Françoise, Épilogue
Jean Pascal a fini les travaux que je lui avais demandés avec 48 H. de retard.
Toutefois dès le lendemain de la partie de joute sexuelle que nous avions fait avec la participation de Pierre, je lui avais dit que nous en restions là et quil pouvait informer son copain de faire une croix sur ce quil pensait pouvoir faire avec moi. Jestimais quil mavait trahi en lui confessant la relation que nous avions eus la veille même si ce vicelard en avait vu une partie.
Quelques semaines plus tard, je rencontrais Sylvie qui nest autre que lépouse de Pierre. Jai cru bon de lui dire que javais refait ma chambre à coucher et quelle pouvait passer à loccasion voir les transformations.
Le soir même elle sonnait à ma porte. Surprise de ma part en la voyant accompagné de son monstre. Habituellement elle profite pour venir seule, ce qui nous permets déchanger quelques potins.
Après avoir regardé le résultat des travaux et avoir supporté quelques propos à double sens de son mari, je leurs proposais de prendre un verre. Il na pas trouvé mieux que de sasseoir face à moi et comme le temps était clément, je portais une robe légère, ample, moyennement courte, et comme sous vêtements un ensemble blanc. Il narrêtait pas de lorgner sous le tissu de celle ci dès quil en avait loccasion ce qui me gênait et me mettait mal à laise face à Sylvie qui à priori ne sapercevait de rien. Son portable sonna, cétait Cécile sa fille qui lui demandait de venir une minute. Elle sexcusa, me laissant seule avec son homme.
Conscient de lopportunité qui soffrait à lui, il embraya.
Quand nous voyons nous plus intimement me dit-il ?
Ne commence pas Pierre, si tu insistes je parle à ta femme des vacances avec Flavie, il y a quelques années. Je pense quelle sera contente dapprendre que son cochon de mari à profiter de la faiblesse et linnocence de ma fille pour la caresser et lui imposer des gestes que la morale réprouve.
La morale
parlons en justement, ça na pas lair de t.
Cest au nom de cette dernière si je ne suis pas venu tembêter. A ce que je sache, cest bien toi qui est venue sur moi après la petite turlutte que je tai imposé, je nai pas eu le sentiment, alors que tu aurais pu, faire quoique ce soit pour te soustraire à la chose. Les râles de bien être qui séchappaient de ta bouche et lénergie que tu dépensais pour tempaler sur mon sexe ne ressemblaient en rien à du dégoût, bien au contraire, et quand je me suis épanché dans ton ventre, jai bien vu dans tes yeux tout le plaisir que tu avais eu. Je suis persuadé, maintenant que je te connais plus intimement, que rien den parler tu es trempée.
La nature est bizarre, le salaud avait raison, je sentais mon sexe shumidifier.
Lève-toi et approche!
Le ton quil venait demployer me glaça.
Cest hors de question. Je crois que tu nas pas saisis mes propos. Tu vas te faire voir et si tu insistes, je te jure que jen parle à ta femme.
Et si moi, jen parlai à ton mec ! Si je lui disais ce que jai vu et fait avec Jean Pascal.
Je restais sans voix, il en serait capable et compte tenue de certains écarts passés, mon ami ne pourrait que le croire. Par ailleurs, une envie malsaine me tenaillait lestomac.
Je me levai et me mis face à lui.
Je vois que tu es réceptive.
Retrousse ta robe et écarte tes cuisses !
Telle une automate, je relevai le bas de ma robe et lui exposer mon bas ventre voilé de tulle et de satin blanc. Très chic tes sous-vêtements, cest malheureux que personne ne puisse en profiter. Il tendit sa main et ses doigts se posèrent sur le renflement de mon pubis, effleurant mon clito qui durcissait et transparaissait sous sa frêle protection.
Fais-toi jouir.
Je pliais légèrement les genoux pour moffrir davantage.
Dans un court instant de lucidité je lui disais : ce nest pas correct, Sylvie va arriver, arrête, je ne veux pas, une autre fois.
Tinquiète, quand elle est avec sa fille, elle oublie le temps.
Quelle mauvaise foi de ma part, alors que javançais mon ventre davant en arrière pour mieux sentir ses doigts fouillaient mon intimité.
Le bougre savait y faire. Sen était trop, je jouissais sur sa main inondant de cyprine le fond de ma culotte.
Il se leva et me prenant par le bras et me conduisit dans langle du salon.
Dici nous pourrons la voir arriver.
Il se mit dans mon dos tout en me courbant sur une commode basse et baissa ma culotte. Jentendis le zip de son pantalon doù en sortit un sexe bandé quil glissa entre mes cuisses. Mouillée comme je létais, il neu aucune difficulté à me planter sa mentule au fond des ovaires. Nétant plus en mesure de raisonner, je le laissais me prendre telle une catin entre deux portes.
Fait du bien à ma queue, empale-toi profondément.
Je mappliquais à bien masturber son membre en comprimant mes muscles vaginaux.
Nous savions que le temps nous était compté, en quelques coups de queue désordonnés, je sentais son pal grossir en moi puis un premier jet de foutre suivit de deux autres tapissait le fond de mon vagin. Nous sommes restés ainsi quelques minutes, scrutant le retour de Madame son épouse, profitant du plaisir que nous venions déchanger et cela jusqu'à ce que son sexe perdit de son volume et quil ne ressorte de lécrin soyeux quil venait de violer et de souiller une fois de plus. Je récupérais de lorgasme dont il venait de ma gratifier. Je remontais mon slip et baissait ma robe. Il rangea son service trois pièces et nous nous ressayèrent face à face.
On se fixa yeux dans les yeux, nous posant la question sans se parler, de notre futur.
Fais-moi plaisir, me dit-il : retire ta culotte, je veux te savoir nue sous ta robe.
Je ne peux pas, je vais tâcher le fauteuil avec la dose que tu mas injecté.
Fait ce que je te dis.
Par sécurité, jallais dans la salle de bain essuyer le trop plein qui sécoulait de ma chatte et je retirais ma culotte.
Entre temps, Sylvie était revenue. Cest avec une double gène que je reprenais ma place, face à celui dont je métais jurée de ne plus céder.
Elle mexpliqua le pourquoi de lappel de sa fille. Je profitais de moments dinattentions de sa part, pour ouvrir mes genoux et exhiber mon entrejambe à son mari.
Parfait, quil laissa échapper, perdu dans ses pensées.
Quest ce que tu dis, reprit sa femme
.rien ; rien, je pensais à autre chose.
Il appréciait mon audace, javais répondu favorablement à sa demande.
Lapéro continua une bonne demi heure, durant lesquels il pu tout à loisir poser ses yeux sous létoffe de ma robe.
A peine partis, je remarquais quil avait laissé son portable sur le fauteuil.
Il réapparut une heure plus tard pour le récupérer, jétais allongée sur le canapé au téléphone avec mon ami.
Te dérange pas, je le prends et je men vais dit il à haute voix.
Mais au lieu de partir, il sassit, sa main se posa sur ma cuisse et disparut sous ma robe. Je navais pas jugé utile de remettre une culotte et javais retiré mon soutif, aussi il neu aucune difficulté à toucher mon sexe. Jétais encore mouillée de notre relation. Il me fit basculer et me retrouvais sur le dos.
Il sépara mes cuisses et plongea son museau entre mes jambes. Sa langue vint au contact de mon nid damour et sa langue sinsinua dans cet antre humide. Dune main je tenais le combiné et faisait la discussion avec mon ami et avec lautre jappuyais sur sa tête pour quil plonge son muscle plus profondément en moi. Pour justifier des quelques spasmes qui fusèrent de ma bouche, jai prétexté des crampes à lestomac. Mon ami ne pouvait imaginer ce que je faisais. Cela décuplait lexcitation de mon nouvel amant. Pensant navoir pas suffisamment abusé de la situation, il retira son pantalon, sa verge se dressait fièrement, il me dégoutait toujours autant, mais en même temps ça mexcitait, difficile à expliquer, je le voulais en moi.
Mon téléphone retentit, jai cru quil sagissait à nouveau de mon ami, en fait cétait Sylvie qui cherchait son polisson de mari. Je lui mentis en disant quil avait récupéré son bien et sen était allé.
Il ne fut pas perturbé de lappel et pendant que jéchangeais avec sa moitié, il continua à marteler le fond de ma matrice.
Il dégagea le haut de ma robe afin décraser son torse contre mon opulente poitrine. Il pilonnait mon nid damour, joubliais mon rejet de lui, sa queue me faisait le plus grand bien.
Jétais surpris de son endurance, il savait sy prendre pour donner du plaisir. Notre joute dura une petite heure, il chercha mon petit trou, mais lui refusait laccès. Il finit par se vider à nouveau au plus profond de mon corps en grognant de satisfaction. Nous sommes restés soudés lun à lautre dix bonne minutes.
Cest la sonnerie de son portable qui nous sortit du nuage dans lequel nous étions. Sa femme lui dit quelle allait se coucher, pensant quil était parti au café du village.
Il raccrocha en lui disant de ne pas sinquiéter.
Je lui dis : je suis crevée, je vais me coucher.
Il maccompagna et sallongea avec moi.
Tu nas pas lintention de dormir ici ? Non mais rien ne presse
Jétais de dos, il me serrait dans ses bras, nous étions nus. Cest idiot, mais jétais bien !
Son sexe était à nouveau bandé, coincé entre mes fesses.
Je métais refusé un peu plus tôt, alors sentant son désir, jai empoigné sa verge et lai positionné sur mon illet plissé. Vas-y doucement, lui ai-je soufflé.
Avec infiniment de tendresse et de délicatesse, il a investit mes intestins.
Il prit son temps, jaimais ce quil me faisait. Il profita un bon moment de mes reins avant de se bloquer au fond de mon boyau et libérer son foutre chaud. Nous nous sommes endormis de suite. Cest ma fille en rentrant vers deux heures du matin qui nous a sorti du sommeil dans lequel nous étions plongés.
Une chance que la porte de ma chambre était fermée. Après sêtre assuré quelle était couchée, il est parti sur la pointe des pieds rejoindre son foyer.
Avant de me quitter, il me demanda : nous pourrons nous revoir ?
Je pouvais difficilement refuser.
Un Oui étouffé est sortit de ma gorge et nous avons échangé un dernier baiser.
Malgré tout le dégout que javais envers lui avant, nous nous voyons toutes les semaines. Il se donne au sport, il a diminué sa consommation dalcool. Il est un merveilleux amant.
Je lui ai demandé et fait jurer de ne pas faire état de notre relation auprès de son copain Jean Pascal, sinon je le quittais.
Il machète une multitude de sous vêtements plus érotiques et coquins les uns que les autres.
Il mimpose de ne porter avec lui que des robes où des jupes, les collants sont proscrits.
Au restaurant, nous sommes complices, je massois en dégageant mes cuisses au maximum pour permettre aux serveurs de se rincer lil, ce dont ils ne se privent pas
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