Irrumation

Il me fait mettre à genoux devant lui et me guide en me parlant doucement, d’une voix calme.

– Oui, vas-y, doucement, prends ton temps avec ta langue, haaa… oui… maintenant avec les lèvres, en douceur… oui…

Je fais bien rouler son gland sur mes lèvres mouillées, puis je le prends dans la bouche, tout en continuant de l’entourer avec ma langue. Il pose sur ma tête ses deux mains, les doigts bien écartés pour la contrôler au maximum, et commence à me pousser un peu plus vers lui pour enfoncer sa bite plus profondément dans ma bouche. Il procède doucement et progressivement.

– Baisse ta langue, baisse ta langue ! Serre bien tes lèvres autour de ma queue et contrôle mon gland avec le creux de ta langue… Oui… Respire calmement…

Il fait coulisser son gland sur ma langue, lentement, allant parfois un peu plus profond, parfois moins. Il me tient toujours la tête avec ses deux mains. Mais au moment où son gland vient toucher le fond de mon palais, je ne peux m’empêcher de suffoquer violemment.

– Non-non, ne la sors pas, garde-la sur ta langue, et respire par le nez… Voilà… Détends-toi, tu vas t’habi petit à petit… t’inquiète pas, on y va tout doucement… voilàaa….voilàaaa…

Il recommence son va-et-vient tranquille sur ma langue, mais je sens mon cœur qui bat très fort, et je suis encore tout tendu, et, avec mes mains posées sur ses cuisses, je ne peux m’empêcher de le repousser comme par réflexe quand son gland commence à approcher de la luette.

– Non, non, ça va pas, comme ça ! Il faut que tu aies confiance.

Il se retire alors de ma bouche, et s’en va. Il revient presque aussitôt avec un grand foulard.

– Mets tes mains dans ton dos.

Il m’attache fermement les mains dans le dos avec le foulard, puis revient aussitôt devant moi. Sa bite a à peine molli pendant cette opération et je la sens redurcir rapidement dans ma bouche. Ses mains reprennent leur place sur ma tête.

– Reste bien calme… détends-toi, détends-toi, t’es tout crispé… làaa… Contrôle ma bite en serrant bien tes lèvres sur la hampe… oui… plus fort… voilà… Tu vas réussir à te maîtriser comme ça… bieeen…

Je ferme les yeux. Quand son gland revient sur ma luette, je suffoque avec une violence inouïe, je me sens tétanisé, mais cette fois, ses mains qui m’enserrent la tête me la maintiennent fortement en place et son gland, au lieu de se retirer, s’enfonce encore d’avantage pénétrant carrément dans ma gorge.

– làà… làaa… reste bien calme…

J’étouffe, je m’étrangle dans de violents spasmes mais il maintient ma tête. Mon nez est plongé dans ses poils odorants qui me chatouillent les narines et aggravent encore mon malaise.

– Bloque ta respiration, bloque ta gorge, il faut que tu réussisses à ne plus suffoquer… Tu vas voir, tu vas arriver à rester détendu… Non, non… du calme… ouiii… voilà… C’est mieux

Il me laisse alors reculer la tête suffisamment pour que son gland revienne au niveau de ma langue. Mon cœur bat de façon déchaînée, je tremble de partout. Je voudrais pouvoir reprendre mon souffle librement mais sa bite toujours dans ma bouche m’en empêche : je ne respire que par le nez. Elle m’empêche aussi de déglutir la salive visqueuse qui inonde ma bouche : je la laisse s’écouler le long de sa bite et de mon menton.

– Bien, récupère un peu… allez, on y retourne…

Et il ré-enfonce tranquillement son gland. Même réaction violente de rejet, j’ai des hauts-le cœur, des contractions violentes, mais il me force à garder son gland dans la gorge jusqu’à ce que je parvienne à contrôler mes réactions.

– Tu as du mal à t’y faire… c’est normal, mais ça va venir… il faut que ta gorge désire mon gland… voilà, c’est bien… je me retire un peu, reprends ton souffle trente secondes…

J’ai des larmes plein les yeux, ma salive coule abondamment de ma bouche, mon torse et ma nuque sont tout endoloris par les contractions provoquées par ces intrusions es. Une fois de plus, je voudrais reprendre mon souffle sans contrainte, je voudrais que cette expérience insupportable s’arrête, mais sa bite fait toujours des petits allers-retours entre mes lèvres, prête pour le prochain assaut.

À la cinquième pénétration dans ma gorge, j’arrive enfin à me contrôler : le passage de la luette se fait toujours avec une sensation très désagréable, mais je ne suffoque plus, et ma gorge accueille le gland de façon enfin apaisée. Je sens encore parfois des petites réactions de rejet, mais je parviens à les réprimer.

– Voilà, c’est très bien… bravo… je vais rester comme ça un moment : contracte ta gorge… ouii… tu sens la douceur de mon gland avec ta gorge ? Serre un peu… voilà…

Prudemment, j’enserre son gland tout en évitant à peu près les réflexes de suffocation.

– Bieen ! Tu sens comme il est élastique ?... Hmmmm… C’est boon… Continue…

Mais quand soudain il se met à faire coulisser, juste un tout petit peu, son gland dans ma gorge, de nouveau j’explose, je pleure, je bave, je tousse, j’éructe bruyamment. Il revient dans ma bouche mais bien sûr ne se retire pas.

– On va y arriver… ne te décourage pas… on progresse petit à petit. Tu t’en sors pas si mal, pour le moment… Allez, repose-toi un peu en me suçant avec tes lèvres.

Des images me reviennent à l’esprit, comme cette fois dans un sauna où un jeune barbu super mignon voulait m’enculer. J’hésitais car sa bite était énorme mais un mec aussi beau et avec une érection aussi forte, j’ai finalement pas pu résister. Il avait commencé à me pénétrer, mais la douleur était trop forte et je lui avais demandé d’arrêter. Par la suite ce souvenir m’a toujours beaucoup excité, et j’ai toujours regretté de n’être pas allé au bout. C’est en repensant à ça que je me mets à changer d’attitude : à peine ai-je retrouvé mon souffle que je m’avance de moi-même pour faire replonger son gland dans ma gorge, sans que ses mains sur ma tête ne m’y forcent.

– Hmmm … voilàaaa…. houiii… hmmmm… Doucement, doucement, comme ça, c’est bon… Habitue ta gorge par des petites contractions… voilà… Hmmm… ton cou est un délicieux vagin… hmmm, que j’y suis bien ! Continue… ouiii…

La présence de son gland dans ma gorge est toujours aussi incommodante, mais en même temps, je la désire, et quand il recule dans ma bouche, je ressens aussitôt un manque, un vide ! L’envie de combler rapidement ce vide annule totalement toute réticence.

Il ne parle plus, me laisse totalement mener la manœuvre. Ses mains sont toujours sur ma tête mais juste pour caresser mes cheveux, mon cou… plus du tout pour me forcer.

À un moment, il se met à pousser des soupirs et je sens alors un très fort changement de goût : un liquide salé me remonte sous la langue. Avec ses mains sur ma tête, il me force à enfoncer sa bite à fond et à la garder ainsi quelques secondes pendant qu’il se vide en haletant. Je sens son sperme visqueux s’écouler dans ma gorge et sous ma langue pendant que j’ai le visage collé dans ses poils pubiens.

Quand enfin il se retire lentement, des filets de sperme se forment entre ma bouche et son gland. J’ai la gorge toute endolorie et la mâchoire engourdie. À un moment une grande bulle de sperme se forme quand j’ouvre ma bouche. Je déglutis enfin avec peine ce liquide collant et salé et je ne recouvre que lentement toute mes facultés.

J’ai eu mal à la gorge pendant plus de deux jours après cela, mais c’est une douleur que je chérissais comme un souvenir qu’on ne veut pas voir s’effacer.