Je Suis Cocu Pour La Première Fois

En ce beau jour de printemps, ma compagne, qui est encore en étude, devais recevoir un "collègue" de promo pour bosser les dernières touches de son rapport, « bien sur ma chérie » lui ai-je répondu; elle me demande toujours parce que étant le seul à travailler, je rembourse seul la maison ; « qui es ce ? »
Elle me répond « c’est Alex ».
J’avais déjà rencontré ce garçon lors de soirée, et j’avais l’impression qu’il tournait autour de Emilie, je lui en avais déjà parlé mais elle me disait que je me faisais des idées.
« Je pars au travail » lui dis je, elle me ratt pour me faire un énorme bisou et me dit « je t’aime », l’air de vouloir me rassurer.
Peut être aussi pour me rassurer elle était ce jour la, vêtue d’un jeans et d’un tee-shirt ras de cou.
Emilie est une très belle jeune femme de 22 ans, elle est brune, les cheveux mi longs, des yeux en amande de couleur vert, elle mesure 1m65 pour 57 kilos ; elle à une magnifique poitrine qui est du 85b avec de petites auréoles claires qui entourent ces tétons comme je les aiment.
Je pars donc au travail, qui ce situe à quelques centaines de mètres de la maison.
Vers 14 heures je vois Alex qui arrive, il descend de voiture, Emilie sort sur le seuil de la porte pour lui dire d’entrer.
Il est blond, doit mesurer environ 1m 75 pour 70 kilos.
Je ne sais pas si c’est la peur ou la jalousie, mais je me suis sentis obliger de quitter le travail pour aller les ‘surveillés’.
En cette belle après-midi les fenêtres donnant sur l’arrière de la maison étaient toutes ouvertes.
M’approchant donc sans bruit je me posta derrière la fenêtre de la cuisine, ce qui me permettais de les voir et d’entendre.
Ils se disaient des banalités du style : « comment sa va ? Tu as revu Karine depuis son stage , ……. »
Puis comme je le redoutais, Alex se mis tout doucement à changer de conversation, pour oser un peu plus : « Alors elle est où ta chambre ? Il arrive à te faire jouir Jérôme (c’est moi) »
Emilie lui répondis de suite : « mais qu’es ce qui t’arrives, tu te sens pas bien »
Il rétorqua aussitôt : « si je vais très bien, mais depuis que je te connais j’ai envie de toi, le rapport n’était qu’un prétexte pour pouvoir venir chez toi, et que l’on se retrouve tous les deux »
Emilie se leva, et lui dit de s’en aller, il se leva mais au lieu de s’en aller, il s’approcha d’elle, et lui saisie les deux bras, et se pencha pour coller ces lèvres contre ce de ma chère et tendre.

J’allais intervenir quand je m’aperçu qu’Emilie sortais sa langue pour lui rouler une ‘galoche’,
J’étais atterré, mais je restai sans bouger pour voir jusqu’où ils iraient.
Il descendit ces mains sur les fesses d’Emilie qui passa les siennes autour de son coup, puis il passa ces mains devant pour ouvrir le pantalon d’Emilie, il l’enleva du même geste, puis il enleva le tee-shirt, elle était maintenant en string blanc et en soutif de la même couleur.
Emilie se mit à genoux, lui ouvrit son pantalon, et le fit tomber à ces chevilles en même temps que son boxer.
Elle commença à lui lécher les bourses, puis tout le long de son sexe qui se durcissait, avant de lui gober le gland, elle lui suçait le gland, puis elle descendit progressivement pour qu’au bout de quelques mouvements, elle puisse l’avoir entier dans la bouche, lui pendant ce temps lui avait défait son soutien-gorge et lui pelotait les seins, il lui titillait les tétons (elle adorait quand je lui faisais) je savais donc qu’elle aimait et qu’elle devait mouiller son string.
Puis il releva Emilie et la fit s’allonger sur la table ( chose qu’elle m’avait toujours refuser), il lui enleva le string, et dit « tu aimes, t’es toute mouiller cochonne),
Il lui introduisit un doit, puis deux, les entraient, les sortaient à sa guise,
Puis il joua avec son clitoris, elle semblait apprécier de la manière ou elle tortillait sur la table ; pendant ce temps Emilie, de sa main droite le branlait doucement.
D’un coup, il s’exclama « il faut que je te prenne, j’en ait trop envie », il monta à son tour sur la table, se plaça entre les jambes écartés d’Emilie, et il la pénétra d’un coup, il fit des allers- retours pendant un bon moment, puis je vis Emilie ce contracter, elle était en train de jouir, il continua ses vas et vient tous en léchant les tétons de ma belle.
Puis au bout d’un moment il descendit da la table et invita Emilie à en faire autant, elle s’exécuta, puis il la mit à genoux pour qu’elle reprenne sa verge toujours aussi bandante en bouche, elle recommença à le sucer , il lui dit « je vais te ‘cracher’ dans la bouche », elle ne fit preuve d’aucune opposition ; je n’en revenais pas, elle me l’avait toujours refuser ; au contraire cette fois se devait l’excitée puis qu’elle accéléra le mouvement de ces lèvres autour du sexe de son amant, elle passa même sa main droite entre les jambes de ce dernier pour lui caresser les testicules.
Il ne supporta pas la cadence longtemps, et dans un râle roque qu’il poussa je vis son sexe faire de petits mouvements et Emilie se remplir la bouche, il venait de jouir à son tour.
Aussitôt elle se retira pour ‘recracher tout le jus’ de son amant dans l’évier.
Ils se rhabillèrent aussitôt, Emilie lui faisant jurer de ne rien dire et que d’était la seule et unique fois qu’il se passait ce genre de chose entre eux. Il accepta sans en dire plus, puis il repartit.