16 - Maria Au Firmament Des Salopes / Acte 2
Antoine tint sa promesse, du moins une de celles quil mavait faites, je pense quil baisait toujours ma femme, il me donna une copie du fameux film dont nous avions parlé. Je profitai de la première occasion où jétais seul à la maison pour le voir.
Cela commence par un cadrage dune belle chambre, sans doute une chambre dhôtel de luxe, une grande baie vitrée très claire, une magnifique salle de bain et aussi un énorme lit. La qualité de limage est professionnelle, le son et la musique sont excellents. Puis limage se pose sur la vedette féminine avec des gros plans sur son visage, sa bouche, la caméra la montre de la tête aux pieds, se place au raz du sol et partant de ses ballerines, remonte le long de ses jambes gainées de bas noirs, ses cuisses, arrive à la robe rouge très courte, découvre la lisière des bas et le haut des cuisses nues sans en dévoiler plus, puis suit la robe rouge jusquà la poitrine, sarrête à nouveau sur les lèvres. Puis limage recule jusquà embrasser presque toute la pièce et Philippe entre en scène.
Philippe la prit dans ses bras et lembrassa en samusant à jouer avec la langue de Maria devant la caméra, les lèvres se touchant, les langues semmêlant et senroulant lune avec lautre. Puis il passa derrière elle, lembrassa dans le cou, la caressa en insistant sur les seins dont il fit bander les bouts. Maria se laissait faire, elle avait passé le bras en arrière et lui caressait les cheveux. Puis Philippe demanda :
- Bonjour, ma jolie. Dis-nous comment tu tappelles.
- Maria, tu sais bien.
- Moi oui, mais tous nos amis veulent te connaître. Tu vis seule ?
- Non, je suis mariée.
- Et tu laimes ton mari ?
- Oui bien sur.
- Il sait que tu es là ?
- Ne dis pas de bêtises, non, il ne serait pas très content.
- Il sait que je te baise ?
- Ça, il le sait, tu lui as dit toi-même.
- Et il sait que tu le trompes presque tous les jours ?
- Non, je ne peux pas tout lui dire.
- Et pour aujourdhui ?
- Jespère quil ne le saura jamais.
- Pourquoi ?
- Je ne veux pas lui faire de la peine.
- Et pourquoi tu es venue alors ?
- Parce que jen ai envie.
- Tu vas encore tromper ton mari.
- Oui, un peu.
- Beaucoup plutôt quun peu, tu sais quil y a beaucoup de monde qui va te baiser.
- Tu me las dit, oui.
- Et tu veux essayer avec plusieurs ?
- Je voudrais aller avec plusieurs hommes, oui cest vrai, jai honte mais cest vrai.
- Tu mas dit que tu aurais moins honte si tu ne sais pas avec qui tu baises.
- Oui, cest vrai, jaurais moins honte de le faire sans savoir avec qui.
- Même si, eux, te connaissent ?
- Tant pis, oui.
- Ils te connaissent, connaissent ton mari, et ils vont te baiser sans que toi tu saches qui ils sont, tu es daccord ?
- Oui, je veux bien aller avec eux.
- En plus, tu sais quil y a quelquun qui va tout filmer.
- Tu me las dit, mais je ne sais pas si cest bien.
- Mais si, ça fera un bon souvenir. Combien de mecs tu veux te faire ?
- Je ne sais pas, au moins deux.
- Ils sont trois, ça va ?
- Cest super.
- Alors, on y va ?
- Daccord, on le fait.
- Tu vas mettre ce bandeau sur tes yeux
- Daccord, je le mets.
- Tu ne vois plus rien ?
- Non, cest le noir complet, sil te plait, vérifie sil ne peut pas tomber.
- Non, cest bon, tu las bien serré. Viens, tu vas tasseoir sur le lit.
- Daccord, donne-moi la main pour me guider.
- Voila, tu es prête ?
- Je suis prête.
- Prête à tout ?
- A beaucoup de choses, oui.
- De choses cochonnes ?
- Je vais être très cochonne.
- Je veux être fier de toi.
- Tu ne vas pas être déçus et eux non plus.
- On les fait entrer ?
- Je les attends.
Et Philippe ouvrit la porte derrière laquelle attendaient les trois hommes qui pénétrèrent dans la chambre.
Et Philippe ouvrit la porte derrière laquelle attendaient les trois hommes qui pénétrèrent dans la chambre. Maria, en appui sur ses mains et légèrement renversée sur larrière était assise, les cuisses sagement serrées ; elle souriait aux nouveaux venus. Philippe entama les salutations :
- Voilà, cest Maria, je ne vous présente pas puisque vous la connaissez déjà elle et son mari dailleurs. Elle ne vous voit pas mais elle vous entend bien sûr. Soyez galants, si vous êtes gentils avec elle, elle sera encore plus gentille avec vous. Dites-lui bonjour et allez vous asseoir à coté delle.
- Bonjour Maria.
- Bonjour messieurs.
Numéro 1 et numéro 2 sassirent de chaque coté delle, numéro 3 resta debout devant. Numéro 1 posa sa main sur le genou de son coté, Maria tourna la tête vers lui, toujours souriante. Elle montrait ainsi quelle était daccord et quil pouvait aller plus loin. Le message fut bien compris par tout le monde.
Numéro 1 se pencha vers Maria et lembrassa sur la bouche, sa langue joua avec celle de Maria avant que le baiser ne devienne plus torride. Numéro 2 ne voulut pas être en reste, il soctroya le buste et pelota la poitrine, puis passa les mains sous la robe pour se saisir des seins et les extraire hors des vêtements ; il put alors les caresser, les embrasser et sucer les bouts tout à son aise. Pendant ce temps, Numéro 3 soccupait du bas. Il sétait accroupit, avait doucement écarté les genoux et contemplait le petit triangle de tissu qui voilait à peine la partie la plus intime de la femme. Il suivait les lèvres entrouvertes, la fente humide du bout des doigts et avec le tranchant de la main réussissant à y insinuer le tissu de la petite culotte. Leffet était des plus torrides, la fente était ouverte, les lèvres nues et épilées semblaient boursouflées en ressortant de part et dautre de la culotte.
Le caméraman promenait son objectif sur le corps de la femme, partait des ballerines, glissait le long des jambes gainées de bas noirs, traînait à la lisière des bas sur les cuisses nues, sattardait sur ce que tout le monde voulait voir, un sexe épilé et ouvert par la petite culotte que Numéro 3 samusait à tirer vers le haut et vers le bas, le bouton damour rougi par le frottement du sous-vêtement semblait gonflé, puis on reprenait lascension en suivant les boutons de la robe rouge, on arrivait aux seins nus caressés et mangés par la bouche avide de Numéro 2, et après la poitrine, cétait la tête, serrée par les mains de Numéro 1 qui lui mangeait la bouche, qui jouait avec la langue agile, qui mordait les lèvres.
- Vous ne préférez pas quon la mette à poil ?
- Si, cest une bonne idée.
- Moi aussi jai envie de savoir comment elle faite.
- Allez, ma jolie, montre nous tes trésors.
Six mains sactivèrent sur les boutons et la robe eut tôt fait de disparaître comme par enchantement, puis Maria souleva légèrement les fesses et releva les jambes le temps quon lui enlève sa petite culotte. Ce mouvement naturel me sembla très sensuel, cétait très excitant de constater quelle ne subissait rien, elle offrait tout. Elle apparut enfin en corset et bas noir. Quelquun avait eu la bonne idée de délacer le haut du corset pour libérer les petits nichons qui semblaient offerts sur un plateau.
Par coquetterie, Maria gardait ses cuisses bien serrées. Numéro 3 sécria :
- Allez ma jolie, montre-nous comment tu es faite
- Cest ça, on a envie de voir ta petite chatte
- Sois mignonne, écarte les cuisses.
Les gestes suivirent ces paroles, deux mains écartèrent doucement les genoux ronds de la belle.
- Regardez-moi ça comme cest mignon.
- Tu as une belle petite chatte dis donc.
- Cest gentil.
- Cest ton mari qui te demande de te raser la chatte ?
- Non, cest moi.
- Et il ne dit rien ?
- Au contraire, il aime.
- Nous aussi, on aime.
- Merci.
- Une petite touffe en haut, et pas un poil pour gêner la queue, cette chatte est idéale.
Chacun pouvait aussi apprécier le minou épilé avec juste une petite touffe de poils bien taillés au dessus de la fente idéalement apprêtée pour lamour. Quelquun demanda :
- On peut toucher ?
- Mon minou adore quon soccupe de lui.
- Ça, ne tinquiète pas, on va sen occuper.
- Tant mieux.
Une main se mit à la caresser, à chatouiller le clitoris, un doigt, puis deux sinsinuèrent dans la fente, attaquèrent un va et vient langoureux sous les yeux des autres :
- Elle est trempée, la petite chérie.
- Philippe a raison, cest une chaudasse.
- Tu vas voir, ma jolie, on va sen occuper, de ta chatte.
- On va la gaver de saucisse.
- Si vous pouviez être doux ! Mon minou aime quon le traite avec tendresse.
- Pauvre petit minou, ça va être sa fête !
- Moi, jai envie de la démonter.
- Mais dabord, laissez-moi lui bouffer la chatte.
Chacun reprit sa place et ses activités avec plus daise, Numéro 1 embrassant la bouche, Numéro 2 dévorant les seins, Numéro 3 mangeant le sexe. Ce dernier, après avoir longuement léché la moulette, agacé et branlé le clitoris, investi le con de tous ses doigts, sétait relevé et se déshabillait. Numéro 2 avait jugé quil avait mangé assez de mamelles pour la journée. Il sortit sa queue, de taille modeste, la posa sur les lèvres que son compagnon lui avait cédées et eut le bonheur de sentir son sexe happé par une bouche gourmande. Maria passait dune queue à lautre, tantôt branlant, tantôt butinant ou suçant avec ardeur, elle voulait soccuper des deux membres, donner du plaisir. On avait presque oublié Numéro 3 qui venait de réapparaître dans le champ de la caméra, du moins sa queue avec son capuchon de latex qui neut pas à chercher longtemps lentrée du paradis, et senfonça dun coup dans le con avide. Numéro 3 était aux anges :
- Dites, les gars, si je vous téléphonais de quelque part en vous disant que je suis en train de baiser la femme de Bernard, vous me croiriez ?
- Certainement pas, jaurai plutôt cru que tu étais en train de te branler devant sa photo.
- Moi non plus, pour moi, pour moi il ny avait que Bernard qui baisait sa femme.
- Et pourtant, je suis entre ses cuisses, et je viens de lui planter ma queue au fond de la chatte.
- Moi jai limpression de rêver quand je la vois sucer ma queue, dailleurs, elle est très douée pour la sucette, vous verrez.
- Si vous saviez comme elle est bonne, elle est souple et ouverte comme une mature, mais bien serrée comme une jeunette, un vrai régal.
- Laisse-en pour les copains.
Maria fut ainsi baisée une première fois, une queue dans le ventre, une autre dans la bouche et la troisième dans la main. Puis les deux autres la prirent chacun leur tour. Après, ce fut un vrai festival, Maria fut mise sur le dos, sur le ventre, à quatre pattes, empalée sur lun, reprise par lautre. On lui remplissait la bouche et le sexe jusquà ce que quelquun constate que Madame ne protestait nullement quand on soccupait de son cul, quand on lui claquait les fesses ou quun ou plusieurs doigts furetaient dans le petit trou ; alors quand lexplorateur entreprit dy introduire son sexe, comme il ny eut ni protestations, ni cris, il la sodomisa tranquillement devant les yeux incrédules mais réjouis de ses compagnons. A quatre pattes, dans la position de la chienne en chaleur, Maria concentrait toutes les attentions sur son fessier. La caméra filmait en gros plan le cul qui semblait encore plus blanc à cause des sous-vêtements noirs, bas et corset qui rehaussaient limage, la fente apparaissait ouverte du bas du dos jusqu'au pubis, les lèvres vaginales ne cachaient ni le clitoris violacé ni lentrée du vagin plus sombre, le petit il semblait bien noir. Avec ce gros cul, rond, charnu, bien gras, on avait envie de lui donner des tapes, de le voir rougir, on avait aussi envie de violer le petit trou, déclater la rondelle sombre. Alors elle eut droit à plusieurs fessées qui lui rougirent le cul, les mains claquaient assez fort pour lui faire mal mais les bites quelle suçait lempêchaient de protester. Comme si cela ne suffisait pas, Numéro 3 éjacula dans la bouche et saperçut que Maria déglutissait pour avaler la semence. Le jeu consistait maintenant à lui pilonner le vagin ou le cul, quitter son préservatif pour venir vider ses couilles au fond de la gorge. Elle fut prise par devant, par derrière, par la bouche, par un, ou par deux mâles en même temps, puis même par les trois à la fois, bref, elle eut de très nombreux rapports, fut contrainte davaler de nombreuses giclées de foutre, se vit souiller et tartiner le dos, le visage, les cheveux. Cela dura jusquà épuisement des stocks de sperme et après une débauche dénergie impressionnante.
Lhomme à la petite bite, Numéro 2, savoua vaincu :
- Putain, je nai jamais tant baisé de ma vie, je suis vidé.
- Ça, on peut dire quelle a de lappétit, la belle Maria !
- Je nen reviens pas davoir baisé la femme dun de mes amis, ça me parait incroyable.
- Je ne sais pas vous, mais moi jai quelques remords en pensant à lui.
- Moi aussi, cest un brave type.
- Quest-ce que vous voulez, sa femme est trop bonne.
- Vous savez ce quon dit, il vaut mieux avoir des remords que des regrets.
- Moi, ça maurait fait chier que vous layez tous baisée sauf moi.
- Pareil pour moi.
- Je vais vous laisser, ma femme va arriver et je dois aller la chercher à la gare.
- Amène-la ici si tu veux !
- Vous seriez déçus, ce nest pas un bon coup.
- Alors salut.
- A une prochaine fois.
Numéro 2 alla se laver, shabilla et sortit de la chambre en dix minutes qui permirent à chacun de faire une petite pause réparatrice. Maria semblait la plus en forme, allongée sur le dos, les yeux toujours bandés, elle semblait attendre une suite. Le premier à émerger fut Numéro 3. Il vint tout contre elle, la caressa, enfonça ses doigts dans la fente et la branla, puis se fit lécher les doigts. Puis il prit en main sa queue de taille honnête mais encore molassone et la promena sur le visage de Maria. Quand le gland se trouva sur les lèvres, la langue sortit, le lécha puis la queue passa en sens inverse et disparut presque entièrement dans la bouche. La coquine était très douée pour réveiller les organes fatigués, celui quelle travaillait avec ferveur eut bientôt fière allure. Numéro 3 avait sa petite idée en tête, il fit mettre Maria à quatre pattes et passa derrière elle. Il lui caressa la fente dun orifice à lautre, répartit le jus de sa chatte sur le petit trou. Il enfonça ses doigts dans les deux orifices offerts et trouva sans doute lanus trop sec pour son goût car il écarta les fesses et cracha sur le petit trou. Maria savait ce quil voulait, elle ne sétonna pas de sentir la queue senfoncer dans ses reins. Le cochon navait pas mis de préservatif, il voulait réellement la posséder, cela nétait pas du tout à mon goût, mais Maria aimait sentir la queue nue aller et venir dans son cul et Numéro 3 savourait particulièrement ce rapport :
- Tu aimes ça, on dirait.
- Jaime bien, cest vrai. Cest meilleur quand on ne met pas de préservatif.
- Tu es folle, ça peut être dangereux !
- Rassure-toi, tu nes pas le premier à me prendre comme ça.
- Et pas le dernier non plus, non ?
- Jespère que non.
- Tu savais que jai toujours fantasmé sur toi ?
- Non, bien sur que non, comment je laurais su.
- Et pourtant, je tai toujours trouvée très bandante. Tu portes souvent des minijupes, moi comme les autres je guettais le moindre de tes mouvements pour essayer de voir ta petite culotte.
- Ça par contre, je men suis aperçue. Vous êtes tous des petits cochons.
- Jai beaucoup fantasmé sur ce qui se passait sous tes jupettes mais je pensais que tu étais une femme sérieuse.
- Et quest-ce qui a pu te faire changer davis ?
- Jai vu Philippe te rouler une pelle en te mettant la main au cul sous les yeux de tout le monde, de la façon quil ta pelotée, jai compris quil te sautait quand il voulait.
- Il mavait dit que personne navait rien vu.
- Quand on veut préserver sa réputation, il faut être plus discrète.
- Je retiendrais la leçon.
- Ce jour-là, jai su quil ny avait pas que ton mari qui fourrait ta petite chatte.
- Ce nest pas parce quune femme mariée se laisse aller une fois ou deux quelle nest pas sérieuse.
- Peut-être, mais ce nest plus pareil, tu nétais plus si fidèle que ça.
- Même si je ne lavais trompé quune seule petite fois ?
- Pour moi, il y avait une ouverture, si tu trompais ton mari avec lui, tu pouvais bien faire la même chose avec moi.
- Alors je devenais une femme facile, une salope.
- Pas une salope, mais en plus dêtre une belle plante sexy, je savais que tu étais chaude.
- Merci. Alors tu as eu envie de moi ?
- Je rêvais de te baiser comme Philippe. En plus, ton amant nous en a raconté de belles sur toi.
- Quoi, par exemple ?
- Que tu ne te contentais pas de te faire sauter de temps en temps, comme la plupart des femmes qui trompent leurs maris.
- Ah, non ?
- Il nous a dit que tu étais une petite vicieuse.
- Et tu las cru ?
- Il a des preuves, des photos.
- De moi ?
- De toi, oui, mais pas toute seule. Il en a plusieurs, où on te voit sucer, lui et un noir, entre autres.
- Il vous a montré ça ? Il mavait promis de ne les montrer à personne.
- Dautres où tu te fais sauter. Il naurait jamais du vous les montrer.
- Comme on les voit te sauter lun après lautre, on sait aussi que tu aimes les partouzes.
- Il me fait passer pour une grosse salope.
- Alors moi aussi jai eu envie de tenfiler.
- Tu vois tout arrive, toi aussi tu mas sautée.
- Tu sais, je penserai à ce moment à chaque fois que je te verrai.
- Je prends ça comme un compliment.
- Cest un compliment, Philippe avait raison, tu es vraiment un bon coup.
- Merci.
- Et à chaque fois que je vous verrai ensemble, toi et ton mari, jy penserai aussi.
- Laisse mon mari en dehors de ça, tu veux.
- A chaque fois que je vais le voir et lui serrer la main, jaurais une furieuse envie de lui raconter comment jai enculé sa petite femme chérie.
- Ne fais pas ça, je ten supplie.
- Jen aurais envie mais ce ne serait pas drôle. Ce sera bien meilleur de te regarder jouer les épouses vertueuses, te tenir sagement assise avec tes cuisses bien serrées alors quon est quatre ici à qui tu nas plus rien à cacher. Et tout ça en te demandant lequel dentre nous a vidé ses couilles dans ton cul.
- Je préfère ne jamais le savoir.
- Tu es sûre ? tu peux enlever ton bandeau, tu verras qui je suis.
- Je ne veux pas.
- Tu vas passer ta vie à guetter le moindre des faits et gestes des amis de ton mari, le moindre des regards pour essayer de le deviner.
- Non, je men fiche.
- Mais tu vas te poser la question tous les jours, tu ne pourras pas ten empêcher.
- Tu as peut-être raison, mais je préfère ne pas savoir.
Numéro 3 accéléra la cadence, il la sodomisait comme une chienne, à grands coups de reins avec des « han » de bûcheron, dune main il avait agrippé ses bourrelets à la ceinture et la tenait par la nuque de lautre. Il se libéra dans les reins, comme un animal qui remplirait une femelle, en la tirant par les cheveux. Il avait assouvi son phantasme, enculer la femme qui était mariée avec un de ses amis intimes. Son forfait accompli, il essuya sa queue avec le drap et se leva. Lui aussi sapprêta pour partir.
Il ne restait que Numéro 1. Assis sur le bord du lit, il avait assisté à laccouplement sans bouger, sans doute fasciné comme moi par la bestialité du rapport, par la soumission de cette femme qui se acceptait tout. Il sallongea contre Maria, la caressa et lui fit des câlins dans le cou et sur les seins. Sa douceur et sa tendresse étonnaient après la fureur bestiale et dominatrice de Numéro 3. Maria fut sensible à ses attentions, je sentais que celui qui ne demandait rien, qui nimposait rien, obtiendrait tout delle. Elle lenlaça et lui rendit ses baisers, puis se mit sur le dos en lentraînant sur elle. Pour la première fois de la soirée, Maria faisait lamour. Les cuisses bien écartées, elle caressa le membre presque raide, laffermit encore en le décalottant et le branlant, le guida dans son ventre. Sexes et langues intimement imbriqués lun dans lautre, les deux partenaires sembrassaient et se caressaient, le mâle ne bougeait pratiquement pas les reins tandis que la femme ondulait sous lui. Je connaissais Maria par cur, et je voyais monter son désir, sa langue était occupée mais ses yeux et son corps parlaient à sa place. Numéro 1 faisait de son mieux pour la satisfaire, il la caressait partout, suçait les seins dont les pointes, excités par le plaisir, se tendaient à lextrême. Maria se frottait sur le corps de son amant, elle croisa ses jambes sur le dos de son amant pour mieux lui offrir son ventre, se mit à lui caresser les cheveux et à lui mordiller les oreilles. Sa voix tremblait dexcitation :
- Baise-moi, mon chéri, baise-moi bien.
- Tu veux que je change, peut-être tu préfères être dessus.
- Non, cest très bien comme ça, baise-moi comme ça, surtout ne tarrête pas.
- Tu aimes ?
- Cest magnifique.
- Cest toi qui es magnifique.
- Merci, tu me baises très bien.
- Je voudrais tant te donner du plaisir.
- Tu es en train de me rendre folle.
- Moi aussi je deviens fou.
- Je ten prie, résiste encore un peu.
- Je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps, tu mexcites trop.
- Ne jouis pas encore.
- A propos, tu sais que je nai pas mis de préservatif ?
- Bien sur que je le sais, cest bien meilleur sans.
- Ça ne te gêne pas si je décharge dans ton ventre ?
- Tu me plais trop, je veux que tu me donnes tout.
- Comment je peux te plaire, tu ne veux pas savoir qui je suis.
- Tu me plais, cest tout, et je veux tout de toi. Je vais être à toi, ta femme, tu vas me posséder.
- Tu veux mon sperme ?
- Tout, je te dis. Je veux que tu inondes mon ventre de ta semence.
- Rien que lidée, ça me rend fou.
- Maintenant, tu vas me baiser plus fort.
- Comme ça ?
- Encore plus fort.
- Je vais te faire mal.
- Non, naie pas peur, ma chatte en a vu dautres.
- Tu aimes être violentée ?
- A la fin quand je suis très excitée, cest ce que jaime, être prise en force. Baise-moi, ne tarrête pas.
- Cest de la folie.
- Prends-moi, envoie tout.
- Ça-y est, je décharge.
- Oh oui, cest bon.
Et Maria cria son plaisir. Javais beau réfléchir, elle avait eu dinnombrables rapports mais cétait son premier véritable orgasme de laprès-midi. Je navais entendu que des râles et des soupirs sortir de sa bouche, maintenant cétaient de véritables cris de plaisir qui jaillissaient de sa gorge. Maria jouissait comme une folle, sans aucune retenue. Elle démontrait encore une fois quelle était une magnifique femelle faite pour lamour et le plaisir. Je jurerais volontiers que Numéro 1 navait jamais possédé de femme comme elle, lui aussi était monté au septième ciel. Les deux amants sécroulèrent lun à coté de lautre, Maria lembrassa longuement avec tendresse et Numéro 1 se leva pour disparaître du champ. Maria resta quelque temps immobile, et finit par se relever sur ses coudes en demandant :
- Philippe, tu es là ?
- Bien sur, tu peux enlever ton bandeau, tout le monde est parti.
- Daccord.
Maria retrouva la vue, elle souriait. La caméra balaya une nouvelle fois son corps, des jambes aux cuisses, sarrêta sur le sexe, remonta sur elle, détailla le visage et la bouche souriante, revint sur le sexe. Philippe passait des lèvres de la bouche aux lèvres du sexe, ouvertes par tant de luttes amoureuses, il ne manqua pas le filet de sperme qui séchappait du vagin pour aller se mélanger à ce qui sortait de lanus et souillait les draps, il venait de prouver à tout le monde comment on pouvait posséder la femme dun autre, la posséder corps et âme au point den avoir fait son esclave sexuelle, une esclave ravie de son sort, prête à tout pour satisfaire son maître. Le maître ajouta :
- Je te présente Lucien, tu ne le connais pas encore.
- Non.
- Il a tout filmé, tu sais, cest un petit chef duvre de film de cul.
- Ah bon !
- Mais regarde dans quel état tu as mis le caméraman !
- Ce nest pas de ma faute.
- Bien sur que si, maintenant, tu ne vas pas le laisser dans cet état.
- Comment ça ?
- Il bande comme un malade, tu vas lui faire une petite pipe pour le soulager.
- Tu me fais faire de drôles de choses.
- Cest toi qui veux les faire.
- Oui, cest vrai.
- Tant quon y est, va te laver le cul, je vais te fourrer pendant que tu suces mon pote.
- Encore ? Mais tu mas déjà prise avant que les autres narrivent.
- Peut-être, mais là, je nen peux plus.
- Ça va être encore ma fête si je comprends bien.
- Tu es rodée maintenant.
- Je suis épuisée et vous allez machever. Je vais être morte en rentrant à la maison.
- Ne tinquiète pas, ton mari va retrouver sa petite femme entière, on ne va rien casser.
- Ce nest pas possible, il va sapercevoir de quelque chose.
- Il a lhabitude, ne me dis pas quil ne saperçoit de rien quand il te passe dessus après Antoine.
- Il ne ma jamais rien dit.
- Tu sais ce quon dit, qui ne dit mot consent.
- Ça je ne sais pas.
- Tu parles ! Il te défonce avec son énorme queue, il te remplit de foutre, alors il doit sen apercevoir.
- Cest quil ne sait rien pour Antoine.
- Il croit peut-être que cest moi le coupable.
- Je ne sais, tu sais, je ne la ramène pas trop avec ça.
- Il sait quil est cocu mais pas à quel point.
- Je préfère quil nen sache pas trop.
- Il sait que sa femme aime la queue, mais il ne sait pas la longueur de saucisse que tu as prise.
- Cest à peu près ça, mais aujourdhui, jai été trop loin.
- Mais non. Et sil trouve que tu es plus ouverte que dhabitude, tu trouveras bien une explication.
- Jespère, je ne voudrais pas quil sache.
- Cest rien à coté des travaux quil va devoir faire chez vous.
- Les travaux ? Quels travaux ?
- Il est tellement cocu quavec ses cornes il ne va pas passer par les portes.
- Idiot ! Cest vrai quaujourdhui, jai fait fort.
- Allez, prépare toi à prendre encore un peu de saucisses.
- Idiot !
Et le film sarrêta là.
Quant à moi, le mari, sans doute avais-je eu un rapport, le soir même, après les autres, sans doute le con de mon épouse était-il plus trempé que dhabitude, sans doute avais-je trempé mon sexe dans une semence étrangère, mais je ne men étais pas rendu compte. Maria était toujours prête, bien disposée pour lamour, prenait du plaisir avec moi et men donnait en retour, je nen demandais pas plus. Le reste, je ne voulais pas le voir.
Je visionnai le film deux ou trois de suite pour tenter de reconnaître lun ou lautre des partenaires de lhôtel mais, soit les images avaient été retouchées, soit le caméraman était très fort, on y reconnaissait que Maria, Maria de la tête aux pieds et dans les moindres détails de son anatomie, on la voyait sucer, baiser, se faire prendre par devant ou par derrière, mais jamais on ne distinguait le visage de ses partenaires. Il ny avait quun détail, Numéro 3 avait une grosse tâche de naissance sur une fesse, si un jour je le voyais nu, alors je connaîtrai son identité. Ma femme sen fichait, mais personnellement jaurai voulu savoir.
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