La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 43)
- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS-
Histoire de l'esclave leeny -
1- Destination la Martinique -
Le jour sestompait pour laisser place à la fraîche tombée de la nuit à laéroport de Fort-de-France. Le climat local fut de suite apprécié par les voyageurs débarquant de lairbus en provenance de Paris. Parmi les arrivants sur la magnifique Ile française, un groupe de 6 personnes marchaient en direction de 2 voitures attendant sur limmense parking de transit. Ce fut lhomme en tête du groupe qui montât dans une luxueuse limousine où le chauffeur en ouvrît la porte arrière tout en ôtant sa casquette. Il venait de saluer le Marquis dEvans. Les 5 autres personnes qui suivaient et marchaient toutes têtes baissées montèrent dans le second véhicule. Celui-ci tranchait par son aspect vétuste par rapport à la belle limousine. Cétait une bétaillère.
Pour les passants, ce fût un spectacle peu commun de voir monter à larrière de ce fourgon à bestiaux, 2 femmes et 3 hommes, il sagissaient pour les femelles des esclaveLaétitiaMDE et esclaveLunaMDE et pour les mâles escalve69MDE, esclave541MDE et esclave722MDE. Habillés normalement pour ne pas attirer lattention dans lavion, ils avaient été mal à laise dans leurs vêtements. Et ce fut pour cette raison quà peine enfermés dans la camionnette, quils ôtèrent leur vêtement comme lavait, aussi, ordonné leur Maître, le Marquis dEvans, pour ne garder que leur collier et cage de chasteté.
Le chauffeur de la bétaillère, un homme trapu et obèse, suant et crasseux, verrouilla à double tour la porte arrière de son véhicule, puis monta au volant et fit signe au chauffeur endimanché de la limousine. Les deux véhicules démarrèrent alors et prirent la direction de la belle ville de Sainte-Luce, où se tenait le Marché annuel des esclaves de la Communauté Mondiale des Maîtres.
Confortablement installé dans le siège capitonné de la limousine, le Marquis dEvans relisait les principaux passages de la lettre quil avait reçue linvitant à ce marché peu commun :
«
Très cher Marquis dEvans, grand Maître de France.
- Il faut que lannée prochaine, ce marché se passe dans la Métropole, mon Château pourrait en être le cadre idéal, il faut que jen parle lors de la prochaine assemblée générale des Maîtres de la Communauté
se pensait le Marquis tout en délectant un somptueux cognac quil sétait lui-même servi au petit bar intégré de la limousine
Le trajet fût des plus agréables où le Marquis sémerveilla de la beauté de la nature traversée, malgré la nuit tombante. Les 2 véhicules sarrêtèrent dans la campagne luxuriante de Sainte-Luce devant une immense maison datant du siècle de la colonisation espagnole. Cétait à nen pas douter, une ancienne exploitation bananière. Un immense hangar, proche de la bâtisse principale construit dans une géométrie rectiligne ne pouvait être ignoré. Tant par sa grandeur tel un terrain de football que par sa pancarte géante de lentrée principale : 125 ème Marché desclaves de la Communauté Mondiale des Maîtres
Le chauffeur de la bétaillère fit descendre les 5 esclaves et armé dun fouet, il les injuriait de son argot local quais incompréhensible, tout en fouettant les serfs. Ceux-ci comprirent quils devaient sapprocher sans dire mot. Le chauffeur leur mis des chaînes aux pieds et aux poignets et les fit avancer en direction de lhangar
Quand la porte de la limousine souvrît, la première chose que le Marquis remarqua fut le cul bronzé bien relevé et exposé de la chienne disposée en levrette devant la portière. Immobile, on ne voyait pas sa tête touchant à même le sol mais elle était ainsi offerte au nouveau venu et le Marquis apprécia ce geste daccueil de la part du Maître des lieux, Monsieur Jean-Denis de la Patterlière.
- Mon cher Edouard dEvans, ta visite est un véritable honneur à notre institution, nous sommes fiers de ta présence, merci dêtre venu
- Cher Jean-Denis, quel bonheur de te retrouver, mais (le Marquis regardait son ami) tu nas pas pris une ride depuis lannée passée !
Ah, je suis si enchanté de venir ici mais surtout de te revoir, mon ami
Mais dis-moi, tu as là une bien jolie esclave venue pour maccueillir là dès ma sortie de la voiture, comment sappelle cette chienne ?
- leeny, cest une belle chienne racée mais elle a encore besoin dêtre dressée
Elle est à vendre dailleurs
Si ça tintéresse, je te ferai un véritable prix dami, pour toi, je te la cèderai pour rien du tout
Mais dis-moi, je vois que tu es venu avec 5 esclaves, tu comptes en vendre combien ?
- Ho ! je veux me séparer de ces deux-ci, ils ne sont pas très assidus
Le Marquis montant lesclave69MDE et esclave722MDE. Quand aux 2 femelles et au mâle restant, je veux juste les exposer, voire les prêter mais je les garde, hors de question que je les vende
- Bah, on verra ça demain, lors du grand jour du marché
José mon chauffeur et homme à tout faire va soccuper des tes chiens. Quand à toi, vient vite, un somptueux dîner tattend.
Puis invitant le Marquis à entrer dans la bâtisse, il donnât une claque sur les fesses de leeny qui ne bougeait toujours pas.
- Mon ami de la Métropole ta apparemment apprécié, chienne, pour quil daigne demander comment tu tappelles. Alors ce soir et cette nuit, tu feras tout pour le satisfaire. Et pour commencer, tu lui serviras le repas. Aller oust ! files en cuisine, te préparer pour le servir
La belle soumise obtempéra sans rien dire et sempressa de se lever et tête baissée, elle courût, ses beaux cheveux ondulés au vent, toujours aussi nue, le plus vite possible en direction dune porte sur le côté menant à loffice.
La soirée et la nuit furent des plus agréables pour le Marquis dEvans. En effet, leeny le servit durant tout le repas approchant ainsi souvent ta forte poitrine sous le menton du Noble. Les tétons durcis, ils trahissaient lexcitation de cette chienne à servir ce Maître quelle appréciait visiblement. Au dessert et dun claquement de doigts, elle passât aussi sous la table pour soulager le Noble dune fellation exquise. Elle fut aussi fouettée et le Marquis décida à lissue de la soirée de lemmener dans sa chambre où il usa et abusa de son corps toute la nuit de sa verge épaisse. Quand le Marquis ne bandait plus (il navait plus 20 ans) elle fut sodomisée plusieurs fois, attachée, et baisée par un volumineux god taillé dans le plus bel ébène.
Cest une animation extérieure des grands jours qui réveilla le Noble au petit matin. La lumière naturelle filtrant aux travers des volets de bois blanc. Regardant autour de lui, il aperçut la chienne leeny qui dormait sur la descente de lit. Elle était nue, pluguée et ses mains attachées au pied du lit, telle quil lavait laissé quelques heures plus tôt une fois que le Marquis avait décidé de sendormir. Une soudaine et matinale envie duriner le prit, et se levant, il réveilla leeny, la détacha et se dirigea vers le cabinet toilette attenant à la belle chambre.
Allez réveille-toi chienne. Décidément, tu me plais et je crois que je vais accepter loffre de ton Maître et tacheter
. Je vais de suite en parler à ton Maître et te ramener avec moi dans mon château en Métropole
Quand dis-tu ?
Visiblement le Marquis avait séduit cette esclave depuis son premier regard sur elle et elle avait servit le repas et passer la nuit avec lui avec excitations et envies tellement elle avait apprécié, du premier coup dil discret, le charisme et le charme du Noble
- Oui
Monsieur le Marquis
achetez-moi si telle est votre Volonté
Je
je
. ferai tout ce que vous voudrez
mais emmenez-moi avec vous
- Pourquoi, tu nes pas heureuse avec ton Maître ?
- Si
mais
je
- Mais je
Quoi ?
- Je
je vous aime et
Sapprochant de la cuvette, le Marquis éclatât de rire
- Ha ! Ha ! Ha ! Tu maimes
elle est bien bonne celle-là !! Si jachetais toutes les chiennes qui tombent amoureuses de moi
Ha ! Ha ! Ha !
Puis il sortit sa verge pour uriner quand il entendit et vit derrière lui leeny sapprocher à 4 pattes ondulant les fesses telle une panthère sauvage et se mettre dans la baignoire située à côté de la cuvette de WC.
- Décidément, répéta-t-il, tu me plais de plus en plus
Tu feras merveille dans mon château
Après avoir prit son copieux petit déjeuner et sêtre préparé élégamment, il se retrouva dans le grand hall dentrée de la demeure. Il y retrouva de vieilles connaissances et les retrouvailles avec des amis venant de toute la planète furent amicales et chaleureuses. Il y avait entre-autres parmi les Maîtresses et Maîtres quil appréciait le plus : Le sultan de Bel-Balkes, laméricain Wislhey Adams, le chinois Youn Chiang po, la Maîtresse russe Porkabof Ellena, lhindou Hamnibay et la brésilienne Maîtresse Buknam Mariana
Tous étaient invités pour le marché et chacun se dirigea vers le hangar qui venait douvrir ses portes. Une influence déjà importante animait le lieu. Le marché était réparti en deux zones bien distinctes.
Sur la gauche cétait la partie exposition tel un zoo humain. Et quasi sur toute sa longueur de limmense hall, il y avait, à linstar dune galerie marchande, une succession de vitrines. Derrière les vitres éclairées de belles lumières, des esclaves étaient exposés nus tels des mannequins de plastique de nos commerces de prêt-à-porter. Mais à la différence que ceux exposés ici étaient nu et navaient comme tout vêtement que leur collier. Il y avait des vitrines, où seul une soumises était exposés, dans dautres des couples et encore dans dautres des troupeaux. Toutes les vitrines comportaient une inscription avec le noms du propriétaire et des esclaves ainsi que leur provenance. Au bout dune trentaine de mètres, le Marquis sarrêta devant 1 vitrine. Il reconnut esclaveLaétitiaMDE, esclaveLunaMDE et esclave541MDE. Leurs noms étaient marqués sous ce qui suit :
Esclaves du Marquis dEvans FRANCE -
Laétitia et Luna étaient couchées contre la vitrine, elles étaient blotties lune contre lautre et visiblement très proches lune de lautre. Luna avait posé sa tête dans lentre jambes de laétitia. Elles dégageaient un érotisme puissant tant elles étaient parées dhuile qui brillait dun plus bel éclat, mais aussi embellis de fleurs multicolores sur leur tête. Quand elles aperçurent leur Maître, elles se redressaient et sagenouillaient côte à côte, baissant la tête. Quand à e541, il était un peu à lécart, et accroupi, les mains sur la vitre, il regardait son Maître dun air de désespoir quil venait dapercevoir. Une expression dune grande angoisse se lisait sur son visage. Le Marquis lui sourit et lesclave parut un peu rassuré.
e541 retrouva son angoisse aussitôt que son Maître lui tourna les talon pour traverser la grande allée dans le sens de la largeur pour se diriger vers la deuxième zone du marché. Où une pancarte indiquait simplement « Ventes ». Cette zone ne comportait aucune vitrine et ressemblait fort à un marché de bestiaux. Les stands étaient séparés par des cloisons et chacun pour admirer, toucher, se renseigner et acheter selon les finances et besoins des acheteurs internationaux et nombreux en provenance de tout le globe.. Les esclaves étaient tous présentés debout, immobiles, nus et mains attachées dans le dos, jambes écartées.
Certains acheteurs leur ouvraient la bouche pour scruter la dentition, dautres palpaient les biceps des mâles ou les seins et sexes des femelles. Tout était fait pour rappeler les marchés desclaves dune autre époque depuis longtemps révolus. Mais ici il y avait une différence de taille par rapport à cette ancienne pratique de lesclavage dun autre temps. Il ny avait aucune ambiguïté avec la loi car, il est bon de rappeler que chaque esclave présent sur le marché était esclave de son plein gré et quaucune contrainte ne leur était imposée pour être devenus ce quils étaient. Esclaves ils avaient voulu être, esclaves ils étaient devenus. Et chacun avait accepté la décision de leur Maître respectif à ce quil soit vendu si cela avait été la décision du Maître. Lobéissance totale était la raison dêtre de leur condition tant espérée et maintenant que chacun la vivait, lesclave se devait den accepter toutes les contraintes telle celle de la possibilité dêtre vendu.
Le Marquis regarda le carton quon lui avait remis à lentrée de lhangar; ou il était marqué entre les lignes de politesses :
Votre stand de vente de vos esclaves serf69 et e722 est le stand numéro 27
»
Il regarda et suivit les numéros des stands jusquà arriver au N°27. La étaient exposés, lesclave69MDE et esclave722MDE. Le Marquis remarqua que déjà deux potentiels acheteurs les palpaient, les faisaient plier le dos, tapotaient à laide de fines baguettes flexibles les fesses des 2 chiens. Un des 2 acheteurs, un arabe grand et aux yeux méchants, sévère était même en train denfoncer son pouce dans lanus de e69. Il lui criait décarter encore mieux les jambes Et cest debout mains attachées dans le dos que lesclave obtempéra avec peine. La fouille de lanus fut profonde et larabe prenait plaisir à faire manuvrer son doigt afin de faire mal. Tout en insultant le chien de tous les noms avilissant
- Hé là lami, sécria le Marquis arrivant sur le stand. Qui vous a autorisé à toucher la marchandise ?
Larabe se retourna et à la vue du Marquis, retira dun coup son doigt et dit dun mauvais français :
- Ah cé vouis lé vaudeur, combien combien les deuuuuuux chiens ?
- 10 000 euros pièce. 15 000 les deux
- Et pourqué tu les vendes, y sont pas drissés ?
- Si ! ils sont dressés mais parfois, ils partent deux-mêmes, ils quittent le château sans prévenir mais reviennent toujours deux-même. Jai beau les punir sévèrement, ils recommencent
Cest pour ça que je ne les vends pas chers
. Ils ne méritent pas plus
- Pes cher, pes cher,
12 000 les doeux, chest mon dernier prix
- Mouais
disons 13 000 ! Cest bon que je veux men débarrasser. Et pour ce prix, si dans 8 jours vous en nêtes pas satisfaits, vous pouvez me les renvoyer et je vous rembourserai, plus les frais de retour, ca va ?
- Cha va, taipe-la, dit larabe en tendant la main dun air satisfait au Marquis.
Les modalités furent signées dans lheure avec les closes convenues concernant léventuel retour au château des 2 chiens si lacheteur souhaitait les rendre. Il avait une semaine pour le faire, après ils les garderait.
Le Marquis continua son marché et arriva devant le stand de son ami Jean-Denis de la Patterlière. Plusieurs chiennes étaient exposées et parmi elles, il y avait leeny. La tête baissée, ses beaux cheveux lui cachait son visage. On la pelotait quelques fois au bon gré des passants pervers. Mais lami du Marquis fit bien les choses car il avait réservé cette chienne pour le Noble avec qui il avait tantôt convenu d'un prix plus qu'amical.
Et cest pour cela que leeny avait une pancarte accrochée autour du cou et pendante sur ses seins, où il était simplement écrit « VENDUE AU MARQUIS DEVANS »
Ce nest quune semaine après que le Marquis décida de quitter la Martinique après sêtre offert quelques jours de tourisme. Il emmena donc leeny avec lui ainsi que les autres esclaves avec lesquels il était arrivé, à lexception donc des 2 chiens vendus.
Le voyage fut des plus agréables et cest Walter venu en rolls qui attendait son patron à laéroport, à Paris, et à la descente de lavion :
- Mon cher Walter, quelle joie de te revoir !
- Bonjour Monsieur le Marquis
- Regarde ce que je ramène, une nouvelle chienne, elle sappelle leeny, esclaveLennyMDE, désormais !... Rien de neuf au château ?
- Si Monsieur le Marquis, une lettre arrivée ce matin pour vous, marquée URGENT et jai cru bon de vous lapporter, elle vient dArabie Saoudite
- Merci Walter, tu as bien fait.
Le Noble ouvrit de suite la lettre, où était marqué dun bon français, (tapée certainement par une secrétaire bilingue) entre les formules de politesses :
« --- je vous renvoie les 2 chiens achetés en Martinique, ils ne sont bons à rien, même pas bons comme reproducteurs
merci de me rembourser conformément au contrat de vente
. »
- Walter, dit calmement le Marquis, je croyais mêtre débarrassé de e69 et e722. Mais ils vont nous revenir. Je vais men occuper sérieusement cette fois et en faire des esclaves exemplaires qui ne se sauvent pas à leur bon gré. Le Château n'est pas un moulin où on peut sortir et entrer comme ça... Quand à toi (il regarda leeny) tu vas commencer par être installée au château, dans ta niche
et j'aurai plaisir à te punir de m'avoir fait débourser quelques centaines euros pour ton achat...
(à suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!