Le Kiné
Comme chaque mardi il était presque 17 h 20 lorsque je rangeais ma voiture derrière l'immeuble des années 50, au
.de la rue G.
sur les hauteurs, à la sortie nord de
.. Depuis quelques fois déjà lorsque je me rendais chez lui, que j'arrivais à ce niveau et que je faisais cette manuvre, une sensation un peu bizarre m'envahissait et je sentais comme une sorte de chaleur douce descendre en chaque partie de mon corps.
Il faut dire que la séance d'aqua-gym que je venais de faire pendant plus d'heure, comme chaque mardi dans le complexe sportif de l'hôtel
.., devait largement contribuer à cette sensation de bien être qui passait sur mon corps dénoué. Mais c'est égal, il y avait bien depuis les deux ou trois dernières fois quelque chose de plus que ce ressenti purement physique dû aux exercices parfois intenses exécutés quelques instants auparavant. Et tout en rangeant ma voiture s'imposa à ma mémoire, comme à chaque fois depuis ces deux ou trois dernières visites, le toucher en même temps doux et ferme du kiné sur mon dos, mon épaule et les flancs de mes seins et comme à chaque fois, je ressentais la caresse avec la même précision et la même intensité que s'il avait été à cet instant en train de me la prodiguer. Cette impression forte, ce ressenti si kinesthésique ajouta à mon trouble quelque chose de cérébral. Une onde de chaleur partant de mon épaule, me traversa le dos, le buste, le ventre, les jambes, et tout mon corps frissonna d'un bien être fugace mais très particulier
Je coupai la clé de contact et dû rester là quelques secondes derrière le volant, sans bouger pour laisser mon corps savourer un instant cette délicieuse sensation de chaleur et de bien être qui l'habitait
Quand je repris mes esprits et que ma perception pu retrouver les sensations de l'environnement réel qui m'entourait, je sentais que mon entrejambes était mouillé et que ma fente était non seulement très chaude, mais aussi très mouillée.
Comme j'ai horreur de ce genre de négligence, alors que j'ouvrais ma portière, je profitais de ma descente de voiture pour regarder furtivement entre mes jambes alors que je les écartais dans le mouvement normal de descente. Pas de doute la petite tache ovale au fond de mon slip de dentelles blanches, ne laissait aucun doute : j'avais bel et bien mouillé, non par les restes de la douche, ce qui aurait laissé une tache beaucoup plus évanescente, mais par une décharge de cyprine, conséquence des évocations et des sensations des minutes précédentes. Je me pris à espérer que le kiné ne s'en apercevrait pas et que, en tout cas moi, je devais veiller à garder discret cet endroit
.De plus, comme une idiote, je n'avais pas mis de protège slip, ce qui est aussi contraire à mes habitudes
Décidément pensais-je, tu dois être bien troublée en ce moment pour oublier les règles minimales que tu t'imposes en tant que femme
Je sonnais et entrais dans la salle d'attente où j'étais seule
Là, je pu rester en relation avec mes pensées intérieures. Oui, c'est vrai que depuis les dernières fois où je venais ici, je sentais ce trouble, comme celui d'aujourd'hui, m'envahir.
Depuis les 2 ou trois dernières séances justement, j'ai remarqué qu'il me regarde différemment et qu'il aurait envie de tenter quelque chose. Au cours des dernières séances, derrière mes paupières closes pour mieux recevoir son massage, j'ai bien senti son regard brûlant parcourir mes formes, mes fesses, détailler, le haut de mes cuisses, caresser mes seins, rouler sur le creux de mes hanches et dévaler la courbure de mes reins
J'ai senti tout cela, bien nettement et toutes les petites attentions professionnelles dont je suis depuis quelque temps son objet : mes réchauffer les pieds, mes mettre des compresses sur la nuque
Le fait aussi qu'il me garde désormais une heure au lieu de la demi-heure conventionnée
Une fois aussi, il y a quelques temps, tandis que je m'habillais, tout en discutant avec moi ou en prenant ce prétexte, il m'a regardé renfiler mes bas, et j'ai une drôle de sensation à ce moment là ! Bref autant de petits signes qui semblent renforcer ce désir que je sens grandir en moi très confusément, à chaque séance
Ou du moins est-ce mon interprétation, sans doute est-ce un peu les deux car je suis dans une phase particulière.
Il faut dire que depuis quelques mois, un an peut-être maintenant ou à peu près, depuis l'été dernier en tout cas, j'ai l'impression de ne plus avoir d'envies physiques, de désir de faire l'amour et d'être prise, ni de vraies séances sexuelles
Mon époux ne s'occupe de moi que façon très superficielle de ce point de vue, me prenant dans ses bras et par quelques caresses plus amicales et tendres que sensuelles et sexuelles.
La relation avec mon amant s'étire et se délite peu à peu, je n'éprouve plus pour lui le désir sexuel fort et intense que j'ai connu pour lui au point que, lorsque j'accepte de faire l'amour avec lui, ce qui devient de plus en plus rare, je ne ressens pas le besoin de m'abandonner comme c'était le cas avant avec lui et je n'en tire maintenant que peu de bénéfices sur tous les plans. Je ne puis dire précisément à quoi c'est dû. Certes ce fut un bon amant et l'est encore et il m'a révélé tant de choses sur le plan sexuel
Peut-être que la relation dure plus à cause de cette reconnaissance que par désir sexuel authentique de ma part ?
Moi-même je me surprends, parce que j'ai beaucoup moins qu'avant l'envie de me faire des caresses et de me masturber comme cela m'arrivait fréquemment et intensément à certaines périodes
Bref depuis quelques temps je suis dans un "non désir" que j'attribuais jusqu'à aujourd'hui à un problème d'âge, à un souci de me ranger un peu sur le plan social, matrimonial et personnel
Je dis jusqu'à aujourd'hui, car là maintenant dans cette salle d'attente où je repasse le film de tout cela dans ma tête depuis trois minutes, je m'aperçois à mon corps que ce n'est pas ça, que ma libido est intacte et qu'en fait, j'ai très envie de quelque chose d'encore indéfinissable, mais surtout envie d'autre chose autrement, que ce que j'ai pu connaître jusqu'alors avec mon mari ou avec mon amant
Et ça, j'ai la révélation aujourd'hui, à cette minute, que j'en ai envie depuis des mois sans oser me l'avouer. Quand je dis que j'en ai envie depuis des mois, je devrais dire plutôt que depuis des mois je sens que j'ai envie d'autre chose sans pouvoir dire quoi, sans pouvoir le nommer.
Non ce que je veux aujourd'hui, c'est quelque chose de moins sexuel, de moins sentimental au niveau cérébral, c'est quelque chose de plus kinesthésique justement, de plus sensuel qui passe plus par un toucher et un contact privilégié, comme des caresses subtiles et fortes à la fois qui séduisent la peau et abolissent les résistances
En fait je le crois, j'en suis persuadé à cette minute, j'ai envie que l'on fasse attention à moi autrement, en tant qu'être sensible, que femme bien sûr, mais comme une femme délicate, fragile qui a besoin d'être admirée subtilement, finement et de façon très ,très kinesthésique
Quand je ferme les yeux là, assise dans ce fauteuil dans la tiédeur de la pièce, je les sens ces caresses, qui me touchent, me contactent, me pénètrent, me troublent les sens et me chavirent
Je sens une nouvelle onde de chaleur monter en moi et les caresses du dos m'irradient complètement le corps
Je sens que je vais avoir encore un orgasme et j'écarte de moi cette pensée, refusant d'être sous la dépendance des sensations de mon corps et des caresses
Je repousse violemment les sensations sans y parvenir vraiment et là, je laisse des images m'envahir : je me revois lors de la dernière séance, allongée sur la table
Je sens ses mains très douces mais fortes et intenses à la fois, présentes partout et dansantes sur ma peau, c'est presque magique
Je suis emportée dans un tourbillon où mes sens ne m'appartiennent plus, je sens ma peau qui frémit. Je sens la chaleur de son regard sur mes fesses, dans mon entrejambes
J'ai les yeux fermés, mais je sens mon visage juste à hauteur de son sexe pendant qu'il me manipule le dos et l'épaule.
Je me le dis sans pouvoir me lever et le faire, restant les jambes croisées sur mon clitoris bandé et ma chatte en feu
Fouillant dans mon sac pour y chercher d'éventuels protège slip, je tombe sur une série de préservatifs rangés dans une ancienne pochette de carte de crédit, que j'ai dû prendre sans y penser
Enfin, sans y penser, je sais bien qu'il n'y a jamais d'actes accomplis au hasard !! Il faut que je fasse vite et que je me décide à aller aux toilettes avant que mon tour n'arrive
Trop tard, la porte s'ouvre et le kiné m'invite à entrer dans le cabinet. Je trouve qu'aujourd'hui, il a un sourire particulièrement engageant qui laisse augurer d'une suite que je n'ose ni espérer ni imaginer à ce moment là
J'entre dans le cabinet et passe dans le petit coin qui constitue comme un renfoncement discret où l'on peut se dévêtir. Je remarque que faisant mine de consulter quelques papiers à son bureau, il me regarde par dessus ses lunettes, à la dérobée. Je sens, tout en commençant à quitter ma jupe, que d'avoir surpris son regard allumé par mon effeuillage, ravive mon déferlement de cyprine, et j'essaie de regarder furtivement où en est sur ce point le fond doublé de mon slip de dentelles blanches. La tâche s'est agrandie nettement, grande comme une pièce de cinq francs
. Impossible que cela ne se voit pas, même si je serre les jambes ce que je ne puis faire durant toute la séance
!
Et à ce moment là, je m'aperçois qu'au lieu d'un collant j'ai mis des bas noirs, Dim-Up auto-fixant, qui montent très haut et qui plaisent tant à mon amant. Il faut dire qu'ils sont extras avec leurs larges bandes de dentelles, qui enceignent si bien le haut de mes cuisses, presqu'à l'entrejambes, et ils me vont si bien. Je sais le pouvoir érotique de ces bas sur les hommes et très peu y résistent
Mais, bon ! Je ne peux plus rien faire pour "atténuer" ce joli tableau : mes jambes fines gainées de ces bas noirs fins et un slip très moulant et transparent de dentelles blanches, largement humides dans le fond il est vrai !!
Je me présente donc, pour signifier que je suis prête à être prise en main (!!), à l'entrée du petit dégagement de confidentialité
Je geins sous le massage tonique et tendre à la fois
Il passe la main sur les seins, les bouts
Je ne me retiens plus ; je sens ma fente s'inonder et j'écarte un peu les jambes. Je sais exactement ce que, dans cette position, je fais voir : le mont de vénus sous mon slip de dentelles transparent à cet endroit et où l'on voit mes poils blonds roux, dont je suis fière, par transparence... Et dans l'entrejambes je sais que je donne à voir les poils qui parcourent les lèvres de ma chatte, et qui s'échappent par côté du slip. Cette évocation n'est pas pour contenir ma décharge et je mouille allègrement. Je sens que ma fente est ruisselante et en feu
J'ai une très forte envie de porter la main à mon entrejambes et de me branler...
Je geins encore et me tortille. Lui le beau brun, il a tout compris : il descend sa main vers mon pubis, l'introduit avec adresse dans le slip fin de dentelles et atteint le haut de ma vulve. Ce contact d'un doigt si doux et à la fois si précis et ferme me fais décharger avec un gémissement que je ne retiens même plus tant c'est bon et tant je suis transportée dans un autre monde, subitement et sans m'apercevoir du changement
Je décharge très intensément, je le ressens très nettement. Sous l'effet du déluge de mouille, j'écarte les cuisses il insinue un doigt dans ma fente sur toute la longueur et caresse
Je n'en peux plus je tends la main vers son pantalon de médecin tjrs très léger et attaché par un galon noué
Je passe ma min sous le galon et atteint une bite que je trouve énorme à demi bandée... Je le branle
Lui a maintenant un doigt dans la chatte il le passe avec sensualité et une précision que je n'ai jamais rencontrée jusqu'alors. Il me fait la caresse dont je rêve le plus souvent dans mes fantasmes : ma faire passer un doigt sensible, agile et très subtil, presque furtif, depuis mon clitoris, jusqu'au trou de ma rosette en passant par les petites lèvres de mon con, et l'entrée de mon trou de salope, le clitoris qui me fait mal tant il est tendu, puis redescendre par le fente de nouveau, le périnée et jusqu'à mon petit cul
Le salaud est expert et quand il sent que je déferle sous ses caresses, il me fait exactement la caresse qui me fait chavirer : me caresser subtilement le trou de derrière au moment où je jouis
Je n'en peux plus. Je jouis à répétition
Mes jouissances ne me lâchent plus
Depuis quelques minutes je le sentant très bandé sous la caresse de ma main
Ny tenant plus je prends linitiative : je l'enfourne dans ma bouche en même temps qu'un nouveau flot de cyprine lui inonde la main.
Ma bouche trop petite n'arrive pas à passer derrière son gland. Il est en réalité énorme
Je prends en même temps la mesure de savoir si je pourrais me faire pénétrer la chatte par un tel morceau. Je me surprends à me demander tout en suçant le membre énorme, si j'ai déjà eu l'occasion auparavant, d'en avoir eu un de ce calibre dans mon petit con de femme
Depuis que je lui ai pris la bite en bouche, il s'est mis à me sucer les seins. Il me suce le bout des seins, qu'il aspire avec dextérité et tendresse
Je chavire sous la caresse et jouis de plus belle, écartant encore davantage les cuisses. Habillement, il sait profiter de chaque occasion qu'e je lui offre d'aller plus avant : il m'introduit doucement mais avec fermeté un doigt dans le trou puis deux et me branle jusqu' à des orgasmes fous
Je n'y tiens plus et me tortille comme un ver
Je me redresse et vois ce que je n'avais encore jamais vu : ma cyprine blanche et très muqueuse, couler de ma fente jusque sur l'intérieur de mes cuisses. J'ai l'impression que je me suis vidée et que je suis exsangue
Remarquant mon trouble, il me fait mettre en levrette directement sur la table, me fait écarter les cuises le plus possible, de ses mains douces il m'écarte aussi les fesses... Il me regarde la chatte, je sens son souffle chaud dans mon entrejambes torride, et il y plonge enfin le visage, me suçant la chatte d'une façon que je ne connaissais pas encore. Je me délecte de sa caresse et du bout de sa langue qui me fouille l'entrée du con
. Son nez frotte en même temps doucement le trou de mon derrière, c'est un délice ! Je le branle toujours de ma main droite. Je vois maintenant son sexe dans toute sa longueur et dans toute sa dimension : impressionnant. Il doit bien faire dans les 20 à 22 cm, facilement et surtout ce qui m'impressionne, c'est son calibre au moins 8 à 10 de diamètre, peut-être plus au niveau du gland
Je n'ai jamais eu entre les mains un tel engin. Cette vision et cette pensée m'excitent et m'échauffent l'esprit. J'ai envie qu'il me le fasse sentir dans ma fente, juste pour la caresser. Je le lui dis entre deux gémissements de bonheur :
- " Passe-moi ton bel engin dans la fente juste ne me caressant
Oh oui ! Je le veux, je veux le sentir !... Tu veux bien ?
Il acquiesce, se met debout derrière moi, monte les genoux sur la table et prenant son membre en main, il me le passe doucement, tout en douceur sans violence, mais avec délicatesse depuis le haut de la raie des fesses jusque sur le clitoris. Prenant appui sur les épaules au niveau de la table à masser, de mes deux mains, j'écarte mes jolies fesses pour qu'il puisse y faire circuler son membre le plus aisément possible
La caresse lente et juste effleurée est divine et je défaille encore sous la caresse et mouille comme une folle
Je sens que le bout de son membre devient plus humide et plus visqueux. Il l'introduit très doucement entre mes petites lèvres jusque à l'entrée du trou du con qu'il pénètre à peine quelques cm ; 2 ou 3, au plus mais le contact de son gland énorme qui me distant juste et très doucement l'entrée du con, me fait plus d'effet que s'il me le plantait au fond de la matrice
Je décharge de nouveau
Je lui suis reconnaissante de ne pas avoir profité de la situation et de ne pas avoir poussé l'avantage, facile de me baiser au fond du con tant j'étais mûre !! Me respectant ainsi, il m'a permis de me délecter de ma jouissance et de la décupler
Il a ensuite retiré doucement sa bite de ma fente et il l'a remplacé par sa bouche
Il ma sucé complètement, aspirant les petites lèvres et pompant le trou à bites que javais très ouvert
Puis me laissant en levrette sur la table, mais me faisant écarter les cuisses plus encore, il se glissa sur table par dessous moi, tête-bêche, s'arrêtant au moment où sa tête fut à hauteur de mon con ouvert au-dessus de lui, sa bite se trouva alors dressée entre ma bouche et mes seins
Tandis qu'il appliquait son visage entre mes cuisses, me lustrant le clitoris de sa langue je le pris de nouveau en bouche. Il était effectivement énorme
Tout en le suçant, je le branlais doucement d'une main. Je ne pouvais toujours pas mettre tout son gland dans ma bouche, mais j'aspirais délicieusement l'extrémité de sa pine, lui taillant une pipe, dont il me disait qu'il n'en avait pas connu de comme ça. J'appliquais ma langue sur son méat et j'aspirais fortement. Je sentais le goût légèrement sucré de ma cyprine qui avait enduit le bout de sa verge bandée
je le branlais, ma main allait jusqu'à ses couilles que je caressais dans le va et vient. De temps en temps j'arrêtais le pompage pour descendre en petits baisers le long de sa hampe que je parcourais sur toute la longueur par de petits attouchements de ma langue, jusqu'à ses couilles énormes elles aussi dont j'appréciais la peau entre mes lèvres tandis que ma main continuait à le branler. Quand je l'avais en bouche, c'était même le bout de mes seins qui caressaient doucement ses couilles tandis que je le suçais et le branlais. D'une main, il me caressait le bout des seins, tantôt l'un tantôt l'autre
Ce qui a le don de m'échauffer
Le salaud avait d'emblé tous les critères, pour satisfaire à fond une femme. Il devait, lors des massages m'avoir observé à maintes reprises pour connaître ainsi tout de suite et si vite, mes zones érogènes et les styles de caresses à leur prodiguer
De mon côté, je jouissais rythmiquement et de moments en moments sous l'effet de ses jeux de langue à mon con ouvert, à mon clito et à mon petit cul, et de ses caresses à mes seins. Je mouillais sans relâche...
Bientôt, je sentais son membre se durcir encore dans ma main qui le branlait, dans ma bouche je sentis un ou deux soubresauts annonciateurs de sa jouissance et j'eus juste le temps de le sortir le membre de ma bouche et de continuer à le branler sur la pointe de mon sein droit le plus sensible, qu'il déchargeait abondamment des giclées de foutre blanc, très consistant qui n'en finissait pas
Accompagnées de râles rauques et puissants, ce fut au moins huit à dix giclées abondantes qui m'inondèrent la poitrine, ce que j'adore... J'en avais partout depuis la pointe du menton le cou, lépaule, les seins
Le buste couvert de foutre chaud, je me sentais décharger encore et tirer une immense bordée de liqueur qui lui inonda le visage. Je n'en pouvais plus, vidée j'étais.
Pour lui permettre de se relever de sa position, je me redressais au dessus de lui le con dégoulinant, l'intérieur des cuisses mouillé de cyprine et de salive, la poitrine et les épaules inondées de son foutre opalescent, je fus subitement prise d'une terrible envie d'uriner, comme cela m'arrive fréquemment, après des jouissances fortes. Je lui dis mon envie et il alla dans un placard chercher un pot de chambre style vase de nuit en faïence qu'avait nos grand-mères et me dit de m'accroupir dessus, directement sur la table, face à lui et de me soulager sans aucune retenue.
Il ajouta qu'il adorait voir une femme assurer ces menus besoins et me demanda si j'étais d'accord à lui faire ce petit cadeau. Ce fut ma manière à moi de le remercier et je m'accroupis lentement, chatte très ouverte, la fente bien au-dessus du pot et je me mis en situation d'uriner
Le premier jet, qui me surprit moi-même par sa force, du fait sans doute de la grande pression de mon antre sexuelle et du clitoris complètement bandé et retroussé. Le jet passa au-dessus du pot pour arroser un peu au-delà de la table et l'atteindre presque. Il me dit que cela ne faisait rien et me pria de continuer sans me retenir
Je rajustais ma position au-dessus du pot pour bien cibler louverture. Puis, Je m'abandonnais ensuite à ma miction avec délectation
Je pissais à jets et bien tendus droits, très écartée devant lui donnant à voir ma fente, l'intérieur de ma chatte, mon cul sur lequel je sentais rouler quelques gouttes échappées du jet. Je savais que mon clito était tout bandé, mes lèvres très ouvertes et lustrées du fait d'avoir été sucées, branlées, caressées
En face de moi et en contrebas de mes cuisses ouvertes, je le voyais me regarder le con et je pouvais lire dans ses yeux tout le désir, à peine éteint que j'y avais allumé.
Pour moi c'est sûrement là, dans ce regard, à la fois admiratif, concupiscent et plein de désir, que je situais ma meilleure récompense. Je sentis un frisson me parcourir des pieds à le tête et ma chatte qui finissait de pisser laissa passer un dernier filet de cyprine qui s'étira de mon trou ouvert jusque dans le pot de chambre.
Me faisant relever à demi, il passa derrière moi et debout, passant sa tête entre mes jambes écartées et à demi fléchies, il me lécha la chatte et toute la fente, tant il aimait, m'avouât-il, tout recueillir d'une femme qui lui avait donné du plaisir
Je suis allé me rhabiller. Il ne rata rien de ce moment non plus. Quand j'eus fini, il me prit dans ses bras et me roula un patin en me disant
- " Merci tu es vraiment super !... A la semaine prochaine ". Puis il me laissa partir.
Certes, nous navons pas baisé complètement, mais c'est mieux, parce que ce n'est pas ce que je recherchais
La fois suivante, il ma prise complètement et longtemps, pour mon plus grand plaisir, évidemment
Depuis, chaque semaine il me baise, mais surtout l'on se caresse un long moment et j'ai toujours plusieurs orgasmes avant qu'il ne décharge, sur mes seins ou sur mes fesses lorsque je suis en levrette
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