Cocu Une Nouvelle Fois
Depuis que jai vus Emilie faire lamour avec son collègue, nous navons rien fait sexuellement, même pas des caresses érotiques; cela fait trois semaines.
Je ne lui en aie pas parlé pour voir si elle ferait le pas de me le dire, mais non, elle est restée muette.
Ce matin je commence à 11 heures, et Emilie est en vacance, on à fait la grâce matinée, puis après cette réveiller tranquillement, on se retrouve dans la salle de bain.
Je passe derrière elle, me dit que si elle ne ma rien dit cest quelle ce sent honteuse, je décide donc de passer léponge.
De plus ce matin jai envie de faire lamour, je passe ma main sur la nuisette au niveau de ses fesses, et de suite elle me dit : « non, jai pas envie ce matin », je pars donc dans la cuisine.
Au bout dune quinzaine de minutes je lui crie (elle est encore dans la salle de bain, je viens dentre la douche) : « je pars au boulot », elle me répond : « ok, a ce soir ».
Je sort donc de la maison, au bout dune cinquantaine de mètres je maperçois que jai oublié mon portable, je reviens donc à la maison, Emilie est toujours dans la salle de bain, jentends le sèche-cheveux ; quand dun coup jentends une voiture entrer dans la cour, je regarde par la porte fenêtre et je reconnais de suite Alex.
Je décide donc de me planquer dans le salon, derrière le canapé, je ne peux pas être vu de cette façon ; je veux savoir ce quil veut ou si cest Emilie qui la fait venir.
Je lentends sonner, Emilie qui est toujours dans la salle de bain, ne las pas entendu.
Il fait comme chez lui, il rentre, traverse la cuisine, puis le couloir, il se retrouve dans la salle, lorsque Emilie sort de la salle de bain, elle partait vers la chambre quand elle saperçu quil était là. Elle descendit les deux marches du second couloir pour arriver à la salle.
Elle lui dit : « Que fais tu ici ? Qui tas autorisé à entrer ? »
« La porte nétait pas fermer à clef, je suis ici parce que jai trop envie de toi, cétait trop bon lautre jour »
Emilie le coupe : « Je tai dit que cétait une erreur, et quil ne ce passerait plus rien ».
Il lui répond : « Dit moi que tu nas pas aimer, que tu nas pas pris de plaisir, et je pars, mais la vérité cest que tu nas jamais jouie comme ça avant ».
Javais envie dintervenir pour lui casser la figure, mais je nai pas bouger pour voir la réaction dEmilie.
Quelques secondes passèrent, Emilie ne disant rien, Alex avait compris, et moi aussi.
Il sapprocha delle, ouvrit le peignoir rose dEmilie qui tomba par terre, elle était maintenant complètement nue. Il passa sa main droite derrière la nuque dEmilie, ils sembrassèrent goulûment, puis il lui appuya sur lépaule pour la faire ce mettre à genoux, et lui dit : « Suce ma grosse queue maintenant, je veux que tu devienne ma salope », elle sexécuta sans broncher ; je savais maintenant quelle était consentante.
Emilie fit tomber le pantalon et le boxer de son amant, et commença a lécher le gland, puis toute la longueur du sexe et les testicules, puis elle pris le sexe en bouche, et a force de vas et viens autour de la verge, elle lavalait maintenant jusque la garde.
Lui pendant ce temps, lui caressait les seins, les tétons, quil faisait rouler entre ses doigts.
A bout de quelques instants, il dit à Emilie : « Maintenant, je veux te baiser par tous les trous dans le lit ou tu fais lamour avec lautre couilles molles qui te sert de mec ».
Jétais abasourdit ; Emilie quand à elle, devait acquiescer puisquelle se releva en donnant un dernier coup de langue sur le bout du gland de son amant, le pris par la main, et lentraîna vers notre chambre.
Cétais plus fort que moi, il fallais que je vois, en plus sentir ma femme traiter ainsi faisait gonfler mon sexe.
Je minstallai au coin de la porte de la chambre.
Alex allongea Emilie sur le lit, entama un cunni, elle pris rapidement du plaisir, puisquelle lui inonda le visage de cyprine.
Puis il se plaça entre les jambes dEmilie, et tout doucement il sintroduit en elle, je lentends gémir, elle appréciait les vas et vient, qui était maintenant devenus des coups de butoir de son amant.
Ensuite, il la fit se mettre à quatre pattes, tête vers le bas du lit, il se plaça derrière, et la pénétra en levrette, je voyais les seins de ma chérie se balancer à la vitesse des vas et vient de son amant.
Jétais de plus en plus exciter, je ne comprenais pas jétais cocu mais ça me faisais bander comme jamais.
Puis Alex se retira dEmilie, je croyais quil avait éjaculer, mais non, il dit à Emilie : « jai envie de ton petit cul »
Emilie lui répondit : « non, pas sa, je nais jamais fait », cest vrai, elle navait jamais céder à mes propositions.
Il lui passa un doigt sur la pastille, puis doucement il lintroduit en elle, et fit de petits mouvements.
Jétais perdu, elle lui disait non, mais se laissait faire, cétait plus fort que moi, je décidai de pousser la porte pour stopper tout.
Je poussa donc la porte et cria : « STOP ».
Il me regarda en souriant, retira son doigt de lanus dEmilie et plaça son gland contre ce dernier, il lenfonça lentement en elle, me regarda et me dit : « ta nana sait maintenant ce que cest un homme qui la fait jouir », mon regard se baissa vers celui dEmile qui ajouta : « laisse le faire » ; jétais stupéfait et complètement immobile.
Son amant enchaîna les vas et vient en elle, en allant de plus en plus profond et de plus en plus vite.
Je voyais sur le visage de ma chérie, les grimaces de douleur de la pénétration anale, laisser vite place au plaisir.
Au bout de quelques instants, il se retira, mit Emilie a genoux, de profil, devant moi ; il se mit en face, et lui demanda de le sucer, et davaler cette fois.
Elle sexécuta, elle le suça tout en lui caressant les testicules, je le vit se contracter, et éjaculer dans la bouche de ma compagne, elle avait des hauts le cur, mais avala sans en laisser tomber une goutte.
Il reprit ces affaires, et repartit sans dire un mot.
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