Dominé Par Une Jeune Black De 18 Ans (Deuxième Rencontre)
Son Altesse Memouna : adepte du Krav-Maga
Ma rencontre du 18 juillet 2011 avec Altesse pourrait me faire croire en effet quelle est adepte de ces techniques dauto-défense.
Tout dabord, quest-ce-que le Krav-Maga ? Le Krav-Maga est une discipline regroupant de nombreuses techniques dauto-défense qui, à contrario des arts martiaux, nest pas considérée comme étant un sport. Ces techniques privilégient lefficacité des coups portés tout en prenant en considération lenvironnement comme faisant partie intégrale du combat. En effet, tout objet environnant peut être utilisé comme une arme pour blesser son agresseur.
Et, lors de cette rencontre, elle ma en effet démontré quelle aussi privilégiait lefficacité des coups et quelle navait pas peur de donner une utilisation dangereuse à des objets anodins alentour.
Pour resi rapidement le contexte, nous avions planifié de nous revoir pour la seconde fois seulement après notre première rencontre de Mars lors de mon passage éclair sur Paris en Juillet dernier.
Javais comme dhabitude réservé une chambre dhôtel sur La Défense mais elle ma vite fait comprendre quelle voulait que je rapproche « mon cul de blanc-bec » de chez elle.
Cest donc en plein dimanche après-midi de Juillet que je suis parti avec ma grosse valise sur Le Bourget pour chercher une seconde chambre dhôtel dans cette ville inconnue pour moi.
Après avoir marché un peu et demandé mon chemin aux quelques passants anonymes, jarrive à trouver un Etap Hôtel assez sympa où je minstalle pour la nuit, anxieux de la rencontre avec cette Reine de mes Rêves prévue pour le lendemain matin.
Le moment fatidique approche à grand pas. Je choisis loption pas de petit déjeuner, les papillons dans le ventre ne me permettraient pas davaler quoi que ce soit. Jai limpression dêtre un adolescent se préparant pour son premier rendez-vous avec lélue de son cur, je me fais beau (autant quun boloss croît pouvoir lêtre) et attend patiemment Son Altesse.
On frappe à la porte !!!!!! On expire un grand coup et on prend son courage à deux mains pour louvrir. Un véritable ouragan entre en trombe dans la minuscule chambre dhôtel qui deviendra son lieu de dévastation pour les 2 prochaines heures.
Contrairement à moi qui ai fait un effort pour mapprêter pour elle, Son Altesse est venue très décontractée et sa présentation me fait bien comprendre à quel point elle na pas eu envie de faire deffort pour un simple bouffon de service, comme elle aime à me le rappeler.
Ses cheveux décoiffés excentriques, son pantalon de jogging vert, ses baskets noires sales, je suis déçue sur le coup mais elle me rappelle que je ne suis quun minable et que, si javais été ne serait-ce que la moitié dun homme, peut-être aurait-elle fait un petit effort pour moi.
« Tu nen vaux pas la peine ». Après tout, oui, cest exactement ce quelle arrive à me faire ressentir.
Altesse, comme de nombreuses femmes, adore quon soccupe de ses pieds. Elle sinstalle nonchalamment sur le lit et son ordre claque. Je me retrouve à genoux à enlever délicatement ses baskets et ses chaussettes, et, contrairement à laspect extérieur de ses chaussures, alors que je mattendais à recevoir en plein nez des odeurs fortes, je me surprends à renifler un délicieux parfum sucré, mélange de noix de coco et dexotisme, ses pieds sont doux au contact de mes doigts, exquis au contact de mes lèvres (jai eu ce privilège de pouvoir les embrasser).
Très peu de bavardage. Incroyable comme cette demoiselle sait me rendre impuissant et soumis par de simples regards ou gestes. Je me délecte de ce moment apaisant pendant quelle pianote un roman sur son smartphone à la vitesse de la lumière.
Un coup de pied au visage me sort de mon rêve, « bouge, je vais à la salle de bain ».
Pas assez rapide à son goût, elle me pousse dune pression du pied sur mon torse et me fait chuter en arrière pour pouvoir passer et faire résonner toute la chambre sur le claquement de porte.
Sensuivent quelques minutes dattente interminables pendant lesquelles je me lève un peu pour décontracter mes jambes et mes genoux, sentir mes aisselles (il doit faire 100°C dans cette chambre depuis quelle est arrivée) et essayer de reprendre quelque contenance.
La patience est toujours récompensée et, cest le cas de le dire. Altesse sest changée, elle porte désormais une sorte de petite robe aux imprimés zébrés noirs et blancs (celle quelle porte sur quelques unes de ses photos), sa coiffure est différente et son visage a changé (coiffure et maquillage ? Combien de temps est-elle restée dans la salle de bain ? Magie noire ou art féminin de la séduction ? En 5 minutes, jai limpression dêtre face à 2 femmes complètement différentes).
Une claque sur le haut de mon crâne lance un appel aux compliments, « comment trouves-tu ta Princesse (gentille), connard (méchante) ? ». Conditionné pour ça, je trouve facilement les mots pour nourrir son égo dessinant un large sourire sur ses lèvres.
Lassée, elle interrompt mon monologue par une phrase que je lui fais répéter car ne suis pas sûr de comprendre sa signification, « Vas ouvrir la porte, il y a une autre pute qui attend ».
A lécoute de cet ordre, je suis complètement désorienté par la tournure que prend les évènements de cette deuxième rencontre tant attendue avec ma Princesse.
Son regard noir et autoritaire ne me laisse pourtant pas dautres alternatives que daller ouvrir cette porte avec énormément dappréhension.
Cest avec grande surprise que je trouve attendant derrière la porte un homme dâge mûr, grand, black. Mon sang ne fait quun tour, mon cerveau est en ébullition et mon imagination folle scénarise les pires histoires.
A-telle demandé à son mec de venir avec elle pour me tabasser ?
Suis-je tombé dans un piège tendu par la police ?
Je suis à la limite de la syncope mais lhomme maccueille timidement par un gentil « bonjour babtou ». Il entre dans la chambre sans se faire prier et Princesse jubile.
Lhomme black et Altesse discutent comme de grands amis, comme si je nétais même pas là, je ressens une certaine complicité entre les 2, ils doivent se connaître depuis longtemps. Elle lui demande sil lui a apporté ses cigarettes, il sort un paquet et un briquet. Il enlève le film plastique autour du paquet, lui tend une cigarette et alors quelle la glisse entre ses jolies lèvres, il lui allume avec déférence.
Je suis spectateur de cette scène, comme envouté. Mes mains autoguidées continuent le massage des pieds mais mon cerveau est comme déconnecté. Je ne réfléchi presque plus et suis complètement sous lemprise de cette jeune demoiselle black de 18 ans à peine.
La fumée de cigarette crachée avec dédain vers moi me sort de ma rêverie.
Linvité inattendu, avec une aisance étonnante, dit à Son Altesse quil aimerait bien lui aussi lui prodiguer un bon massage de pieds, quil est un expert en ce domaine. Elle le toise de sa position semi-allongée sur le lit et lui fait bien comprendre quelle a deux pieds et que ce nest donc pas un problème. Une claque de pied sur ma joue me fait me serrer entre le mur et le lit pour me dédier au pied gauche, tandis que le deuxième masseur vient soccuper à genoux aussi du pied droit.
« Cest une bonne journée aujourdhui, jai mes deux putes travailleuses préférées à mes pieds qui soccupent de moi.
Les compliments fusent de toutes parts des 2 confrères sur base de « vous êtes incroyable » ou « personne nest aussi géniale que vous » pendant quAltesse sen délecte, son large sourire ne peut mentir.
Personnellement, mes genoux me font mal à force de rester dans cette position mais le plaisir de toucher ses pieds et surtout de pouvoir les embrasser de temps en temps est divin. Quand lun des 2 soumis saventure à monter plus haut que le genou, les noms doiseaux sortent naturellement, ainsi que les gifles (surtout pour moi car apparemment, je suis le plus mal éduqué des deux). Je jette des coups dil vers mon collègue de temps à autre, il a lair absorbé et passionné par sa tâche. Un petit sentiment de concurrence nous anime. Chacun essaye de faire mieux que lautre.
Malheureusement, à ce jeu, il semble que je sois le perdant, la prestation de mon adversaire est jugée bien meilleure que la mienne, ma technique de massage est qualifiée de molle et douloureuse en même temps, quant à mes bises sur les pieds sont disqualifiées pour cause de barbe piquante.
Elle repousse lautre (lol, les soumis peuvent être méchants entre eux parfois) et lui ordonne de sortir lappareil photo et la caméra pour immortaliser mes instants de soumission.
Il commence à me filmer aux pieds de Son Altesse et me pose pleins de questions sur ce que jaime chez Altesse, lui-même répondant aussi à ses questions. Je comprends alors quil la sert depuis presque un an, quil est entièrement dévoué à elle, quil est plus du genre soumis serviteur - homme à tout faire que du genre soumis masochiste.
Il se passe un petit moment de connivence entre nous 3, très agréable. Nous sommes tous 3 réunis autour de notre passion commune, Mademoiselle Memouna .
Ce moment de magie est soudainement interrompu par une grossière erreur de ma part. Un simple geste anodin qui déclenche une tempête de pure rage. En effet, pendant que je massais Princesse, je ne me suis même pas rendu compte quà un moment, je me suis gratté le nez une fraction de seconde pour ensuite retourner au massage.
« Oh putain, jai pas rêvé là ???? Tu viens de toucher ton gros nez, ta peau grasse et tu oses me retoucher après ???? Tu te fous de moi là pédale ? »
Une nuée de gifles et de coups de poing puissants sabat sur moi.
Je me recroqueville complètement, essayant de me protéger, me confondant en excuses, obligé de les crier pour espérer que Princesse les entende entre ses différentes injures et le bruit sourd de ses coups.
« Pardon Princesse, je ne lai pas fait exprès, ça me grattait, ça a été un pur reflexe, je ne men suis même pas rendu compte.
- Taffiole, tu vas voir, je vais tapprendre à ne plus jamais me manquer de respect, je vais te dresser moi. »
Le cameraman de lévènement est tout de suite pris dun sentiment de pitié pour moi qui essuie lexpression de la rage de notre maîtresse commune, et certainement aussi, par solidarité masculine, il prend ma défense en essayant de la raisonner (tout en continuant à filmer) : « Mais non Princesse, ça se voit quil vous respecte comme une reine, quil vous vénère comme une déesse, il ne la pas fait exprès, pardonnez lui sil-vous-plaît, il vous adore, il ne le refera plus. »
La violence des coups se calme un peu en intensité. Je me sens comme une merde larmoyante à ses pieds et la remercie pour sa clémence.
« Tu sais quoi ? Là, je naurai quune envie, tu vois la lampe sur le bureau là, jaimerai trop te la fracasser sur ta sale gueule, ça serait marrant que lhôtel porte plainte demain contre toi pour détérioration de biens non ???? »
Je ne suis pas sûr si la question appelle une réponse alors je préfère supplier une fois de plus son pardon pour que cela ne se produise pas. Très honnêtement, son regard croisé au moment où elle me pose cette question ne fait aucun doute sur le fait quelle aimerait réellement ça.
Elle adore me voir la supplier et cela lapaise. Sen suit une petite période de quelques minutes où elle méjecte complètement du tableau et où elle ne parle plus quà son autre soumis. Ils commencent à discuter de sa vie amoureuse, de son petit copain en date, son soumis lui confirme quil sera disponible pour la conduire chez le copain le week-end suivant. Elle lui demande de ne pas oublier de bloquer plusieurs heures car il devra lattendre dans la voiture le temps quelle et son mec finissent ce quils ont à faire.
Je suis tout émoustillé découter ces petites histoires, dentrer un peu dans lintimité de la vie de cette jeune fille. Alors que je continue le massage, avec un peu moins dentrain quauparavant, la tête un peu lourde des coups reçus plus tôt, je me surprends à apercevoir la petite culotte de ma Princesse alors quelle change sa position sur le lit. Ouah, pas de mot pour décrire les sentiments et les bouffées de chaleur ressentis à cette vision interdite.
Princesse commence à se lasser de mon massage. Elle me demande si jai bien compris ce quelle attend de ses serviteurs, que ce nest pas parce que je la sers depuis déjà quelques mois en virtuel que je dois croire que ma place à ses côtés est « safe », que je dois y travailler pour garder ce statut de 2ème larbin préféré. Décidemment, lautre (re-lol) est vraiment en pole position au poste de larbin.
Mon orgueil mal placée de mâle moblige à ouvrir ma grande bouche une fois de plus.
« Mais Princesse, tout à lheure vous avez dit que nous étions vos deux soumis préférés, ça veut dire que vous maimez bien quand même non ? Jessaye de bien vous servir.
- Ouais, ce que jaime surtout, cest quand tu fermes ta gueule et que tu craches du fric, cest ça que jaime chez toi. Dis moi ce que tu ferais de plus pour moi pour assurer ton rôle de pigeon.
- Je serais votre chauffeur, votre nettoyeur de chaussures et de bottes, quand vous vivrez seule, je viendrais vous faire votre ménage, vous faire à manger, je vous gâterais de cadeaux et dargent de poche, et deviendrais votre meilleur masseur de pied »
Jai voulu jouer la carte de lhumour avec le dernier rôle à assumer, sachant que quelques minutes plus tôt, elle ma fait des critiques acerbes sur mes compétences de masseur. Je nimaginais pas les conséquences de ma petite blague sans envergure.
« Mais putain tu te fous vraiment de ma gueule là, jen veux pas de tes massages de merde, tu piques ta race et tu nas pas de force dans les mains, un vrai mollusque, mais là, tu vas la prendre la lampe, tinquiètes. »
Une panique memporte alors que je la vois se tourner dans tous les sens pour inspecter la chambre. Son dévolu est jeté sur le combiné téléphonique de la chambre posé sur la table de chevet. Elle se saisit de lobjet en plastique noir et commence à me tabasser avec (il ny a pas dautre mot pour décrire les minutes qui suivent). Elle sacharne sur le haut et le derrière de mon crâne de nombreuses fois. Je suis à moitié allongé sur le lit, mes bras repliés sur mon crâne pour essayer déviter ou dabsorber les impacts. Le combiné, la nouvelle arme de ma Maîtresse, est relié par son cordon au téléphone qui lui-même saute dans tous les sens à chaque nouveau coup.
Je crie, je suis au bord des larmes, je supplie, rien ny fait pour calmer sa furie. Même les interventions de son autre admirateur sont vaines cette fois-ci. Je suppose quil se dit que cest dommage, mais que de toute façon, ça fait une bonne vidéo tout de même.
Mon oreille est tirée sèchement pour maider à relever mon torse et me remettre en position pour faire face à ma tourmentresse. Tout le reste de mon corps est obligé de suivre si je ne veux pas perdre mon oreille dans laction. Quelques secondes daccalmie où nos regards se croisent. Son Altesse est belle, même énervée mais ces yeux, mon dieu, ces yeux me terrorisent.
Elle me présente le combiné téléphonique devant la bouche (cognant mes dents), et force le passage.
« Ouvre grand la bouche salope, tu vas aimer ça. »
Le passage est ouvert et je me retrouve à prendre en bouche cet objet de plastique large et dur.
Elle force vraiment au plus profond et fait quelques mouvements de va-et-vient.
« Tu aimes ça je parie, suce pétasse, entraîne-toi, je vais te préparer moi. »
Aucun son ne peut sortir de ma bouche, cest donc avec mes yeux larmoyants que jessaye de lui faire comprendre mes suppliques. Je demande pardon avec mes yeux exhorbités. Jamais je nai senti une telle explosion de sentiments mélangés, de soumission, de peur, de souffrance, dappartenance, de respect, dhumiliation.
Le téléphone, transformé en pénis lespace de quelques minutes, mest retiré de la bouche violemment et, après un dernier coup sur le crâne, est jeté au sol. Jai réellement atteint mes limites de soumission psychologique et physique pour aujourdhui et cest complètement vidé de toute fierté que je me jette aux pieds de cette Déesse black pour les embrasser et supplier leur propriétaire de mépargner pour ce jour.
Les violences physiques sont terminées pour aujourdhui mais Princesse nhésitera pas à instaurer un rituel humiliant de remise doffrande afin denfoncer encore plus profondément en moi les graines de ma soumission envers elle.
« Pour me remettre mon fric, je te veux à genoux, la tête soumise plongée vers le sol, tes yeux vers mes pieds, tes mains me tendant mon fric levées au dessus de la tête et tu mimplores daccepter tes billets. Exécution sale chien. »
Le rituel est bien pensé pour faire en sorte quelle devienne lobjet de culte de ma nouvelle religion.
Au moment où je sors les billets de ma poche, je prépare loffrande sur laquelle nous nous étions mis daccord et tente de remettre mon tout dernier billet de 5 euros dans ma poche. Cela ne lui échappe pas et elle mordonne de joindre ce dernier billet à sa récompense, et me met bien en garde que, si jamais elle décide de fouiller mes poches et quelle en trouve dautres, elle ne donne pas cher de ma peau.
Loffrande bien méritée est tendue à ma propriétaire selon le rituel quelle a instauré, piétinant mes dernières miettes de fierté.
Une petite discussion sympathique, une poignet de main virile entre les deux soumis, le soumis numéro 1 est congédié de la chambre, ordonné daller lattendre dans la voiture. Princesse va se changer tout en me faisant lattendre à genoux devant la porte de la salle de bain.
Elle en ressort, comme elle y était rentrée la première fois, avec son jogging et ses baskets noires, me tend la main dun geste majestueux pour que jy dépose un baiser dau-revoir et sa silhouette au port de reine sévanouit en passant la porte de la chambre.
Pendant plusieurs jours qui suivirent cette rencontre, notre principal sujet de discussion par sms fut le plaisir quelle prit à se défouler sur moi et mes courbatures et douleurs tenaces.
Cest avec réelle anticipation que je reverrais cette Reine en Octobre lors de ma prochaine visite à paris, mais cela fera lobjet dun nouveau récit.
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