Rafik, Directeur De Lycée Première Partie: Zahia, Prof De Physique / Chimie
- Demain matin, tu viendras me rejoindre au chalet ! Et tu moffriras ton gros cul !
- Ça ne va pas ! Je ne veux pas être enculée ! Je lai refusé à mon mari, je ne vais pas laccepter de toi !
Jétais encore allongée sur le dos sur le bureau du directeur, les jambes relevées repliées de part et dautre de ma poitrine, toute mon intimité offerte au regard concupiscent de Rafik qui appuyait sur mes cuisses relevées pour mobliger à maintenir la position. Il nen avait pas fini avec moi, mavait-il dit, après mavoir fait jouir comme une folle, deux fois de suite. Je venais pour la première fois de ma vie de femme mariée et de mère de famille, de tromper mon mari. Avec mon directeur de lycée. Et je néprouvais aucun sentiment de culpabilité. Bien au contraire, jétais heureuse. Je venais de vivre un moment de plaisir intense que jamais, depuis notre mariage, il y a maintenant cinq ans, mon mari navait réussi à me faire vivre. Et pourtant, il était doué en amour et était assez bien monté. Mais Rafik, cétait quelque chose dautre ! De là à me demander de revenir le lendemain, rien que pour me faire sodomiser, il nen était pas question ! Javais un vrai problème avec la sodomisation. Mon mari avait bien essayé au moins une dizaine de fois depuis notre mariage de me convaincre que cétait une chose naturelle et que tous les amants du monde la pratiquaient, rien ny faisait : je ne pouvais pas me résoudre à offrir mon anus.
Rafik, tout en continuant de mater entre mes cuisses ouvertes, avait accroché sur ses fines lèvres un sourire moqueur qui voulait dire que, quoique que je dise, demain il menculera. Il approcha sa main droite de ma chatte dégoulinante de foutre et de cyprine et y introduisit deux de ses doigts gros, longs et calleux, pour les mouiller. Et il se mit à enduire mon anus pour le lubrifier. Jessayais bien de protester que je ne voulais pas quil touche à mon anus, il continua, comme sil ne mentendait pas, son uvre de lubrification de ma rondelle trop serrée.
Ses doigts lindex et le majeur - avaient fini de pénétrer au-delà du sphincter. Ils me faisaient vraiment très mal. Rafik, comme si de rien nétait, continuait de me ramoner le cul en riant doucement, comme sil était entrain de se moquer de moi. Et puis, il sortit doucement ses doigts et en me regardant dans les yeux, les approcha de son nez pour les humer et les porta à sa bouche. Il avait les yeux qui brillaient de malice. Il fit pénétrer ses doigts dans sa bouche et se mit à les sucer lentement, toujours en me regardant dans les yeux. A la fin de lopération, il les fit sortir de sa bouche et claqua sa langue, comme sil venait de lécher du miel ou un liquide vraiment délicieux.
- Demain tu viendras et je vais tenculer. Je vais dépuceler ton cul. Il est très serré. Je vais me régaler à détruire ta rondelle. A partir de ce moment, tu ne penseras plus quà ça : demain matin tu recevras mon piston dans le cul. Tu ne pourras pas tempêcher dy penser : dabord tu continueras à refuser de te faire enculer. Tu décideras même de ne pas venir demain, ni chez moi, ni même au lycée pour enseigner. Peut-être que tu décideras de prendre un congé de maladie. Et puis, plus le temps passera, plus tu thabias à lidée de mon manche qui te laboure le cul, comme il vient de te labourer la chatte, deux fois de suite.
- Jamais !
Je descendis du bureau et essayai de mettre de lordre à mes habits. Rafik mavait arraché mon pantalon et mon string et avait remonté la tunique que je portais sur mon ventre. Il ne mavait pas totalement déshabillée. Il voulait seulement avoir directement accès à mon intimité. Je ramassai le string et le pantalon et me rhabillai fébrilement, sous lil moqueur de mon amant. Je lissai comme je pus mes habits pour y chasser toute trace des ébats et tournai brusquement le dos à Rafik qui continuait de sourire. Il savait quil avait gagné, comme il avait gagné avec toutes celles quil avait transformées en chiennes en chaleur, qui nattendaient quun signe de lui pour venir ramper devant lui. Je savais que demain, je viendrai frapper à la porte de son logement à lintérieur du lycée pour lui offrir absolument tout ce quil me demandera. Y compris mon cul.
En rentrant chez moi, ce soir là, je me mis à me remémorer tout ce qui sétait passé et comment je suis devenue la maîtresse de Rafik et que jétais prête, dès le lendemain, à redevenir sa chienne. Comment ce diable dhomme mavait fait jouir comme jamais je navais encore joui et quil était devenu subitement indispensable à ma vie de femme.
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Je mappelle Dalila et je suis professeur de mathématique dans lun des plus anciens lycées dAlger. Un lycée mixte, qui avait une excellente réputation. Un lycée avec dimmenses espaces verts et deux logements de fonction tout au fond : un pour le directeur et un pour le surveillant général (en fait, dans ce cas précis, une surveillante générale). Jai trente deux ans et suis mariée avec un homme charmant un médecin depuis cinq ans.
Zahia, était professeur de physique chimie. Elle avait cinquante ans, était mariée et mère de trois filles. Cétait une femme de petite taille, qui faisait beaucoup moins que son âge. On ne lui donnait jamais plus de quarante ans. Elle était un peu ronde, mais très agréable à regarder. Elle avait tout ce quil fallait, là où il fallait, surtout un beau cul bien rond, avec des fesses rebondies, dune très grande sensualité. Et elle sarrangeait toujours pour mettre en évidence sa poitrine qui avait gardé la fermeté de celle dune jeune fille, avec des seins de taille moyenne, quelle poussait en avant pour aguicher les mâles qui la regardaient. Elle avait aussi un visage tout rond, avec de grands yeux marron, pleins de malice. Je ne lavais encore jamais vue dhumeur grincheuse, comme nous pouvions toutes lêtre à un moment ou à un autre. Et ses cheveux noirs de jais, fins et soyeux, qui sarrêtaient juste au dessous de sa nuque, encadraient complètement son visage, accentuaient son apparence de femme aimant croquer la vie à pleines dents.
Elle plaisait beaucoup aux hommes qui narrêtaient pas de lentourer et de lui faire des avances plus ou moins directes. Mais comme elle avait un mari jaloux et souvent brutal, elle ne répondait pas aux tentatives de séduction des mâles qui ne pensaient quà la tirer. Dautant quil se dégageait delle une sensualité torride. Et même si elle ne faisait rien pour encourager ses prétendants, ces derniers étaient toujours très nombreux à lentourer. Du moins à lintérieur du lycée. Zahia parlait très facilement de sexe avec nous, ses amies.
Hakima était professeur danglais. Elle avait le même âge que Zahia. Elle était plus grande, plus mince (une fausse maigre) avec une superbe poitrine qui paraissait disproportionnée par rapport à sa taille de guêpe et à ses hanches étroites. En contrepartie de sa poitrine arrogante, son fessier, arrondi et haut perché, faisait contrepoids. Elle avait de longues jambes superbement galbées, qui étaient toujours enserrées dans un jean élastique. Mais ce sont surtout ses yeux de biche et sa grande bouche gourmande qui donnaient delle limage dune femme sensuelle, sur laquelle tous les hommes du lycée y compris les élèves des grandes classes fantasmaient en permanence. Et de fait, Hakima ne pensait quà ça : à la bagatelle ! Elle se vantait devant nous davoir un amant attitré - un ses voisins, riche et surtout bien monté, qui lui donnait beaucoup de plaisir. Elle était divorcée et avait la garde de ses trois s : des adolescents de dix huit, seize et quatorze ans. Son mari, professeur dhistoire géographie dans un autre lycée dAlger, lavait quittée, il y avait cinq ans, pour épouser une de ses anciennes élèves quil avait engrossée. Elle aussi tomba rapidement dans les rets de Rafik, notre directeur.
Zineb, elle était professeur de sciences naturelles. Elle avait quarante-cinq ans. Cétait une superbe rouquine au visage parsemé de tâches de rousseur, qui ajoutaient beaucoup à son charme. Elle était vraiment agréable à regarder. Petite de taille, mais idéalement proportionnée. Tout en elle était harmonieux : son corps gracieux avec de mignonnes rondeurs bien placées ; un visage rond et lumineux ; des yeux verts deau, petits et brillants de malice ; une petite bouche ronde, entourée de lèvres superbement ourlées, de couleur rouge cerise. Sa petite bouche, avait été pour nous quatre un long sujet de discussion : nous lui demandions, en nous moquant un peu delle, de nous expliquer, comme elle pouvait recevoir lénorme zob de Rafik, qui adorait particulièrement se faire sucer le manche par ses maîtresses. Elle nous rétorquait chaque fois, quelle y arrivait très bien ! Elle devint, en même temps que Hakima et Zahia lune des maîtresses attitrées de Rafik.
Moi, je fus la dernière à céder à lappel du magnifique zob de Rafik. Ce furent mes amies, qui à force de me parler du plaisir intense quelles prenaient sous les coups de limmense piston du mec, me mirent martel en tête et finirent par me pousser vers ladultère. Javais toujours été une femme sérieuse. Je navais jamais connu dautres hommes que mon mari, si lon exceptait un amour de jeunesse un proche cousin - qui navait pas dépassé les limites du flirt superficiel, mais qui avait tout de même réussi à mettre le feu à mon corps de jeune adolescente. Rapidement, mes parents avaient mis fin à cette relation avec ce cousin un peu trop entreprenant à leur goût. Depuis lâge de seize ans je porte un khimar. Non pas un hidjab qui cacherait tout mon corps. Seulement un khimar qui mettait à labri des regards des mâles ma longue chevelure noire et lisse, qui attirait tous les regards sur moi et me mettaient mal à laise. Depuis, je ne lavais jamais plus enlevé. Au départ, il était marron, et puis avec le temps, il avait pris des couleurs et avait gagné en élégance. Depuis mon mariage, javais choisi des couleurs gaies, comme le fuchsia. Du plus loin que je me rappelle, il ne me semble pas quun homme en dehors de mon père et de mon mari ait pu entrevoir ma chevelure. Jen avais fait presque une obsession. Et même cette après-midi où je me suis donnée à Rafik, je ne lui avais pas permis de menlever mon khimar.
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Quand, au début de lannée scolaire, Rafik débarqua au lycée, en remplacement de lancienne directrice partie à la retraite, ce fut un véritable branlebas de combat parmi les enseignantes. Il avait la quarantaine et, au bonheur des enseignantes non encore mariées, il était célibataire. On ne pouvait pas dire quil était beau. Mais il avait un charme indéniable : il était grand, avec des épaules larges, une taille fine, des hanches étroites et un petit cul super mignon. Et il était très brun. Un homme du sud, métais-je dit. Mais, surtout, il se dégageait de lui peut-être à cause de sa démarche de félin - quelque chose danimal qui attirait tous les regards des femmes et qui titillait leur intimité. Moi comprise. Quand je le vis pour la première fois, je sentis ma chatte frémir et se mettre à couler. Je ny avais pas vraiment prêté attention, mais en regardant sa grande bouche de carnassier, surmontée dune fine moustache de pirate, je ne pus mempêcher de limaginer entrain de me bouffer la chatte. Cétait bien la première fois quune telle chose marrivait : bander pour un homme, sans même le connaître. Mais comme personne ne pouvait savoir ce qui se passait en moi, jétais rassurée. Par la suite, je sus que je nétais pas la seule femme dans ce cas.
Zahia la première nous parla de ses sentiments vis-à-vis de Rafik. Elle nous disait quil avait une telle façon de la regarder, que sans dire un seul mot, elle savait exactement tout ce quil voulait. Elle nous disait quelle lisait en lui comme dans un livre. Avec seulement ses yeux, il lui disait quil avait envie delle et quil allait la tirer comme une chienne dans pas longtemps. Il lui disait quelle ne pouvait pas lui échapper et que ce sera elle qui viendra dans son bureau pour quil la tire. Elle nous disait quil avait réveillé en elle un tel désir de se faire tirer par lui, que cen était devenu une obsession. Elle avait beau essayer, pour compenser, de prendre du plaisir avec son mari, rien ny faisait. Cétait toujours à Rafik quelle pensait quand elle baisait avec son mari. Et puis un jour, elle nous annonça que dans laprès-midi elle allait soffrir à lui. Nous étions curieuses de savoir comment elle sy prendrait. Aucune de nous nessaya de la dissuader. Bien au contraire, nous voulions toutes savoir comment les choses allaient se passer. Sans encore nous lavouer, nous étions toutes intéressées de connaître la suite. Peut-être pour avoir , nous aussi, notre part.
Le lendemain, Zahia, les yeux encore brillant de mille étoiles, nous raconta. Nous étions toutes les trois Hakima, Zineb et moi - dans la salle des professeurs, quand elle nous rejoignit. A ses yeux brillants et à sa démarche aérienne, nous comprîmes tout de suite que quelque chose dexceptionnel sétait passé la veille. Quelque chose de fantastique pour elle. Avant même quelle ne nous rejoigne, nous eûmes toutes un petit pincement au cur ; comme un sentiment denvie ou même de jalousie. Zahia était visiblement heureuse. Comme elle ne lavait encore jamais été. Avec une voix encore pleine démotion, avec un rythme saccadé, elle nous raconta. Voici son histoire ; avec ses mots à elle.
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Lhistoire de Zahia
« Javais demandé une audience à Rafik, pour expliquai-je à Wahiba, sa secrétaire, lui parler dune possibilité de mutation vers un autre lycée dAlger. Je voulais pouvoir rester un moment assez long avec lui pour pouvoir le séduire. Je navais trouvé que ce prétexte qui, me semblait-il, allait titiller assez sa curiosité pour vouloir en comprendre les tenants et les aboutissants. Le stratagème marcha du moins le crus-je sur le moment. Rafik me convoqua - toujours par lintermédiaire de sa secrétaire - pour quatorze heures. Je me rendis à son bureau, à lheure dite, le cur battant la chamade. Jétais aussi émue et intimidée quà mon premier rendez-vous galant, quand jétais encore adolescente. Quand Wahiba annonça ma présence dans linterphone, jentendis sa voix ordonner quelle me fasse entrer. Lordre était accompagné du bruit de la serrure électrique de la porte du bureau qui se déverrouillait.
« La secrétaire, avec sur les lèvres un sourire moqueur, me fit signe daller vers la porte et de la pousser pour quelle souvre. Ce que je fis, les jambes flageolantes. Quand la porte souvrit, je me retrouvais en face de Rafik, assis à son bureau tout au fond de la grande salle, me toisant à la manière dun prédateur surveillant sa proie. Je compris tout de suite quil avait tout deviné et quil mattendait, non pas pour que je lui explique quoi que ce soit, mais seulement pour me tirer. Dès que la porte se referma (mécaniquement) il se leva de son fauteuil, fit le tour de son immense bureau et vint vers moi, qui métais arrêtée devant la porte. Il avait son sourire moqueur posé sur ses lèvres et tendis les bras vers moi comme pour me signifier que jétais la bienvenue. Il me fit signe dapprocher. Javais toujours les jambes qui avaient du mal à me porter, mais jessayais de donner le change.
« Javançais timidement vers lui, qui avait gardé les bras tendus vers moi. Quand jarrivais à une cinquantaine de centimètres de lui, je marrêtai, ne sachant plus quoi faire. Ce fut là quil parla. Non pas pour me demander pourquoi je voulais quitter le lycée, ou quoi que ce soit dautre. Non ! Il mapostropha de sa voix rauque, pour me dire que jétais en retard. Quil mattendait beaucoup plus tôt. Au moins quinze jours plus tôt. Parce que cela faisait longtemps quil savait que je voulais quil me baise. Dès le départ, il utilisa un vocabulaire ordurier et grossier, pour me montrer que cétait moi qui le voulait et que lui était prêt à me donner ce que je lui demandais. Cela mavait un peu décontenancée. Mais pas très longtemps. Parce que le diable dhomme sétait approché de moi et mavait prise dans ses bras. Il me donna le plus magnifique baiser quun homme ne mavait encore jamais donné.
« Sa bouche était une véritable ventouse. Il colla ses lèvres aux miennes et mappliqua un de ces baisers chauds et torrides qui vous font perdre la tête. Sa langue souvrit le passage et pénétra dans ma bouche pour aller à lassaut de la mienne. Je ne sais pas combien de temps dura le baiser, mais à la fin, javais la culotte complètement mouillée, tant il mavait excitée. Le désir sempara tellement de moi que javais perdu conscience que javais une volonté. Je ne voulais plus rien, sinon me laisser mener par ce diable dhomme. Jétais prête à aller là où il voulait memmener. Nimporte où, pourvu que ça soit entre ses bras.
- Mara louwla li cheftek, a3reft beli et-habi erdjal ! Ethabi et-nik ! Et-habi zeb ! Dhork na3tilek zeb ! Ezzeb li 3amrek ma cheftih (La première fois que je tai vue, javais de suite compris que tu aimais les hommes ! Que tu aimais niquer ! Que tu aimais le zob ! Je vais de suite te donner un zob ! Un zob que tu nas encore jamais vu !)
« Et sans attendre une réponse de ma part, il me souleva comme si je ne pesais pas plus quune feuille de papier et me fit assoir sur le bord de son grand bureau. Il fit une légère pression sur mon épaule pour que je mallonge sur le dos. Ce que je fis sans même en avoir conscience. Il ne chercha pas à me déshabiller. Il releva les pans de ma jupe quil enroula sur mon ventre et marracha brutalement ma culotte. Je restais ainsi, les jambes ballantes et toute mon intimité à lair libre. Il resta un moment à regarder le spectacle. Je vis le coin de ses lèvres palpiter, comme si ce quil voyait créait en lui une intense émotion. Il approcha sa main de ma chatte, qui coulait dexcitation et se mit à la frotter frénétiquement comme pour sassurer quelle était assez lubrifiée.
- Qahba raki et-sili ! Souwtek et-houes a3la zeb li kessarha ! Dhork en-werilek zeb li yehedem ha ! Helli 3eynek ! (Salope tu es entrain de couler ! Ta chatte est à la recherche dun zob pour la détruire ! Je vais te montrer un zob qui va la démolir ! Ouvre bien les yeux !)
« Et sans attendre, il dégrafa son ceinturon et abaissa en même temps son pantalon et son boxer sur ses chevilles. Il se redressa pour me mettre sous les yeux le plus magnifique zob que jai jamais vu : un vrai monstre. Presque noir ! Long, gros, lisse, avec un gland turgescent muni dun chapeau très large ! Et il frémissait de désir ! Un moment jeus peur pour lintégrité de ma chatte et de mon vagin, qui avaient été pourtant élargis par le passage de trois bébés. Mais le zob de Rafik était vraiment exceptionnel. Il me regardait avec son sourire moqueur sur les lèvres. Il semblait me dire : tu veux du zob et bien je vais ten donner du zob ! Et pas nimporte lequel ! Un zob dont tu te souviendras toute ta vie !
« Et sans prendre aucune espèce de précaution, ni pour lui en enfilant un préservatif, ni pour moi dont il voulait réellement démolir la chatte, il me pénétra brutalement en marrachant un long cri de douleur. Le salaud mavait déchiré le vagin avais-je immédiatement pensé. Il mavait fait très mal en me pénétrant de travers, comme sil avait utilisé un couteau pour ouvrir la voie. Et il fonça très vite vers le fond de mon vagin. Limmense chapeau du gland, dur comme du bois, frotta fortement contre toute la paroi de mon tunnel. Je le sentais qui prenait possession des lieux et qui en devenait le maître. Il allait et venait à lintérieur de mon tunnel avec de plus en plus de puissance et de plus en plus vite. La douleur du début, qui avait été vraiment insupportable, se transforma rapidement en douce chaleur, puis en plaisir de plus en plus intense.
« Au début, je ne voulais pas lui montrer que je prenais beaucoup de plaisir. Jétais restée silencieuse de longues minutes. Un reste de fierté mal placée. Mais lexcitation et le désir qui sintensifiaient en moi sous les furieux va-et-vient du magnifique zob qui allumaient un énorme incendie dans mon vagin, en limant frénétiquement la paroi, me firent pousser un étrange son. Un son animal que je navais encore jamais poussé en prenant du plaisir sous le pilonnage parfois violent de mon mari. Je mis du temps à comprendre que jétais entrain de couiner conne une cochonne. Pour je ne sais quelle raison, cétait ce son là qui sortait de mes entrailles. Je prenais du plaisir en couinant ! Je ne pouvais ni crier normalement mon plaisir, comme je le faisais parfois avec mon mari, quand il mentreprenait avec plus de force et de passion que dhabitude, ni hurler des insanités comme je le faisais parfois, quand lexcitation, le désir et le plaisir de me faire tirer étaient vraiment intenses.
Rien dautre que ce couinement, qui ressemblait à un pleur, ne réussissait à sortir de ma bouche. Et pourtant je voulais lui crier de ne pas sarrêter, dy aller encore plus fort et plus vite. Je voulais prononcer tous les mots interdits pour accroitre en moi et en lui, lintensité du désir qui nous envahissait et quil fallait satisfaire. Je voulais lui dire que jadorais son zob (En-mout a3la zebek !). Que je voulais quil me nique comme une pute ! (Nik-ni ki qahba !). Que jétais une pute ! (Ana qahba !) Que jétais une chienne ! (Ana kelba !). Je voulais prononcer à linfini le mot zob (Zeb ! Zeb ! Zeb !
). Je voulais quil mentende répéter que je voulais son zob dans ma chatte. (Zebek fi hatchouni ! Zebek fi hatchouni ! Zebek fi
!)
« Pourtant aucun mot ne sortait de ma bouche. Ils sarrêtaient tous sur le bord de mes lèvres. Je continuais de couiner. Je lavais attrapé par la taille et tirais très sur mes bras pour le forcer à pilonner ma chatte encore plus fort. A chacune de ses pénétrations, il poussait un rugissement de satisfaction. Il me montrait quil adorait ce quil me faisait. Que son manche se trouvait bien dans ma chatte. Je le voyais qui le sortait totalement du tunnel et qui sen éloignait de quelques centimètres, pour tout de suite repartir à lassaut. Le spectacle que moffrait ce dard qui entrait dans ma chatte et en ressortait, à un rythme infernal, ajoutait à mon émoi. Javais les yeux hagards, complètement fixés sur limmense piston de chair, dégoulinant de cyprine, qui allait et venait dans ma chatte en y mettant le feu. Jétais au septième ciel. Je navais plus aucune conscience de ce qui mentourait. Seul existait ce zob dâne qui était devenu mon maître. Ce zob qui était entrain de faire dévaler sur moi le plus merveilleux orgasme que jai jamais vécu. Ce zob qui memmenait jusquà la limite de lévanouissement et de l.
« Je ne sais pas combien avait duré cette première partie de jambe en lair avec ce diable de Rafik. Quand la jouissance arriva avec la force dun tsunami je mentendis pousser un énorme râle qui devait ressembler à celui dune femme entrain de mourir (de plaisir !) et que tout le monde dans le lycée avait dû entendre. Je déchargeai, je ne sais combien de litres de jus, que le piston de mon amant pompait frénétiquement et rejetait en dehors, en suivant le chemin de mes fesses ouvertes et de mon anus palpitant, pour sétaler sur le bord du bureau sur lequel jétais allongée. Rafik continuait imperturbablement de pilonner ma vulve. Il continuait de rugir à chacune de ses violentes pénétrations au plus profond de mon tunnel. Dévidence, il nétait pas encore près de jouir et de lâcher son foutre.
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« Même dans létat de chiffe molle dans lequel je me trouvais, je jubilais. Jallais encore avoir une autre jouissance ! A cette seule pensée, mes sens, engourdis par mon premier orgasme, se réveillaient petit à petit sous les coups de piston de mon amant. Je sentais le désir remonter en moi et gagner en intensité. Je me remis à couiner. A tirer encore plus fort sur mes bras pour signifier à Rafik que je tenais toujours par la taille, de continuer ses puissants va-et-vient dans ma chatte. Les rugissements de mon homme se faisaient de plus en plus rauques et rapprochés. Je le sentais qui était sur le point de jouir. Je voyais son visage qui se figeait et son souffle devenir haletant. Ses lèvres sétirèrent, se mirent à trembler et se figèrent en un rictus qui lui tordit la bouche. De la salive dégoulinait des commissures de ses lèvres et se déversait sur mon pubis.
« Et tout-à-coup, du tréfonds de ses entrailles, sortit un long râle qui me sembla durer une éternité. Une éternité pendant laquelle, je sentis le zob de mon amant se contracter, puis exploser, en lâchant à lintérieur de mon vagin, une longue giclée dun foutre épais, visqueux et brulant. La longue éjaculation de Rafik déclencha immédiatement en moi un deuxième orgasme, aussi fort et intense que le premier. Jeus une série de râles de jouissance qui vinrent se mêler à ceux de mon amant. Râles qui accompagnaient les giclées de sperme quil continuait de menvoyer dans le vagin et qui ressortaient en partie sous leffet des allers-retours du piston.
« Quand tout sarrêta, Rafik tomba sur moi, tout en gardant planté dans ma chatte, son zob, encore vigoureux . Nous restâmes ainsi de longues minutes, reprenant lentement notre souffle. Ce fut lui qui sortit le premier du brouillard. Il se retira de ma chatte, tout en mobligeant à rester dans la position que je tenais depuis le début : allongée sur le dos sur le bureau, les jambes écartées, repliées de part et dautre de ma poitrine. Je le vis mater ma chatte ouverte avec un grand intérêt. Il avait la bouche à demi ouverte et sur la commissure de ses lèvres je remarquais comme un tic nerveux. Je relevai la tête pour voir ce quil était entrain de regarder avec autant dintérêt. Je ne pus rien voir de précis. Je le vis qui avançait sa main droite vers ma chatte et avec deux doigts, il ramassa un peu de sperme qui dégoulinait encore dentre mes grandes lèvres. Il ressortit les doigts et je vis quils étaient enduits dune couche de foutre très blanc et très épais. Il les regarda un long moment avec un grand intérêt, puis les porta à ma bouche quil mobligea à ouvrir. Il voulait que je les suce. Il voulait me faire goûter à son sperme.
- Lahsi-houm ! Lahsi ezzal en-ta3 sidek ! Ou bel3ih ! (Lèche-les ! Lèche le sperme de ton maître ! Et avale-le !)
« Javais déjà goûté au sperme ; celui de mon mari. Je navais pas spécialement apprécié son goût et sa viscosité. Mais javais fini par my faire, tant mon mari montrait de plaisir à décharger sur ma bouche et mon visage et à me regarder sortir la langue pour ramasser le foutre qui se trouvait à sa portée. Je nallais jamais trop loin, parce que je nadorais pas, mais mon mari sen contentait et me remerciait chaque fois, en me refaisant lamour juste après. Mais ce que faisait Rafik, en ramassant avec deux doigts, entre mes grandes lèvres, un peu du sperme quil avait éjaculé et en me forçant à les lui sucer, réveilla en moi un nouveau flot de désir. Jouvris la bouche et laissai pénétrer les doigts à lintérieur. Je me mis à les sucer avec délectation. Je les tétais avec le même plaisir que mettait un bébé à téter les seins de sa maman. Rafik me regardait avec des yeux brillant de lubricité et en poussant de petits rires de satisfaction. Il aimait la manière dont je suçais ses doigts et dont je les nettoyais du liquide visqueux quils contenaient. Il attendit que je finisse de tout lécher et sortit ses doigts de ma bouche, pour les porter une deuxième fois entre mes grandes lèvres.
« Il recommença lopération au moins une dizaine de fois. Javais ainsi avalé, avec un plaisir non feint - que je lui montrais en claquant la langue après chaque opération - tout le sperme, mélangé à mon propre jus, qui se trouvait encore dans ma chatte. Quand il ny avait plus rien à boire, il se redressa et se remit à mater mon intimité. Il avait toujours sur les lèvres son sourire de prédateur. Je devinais quil était entrain de préparer quelque chose qui allait lui donner encore du plaisir et qui, probablement, me fera très mal. Il approcha encore une fois ses deux doigts de mon entrecuisse, mais cette fois-ci, ce fut dans mon anus quils plongèrent. Mon cul avait tellement reçu de sperme et de cyprine quil en dégoulinait. Ses doigts pénétrèrent dans mon rectum, sans trop defforts et, surtout, sans me faire trop mal. Je voyais à ses yeux brillants et à son sourire sadique, quil avait décidé de menculer.
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