Leslie Hd76

Leslie HD76 – Vacances espagnoles, suite

Alors que je me repose envahie lentement par le sommeil, c'est avec surprise que j'ai
entendu la porte de la chambre s'ouvrir. Ornella, la mère de Luciana, se tenait debout
le doigt sur la bouche comme pour me demander de ne rien dire et surtout de ne pas
faire de bruit.
Dans la hâte j'ai tentée de me couvrir à la vue de cette femme, mais Ornella rapide
avait fermé la porte derrière elle et m'en empêcha. Se penchant vers moi elle chuchota
à mon oreille :
- Je ne sais pas ce que tu as fait avec Luciana, mais les cris qu'elle a poussé me
disent que tu t'es bien occupée d'elle.
Un peu interloquée je la regardais dans la pénombre de la chambre ne sachant que dire
ou que faire. Elle rajouta d'un ton doux et plein de désirs :
- Tu pourrais peut-être me montrer ma petite Leslie.
La voix dans mon oreille et le souffle doux me firent un drôle d'effet, je me suis
mise à bandée comme une folle sous le regard admiratif d'Ornella.
Il faut dire que cette femme près de moi est très belle, dans la cinquantaine à peine
elle à garder encore de beaux atours et je sens en elle une femme qui aime l'amour et
qui ne doit pas se priver des occasions qui s'offre à elle.
Afin de me montrer qu'elle n'est pas là pour plaisanter elle retrousse sa robe et
baisse sa culotte en écartant largement les jambes afin de me montrer son intimité.
Le spectacle est superbe, Ornella est entièrement épilée jusque la raie du cul qui ne
porte aucun poil, cambrée comme elle est je n'ai qu'à tendre la main pour lui toucher
le minou déjà bien humide, elle mouille déjà et est prête à se faire enfiler, je pense
qu'il ne falloir pas longtemps avant que je ne prenne la maman de Luciana et lui
montre ce que j'ai fait à sa fille.

Je me suis levée et me suis placée derrière elle, me guidant de la main j’ai approchée
mon membre de sa chatte épilée, sentant mon sexe contre ses chairs, Ornella recule un
peu et s'enfile d'elle-même sur mon membre.


En s'enfilant sur moi Ornella pousse un gémissement de plaisir, je l’ai prise par les
hanches et j’ai commencée des va et viens en elle, elle glousse de plaisir en se
retenant afin de ne pas crier et remplir la maison de ses cris et surtout alerter sa
fille et lui faire comprendre que sa mère se fait enfiler comme elle peu de temps
après m'avoir reçue en elle.
Haletante, en se mordant la lèvre supérieure elle se laisse ramonée un bon moment,
puis elle s’est écroulée sur le lit en râlant son plaisir, Ornella vient d’avoir un
orgasme, mais pour moi ce n'est pas terminé alors je lui ai écartée les lobes de ses
fesses et j’ai vu sa rosette plissée qui n'attendait que mon membre. J’ai retiré ma
verge de sa chatte et j’ai posé mon gland sur sa rosette.
Elle a sursauté de surprise en disant :
- Oh non, pas par là.
- T'as envie de savoir ce que j'ai fait à ta fille alors laisse toi faire, lui ai-je
dit.
- Ah la salope elle se fait enculer, a dit Ornella en parlant de sa fille.
J'ai commencée à pousser doucement mon sexe dans son petit trou, petit à petit,
Ornella pousse doucement des petits cris.
- Aie, aie, tu me fais mal.
Son petit trou est très serré et je vais doucement afin de ne pas lui faire de mal et
qu'elle s'habitue à mon sexe en elle. Elle à cesser de gémir alors que mon sexe était
entièrement en elle.
Puis j’ai commencée à vraiment l’enculer, allant par des entrées brusques et profondes
et des retraits lents afin qu'elle sente bien mes mouvements en elle, les gémissements
se faisaient plus réguliers et plus forts ne pouvant tous les retenir au fond de sa
gorge. Puis l'agrippant par les hanches et je me suis introduit durement et
profondément en elle avant d'éjaculée dans ses entrailles avant de m'effondrée sur son
dos.

Ornella s'est lovée contre moi et nous nous sommes endormies ainsi, Ornella ayant prit
soin avant de fermer la porte de la chambre à clef afin de ne pas être surprises en
fâcheuse position par Ornella.
Bien que je me suis dit qu'elle devait être au courant
des frasques de sa mère. 
Dans la nuit je fus réveillée, Ornella m’embrassait sur la bouche et se serrait contre
moi, je sentais ses seins déjà érigés contre la peau de ma poitrine, je lui ai
caressée le dos et j’ai commencée à bander, elle a touché mon entrejambe et a senti
que j’étais prête.
Elle est descendue vers mon sexe et le prenant entre ses mains elle l’a mise dans sa
bouche, elle me suça un moment et se releva. J'en ai profitée pour l'embrasser et
glisser une main vers sa fente, elle dégoulinait.
Sentant que les désirs étaient là elle s'est allongée sur le dos en prenant appui avec
ses coudes afin de me voir la prendre et lui enfiler mon membre dans sa chatte
mouillée de plaisir.
Elle a écartée largement les jambes en me regardant dans les yeux avec un air vicieux
remplit de désirs.
Sans la quitter des yeux j'ai placé mon membre entre les lèvres de son sexe et j'ai
attendue. Ornella au bout d'un instant me dit :
- Qu'attends-tu, enfiles moi.
D'un coup de reins je me suis introduite en elle la laissant le souffle coupé, j'ai
passée mes mains sous ses fesses et avec un doigt j'ai commencée à lui masser le trou
du cul, tandis que je lui faisais l'amour en lents va et viens j’ai enfoncé ce doigt
dans son cul la faisant à nouveau sursauter en poussant un long gémissement sourd.
- Ohhh oui, dit-elle.
Ornella maintenant gémissait sourdement à chaque entrée en elle, puis soudain elle se
cambre et est prise de tremblements en poussant un long râle de plaisir.

Deux minutes après Ornella quittait ma chambre le cul remplit de ma jouissance, avant
de sortir elle me dit :
- Merci, Leslie, c'était trop bon.
Je me suis endormie tout de suite, j’étais crevée, une soirée comme celle-là, ça tue.

A suivre…

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