La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 44)
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
2- Les débuts de leeny au château -
(suite écrit par Lenny)
La jeune femme resta immobile, patiente. Elle le devait, elle le savait, car elle ne devait pas désobéir à Ses ordres. Il avait le pouvoir absolu sur elle. Il lui avait dit « Pas bougé ! », elle ne bougerait pas. Ainsi, elle se retrouvait à quatre pattes, dans sa niche, le cul à lextérieur et bien tendu. Elle attendait sa sentence qui, elle le savait, ne viendrait pas maintenant. Car Il aimait la faire attendre, la faire languir. Au bout dun moment, elle perdit la notion du temps. Cela devait faire une heure quelle navait pas changé de position, tous ses membres étaient engourdis et la faisait souffrir. Soudain, elle eut un doute. Et si cétait cela, sa punition ? Rester à quatre pattes dans sa niche ? Une vague de déception lenvahit et sa position saffaissa quelque peu. Elle aurait imaginé plus sévère, plus douloureux. Car elle avait commis une faute grave, presque impardonnable. Non ! Elle ne devait pas baisser les bras. Son Maître ne la laisserait pas sen sortir aussi facilement, elle le savait. Petit à petit, elle reprit espoir et corrigea sa position, les fesses offertes à lextérieur, le reste de son corps dans sa niche. Une demi-heure passa, mais elle gardait toujours espoir. Soudain, un coup violent sur sa fesse droite lui tira un cri. Un autre sabattit sur la gauche. Elle retint, cette, fois, son gémissement et esquissa un sourire. Son Maître était là, elle sentait sa poigne de fer, quelle reconnaîtrait entre mille, sur ses fesses.
* Sors de ta niche, sale chienne. Et viens prendre ta punition.
Elle sortit à reculons de sa niche, le sourire toujours aux lèvres.
* Mais cest quelle aime ça la petite salope !
Il la mit à genoux, empoigna sa chevelure bouclée et abattit son fouet sur lun de ses seins. Le sourire de la soumise sestompa. Elle resta agenouillée, sagement, pour ne pas mettre son Maître, le Marquis dEvans en colère.
* Je vous prie de me pardonner, Maître.
* Ne tinquiète pas, chienne, tu auras le temps de demander pardon.
Elle savait que cela signifiait que la punition continuait. Et cette pensée fut confirmée lorsquelle vit dans quelle salle ils se trouvaient. Des crochets au plafond, des barres de métal, des machines toutes plus complexes et énormes les unes que les autres, malgré lhygiène parfaite de la salle de punition, il en ressortait une aura terrifiante. Au fond de la salle, il y avait une dizaine de magnifiques cages en fer forgé, fabriquée par un ami artisan du Marquis dEvans. Une nouvelle y avait été ajoutée à larrivée de la soumise Leeny.
* Entre dans ta cage, petite chienne. Je vais dans mon bureau méditer sur la suite de ta punition.
Le Marquis claqua des doigts, une jolie esclave blonde apparut, vêtue uniquement dun collier en velours rouge.
* Emmène la pâtée à ta chienne de sur.
Elle hocha docilement la tête et se retira pour réapparaître cinq minutes plus tard, une gamelle en argent dans les mains, où lon remarquait linscription « esclaveLeenyMDE ». Malgré sa punition, la soumise fut émue de constater que le Maître laimait toujours et ne lui servait pas sa pâtée dans une vieille gamelle en métal, comme elle le pensait au début. Elle devait savouer que chaque jour elle découvrait un nouvel aspect de son Maître, et chaque jour, elle laimait plus encore. Sa pâtée devant elle, la soumise se mit à manger, bénissant son Maître de lui offrir ce délicieux repas. Une fois quelle eut happé toute la pâtée, la belle esclave réapparut comme par enchantement et versa dans la gamelle des croquettes pour chien.
* Le Maître ma ordonné de te servir ceci. Cela fait blanchir les dents et en renforce lémail. Je reviendrai quand tu auras finit pour te brosser les dents.
* Je remercie infiniment notre Maître.
* Je le sais, répondit lesclave avec un sourire.
Et elle se retira à nouveau. Esclave Leeny se remit à manger. Elle ne savait même plus déterminer à quel point elle aimait son Maître. Il était si prévenant, si attentionné, malgré la faute impardonnable quelle avait commit. Elle regrettait tellement ce quelle avait fait ! Comment avait-elle osé lever la voix sur Son Cher Maître ! Cétait insensé. Et le fait quelle soit nouvelle ne lui pardonnait pas cette grave erreur, elle en était consciente. Rien ne pouvait pardonner cette erreur, et même la punition que Son Maître nallait pas tarder à lui donner ne suffirait pas. Elle sen voudrait toute sa vie davoir fait cela. Une larme coula sur sa joue. Son Maître tant aimé, tant admiré, elle avait levé la voix sur lui, et il était toujours aussi bon avec elle.
* Maître ma également ordonné de te nettoyer.
Lesclave se mit à luvre. Au travers des barreaux, elle lava les dents de sa sur. Et quand celles-ci furent blanches et propres, elle sattaqua au corps de la chienne enfermée. Elle suivit les ordres de son Maître : « fais en sorte de bien lexciter, mais pas trop ». Elle insista donc sur le clitoris et les tétons de sa sur. Elle utilisa sur ces derniers la brosse avec laquelle elle frotta fort, comme lui avait indiqué son Maître. Puis elle disparut un instant, laissant la bassine sur place, et réapparut avec un tuyau. Elle se mit à nettoyer lintérieur du cul de la chienne. Quand tout fût bien propre, elle disparut comme elle était venue, laissant une chienne pantelante et excitée. Le Maître fit Son entrée un court instant plus tard.
* Bien, ma petite salope. Tu es maintenant bien préparée, jen suis ravi.
* Oui, Maître.
Le Marquis dEvans ouvrit la cage et laissa sortir la chienne. Celle-ci sextirpa gracieusement de sa prison dans une démarche féline. Elle était maintenant habituée à marcher à quatre pattes, et ce grâce à son Maître. Elle en était très fière. Maître attacha ses bras à des liens pendu au plafond, ainsi que ses chevilles, de manière à ce quelle soit suspendue à un mètre du sol, face contre terre. Seule une barre de métal verticale qui jaillissait du sol maintenait succinctement son ventre. Elle devait rester ainsi, en équilibre, contractant ses abdos, ses bras et ses jambes pour ne pas laisser son corps flancher. Après avoir placé deux pinces munies de petites boules en guise de poids sur les tétons de la soumise, Le Marquis reprit ses séries de flagellation.
Elle pria pour que le Marquis ne sen rende pas compte, car une punition ne devait pas être plaisante. Elle endura ces coups sur tout son corps durant plus dune demi-heure. « Elle est résistante, cest une bonne chienne », pensa le Maître. Il sarrêta enfin. Une fois de plus, la chienne retint son soupir de soulagement. Aucun son ne devait sortir de sa bouche, elle en était consciente. Il fit coulisser les cordes qui maintenaient les chevilles de manière à ce que les pieds de la soumise se retrouvent à plus de deux mètres du sol, puis il détacha les poignets de la chienne. Elle se retrouva donc la tête à en bas, ses longs cheveux ondulant jusquau sol. Le Marquis savait quil ne pouvait la laisser longtemps ainsi, aussi commença-t-Il tout de suite à faire ce quil avait prévu. Il abattit quelques coups de fouet pour samuser du tortillement de ce corps déjà strié de marques rouge. Quelque petites plaies cétaient ouvertes sur les fesses rebondies, lendroit où Il avait le plus insister. Il immobilisa le corps de la chienne, qui tournoyait sur lui-même, en attachant les bras à deux anneaux fixés sur le sol. Puis Il ordonna à une autre chienne de lui apporter un siège. Il sassit devant la bouche renversée de la punie.
* Ouvre la bouche, petite chienne, et viens donc prendre ton dessert.
Elle ouvrit docilement la bouche, mais le Maître se recula et attrapa les cheveux de la chienne.
* Je nai rien entendu.
* Merci, mon Maître adoré, pour cet appétissant dessert que vous moffrez. Permettez-moi de prendre en bouche votre magnifique verge, sil vous plait Maître.
* Jaime mieux ça. Prends petite salope, et régale-toi.
Elle se lécha discrètement les babines et commença à sucer. Elle se régalait, effectivement. Car cétait toujours un plaisir pour elle de goûter à Son sexe, si gros et si bon. Mais ce quelle aimait le plus, cétait les gémissements de plaisir de son adorable Maître. Elle aimait savoir quil appréciait son pompage de queue. Elle lécha, suça, mordilla, sentant le vit tendu buter contre le fond de sa gorge. Sa position ne laidait pas vraiment, car elle aurait voulu lui caresser les boules, le masser pour lui donner davantage de plaisir. Mais cest ainsi que son Maître voulait quelle le suce, alors elle le sucerait ainsi. Elle sentit la verge de Maître gonfler et grandir entre ses lèvres. Mais elle savait que ce nétait pas fini. Car le Marquis dEvans prenait beaucoup plus de temps pour se lâcher, prolongeant ainsi la punition. Mais au bout de quelques minutes, elle commença à se sentir mal. Elle ne sentait plus pieds ni ses jambes et avait de plus en plus chaud. Heureusement, son Maître sen rendit compte bien assez tôt. Et prévenant comme Il était, Il la fit détacher par deux esclaves mâles. Elle se retrouva alors agenouillée entre les jambes de son Maître, là où était sa place, les poignets liés par un sparadrap noir luisant, les petites boules pendant à ses seins, et retourna à son ouvrage.
Mais Le Marquis larrêta, Il avait prévu autre chose. Il lui donna deux petites claques au visage et empoigna sa laisse. Il la guida jusquà la table et la fit monter, sans quelle ne se lève, comme une chienne devait monter sur une table. Aussi eut-elle beaucoup de difficulté, car elle nétait pas habituée. Enfin, à quatre pattes sur le meuble, Il appuya sur sa tête, lui indiquant de mettre sa croupe en lair. Il la fouetta encore dix fois sur chaque fesse. Ces dernières étaient rouges sang, au grand plaisir du Marquis. Il enleva alors le sparadrap autour des poignets de la jeune esclave et les lui attacha derrière le dos. Il se plaça à lextrémité de la longue table, Son Vit posé dessus. Lesclave femelle rampa vers son délicieux dessert. Une fois devant, elle attendit lapprobation de son Maître, observant avec appétit la longue verge tendue comme un chien observerait une belle et grosse saucisse quil sapprêterait à déguster. Il lui donna une tape sur la tête, lui octroyant ainsi Son accord. Elle lécha donc le dessus de Son Sexe avant de lattirer, à laide de sa langue, dans sa bouche.
* Cest bien, petite chienne, tu deviens obéissante, je suis fière de toi.
« Si seulement toutes les punitions pouvaient être ainsi », pensa la chienne tout en se régalant de son dessert.
Elle était si heureuse davoir un Maître comme le sien. Il était si attentionné avec elle. Elle se concentra sur son uvre. A son grand désarroi, le Marquis dEvans resta silencieux. Il faut dire quelle ne pouvait pas lui procurer autant de plaisir quavec ses mains. Mais si son Maître ne gémissait pas, cest quil naimait pas. Et sont devoir desclave était de faire plaisir à son Maître. Elle y mit donc encore plus dardeur. Sa langue tournoyait autour du gland, sa gorge souvrait davantage. Enfin, elle entendit un râle rauque sortir de La Bouche du Marquis. Elle se sentit alors comblée. Et se sentiment de bonheur samplifia davantage lorsquelle sentit, enfin, un liquide chaud et épais se déverser dans sa bouche. Son dessert. Elle le dégusta, heureuse.
* Tu aimes ça, ma salope, hein ?
* Oui, Maître, jaime ça.
* Je sais. Et tu as de la chance, aujourdhui jétais de bonne humeur. La prochaine fois, la punition sera bien pire ! Tes petits orifices souffriront tellement que tu ne pourras te lever avant trois jours.
* Merci, Maître.
* Bien, maintenant, au panier. Tu y resteras toute la nuit. Ainsi, tu pourras réfléchir à ton acte et à ta condition desclave. Tu te rendras alors comptes quil y a une façon de parler à son Maître. Et demain, du me nettoieras de ta bouche tous les sexes de tes dix-huit frères. Nous avons sept couples dhomosexuel qui nous rendent visite demain après-midi, et je veux que tes frères soient parés pour cette occasion. Ainsi, ta seule nourriture demain sera les sauces de tes frangins.
* Oui Maître, merci, Maître.
Il lui tapota la tête avant de la faire descendre de la table en la tirant par la laisse. Il la guida jusquau grand panier noir de la salle à manger, détacha sa laisse, retira les pinces sur ses tétons et la laissa là, excitée et insatisfaite. Elle se frotta douloureusement les tétons ainsi que le reste de son corps, sinstalla et se roula en boule. La dernière pensée qui soffrit à elle fut limage de la magnifique verge de son Maître. Puis elle sendormit, le cur débordant damour pour son bien-aimé Maître, le Marquis dEvans.
(A suivre
)
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