Eléonore, Dossier Brûlant

L’escapade avec Jean-Claude date déjà de plusieurs semaines et, depuis, il n’a pas donné le moindre signe de vie. Tous les soirs, je me précipite sur mon ordinateur pour voir s’il n’a pas posté un message et, tous les soirs, c’est le même regret : toujours rien. Jusqu’à ce soir. En effet, il m’écrit qu’il a prévu une soirée samedi soir et que j’y suis prestement invitée. Il me demande de le rejoindre chez lui vers 19 heures avec la tenue achetée ensemble.
Je ne me fais aucune illusion quant au genre de soirée envisagée et je dois dire que cette pensée fait monter en moi une chaleur excitante. Mais avant tout, il me faut une excuse pour Thierry, mon mari.
« Chéri, samedi soir, on fait une sortie entre copines, ça ne te dérange pas ? ».
« Non, aucunement. De toute manière, il y a un match à la télé et comme je sais que tu n’aimes pas le foot, tu peux y aller ».
Le samedi arrive et, après avoir embrassé mon mari, je me rends chez Jean-Claude. Arrivée chez lui, je suis surprise qu’il est seul mais il me dit que sa femme est chez sa mère malade et que la soirée ne se passe pas chez lui.
« Tu as mis ta tenue ».
« Il ne me reste que le bustier. Je ne pouvais pas m’afficher ainsi devant Thierry ».
« Alors fais vite et pas besoin de mettre quelque chose dessus, ce n’est pas fait pour être caché » sourit-il. « Tu es très bien comme ça, tu vas faire un sacré effet ce soir ».
Juste le temps de jeter une veste sur mes épaules que nous voilà en voiture. Jean-Claude n’a pas voulu me dire où nous allons. Nous sortons de la ville et, après quelques kilomètres à travers la campagne, il emprunte une petite route qui nous mène devant un grand portail en fer forgé ouvert. Il remonte l’allée bordée d’arbres et arrive devant le perron d’un petit château. La voiture à peine arrêtée qu’un domestique en livrée s’avance et ouvre ma portière. Je suis stupéfaite par ce cérémonial et nous sommes conduits dans un grand hall où attend un homme d’un âge avancé, en fauteuil roulant.


« Bonsoir Jean-Claude, il me pressait de vous voir ».
« Bonsoir Monsieur le Comte. Je vous présente Eléonore, l’amie dont je vous ai parlé ».
« Bonsoir Madame » dit-il en avançant son fauteuil et en me baisant la main. « Je me présente, Charles Albain, Comte de Ferron ».
Intimidée, je bredouille d’une voix inaudible « Bonsoir Monsieur le Comte ».
Dans un sourire, il réplique « Ne vous formalisez pas, cela va aller. Nous allons passer au salon où nos invités nous attendent ». Le domestique ouvre une porte et nous entrons dans une pièce où se tiennent cinq messieurs d’une bonne cinquantaine d’années. Devant ma mine interdite, Monsieur le Comte me tranquillise « Ne vous inquiétez pas ma chère Eléonore, Jean-Claude a insisté pour que vous l’accompagnez à ce dîner d’affaires et, comme vous le savez, la majorité des affaires se traitent entre hommes. Venez, je vais vous présenter à chacun ».
Il y a là un fondé de pouvoir, un PDG d’entreprise, un notaire, un avocat et un banquier. Après les présentations, nous avons droit aux apéritifs et à des discussions auxquelles je ne comprend rien mais je peux voir les regards détournés qui se posent sur moi. Le champagne et la chaleur qui règne dans la pièce me font monter le rouge aux joues et Monsieur le Comte me propose d’ôter ma veste. Dans un premier temps, je refuse poliment mais après un moment, je n’y tiens plus et je l’enlève. Mon bustier zippé avec mes seins prêts à jaillir, ma jupe à mi-cuisses sur des bas résilles et une paire de talons hauts font un effet tonitruant. Tout le monde reste sans voix. Nous passons alors à table. Le dîner se passe avec toujours les mêmes sujets de conversation et je me demande pourquoi Jean-Claude m’a emmené ici. Avec l’alcool, je peux voir le regard des convives se faire plus insistant. Le repas étant terminé depuis un certain temps, Monsieur le Comte annonce, sous les cris de joie et les applaudissements des invités :
« Après cet excellent repas, nous allons passer aux choses sérieuses en occupant du dossier que Jean-Claude nous a amené ce soir.
Eléonore, ma chère, vous allez nous faire profiter de toute l’étendue de vos talents dont j’ai pu profiter en visionnant un petit film et qui, à en croire notre ami commun ici présent, sont multiples.
Assommée, je ne sais comment réagir. Tous ces hommes mûrs ne sont là que pour me baiser. Et bien, si ils croient que je vais reculer, il se trompent. Ils veulent de la chair fraîche, ils vont en avoir. D’un air dédaigneux, je leur lance :
« Que dois-je faire pour satisfaire ces messieurs ».
Pris à leur piège, il ne savant comment réagir c’est Monsieur le Comte qui prend les choses en main.
« Ma chère, veuillez monter sur la table pour que nos amis puissent mieux vous apprécier »
Je m’exécute et, une fois là-haut, toujours selon les souhaits du maître des lieux, je tourne sur moi-même, je m’exhibe, je montre mon string qui cache à peine ma fente. Le manège excite l’assistance et quelques-uns se massent l’entre-jambes au travers leur pantalon. Monsieur le Comte me demande alors de descendre puis et dit :
« Mes amis, je crois que notre chère Eléonore aimerait en savoir un peu plus sur vous ». Il n’en faut pas plus pour que l’ensemble des protagonistes se retrouvent le pantalon et le slip sur les chevilles, avec le sexe en l’air, bien dressé.
« J’ose espérer que cela vous comble, chère amie mais je pense que ces messieurs attendent que vous leur montriez une partie de vos talents. Venez, notre bonne fée va s’occuper de vous ».
En file indienne, les hommes s’approchent. Je m’agenouille mais Monsieur le Comte m’arrête.
« Non, non, pas à genoux mais accroupie que je puisse prendre du plaisir moi aussi ». Obéissante, je m’accroupis, les jambes écartées. Je peux sentir le tissu de mon string entrer entre les lèvres de mon sexe. Je jette un regard à Monsieur le Comte qui sourit et me dit que cette position est parfaite. Je commence alors à sucer chacun d’eux. L’avocat : une courte queue mais épaisse que j’ai un peu de mal à prendre en bouche ; le fondé de pouvoir : une petite bite dans tous les sens du terme que je gode jusqu’aux couilles, petites également ; le banquier : au sexe bien proportionné que je lèche des bourses au gland ; le PDG : avec un grand sexe tout fin à qui je mordille le gland ; le notaire : à l’énorme membre par la dimension et la grosseur.
Je ne lui suce que le gland, ne pouvant enfourner plus et enfin Jean-Claude qui participe également et dont je connais le sexe par cœur. Après quelques minutes de cette mise en bouche, Monsieur le Comte me demande de me relever et de retirer mon bustier qui libère mes seins. Puis il me fait asseoir sur le bord de la table, m’allonger et écarter les cuisses, tenues par l’avocat et le notaire. Monsieur le Comte s’approche et écartant mon string, passe sa langue sur mes lèvres. Il me titille le clitoris ce qui a pour effet de noyer ma chatte. Je ne peux me retenir de jouir. Jamais personne ne m’a bouffé la chatte comme ça. Complètement soumise, il introduit dans ma fente, un puis deux doigts et continue jusqu'à ce que sa main entière disparaisse dans mon trou. Ces va-et-vient me font pousser des cris de plaisir. IL se retire et c’est alors tous les mâles en rut qui assistaient au spectacle qui entrent en action. Ma mini-jupe et mon string s’évaporent et ce ne sont que des mains qui me tripotent la chatte, les fesses, me pelotent les nichons à m’en faire mal. Je me retrouve avec une bite dans chaque main, une dans la chatte et une dans la bouche. Je tourne la tête pour tomber sur une autre qui s’enfonce dans ma gorge. Je suis prise et reprise. Puis Jean-Claude, après m’avoir dilaté la rondelle, me met à quatre pattes et m’enfonce son pieu dans mon cul . Je jouis et mes cris déchainent ces messieurs. Tout à coup, le notaire se couche à terre et je me retrouve empalée sur son énorme braquemart, les fesses en l’air. L’avocat se place alors derrière moi et, petit à petit, pénètre mon anus de son gros chibre . Je n’ai jamais rien reçu de pareil dans mon cul et ses coups de boutoir me font m’empaler à chaque fois sur l’autre bite. Malgré le sexe du banquier dans ma bouche, je hurle de plaisir à percer les tympans de l’assistance. Après avoir été prise en sandwich plusieurs fois, il se réunissent autour de moi et, après s’être astiqué le membre, me déverse leur foutre sur le visage, dans la bouche, sur mes seins.
Je suis noyée de sperme mais j’adore ça.
« Malgré mon impuissance, j’ai joui d’un spectacle peu commun. Je n’avais jamais vu une femme prendre autant de plaisir que vous, chère Eléonore. Ma douche est à votre disposition ».
Après m’être douchée et dis au revoir à notre hôte, Jean-Claude me raccompagne. Arrivés près de chez moi, il me tend un paquet renfermant le DVD.
« Tu peux le garder si tu veux. Après cette soirée, je n’ai plus peur de rien. Tu m’as ouvert les yeux et je suis à ta disposition pour d’autres réjouissances » dis-je en sortant de la voiture et le laissant bouche-bée.

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