Voisine Amante

Après le repas du soir, Pierre a une envie folle de mon corps. J’aime cet instant où il me prend dans ses bras, qu’il m’embrasse plus fort, que sa langue pénètre ma bouche. J‘attends toujours avant de céder, j’aime le faire patienter un peu pour que ses mains viennent sur mon corps, mes seins, mes cuisses, me fesses et ma chatte. Je sais qu’il bande à ce moment : je sors sa queue pour la caresser lentement, je ne tiens pas à le faire jouir trop rapidement.
Je ne fais que descendre son prépuce lentement pour le laisser ainsi découvert. S’il reste ainsi, quand il est nu il me semble qu’il est encore plus présentable surtout avec sa queue qui bande.
Pourtant ce soir ce n’est pas pareil, j’ai un aveu à lui faire.
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Une voisine est venue à la maison pour que je lave son linge : sa machine est en panne. Nous ne nous connaissions que de vue. Elle a fait le plus dur, en mettant tout son linge dans ma machine. Je l’ai invité à prendre un café, ce qu’elle a accepté.
Nous avons parlé comme toutes les femmes de tout, de rien, surtout des voisines. C’est vite fait, le café bu, notre conversation allait tomber quand elle a commencé à parler des orgasmes qu’elle avait avec son époux. Elle aimait être baisée, comme moi, être sucée, comme moi, enculée, comme moi, être fistée. Je ne connaissais pas encore cette façon. Elle me l’a expliquée, raconté les façons de faire et le plaisir immense qu’elle en avait pour bien finir une nuit d’amour.
D’un coup j’ai eu envie de connaitre cette nouveauté. Je sentais que je mouillais comme rarement. Il me tardait d’être au soir pour me faire mettre la main entière dans mon puits.
La conversation, heureusement a déviée sur nos sous vêtements. Comme moi elle n’en portait que rarement.
- Vous être habillée court, dehors vous devez montrer vos fesses ?
- Oui, même plus que les fesses. J’aime bien m’exhiber ainsi, j’excite les hommes et sans doute des femmes.

Avec les boules de geisha, il m’arrive de m’arrêter en chemin pour jouir seule.
- C’est vrai, moi aussi je jouis souvent avec ces boulles. Les vôtres sont comment ?
- Je peux vous les montrer, je les porte justement.
- Je veux bien.
Sans se soucier de la pudeur, elle soulève sa robe, s’assoit, écarte les jambes, tire sur le cordon pour faire sortir ses boules de son ventre. Je peux voir sa chatte : ça ne la gêne pas du tout. Elles sont encore mouillées de cyprine, nous les regardons comme un objet rare.
- Je peux vous montrer les miennes, je vais les chercher dans la chambre. Je ne les mets que pour sortir.
Ma voisine est toujours assises les jambes écartées, elle se touche la chatte comme si elle était surexcitée. Son sexe est toujours exposé. Je ne me gêne pas pour le regarder : il me plait assez. Si j’étais un homme je ne résisterais pas longtemps : ma main serait déjà dessus. Elle est curieuse quand elle me demande ;
- Vous les mettez comment ?
- Je vais vous montrer.
A mon tour d’être impudique, je soulève ma jupe, j’écarte les jambes, j’ouvre ma chatte avec une main, lentement j’entre la première boule et je la pousse avec l’autre avant de mettre l’ensemble en place avec mon index. Comme d’habitudes je suis excitée de faire ces gestes familiers, surtout sous son regard indiscret.
La voisine vient près de moi pour m’embrasser. Je me laisse faire pour ce premier baiser avec une autre femme. Nos mains sont vite sur le corps de l’autre.
- J’ai envie de jouir, dit-elle.
- Moi aussi.
- Baisons ensemble.
- Oui : je réponds sans réfléchir.
Le top départ de notre conversion au bi sexualisme commence. Sans trop nous mettre martel en tête nous nous déshabillons vite. Nous nous regardons nues, pour ma part je regarde ses seins bien tendus, son pubis rasé et ses jambes. Son clitoris ne sort pas encore. Elle aussi me regarde en détail.
Nous revenons presque collées, juste les pointes de seins se touchent.
Nos regards deviennent brulants. Puis, nous nous serrons bien jusqu’à ce que nos pubis soient ensemble.
Je sens ses mains venir sur mes fesses, alors que je cherche directement sa chatte. En fond musical nous avons le bruit de la machine à laver : c’est notre accompagnement de notre libertinage. Son seul doigt entre mes fesses va à la recherche, j’espère de mon petit trou : j’aime trop la sodomie pour espérer autre chose. Elle s’écarte un peu de moi quand ma main passe entre nos corps quand je vais chercher son bouton que je trouve drôlement bien durci et mouillé. Ses jambes s’écartent, elle accepte la suite. Je n’avais mis que mon index, j’y ajoute le majeur. Son corps se tend vers ma main. Elle aime ce que je fais. Je la branle comme je le ferais pour moi.
J’écarte moi aussi les jambes quand son doigts trouve comme je le pensais son chemin sur mon anus. Elle ne fait rien d’extraordinaire pourtant : elle ne fait que le masser sans appuyer. C’est bon, elle va me faire partir vers la montagne des orgasmes.
Sans que rien ne le laisse prévoir, nous jouissons presque ensemble. Ce n’est qu’à ce moment là que j’enlève mes boules du ventre. Disons plutôt que c’est elle qui les retire en le prenant ensuite dans sa bouche. Toujours nues, nous allons préparer un autre café. Bien sur c’est un prétexte pour nous caresser un peu partout. Essayez de préparer quelque chose avec une main entre vos jambes ou sur vos seins.
Nous nous retrouvons les fesses contre la table, les jambes écartées nos mains dans la fente de l’autre. Nous nous branlons comme des gamines. Nous n’en jouissons pas du tout, nous allons dans la chambre où là nous allons jouer un jeu complet. Nous sommes allongées l’une sur l’autre : elle est sous moi qui sens bien sa poitrine contre la mienne, mes jambes sont entre les siennes, à croire que j’ai une bite pour la baiser. Je ne sais pas trop comment j’arrive à mettre mon clitoris sur le sien. Nous bougeons en chœur pour prendre un plaisir inconnu.
C’est extraordinaire de jouir ainsi. Nos bouches sont toujours collées pendant que nous baisons.
Nous avons envie de faire un 69 comme font les filles entre elles. C’est simple à se placer, c’est assez facile de mettre sa bouche face au sexe de l’autre. Après tout c’est-ce que nous faisons avec nos hommes, même s’ils ont une queue à la place de nos vagins. Elle vient sur moi. Ses jambes sont ouvertes : je vois bien toute sa chatte. C’est beau un sexe de femme, surtout quand on va le lécher, le laver avec la langue et les lèvres de tout ce qui gêne. Je sens sa tête sur mon pubis.
Son souffle m’excite encore quand je le sens sur mon clitoris. Elle est mieux placée que moi pour que sa bouche soit sur mon sexe. Je sursaute quand je sens sa langue sur mon bouton.
Je la laisse faire, pour à mon tour trouver son clitoris. Je l’aspire comme j’aime qu’on me fasse. C’est seulement le bout de ma langue qui le frotte. Je l’entends gémir, je m’entends gémir aussi. Je ne sais pourquoi je lui mets un doigt dans le cul. Elle me rend la même chose : c’est bon, je vais jouir, je sens que ça va être fort. C’est fort pour elle qui part un peu avant moi en criant. Je ne crie pas, je jouis aussi fortement.
La machine a fini son lavage depuis longtemps. Nous allons nues, toujours sortir le linge pour le mettre dans une bassine. Nous nous embrassons une dernière fois, elle habillée, moi encore nue, ce qui me vaut une faveur sur la chatte et les fesses.
Nous devons nous revoir demain, chez elle. Nous continuerons ce que nous avons commencer: encore baiser entre femmes.
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Mon mari bande à m’écouter, sa main est sur ma chatte, il me branle depuis un moment il m’a faite jouir je ne sais combien de fois. Je l’ai masturbé aussi.
Dans la chambre, je me remets là où j’étais cet après midi avec mon amante qui le resteras longtemps. Il le sait alors il veut me faire jouir plus que les autres fois.
Il me la met dans le cul, je me masturbe comme j’aime. Nous jouissons tous deux.
Je pensais que c’était fini : non, il va essayer cette méthode nouvelle pour nous. Je suis les jambes ouvertes au maximum, il entre les doigts un à un dans le vagin qui se détends comme je ne le pensais pas ; Il me fait mal en entrant le poignet ensuite, c’est indescriptible : il va et vient dans le ventre. Je m’entends crier de bonheur et de plaisir. C’est bon, c’est meilleur que le reste. Je comprends pourquoi la voisine termine toujours par le fistage.

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