mes trous pour la première fois mais il vint très
rapidement,dans ma bouche au final. Àprès quelques jours de repos nous avons pu baiser
en bonne éduforme comme nous l'avions jamais fait.




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