Ève Et Adam - Partie 1
Le soleil s'éloignait du midi lorsque je descendis du train. Ce jour là, le froid s'alliait aux picotements des rayons solaires au contact de ma peau. Il faisait frigorifiant et pourtant j'avais chaud. Je me retrouvai sur le quai 1, et marchais en direction du hall de la gare. Certes, il n'était pas des plus propres, mais son aspect lumineux réchauffait l'atmosphère sinistre qui y régnait. Cette gare, dieu seul sait si je la connaissais bien, mais jamais je n'y avais autant fait attention que ce fameux jour. Je regardai mon GSM et vis qu'il ne m'avait pas oublié, il m'attendait bel et bien comme prévu: "RDV ok ds la cour de l'école. JTM <3".
Je m'appelle Ève, je suis tantôt brune, tantôt blonde, tantôt rousse, tantôt carmin. Je ne suis pas grande, je mesure à peine un petit mètre soixante mais je possède tout ce qu'il faut où il le faut. J'ai une poitrine relativement modeste et un cul à faire bander tout mec qui me croiserait. Avec ces atouts, je n'ai pas peur de dire que j'aime m'afficher étant sexy. Que cela soit en mini-jupe, mini-short, jean ultra moulant, etc, j'aime voir les regards se poser sur moi. Et plus particulièrement ceux de l'objectif qui me prend en photo car j'aime être prise (au sens figuré comme au sens littéral) en photo.
Quand à ce fameux "il", on le nomme Junior, mais son nom est en réalité Adam Junior. Il mesure un peu plus d'un mètre quatre-vingt dix. Sa peau noire mate laisse entrevoir largement les courbes de ses muscles puissants et virils. Il fait du sport régulièrement puisqu'il est joueur dans une équipe de foot de Division 1. Il possède également une légère barbichette qui lui donne un air austère supplémentaire et qui, ma foi, me plait beaucoup.
J'arrivai après une petite dizaines de minutes de marche au point de rendez vous que l'on s'était fixé. Il n'était pas encore là. Je m'assis donc sur un banc de la cour de l'école et commençais à rêvasser. Dans le ciel étaient dessinées maintes et maintes formes que mon cerveau s'empressait de me retranscrire en images.
Je fus surprise lorsque Junior arriva dans mon dos.
- Ah, te voilà !
- Eh oui, j'avais un entretien avec le prof de sport. Il veut me faire entrer dans le comité de son.....
Je ne l'écoutai même pas. Je me levai et le pris à bras. Étant bien plus petite que lui, bien que je possédais des escarpins à talons de dix centimètres, je peinais à atteindre son visage; j'essayais, tant bien que mal de me hisser sur la pointe des pieds. Je sentis ses bras puissant m'enlacer, j'étais comme transportée dans un univers parallèle où seules les reines antiques ont un passeport. Nos lèvres se touchèrent et nos langues s'entremêlèrent le même instant. Nos langues dansaient sur le balais de la musique de nos curs.
Nous étions tous deux entrain de nous embrasser au beau milieu de la cour de l'école d'Adam, il fallait partir !
Nos bouches se descellèrent à mon grand regret
- Un ami m'a prêté son appartement pour l'après midi, on sera tranquilles. C'est à quelques minutes.
- Allons-y ! répliquai-je
Pendant que nous marchâmes, il me conta les histoires de la semaine dont il était acteur, les problèmes qu'il avait dans sa famille d'accueil, etc. Je l'écoutais avec la plus grande des attentions. Soudain, il s'arreta de marcher.
- Voilà. Nous y sommes.
Il pris alors les clés que son ami lui avait gentiment léguées et ouvra la porte.
Galanterie oblige, il me laissa entrer la première et, à peine eus-je le temps d'entrer dans l'ascenseur qu'il me prit par la taille et m'embrassa fougueusement. Il appuya au hasard sur les boutons et l'ascenseur monta mais ne fut pas le seul car sa bite, compactée dans son slip et son pantalon, commençait à prendre du volume. Je la sentis contre mon jean et m'imaginais déjà sa taille. Je commançai à me faire des films sur ce qui allait se passer.
L'ascenceur tressallit et nos bouches se quittèrent. Il me prit par la main et m'emmena dans le couloir.
Il me lâcha un instant le temps d'ouvrir la porte et me fit entrer.
C'était un sublime duplex avec vue sur la Meuse. Un vrai appartement de riche célibataire. Il était lumineux et dégageait une légère odeur de savon de Marseille. Le petit salon était composé d'une petite table basse et de deux sofas rouge éclatant. Une télévision dernier-cri nous regardait, accompagné de deux grosses enceintes. Il y avait en deçà du salon une petite salle à manger sur laquelle dormaient beaucoup de livres. À coté, un Pc portable contemplait la Meuse avec espoir de conquête et de liberté tout en travaillant au téléchargement que son maître lui avait fait faire.
Junior m'invita alors à m'asseoir sur le sofa et me proposa à boire. Le soleil frappait contre mon bras dénudé; j'avais chaud ! Je pris donc un verre d'eau qu'il vint m'apporter aussitôt. Il s'assit à mes côtés et nous discutâmes pendant de longues minutes de tout et de rien. Ses lèvres bougeaient pour faire sortir ses mots et son corps s'activait à mesure qu'il expliquait, les diverses contractions de ses muscles me faisaient littéralement fondre. Fondre à tel point que je ne l'écoutais plus au bout d'un certain temps.
- Mais soit ! Tu sais que tu es très sexy dans ce jean, ma petite Ève ?
Je le fuyais du regard comme une collégienne vierge.
Il mît sa main sur ma jambe et vint embrasser doucement mes lèvres frémissantes d'excitation. Nos langues s'entremêlèrent, se cherchèrent et se poursuivaient. Il quitta ma bouche et descendît sur mon cou qu'il embrassa et lécha comme il l'aurait fait avec une glace étant . Pendant ce temps, ses mains se baladaient sur mes seins, il titillait mes tétons par delà le tissu et je sentis en moi comme une vague de plaisir. Je me sentais mouiller comme une chienne en chaleur. Son sexe était gonflé et j'en profitais pour jouer avec malgré son slip son pantalon pendant que sa tête continuait toujours sa longue descente. Il était presqu'à mon nombril quand il changea de position et se mît à quatre patte à terre.
- Mmmmh. Oui ! C'est bon. Comme ça ! Oooohh...
J'halètais, je bougeais au rythme de ses coups de langue.
J'appuyais de toute mes forces sur sa tête pour le guider. Je me sentais peu à peu m'évader au pays du plaisir et des pêchés humains lorsqu'une vague d'orgasme me prit. Les soupirs et les saccades de ma respiration laissèrent place à un cri rauque que j'eus beaucoup de mal à . Mes jambes tremblèrent et se resserrèrent sur la tête de Junior.
- Aaaaaaah ! C'est trop bon ! C'est booonn! Je vais jouir ! Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiis !!
Je me relâcha à la grande satisfaction de mon Adam qui à peu de choses près, manqua d' mais qui, une fois à nouveau, réussissait son coup. Il me laissa tout de même le temps de me reprendre car j'étais au bord d'avoir une perte de conscience tellement le plaisir avait été intense.
- Eh bien ! Quand tu jouis; tu ne fais pas les choses à moitié toi !
Il se leva ensuite et me laissa dans ma position, les jambes ballantes le long du sofa, il avança un peu mon bassin au bord de celui-ci et mît un préservatif.
- Ahhh ! Oh oui vas-y ! Han, c'est trop bon !
Il entra et sortit plusieurs fois afin de bien préparer l'acte et commença alors à me buriner, au sens littéral.
- Tiens, encore. Han ! Hannn ! Oh oui, ta chatte est super serrée !
- Arrête de parler ! Accélère ! Ohhhhhh ! Ahhhh ! Oh oui ! Haaaaa !
Il accéléra et je m'abandonnai à nouveau à mes plaisirs féminins. Je sentis son pénis proéminent frôler ma paroi utérine et glisser en arrière pour encore rentrer et encore ressortir. Je ne savais plus où j'étais et, à peine eus-je le temps de me remettre des émotions de mon premier orgasme que déjà un nouveau vint me secouer. Je fus à nouveau transportée et envolée... Je criais des fragments de phrases.
- Ahhhhh !!!!!! Jouiiiir ! Encore !!! Vite ! Je jouiiiiiiiiiiiiis !!
Soudain, je m'écroula et perdis toute notions...
Quant à lui, il fit une pause. Il était transpirant, de petites gouttes de sueur perlaient le long de ses joues chaudes et de son torse nu. Il s'assit à mes cotés le temps que je reprenne mes esprits et nous discutâmes un peu.
Il m'expliqua, entre autres, qu'il avait du mal à éjaculer ce qui expliquait son absence de jouissance durant notre acte. Lorsque nous eûmes retrouvé nos esprits, il m'invita à nous diriger vers la chambre afin de ne pas souiller le salon qui; ma foi; était déjà dans un sale état. Un cadre était tombé de la table de salon à coté du sofa à cause de ses coups de butoir qu'il m'avait lancé et une petite lampe était couchée sur le parquet. Je délaissais mes habits aux cotés de la lampe et avançais dénudée vers la chambre dans les bras de mon Junior vêtue uniquement de mes talons-hauts...
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