Les Origines De La Saga Des Esclaves Au Château... (Épisode 47)
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
Suite des Origines de la Saga ... (de l'épisode 40)
- La fugueuse rattrapée (9) 1ère partie -
Ce matin, il règne un grand tumulte dans le Château. Seulement vêtu d'une longue chemise, Le Marquis de Sade est réveillé par le bruit des allées et venues dans le couloir, un brouhaha que même l'épaisse porte sculptée de bois précieux ne parvient pas à . Irrité, Le Marquis pousse, en se levant énergiquement dun bon Justine hors du lit. La jeune esclave est à son tour tirée d'un profond sommeil par le choc brusque de son corps encore chaud et ramolli contre la dalle dure et froide.
Elle n'a pas le temps de bailler, que déjà Le Marquis de Sade, son Maître, lui dit ...
- "Allons chienne ! Vas donc voir ce qui se trame ici ! "
Le ton est sans réplique. la jeune esclave sait qu'il n'est pas temps de faire sa pomponnée... c'est donc toute nue qu'elle sort de la chambre afin d'aller aux nouvelles. Sa plastique parfaite, dont elle ne dissimule rien, toute affairée par la mission dont elle est chargée, n'attire que peu de regards, tant les serviteurs et esclaves du château sont affairés déjà...
Enfin, c'est un valet un peu plus fainéant que les autres qui la saisit par un bras en voyant son regard égaré de biche éperdue. Il la force à stopper sa course sans but...
- "Eh, ma jolie ? Où cours tu donc ?"
Un instant décontenancée, justine le fixe sans chercher à dissimuler le moins du monde sa nudité.
- "Oh ! Je... mon Maître Le Marquis de Sade veut savoir ce qu'il se passe céans"...
- "Mais je peux tout t'expliquer ma jolie... inutile d'aller exhiber partout de si jolies appâts", glisse le valet d'un ton mielleux qui devient bien vite fielleux...
- "Je peux tout t'expliquer... mais bien sur, pas pour rien (sans lâcher le bras qu'il serre fermement, il glisse sa main libre entre les cuisses de l'esclave) .
Imperturbable, justine baisse les yeux. Son expérience de l'esclavage lui a ôté toute forme de fierté dès lors qu'il s'agit de servir son Maître.
- "Faites ce que bon vous semble, Monsieur, dès lors que je puis apporter à mon Maître la plus précise des informations"...
Décontenancé, mais comprenant qu'il va pouvoir assouvir son vice, le valet ricane...
- "quelle bonne petite catin que voilà ! (il bouscule justine pour la faire avancer vers un recoin plus sombre, à l'écart du désordre du grand couloir) ... Eh bien je m'en vais t'informer et en recevoir le prix !"
Le valet bascule la jeune esclave sur un buffet et se serre derrière elle, il délace ses chausses et son sexe déjà dur et tendu jaillit... Sans préparation, sans ménagement, il encule brutalement la soumise et s'active à la fourrer ainsi à grands coups de reins... tout en ahanant sous l'effort, il donne à justine les informations qu'elle est venue chercher... Puis dans les minutes qui suivirent, il se mit à éjaculer dans le fondement de lesclave à grands coups de verge et de râles
...
justine revient vers son Maître que l'autre soumise, juliette qui avait dormi par terre aux pieds du lit est en train d'aider à se vêtir et à genoux, justine lui fait le récit de ce qu'elle vient d'apprendre :
- "mon Maître adoré, ce tumulte est dû à une affaire grave qui a été portée dès les premières heures du jour à Votre Hôte Le Marquis d'Evans. Profitant de la nuit, une esclave qui vit dans une masure à l'écart du village le plus proche a tenté de s'enfuir. elle a franchi la limite autorisée pour son éloignement du domaine et a tenté de gagner les terres royales... Mais sa tentative a été déjouée grâce à l'observation d'un berger qui a signalé son errance par les champs et les bois. Les villageois se sont immédiatement mis à sa poursuite et en quelques heures, ils l'ont retrouvée. Acculée, elle a supplié qu'on la laisse partir mais bien sur, les paysans Du Marquis l'ont immédiatement entravée et ramenée jusqu'au village où elle a été entièrement dénudée et exposée au pilori.
Ayant revêtu Son habit, Le Marquis de Sade observe son esclave et remarque le sperme du valet qui sèche sur la croupe de justine... Il ne dit rien et laisse Son esclave poursuivre...
- "Bien sur Monsieur Le Marquis d'Evans allait Vous faire prévenir. Mais il attendait que tout soit prêt afin de Vous laisser reposer jusqu'au dernier moment. Il Vous attend dans le Grand Salon afin que Vous puissiez participer et jouir de ce qui se prépare. Voilà Maître, Vous savez tout"... prosternée maintenant, justine se tait... Un coup de badine frappe la croupe de la belle ...
- "Catin ! sale chienne ! ! tu as gaspillé ton temps à des activités lubriques !"
Mais Le Marquis a d'autres choses en tête... La perspective annoncée le séduit et il a hâte de rejoindre son vieil Ami Le Marquis d'Evans.
Il se penche et la saisit par le bras. Il la pousse ainsi jusqu'à l'extérieur de la chambre et interpelle un serviteur de passage
- "Hôlà faquin ! emmène cette putain jusqu'aux cachots et enchaîne la. Tu peux la fourrer, autant qu'il te plaira et si tu as quelques amis, qu'ils en disposent également... Allez va, ton Maître m'attend".
Et Le Marquis s'éloigne tandis que le domestique tout sourire pervers entraîne justine, hélant au passage d'autres serviteurs pour qu'ils l'accompagnent ou le rejoignent une fois leur tâche accomplie, afin de profiter au maximum de l'aubaine d'une si belle femelle livrée à leurs plus bas instincts...
...
Les Deux Marquis chevauchent de concert... Ils ont quitté le château, accompagnés d'une lourde carriole dans laquelle ont été entassés une dizaine d'esclaves mâles et femelles, nus et chaînés, qui se tiennent debout malgré les cahots du trajet. Le village est maintenant en vue et sur la place centrale on devine une grande activité. Une foule s'y est retrouvée, massée autour d'une sorte d'estrade dressée en son centre.
Tandis que le cortège du Châtelain s'approche, la scène en cours se révèle peu à peu. Sur l'estrade, à laquelle on accède par deux escaliers de part et d'autre, est fixé un pilori dans laquelle est emprisonnée l'esclave fugitive. Depuis sa capture, elle a été placée là, offerte à la vindicte de la populace. Car nul n'ignore que la fuite d'un esclave retomberait sur tous... Le Marquis, qui sait se faire aimer de Ses sujets, sait aussi se montrer d'une inflexible sévérité lorsqu'il est déçu. C'est pourquoi les habitants de Ses Terres sont toujours d'une extrême vigilance quant aux allées et venues des esclaves qui ne sont pas maintenus à demeure au Château.
L'esclave fugitive a dons été mise au pilori et depuis les premières heures du jour, elle est la cible de diverses humiliations ainsi exposée au pilori
Les Deux Marquis échangent un regard épanoui à la vue de ce réjouissant spectacle tandis qu'ils approchent. La foule s'écarte devant Leurs montures et ils arrivent tout près de l'estrade. Cris, jurons et insultes cessent immédiatement.
Le Marquis d'Evans descend de cheval et s'approche de l'estrade, fendant la foule qui s'écarte à Son majestueux Passage. Il monte sur l'estrade et contemple la femelle.
- "Qu'on détache cette chienne, je lemmène au château !" lance-t-Il
Immédiatement, des hommes extraient l'esclave du pilori et elle est traînée jusqu'à Lui et jetée au sol.
Enfin, sur un geste Du Seigneur, des valets en livrée pénètrent dans l'humble masure de l'esclave et en sortent les rares possessions que Le Maître lui avait permis de posséder... Une paillasse, quelques meubles bancals, quelques éléments dépareillés de vaisselle récupérés dans les poubelles des paysans libres, des couvertures élimées... Tout est jeté en un tas et brûlé. Dans les flammes qui crépitent et la fumée qui s'échappe vers le ciel, l'esclave voit s'estomper ses ultimes espérances...
Entassés dans leur chariot, n'ayant rien perdu du déroulement de la scène, les esclaves amenés du Château restent muets de frayeur.
Regardant la soumise à terre, le Noble sécria :
- Que lon mette cette catin avec les autres esclaves dans le chariot, dit le Marquis. Puis se tournant vers De Sade, il lui dit calmement :
- Je vous avoue qu'une belle chienne viendrait à point combler un certain besoin qui gonfle présentement mes chausses !"... Le Seigneur d'Evans acquiesce et tend le bras vers le chariot où s'entassent les esclaves. Parmi eux, une brune plantureuse, aux hanches généreuses, dont les seins lourds mais fermes se dressent fièrement...
- "Que diriez Vous de celle-ci cher Ami ? Quant à moi, peut-être vais-je enculer ce jeune gandin aux cheveux clairs qui tremble comme une feuille... j'aime bien sentir la peur dans le corps que je pénètre ! Et ensuite, si cela vous agrée, nous pourrions faire l'échange..."
- "Eh bien, mon Cher dEvans, voilà qui me semble un bon programme..."
- "Bien... allons donc, l'auberge du village nous offrira le gîte nécessaire, peu de luxe, mais propre ce qui est bien le moins ! Et ne tardons point, car le châtiment de cette esclave ne fait que commencer. et si je vous ai convié à ces prémices, ce n'est qu'une mise en bouche avant le morceau de Roi que je nous réserve... Vous l'allez voir mon Ami ! Mais d'abord, allons donc épancher nos désirs les plus immédiats. Nos prochains plaisirs attendront un peu que nous ayons goûté aux chairs fraîches qui n'attendent que Notre Bon Vouloir !"
...
(A suivre : - La fugitive vendue (9) 2e partie)
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