Ah La Campagne ! (1)
Ah la campagne ! (1)
Juillet 2011_ Je me présente André-pierre 55ans avec ma femme, Monique 63ans, nous sommes descendus passer trois semaines chez sa petite sur Corinne 60ans qui vient de prendre sa retraite et sinstalle définitivement en Bourgogne où elle possède une maison depuis plusieurs années. Quand nous arrivons Corinne me demande si je pourrai lemmener demain récupérer sa voiture qui est à la révision. Je lui dis que cela ne pose pas de problèmes et le lendemain en fin de matinée je la véhicule jusquau garage. Là ne voyant personne je la laisse et fais le tour pour déboucher dans une cour avec un très grand atelier dans lequel je pénètre. Je mapprête à appeler quand jentends des halètements et des gémissements. Sans bruit je mavance pour découvrir un spectacle qui me fait bander derechef : un type dune cinquantaine dannées légèrement bedonnant avec de petits seins de femelle, pantalon sur les chevilles, chemise ouverte est en train de se faire enfiler par un autre homme dune quarantaine dannées pendant quil baise une femme denviron quarante ans. Cette dernière est pliée en deux sur le capot dune voiture jupe relevée sur les reins.
Jai une trique denfer devant le spectacle et sortant ma queue je me branle en matant quand soudain Corinne arrive en mappelant. Les « baiseurs » tournent la tête et nous aperçoivent. Ils cessent aussitôt et je remballe ma queue. Corinne est toute rouge et me regarde interloquée. Tout ce petit monde se réajuste et le gars dans la cinquantaine vient vers nous en souriant. Jai encore la gaule et cela fait une bosse dans mon pantalon que le gars mate en souriant. Il tend la main à Corinne et lui dit : bonjour Mme D vôtre voiture est prête allons à mon bureau. Pendant quil séloigne avec Corinne encore rougissante lautre homme et la femme me disent au revoir au plaisir et séclipsent rapidement. Je reste dans latelier et un quart dheure plus tard le patron du garage revient en souriant puis mexplique que Corinne lui a dit quelle partait de suite et lui a demandé de me le dire.
Il est la chemise ouverte et en tout en me parlant il jette un il à la bosse de mon pantalon. Sans sourciller je baisse mon pantalon et sortant ma queue me tripote en lui souriant. Il ôte alors sa chemise et son pantalon apparaissant bandant et nu. Il tend la main et mattrapant la queue me branle, jen fais alors autant et bientôt il se retourne se plie en deux sur un capot de voiture et écarte ses fesses avec ses mains. Je mapproche et lenfile tout de go, il gémit et murmure : putain quelle bitte ! Excité je le bourre à grands coups quand soudain il râle et je sens son cul se serrer : il vient de jouir. Jaccélère et quand je sens que je vais jouir je sors ma queue et lui lâche tout sur les fesses et étale ensuite le foutre avec les mains. Pas un mot na été échangé jusque là quand se relevant il me dit moi cest Robert et toi ? Je lui réponds : moi cest André-pierre, il me tend alors de quoi messuyer et il en fait de même essuyant également le foutre quil a lâché sur le capot. Il ajoute alors : viens on va prendre un café et faire plus ample connaissance. Réajustés on va à son bureau et là il me demande ce quon dit Thierry et Fabienne, le couple avec qui il était, je lui dis quils ont pris congé très vite un peu gênés. Il sourit et on discute comme de vieux amis en prenant un café quand une cliente arrive chercher sa voiture. Il me laisse et part avec elle, je finis mon café quand il revient avec elle et me présente : Mme Olivier, puis il ajoute un ami : André-pierre. Elle prend congé et en riant il me dit que cest sur sa voiture quon a baisé. Il ajoute quen ce moment avec la période estivale cest calme puis sapprochant il me palpe la bosse en se caressant la sienne de lautre main. Jai un début de gaule et lui sort sa queue me la tend. Je le suce alors, il gémit et quand il bande raide il me dit de baisser mon froc, je mexécute, il me plie en deux au bord du bureau et ouvrant un tiroir sort un tube de gel et men tartine lillet. Il passe derrière moi et menfile avec un han de bucheron pour ensuite me limer lentement et profondément.
Il se met alors à me claquer les fesses en cadence quand soudain il sarrête se retire et se réajuste vite fait en me disant : habilles toi ! Vite ! On a peine fini quune femme rentre dans le bureau, la cinquantaine, grande, forte avec une très grosse poitrine un bon bide et un cul bien large sur des jambes fortes mais très galbées, le tout moulé dans une robe dété. Elle est montée sur des talons hauts, coiffée en chignon et porte de petites lunettes à monture noire. Elle me mate comme si jétais une friandise et souriant dit à Robert : tu ne nous présentes pas ? Robert sexécute : Odile ma femme, André-pierre un ami de Mme D, sa femme en souriant dit alors : un ami de Corinne ! Elle ajoute alors quil faudra quon viennent tous le deux prendre le thé. Puis elle demande à Robert si il sait où est son téléphone portable elle ne le trouve plus. Ce dernier sourit, ouvre un tiroir et lui tend en disant : tu las oublié hier soir, fais attention tu vas le perdre sinon ! Elle sourit et ajoute : ta secrétaire nest pas là ? Robert lui dit que vu le calme en ce moment elle a pris sa journée et que Michel, son mécano, est parti chercher des pièces. Elle prend alors congé en me disant jattends vôtre visite avec Corinne ! Robert me dit alors je lai vu entrer dans la cour pendant que je tenfilais, en théorie elle ne sait pas que je baise avec des mecs, comme en plus je ne la baise presque plus elle aurait fait un gros scandale. Je lui réponds que moi jadore les femmes comme elle sur quoi il me répond que si je veux la baiser je peux elle ne devrait pas dire non vu comment elle me matait et quil peut même maider. Il ajoute alors que Michel ne rentrera pas avec les pièces avant midi donc on va pouvoir, si je veux, remettre ca quand on veut. Je lui dis que pour linstant il va falloir que je rentre, je lui donne mon numéro et lui dit de mappeler puis je prends congé. De retour chez Corinne je trouve ma femme souriante qui me dit : alors bonne baise au garage ? Elle ajoute alors que Corinne lui a raconté et a trouvé bizarre que je me branle en matant.
Elle me dit alors quelle se doute que jai du rester pour en profiter. Je lui raconte et elle me palpe la bosse en disant mon salaud je toute excitée, viens baisons Corinne est partie en courses. A peine arrivés dans nôtre chambre Monique ôte sa robe dété, elle est à poil dessous comme dhabitude, elle baisse mon pantalon pendant que jôte ma chemisette et commence à me sucer. Je bande vite et comme un fou, elle se met à quatre pattes et me crie baises moi de suite ! Je lenfile et la baise longuement, elle a un premier orgasme puis un second quand nen pouvant plus je lâche tout, elle râle et on sécroule lun sur lautre. Quand ma bitte dégonflée glisse en dehors de sa chatte elle se lève et me dit : alors comme cela il na pas eu le temps de finir de denfiler ! Elle ouvre alors une valise et sort un gode ceinture en souriant puis ajoute : je ne pars jamais sans lessentiel ! Elle se harnache et sallonge en me disant de venir mempaler, je mexécute et mempale sur cette « bitte ». Je monte et descend, bientôt ma queue se gonfle à moitié et le gode me massant la prostate provoque une jouissance terrible avec quelques gouttes de foutre qui séchappe. Monique me tire en même temps les tétons en criant taimes ca hein gros salaud ! On sécroule alors extenués et on sembrasse à pleine bouche, Monique me dit alors : allons prendre une douche avant que Corinne ne revienne.
On se douche en se caressant mutuellement puis nous sortons de la douche, Monique regagne la chambre et comme je la suis nu dans le couloir la porte dentrée souvre, je me retourne pour apercevoir Corinne interloquée. Je suis à poil totalement lisse la queue molle mais encore gonflée, Corinne rougit, balbutie et disparait à toute vitesse dans la cuisine avec ses courses. Je ris et gagne la chambre ou en mhabillant je raconte à Monique ce qui vient de se passer. Elle rit et me dit cela ne peut lui faire que tu bien. Je lui propose alors un plan pour Odile, elle sourit et me dit que cest daccord.
Aussitôt elle ajoute habillons nous et allons déjeuner. Le déjeuner se passe tranquillement et Monique fait compliment à Corinne pour la qualité de certains plats, Corinne lui explique quelle se fournit directement à la ferme pour beaucoup de choses. Elle ajoute que si Monique le désire elle peut laccompagner cet après midi car elle va y chercher du lait, des ufs et une volaille. Monique acquiesce et me demande si je souhaite venir aussi. Je réponds que oui et nous passons prendre le café sur la terrasse. Là je fais ensuite une petite sieste quand dun coup Monique me réveille et me dit : tu viens on va à la ferme maintenant. Arrivés dans la cour une forte femme denviron 40ans vient vers nous embrasse Corinne qui fait les présentations, japprends ainsi que la fermière se nomme Laurianne. Je détaille la fermière qui remarque mon regard et quand je commence à bander en limaginant nue elle voit la bosse dans mon pantalon, elle dit alors à Corinne et Monique daller voir Raymond pour choisir la volaille. Elle me sourit alors et me dit : vous prendrez bien un café ? Je réponds : volontiers et la suis dans la maison, jai toujours la gaule à mater son cul en la suivant et elle le voit bien. Je massieds à son invitation et elle me sert un café et sassied à côté de moi. Elle a des bottes et je remarque que ses jambes sont poilues, cela mexcite, ma queue tend mon pantalon, elle le voit bien et sourit en ajoutant que si je veux me soulager elle va me montrer où sont les toilettes. Je la suis et arrivé aux toilettes je baisse mon pantalon libérant ma queue bien raide et je constate quelle est restée là à mater. Je me branle doucement en la regardant, puis je tends une main et caresse son cul, elle ne dit rien alors je glisse ma main sous sa blouse insinue un doigt dans sa culotte. Là elle marrête et me dit : pas maintenant ! Puis elle repart à la cuisine, jarrive à pisser et revient la queue plus calme. Corinne et Monique sont revenues avec Raymond qui me salue et elles me disent quelles ont tout et que lon peut partir. En retournant à la voiture Laurianne me murmure de revenir vers 18h. De retour à la maison je repense à Laurianne, Monique et Corinne saffairent en cuisine, jen profite pour méclipser dans le jardin impatient dêtre à 18h. Monique et Corinne me rejoignent pour prendre un café, je mate ma montre en douce, quand 17h30 arrive je dis à Monique que je vais faire un tour, elle sourit sans rien dire. Je débarque dans la cour et Laurianne sortant de la maison me fait signe de la rejoindre, elle me dit Raymond est à la traite il en a pour un moment. Elle menlace alors sauvagement en me disant : mon salaud tes drôlement costaud et elle membrasse fougueusement en me serrant, je lui tripote le cul puis ouvre sa blouse pour découvrir dénormes seins serrés dans un soutien gorge classique et une culotte genre mémère en coton blanc au dessus dune forte paires de cuisses bien fermes, musclées. Elle a les jambes poilues et du poil sous les bras ainsi quun duvet sur la lèvre supérieure et sur les bras. Tout cela mexcite tellement que je bande raide. Je baisse sa culotte pour découvrir une chatte et un pubis très poilus le poil descendant sur le haut des cuisses et montant en pointe vers le nombril. Pendant ce temps elle a baissé mon pantalon et tripote ma queue, elle me dit alors viens ! Elle ôte sa culotte complètement et blouse ouverte sallonge sur la table de la cuisine et écarte les cuisses, je magenouille et fourre mon nez et ma bouche dans cette forêt sentant la femme et lurine. Je lui fais alors un cunnilingus, décalotte son clito long comme une phalange de pouce et aussi épais afin de le sucer. Elle gémit et avec les mains me plaque la tête dans sa chatte velue. Elle dégouline et sa chatte se gonfle sous mes caresses manuelles et buccales. Je descends ma langue entre ses fesses et darde son illet poilu et très odorant. Dun coup elle jouit en serrant les cuisses à mécraser la tête. Je me relève et écartant ses cuisses avec mes mains je lenfile la queue raide, jai un peu de mal car sa chatte est gonflée et elle crie quand je suis complètement entré. Je la lime en me cramponnant à ses grosses cuisses, elle gémit râle fort. Jarrête de limer après mêtre enfoncé jusquaux ras des couilles en elle et je fais rouler entre deux doigts son clito tendu jusquà ce quelle hurle et serre fortement ses cuises en essayant dôter mes doigts. Je recommence alors à la limer à grands coups et alors quelle a encore un orgasme je décharge à grands coups de reins. Elle mattire alors sur elle et membrasse à pleine bouche tout en serrant ma taille avec ses jambes. Finalement elle desserre les jambes ma queue glisse hors de sa chatte, sans un mot elle me la suce, la lèche et quand elle est luisante elle me dit en souriant : voilà tes tout propre. Du foutre coule entre ses cuisses, elle lessuie avec le bas de sa blouse puis me dit : cétait bon, je nai pas souvent loccasion de jouir comme ça, jaimerai quon se revoit. Elle remet sa culotte et ferme sa blouse puis membrasse à nouveau à pleine bouche en me serrant fort et en me tripotant le paquet avant de me dire : vient demain matin Raymond sen va amener des bêtes à labattoir il ne rentrera pas avant le milieu de laprès midi. Je lui donne mon numéro et lui dis de mappeler si il ya un contretemps. Je rentre tout excité en repensant à ce corps velu, ce bide, ses gros seins ce cul gros ferme et ses imposantes cuisses fermes et musclées ainsi quaux odeurs très animales quelle dégage. Jai hâte dêtre à demain.
admin
Jan. 31, 2023
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