Doux Aveux
Pouvais-je avouer à mon mari que depuis que jétais enceinte je narrêtais pas de me masturber. Déjà quil ne savait pas que javais été une jeune fille masturbatrice grondée par sa mère qui se masturbait en secret elle aussi ! Il partait tous les lundis matins pour son travail et ne rentrait que le vendredi soir mais il me téléphonait tous les jours et il me racontait des cochonneries et cest comme ça quil ma demandé que je me masturbe pour lui, au téléphone, jusquà lorgasme.
Le vendredi soir, bien quil soit fatigué, nous faisions toujours lamour. Jen ai toujours eu besoin et je métais vite lassée de lui faire des pipes dans sa voiture quand on se fréquentait et la première fois quil ma baisée pour de vrai ça a été dans un sous-bois alors que je venais de faire pipi accroupie, devant lui, à côté de la voiture. Jusque là, je lui avais toujours dit que je voulais rester vierge jusquà ce quon soit mariés pour lui faire ce cadeau lors de notre nuit de noces mais je savais bien que cétait ridicule.
Je me masturbais en secret et je suçais la bite de mon fiancé et je le branlais. Javais même avalé sa semences plusieurs fois. Cétait excitant de pisser comme ça, devant lui. Une sorte de soumission. Il avait regardé jaillir ma pisse entre mes cuisses. Je sentais lair frais du soir sur mes fesses nues. Toi, ma fille, ai-je alors pensé, ça va te faire du bien de te faire prendre par une bite ! Ça te changera de tes crayons, stylos, carottes et bougies qui tont initiée. Je me suis relevée sans messuyer parce que javais oublié de prendre un mouchoir en papier dans mon sac et quelques gouttes ont coulé sur mes jambes.
- Je suis désolé, ai-je dit à mon futur mari, jai eu tort, javais des préjugés ridicules, je ne peux plus résister, jai besoin dêtre baisée !
Il sest laissé faire. Lhypocrite, il bandait déjà et ça faisait une bosse dans son pantalon. Jai sorti sa bite. Le gland était déjà dégagé du prépuce et je me suis penchée pour poser un baiser dessus puis jai retiré ma culotte et mon ami a voulu que je me déshabille complètement et me voilà complètement nue dans la fraîcheur du soir et lui qui se déshabille à son tour et nous voilà nus tous les deux dans la lueur de la pleine lune.
Javais honte de mes seins que je trouvais bien trop gros à lépoque et de mes aréoles immenses et sombres qui me faisaient ressembler à une nourrice. Un court instant, jai cru que mon mari avait peur de faire la chose mais il ma retournée et il ma couchée sur le capot. Je pense aujourdhui que ça a ressemblé à un viol parce quil a tout fait tout seul. Une fois les seins écrasés sur le capot, mon ami ma écarté les jambes et sa bite sest enfoncée sans hésitation.
Jétais prise et officiellement javais perdu ma virginité. Il navait plus quà mais ça a été trop rapide pour que jy prenne vraiment du plaisir. Jétais surtout contente dêtre enfin une femme. Je ressens encore aujourdhui les puissants jets de sperme qui ont inondé mon vagin. Le premier surtout, fort comme un coup de karcher et qui ma préparée à recevoir les aux autres giclées.
Nous sommes restés sans bouger, collés lun dans lautre comme un couple de chiens. Je sens encore la bite qui vibrait et toujours raide au fond de mon ventre et les doigts de mon amant qui me prétrissaient la poitrine. Mon ami ma traité de putain et de salope et jétais plutôt flattée quil pense ça de moi. Au moins, ça voulait dire que javais su tenir mon rang et que je nétais plus une gamine mais une vraie femelle. Une femelle assez bonne pour donner du plaisir à son partenaire.
Nous sommes restés collés jusquà ce que le membre ramollisse et se retire tout seul. Mon ami me regardait et je me suis sentie assez humiliée pour lui demander ce quil regardait :
- Tu as les seins qui tombent, a-t-il fini par me dire !
Quel idiot ! Bien sûr que mes seins tombaient ! ment, vu leur volume et leur poids ! On na rien sans rien ! Il a ajouté que cétait comme si ils allaient se détacher comme des fruits trop murs. Il navait pas tort parce quà leur attache, il ne faisaient guère plus quun centimètre dépaisseur. Jai toujours limpression quils ont toujours été comme ça car ils ont poussé très vite quand javais douze ans.
Jaurais bien voulu quon se bécotte mais mon fiancé se contentait de me regarder et de me toucher du bout des doigts. Il ma avoué quil était allé voir une putain justement le jour précédant notre rencontre et que je ne pouvais rien lui reprocher à cause de ça. Sur le coup, jétais un peu jalouse et je lui ai demandé comment ils avaient fait pour la
chose et il ma répondu quils avaient juste parlé, quils sétaient mis daccord pour quelle lui montre ses seins. Il avait choisi une fille jeune, plutôt mince avec de gros nichons, un peu dans mon genre mais daprès lui ses seins étaient moins beaux que les miens, bien trop gros, bien trop moches, presque pas daréole et encore moins de mamelon
Il a attrapé les miens du bout de ses doigts et il les a pincés. Javais envie de pleurer tellement ça me faisait mal puis il les a tortillés et jai caché mes larmes en baissant la tête. Je vois ses doigts et mes mamelons tortillés mais ça métait égal. Il aurait pu prendre une branche et me fouetter avec les fesses et les seins que je ne me serais pas plainte. Il aurait pu enrouler une corde sil en avait eu une autour de me seins et me suspendre avec comme il la fait plus tard que je lui aurais pardonné mais il nen a rien fait.
Il ma juste demandé si jarrivais à me téter et je lui ai montré que je pouvais le faire facilement. Jai soulevé mes seins dans mes mains et je me suis tétée. Je lavais souvent fait et ça métait très agréable. Ne me manquait plus que davoir du lait. Javais une voisine qui en avait tant quelle se servait dune trayeuse électrique quelle avait louée à la pharmacie pour se traire et elle mettait le lait dans son frigidaire. Elle me lavait montré et javais pu voir quelle en tirait presquun litre tous les jours. Je lui ai dit aussi que je ferais la même chose mais je nen ai pas eu le courage même si jai utilisé moi aussi une trayeuse.
Cétait ma revanche car je voulais être plus putain que la putain quétait allé voir mon mari avant notre rencontre. Cest pour ça que je lui ai proposé de menculer. Il avait eu peur de le faire mais jai insisté. Il ma enculé et pendant plusieurs mois ça a été notre seule façon de faire lamour jusquà ce quon recommence à faire lamour normalement et que ses spermatozoïdes ne rencontrent mon ovule.
Je lai su tout de suite en me relevant du lit pour aller me laver. La semence sécoulait de mon vagin sur mes cuisses quand jai dit à mon mari que jétais prise. Il avait suffit dun instant. Jétais prise. Il mavait engrossée. Ne restait plus quà attendre ce moment que javais toujours souhaité : que mon ventre soit assez gros pour que personne ne puisse plus ignorer que jétais enceinte mais ce sont mes seins qui ont commencé la danse car ils nont pas tardé à enfler. Me voilà avec des nichons énormes, aussi gros que des ballons de rugby et lenvie, le besoin de me masturber en plus de faire lamour.
Au début, cétait toujours aussi facile. Pas de gros ventre pour gêner mon bras. Pas besoin den faire le tour. Mes doigts facilement sur ma chatte et même dans mon vagin. Je serrais mon index et mon majeur lun contre lautre et je les enfonçais dans mon trou et avec mon pouce jécrasais mon clitoris. Il ne me fallait pas longtemps. Tout au plus dix minutes avant davoir le rouge aux joues et limpression que jallais mourir comme ça métait souvent arrivé quand jétais jeune fille. Un soir, ma mère mavait surprise dans ma chambre. Là encore, javais eu limpression que jallais mourir. Oh, ma chérie mavait-elle dit avant de découvrir ce que javais fait, quest-ce quil y a ? Tu es malade ? Cétait facile. Il lui avait suffit de soulever le drap et de suivre mon bras du regard.
Mon ami sétait mis à rebander. Il faisait un peu plus frais et la lune se cachait derrière un nuage. Je me suis agenouillée et mon ami ma baisée dans la bouche, jusquau bout et jai encore avalé la semence. Ça ne me plaisait pas au début mais je mappréciais de plus même si ça faisait de moi une anthropophage comme je lavais entendu dire à la télé. Ça valait tout de même mieux que de manger son bébé. Javais chaud et froid à la fois et il nous a bien fallu repartir. Je me suis rhabillée. Un baiser avant de repartir. Javais pourtant besoin de beaucoup plus et je me suis réveillée dans mon lit pour me masturber et jouir une fois de plus.
Cétait avant notre mariage. Hier, ma fille aînée est venue me rendre visite. Elle a sonné et jai été étonné parce quelle était venue sans prévenir et nous voilà toutes les deux face à face dans la cuisine, chacune de notre côté de la table.
- Maman, jai fait lamour hier au soir avec une femme !
Ça ne ma pas vraiment surprise que ma fille ait de tels fantasmes
Après tout, ne dit-on pas telle mère telle fille ? Nous sommes restées sans rien dire avant que je ne lui demande ce quil y avait entre elle et son ami. Il ny avait rien à len croire et tout allait bien.
- Tu ne me demandes pas qui cest, a ajouté ma fille, visiblement énervée par mon silence ?
Je lui ai répondu que ça ne me regardait pas et que ça ne concernait quelle mais visiblement ma réponse ne lui a pas plu.
- Cest Corinne, a-t-elle ajouté ! Tu te souviens de Corinne, non ? Nous étions inséparables quand nous étions à la petite école !
Corinne ! Tout à coup je me suis rappelée de cette gamine qui venait chez nous passer les mercredi après-midi quand sa mère nous la confiait. Je me souvenais aussi de la photo prise lors dune petite fête. Elles étaient déguisées, toutes ces gamines, en danseuses avec leur tutu et leur collant rose que moi tout comme les autres parents avions dû coudre.
-Eh bien, je lai rencontrée dans la galerie marchande, a poursuivi ma fille et ça a tout de suite été le coup de foudre !
Je suis restée sans rien dire ce qui ne mempêchait pas de regarder ma fille.
- Tu ne veux pas savoir ce quon a fait, a-t-elle encore ajouté ?
- Tu es lesbienne ?
- Mais non, a rugi ma fille ! Je ne suis pas lesbienne ! Jai juste baisé avec elle et jen ai honte ! Jai honte de mêtre laissée surprendre !
- Peut-être que tu es bisexuelle, lui ai-je répliqué ? Jai lu quelque part que cétait de plus en plus courant
- Maman ! Tu me vois bisexuelle ? Javais juste envie de baiser avec elle !
Je lui ai demandé si elles allaient se revoir mais elle navait pas envie de me répondre puis après un long silence ma fille a ajouté quelle lavait avoué à son ami, enfin, quelle lui avait téléphoné ce matin pour lui avouer mais quil navait pas eu limpression
- Limpression de quoi, ai-je insisté ?
- Javais limpression quil
que ça ne lintéressait pas de savoir, a continué ma fille ! Pourtant, il est jaloux comme un poux et il veut savoir tout ce que je fais quand il nest pas là !
Javais soudain limpression de ne pas connaître ma fille aînée. Ma mère mavait surprise à me masturber et javais surpris moi aussi ma fille et je lavais même observée plusieurs fois pendant quelle se masturbait. Cela la rendait encore plus jolie malgré ses grimaces. Elle se courbait et son ventre se soulevait à lapproche de lorgasme. Elle était vulgaire elle aussi quand elle avait fini et quelle disait : Putain, jaime ça ou putain, que cest bon, il me faut une queue ! Une fois, alors quelle sétait servie de ses doigts, elle sest levée de son lit et elle avait fouillé dans son armoire. Elle en avait sorti un énorme gode transparent, cylindrique et à peine arrondi aux deux bouts et ma fille était remontée sur son lit. Ah, putain, tu vas rentrer, avait-elle pleuré pendant de longues minutes jusquà ce que le godemiché disparaisse dans son vagin puis elle avait tourné en rond dans sa chambre. Je me cachais derrière lentrebâillure de la porte de sa chambre et je voyais tout ? Ah, putain, tu nas pas fini ! Tu as besoin dêtre punie ! Ma fille avait replongé dans son armoire et celle fois elle en avait sorti un plug anal. Ma fille sest penchée sur le lit et jai eu limpression quelle avait choisi cette position pour que je puisse la voir faire. Le plug avait disparu dans son anus et retenu par le renflement et la rondelle qui restait coincée entre les fesses, elle a repris sa ronde dans la chambre avant de se coucher.
Le lendemain matin, quand je me suis réveillée, je me suis demandée si je navais pas rêvé et je suis allée dans la chambre de ma fille qui était partie au lycée et jai fouillé larmoire. Je nai rien trouvé. Ni gode transparent ni plug anal mais quand elle est rentrée du lycée, jai bien remarqué quelle marchait avec un curieux déhanchement. Elle ma dit quelle était fatiguée et quelle se changeait avant daller voir ses copines. Jai attendu dans la cuisine et quand jai entendu claquer la porte de lentrée je suis retournée dans la chambre de ma fille aînée et jai à nouveau fouillé dans son armoire. Ils étaient là, cachés sous des sous-vêtements, le godemiché et le plug anal et quand je les ai reniflés, ils sentaient encore la petite fille salle et jai compris que ma fille les avaient gardés sur elle toute la nuit et toute la journée, bien en place. Je navais jamais fait ça. Jai relevé ma robe et jai écarté ma petite culotte et je me suis enfoncée le godemiché. Il était froid, voire glacé mais jai compris que ma fille pouvait aimer lavoir bien caché au fond de son ventre et quand je me suis enfoncé le plug anal dans lanus, jai eu des frémissements et jai compris quil fallait que je me masturbe là, tout de suite, dans la chambre de ma fille. Son père et ses frères et sur ne rentreraient que plus tard et javais le temps. Je me suis agenouillée et il fallait que je me mette nue pour expier les fantasmes et les besoins que ma fille avait hérité de moi. Jai retiré mes vêtements et une main sur la poitrine et lautre sur mon clitoris jai commencé à me masturber.
Cétait une sensation que je ne connaissais pas, différente. Avoir le vagin occupé ainsi que lanus et navoir que mon clitoris et mes seins à caresser. Jai eu plusieurs orgasmes et je nen pouvais plus et jai rampé sur le tapis et dans le couloir jusquà ma chambre. Il fallait que je récupère, que je remette les deux objets à leur place dans leur armoire sous les sous-vêtements de ma fille. Je ne sais pas combien de temps je suis restée à quatre sans bouger. Je regardais mon visage dans le miroir de mon armoire et je me traitais de salope, de vicieuse, de putain la bouche ouverte sans que nen sorte un seul son puis jai chassé le godemiché de mon ventre. Ce fut comme un nouvel accouchement puis jai tiré le plug de mon anus. Javais enfin la force de me relever. Jai caché les godes dans larmoire de ma fille et jai ramassé mes vêtements sur son tapis. Il était temps. Mon mari rentrait avec nos autres s. Je me suis mise deux claques sur les joues. Jétais prête à nouveau, moi la mère exemplaire !
- Maman ! Réagi ! Jai compris que jaime ça faire lamour avec une femme ! Enfin, cest Corinne !
Jétais incapable de réagir.
- Maman ! Dis-moi ce que je dois faire, a insisté ma fille !
Je ne savais pas quoi lui répondre et jétais même un peu jalouse.
- Tu dois savoir, a-t-elle insisté ! Quest-ce que je fais ?
Je lui ai demandé si elle avait envie de continuer avec Corinne et si Corinne le voulait elle aussi.
- Ce que jai surtout aimé cest quand elle ma fait un fist, a ajouté ma fille !
- Un fist
- Oui, un fist, a répété ma fille ! Jen ai pourtant fait des trucs, mais son fist cest ce que jai trouvé de plus excitant ! Cest comme un accouchement, mais à lenvers, comme si on voulait retourner dans le ventre qui nous a donné la vie, a ajouté ma fille ! Tu nas jamais essayé ?
Jétais prise par surprise. Je navais jamais essayé ça. Elle maurait demandé si je me faisais sodomiser par son père que jaurais pu lui répondre, mais ça
Il me fourrait tous ses doigts mais il navait jamais osé menfoncer toute sa main. Je magenouillais et il se mettait derrière moi et il menfonçait ses doigts et il enfonçait son pouce dans mon anus ou il lécrasait sur mon clitoris. Jaimais bien quil me masturbe parce que je pouvais voir mes seins bouger. Ils remuaient comme peut remuer de la gélatine, davant en arrière et de gauche à droite. Dis-moi quand ça vient, me demandait-il et je lui répondais quil avait fati de moi une putain, sa putain. Ça le faisait rire.
Je regardais ma ville. A vingt-deux ans, elle avait encore lair dêtre une gamine et elle cachait bien son jeu. Je me souviens encore du jour où elle mavait montré son piercing au clitoris.
FIN
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