Hélène : La Contre Visite : Deuxiéme Partie
Hélène : la contre visite : deuxième partie
Nous passons dans le salon de Mél. Au milieu, trône un objet bizarre, dont je ne reconnais que le pied de guéridon.
Cest quoi ce truc ? fais-je en questionnant Hélène
Cest un meuble anglais
.
Comment ça ?
Cest fait pour exposer une femme ! Dailleurs, Mel montre- lui !
Ma maitresse laisse tomber sa veste, puis trousse sa jupe sur ses hanches, dévoilant ses cuisses et ses jarretelles
Elle sallonge sur le plateau central, place son menton sur un ressaut de bois. Son bassin est légèrement surélevé, cambrant ses reins et sa croupe. Elle écarte ses cuisses et les cale dans deux supports.
Soumise, elle passe ses mains dans le dos, liant ses doigts.
Hélène me pousse doucement vers la structure en bois.
- Approchez.
Elle me prend par le poignet et me tire vers le chevalet.
- Regardez comme Mel est bien installée, et comme elle est complétement disponible.
Elle me fait magenouiller face au visage de ma blonde, et elle glisse son index entre ses lèvres. Elle fait aller et venir ses phalanges.
- Vous voyez : bonne bouche.
Elle glisse ma paume dans son soutien-gorge. Je câline le téton dressé. Mel soupire.
Puis, elle fait pivoter le meuble. Jai une vue directe sur lentrejambe écartelée de la belle. Elle pose ma main sur la peau de la cuisse au-dessus des bas provoquant un frisson de ma séductrice.
- Elle mouille déjà, remarque Hélène en désignant une tache humide à lempiècement de la culotte.
Elle se colle dans mon dos. Elle appuie sa main droite contre mon bedon et glisse lautre sous mon pull, jusquà ma poitrine. Sa bouche contre mon oreille, elle murmure.
- Vous en avez envie. Cest bien ça que vous êtes venue chercher ?
Je ferme les yeux. Je mimagine attachée, ouverte, impudique.
- Oui, cest ce que je veux. Liez-moi, faites de moi ce que vous voudrez, je suis à vous.
- Mel, descend, sil te plait et aide moi. demande-t-elle en faisant voler mon pull au-dessus de ma tête.
Pendant ce temps, ma maitresse blonde fait glisser ma jupe. Je suis maintenant fesses nues. Elle dégrafe mon soutien-gorge et accompagne sa chute en soutenant mes mamelles.
- Mettez vos mains derrière la tête sil vous plait, et elle continue.
- Vous êtes plutôt bien foutue.
- Vous vous moquez, jai les nib trop gros et en plus ils tombent. Tout comme mes miches.
- Ils se tiennent très bien, et puis à nos âges, les tissus se relâchent un peu, déclare Mel.
- Et puis vous êtes délicieusement pulpeuse. On va bien jouer avec vous, conclut Hélène, en bouclant un épais collier de cuir sur ma nuque.
Jenjambe le chevalet et je me dispose comme létait Mel, il y a quelques minutes. Elles me bloquent la nuque dans une minerve, puis elles minstallent sur le meuble. Elles règlent le support sous mon menton pour relever ma tête.
Hélène sinstalle confortablement dans un fauteuil, me laissant aux bons soins de Mél.
Une sangle serre ma taille sur le coussinet et me cambre. Elle coince mes jambes dans les goulottes, puis replie mes mollets contre mes cuisses et les lie. Mel me présente un bâillon à boule, percé de quelques trous daération.
- Tu ne voudrais pas déranger les voisins! fait-elle en bouclant les lanières sur ma nuque.
- En fait, vous avez un cul tout à fait fouettable, me susurre mon initiatrice brune.
- Et tout à fait enculâble aussi ! renchérit ma maitresse blonde.
Elle tient en main un crochet, muni dun gland dacier.
- Tu sais ce que cest. Inutile de te lexpliquer, nest-ce pas ? et elle continue.
- Tu es daccord ?
Bâillonnée, jacquiesce dun battement de paupières.
Mais non, cest une caresse râpeuse qui cajole mon anus. Je me détends, une langue friponne passe le barrage de mon sphincter, et lassouplit. Je plane. Elle se retire. Je me sens frustrée, mais ça doit être le but.
On pousse le gland dacier contre mon muscle intime, il résiste, puis cède. Je suis enculée. A ma grande surprise, je ne ressens aucune douleur, seulement la sensation dêtre envahie. On attache le crochet à lanneau arrière de ma minerve. Sous la tension, le leurre bascule légèrement sur lavant. La boule métallique appuie sur la paroi séparant mon vagin de mon rectum. Cest surprenant, mais pas douloureux.
Je rouvre les yeux. Mel ma placée en face dun miroir. Je suis troussée comme une volaille. Mon cou est coincé dans le collier, ma bouche déformée par le bâillon nest plus quun liseré rouge autour de la boule noire. Ma fente, mon illet sont exposés, disponibles pour tous les sévices, comme tous les plaisirs. Mes seins pendent attendant les pinces, ou le fouet, ou les deux à la fois.
Il y a un mois, je matais la chair blanche dune cuisse féminine, à travers la fente dune jupe, au-dessus dun bas, fantasmant sur des caresses lesbiennes. Et maintenant, pour la première fois, je vais livrer mon corps de mature opulente à tous les excès de mes deux maitresses.
Mel
Voilà, elle est prête. Anne-So fait partie de ces femmes dont le corps est fait pour la lingerie. Mais aussi pour les liens et le bondage. Le meuble anglais met en valeur son physique pulpeux, en particulier ses seins lourds. Je masse son téton gauche. Il se gonfle. Jétends mon massage à toute sa mamelle. Lauréole rosit. Puis je lembouche, et je le suce et laspire. Un petit soupir me répond.
Je coince son mamelon entre mes deux canines. Je la mordille doucement avec les pointes de mes dents.
Je lui présente les pinces à picots. Elle émet un « hon hon » effrayé. Mais je men moque. Je saisis son téton gauche. Jenserre le mamelon entre les deux mâchoires dentelées. Je serre. Je lis la peur, puis la douleur dans son regard. Je vois leau monter dans ses yeux. Je marrête. Je lui montre lautre pincette. Elle baisse les paupières, elle accepte son supplice. Je comprime le mamelon gauche. Elle geint doucement, ses mains liées dans son dos sagite frénétiquement. Puis elle se calme.
Je pivote le meuble pour la placer en face du fauteuil occupé par Hélène. Je me place derrière le compas ouvert de ma suppliciée. Anne So a un cul magnifique, un peu plus gros que le mien. Je pose la main dessus. Sa peau est douce comme de la soie, ses miches sont grasses, mais sans marques de cellulite. Ca va être un vrai plaisir de rosir ce croupion.
Avec le manche du martinet, je frotte ses lèvres intimes et jouvre son sexe. Il baille légèrement, laissant apparaître sa nacre intime. Je caresse avec mes lanières son croupion insolent, elle frissonne, et par reflexe resserre ses fesses, ce qui entre-ouvre légèrement sa chatte. Un mince filet de liqueur coule le long de ses nymphes.
Cest la première fois que je fouette une femme depuis Hélène. Et cest surtout la première fois dAnne-So. Je ne dois pas la décevoir. Puis je me souviens des conseils de Pierre : y aller progressivement, par courtes séquences, et juger de leffet produit.
Je lance une première cinglée, appuyée juste ce quil faut, en plein milieu de ce si beau cul. Elle tressaille. Je marque une pause, puis un double aller en retour. Elle gigote comme pour séchapper, ses doigts sagitent, peut-être pour se protéger. Quelques lignes roses se dessinent sur sa chair blanche. Je la laisse se reprendre.
Je surprends le regard de mon initiatrice, dun battement de paupière, elle approuve ma méthode. Je relance mon bras.
Anne-So
Le premier coup ma plus surprise quendolorie, mais la rafale qui a suivi ma marquée. Je sens le sang affluer vers ma peau sensibilisée. Jappréhende la suite. Une série de quatre coups frappe alternativement ma fesse droite et ma fesse gauche. Un arrêt, et cest une autre série qui me chauffe le cul. Je me cabre, et jagite le leurre qui envahit mon cul, je fais balloter mes seins déjà martyrisés, je geins. Elle sarrête, je ressens mes pulsation sanguines battre sous ma peau sensibilisée. Pire encore, je sens le sang pousser dans mes mamelons, comme sils voulaient se gonfler malgré les pinces.
Ma chatte souvre, laissant échapper ma cyprine. Cest incroyable, je mouille sous le fouet.
Une pause, jentends ma bourrelle reprendre son souffle. Elle me fouille, je mouvre, mon clitoris se gonfle. Je vais jouir quand Mel stoppe son branlage.
Shlac... Shlac... Un aller-retour percute mon pauvre cul. Et sans attendre, elle cingle ma chatte largement ouverte. Une lanière atteint mon bourgeon en érection. Jhurle sous mon bâillon.
Deux cinglées à la volée achève mon pauvre cul. Je pleure. Je nen peux plus.
Mes fesses et mes cuisses me brulent, je sanglote. Et pourtant, je coule. Serais-je capable de mouiller de douleur ?
Mél fait rouler le meuble vers le fauteuil dHélène. Celle-ci se lève, et se débarrasse de sa robe, puis de sa culotte. Elle se rassoit, et passe ses jambes au-dessus des accoudoirs. Elle souvre sans pudeur. Malgré la lumière tamisée, je distingue parfaitement son clitoris érigé, et percé, et ses lèvres annelées.
Derrière ma nuque, ma bourrelle relâche mon bâillon et elle men débarrasse. Elle me pousse vers le sexe impatient de sa maitresse. Elle mincline, posant mes lèvres sur le con offert.
Un mandrin se présente à lentrée de ma vulve. Je me cabre, surprise. Je soupire, au moins, je ne serai plus fouettée. Le gode continue sa progression. Ma baiseuse me saisit aux hanches, et mon autre tribade glisse ses doigts dans ma chevelure et plaque ma bouche sur sa cramouille.
Le leurre ne bouge plus, on me laisse le temps de mhabi à sa présence. Le gland appuie sur la boule du crochet. Je suis sollicitée des deux côtés. Lodeur de la chatte dHélène menivre.
Mel se recule avec douceur, puis savance, poussant à chaque fois la bille dacier. Les deux côtés de mes membranes internes sont bousculés, stimulés.
Elle marque une courte pause. Les mains de la belle mature brune se glissent vers ma chaine, et la tirent vers elle. Elles desserrent les pinces avec douceur. Le sang qui reflue gonfle douloureusement mes tétons. Elle les masse du bout de doigt. Après quelques instants de tripotage, je sens une douce chaleur les envahir. Mais elle mabandonne.
Je replonge mon visage vers ses lèvres gonflées, je les mâchouille. Puis je happe son clitoris. Derrière, à lautre bout de mon corps, ma baiseuse recommence son pistonnage. A chaque avancée, mon vagin et mon rectum sont stimulés simultanément. Le priape de plastique heurte à chaque fois lacier du crochet. Mon sexe et mon cul menvoie des ondes de chaleur qui se mélangent au picotement de mes seins.
Les allers-retours saccélèrent, Mel me baise sans pitié, avec brutalité. Je ne suis plus que de la viande à baiser, et pourtant jaime ça. Je suis excitée de partout, mon plaisir monte. Je perds la tête. Je vais exploser.
Hélène est en train de partir sous mes caresses linguales, ses doigts sagitent, puis se crispent dans ma chevelure, elle halète de plus en plus fort. Dans un spasme, elle plaque mon visage sur son con et minonde la bouche. Elle part dans un grand râle. Elle métouffe, je ne peux plus respirer. Je perds pied, et je jouis en me cambrant dans mes liens, mon bonheur fait écho au sien.
Lorgasme ma terrassée. Je pends sur le meuble comme un animal épuisé.
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!