Rêve Qui Pourrait Devenir Un Jour Réalité ? 4eme Partie Ce Que Je Vais Écrire Ne Relate Pas Une Partie De Ma Vie.. Juste Un Fantasme, Mais Dans Ce Texte Il Y A Beaucoup De Moi, Il Y Aura Mon Âme
Me voilà depuis une semaine jour pour jour encagé, ca se passe relativement bien, même si je nai pas osé pratiquer de sport et si jai de forte douleur quand une érection survient. Durant cette semaine ma maitresse cest faite très rare ce qui ne ma pas beaucoup encouragé à vrai dire à me sentir au mieux, le week-end fut un week-end « de black out » ayant mes s. Malgré leur présence il fut interminablement long.
Une fois partis le dimanche soir, je me retrouve à me demander où jai mis les pieds quand le téléphone sonna.
-Mon soumis, tu vas bien. ?
-Bonsoir Maîtresse Ana, merci je vais assez bien. Mon cur faillit encore une fois se décrocher de soulagement
-Tas semaine fut bonne tu ne souffres pas trop dans ta cage ?
- Il ya des hauts et des bas, mais dans lensemble je la supporte
-As tu envie de lenlever ?
-Vous seule le déciderez Maitresse, cest votre envie qui compte. Même si je vous avoue que jai une forte envie de me masturber.
-Pas touche ! Tu ne fais rien qui puisse te donner du plaisir.
-Oui Maitresse, à vos ordres, Maitresse Ana.
-Que fais tu mercredi soir ?
-Maitresse vous le savez, le mercredi jai sport.
-et si je te le faisais sauter ?
-Je ne pourrais que vous obéir, Maitresse
-En échange tu te présenteras au 10 rue de la C
à 18H précise. Tu restes devant limmeuble et attends mon coup de fils. Et elle raccrocha aussi sec
Vais-je enfin la voir, la sentir. Je suis heureux, même pas eu le temps de la remercier. Je me précipite sur mon mail et lui écrit tout ma gratitude et mon envie dêtre déjà à Mercredi. Mon sexe se gonfle de désir, impossible de le contrôler mais malgré la douleur je suis heureux comme un gamin.
La nuit fut encore longue, impossible de trouver le sommeil, une envie terrible de me masturber mêlée avec limpatience dêtre à mercredi.
Le lundi passa sans nouvelle de ma Maîtresse, mardi idem. Mardi soir juste avant de me coucher, je reçois un texto : Demain pas de caleçon et tu porteras le chemisier blanc que je tai offert.
Le lendemain je me retrouve donc sans caleçon, bon ca jen avais lhabitude, mais à porter ce chemiser de femme sous mon pull, je létais beaucoup moins et cela promettais pour le reste de la journée. À 11h30 un SMS arriva : diète pour midi ! Je veux entendre tes entrailles ce soir. Ca continue, mon dieu, ou vais je mettre les pieds ?sera telle belle ? Désirable. ? Comment travailler avec cette femme qui envoute mon âme et me prend littéralement la tête ? Fin de journée enfin !! Je me presse pour arriver à lheure et comme à mon habitude jai une bonne vingtaine de minutes davance, malgré que je sois passé chez le fleuriste pour lui acheter des fleurs. Vingt minutes interminables cest long. Encore plus long quand votre maitresse en rajoute et ne vous téléphone pas à 18h00 comme espéré mais à 18h30 !!
-Tes la ?
-Oui maitresse en bas de limmeuble.
-Entre, tu montes au 4eme étage, porte de droit, tu entres sans sonner, tu refermes la porte, tu te déshabilles sauf la chemise tu trouveras devant un tabouret avec des accessoires tu les mets et tu attends débout.
Comme à son habitude pas le temps de répondre ca raccroche aussi tôt. Mon cur ne tiens plus dans ma poitrine, il tape tellement fort, je monte, arrive devant la porte entre-ouverte, la referme, commence à poser mes affaires et le bouquet damaryllis que je lui ai acheté, me retrouve rapidement nu et vois 4 bracelets que je mets aux chevilles et aux poignets, et il y a encore une chose en latex noir, que je ne connais pas, je le scrute. ? Une cagoule ? Oui cest ca une cagoule !je la prends la passe, pas évident mais cette matière est terrible. Ah mais lai je mis à l envers ? Je ne vois rien ! Il ny a pas dorifice pour mes yeux ? Mais pour le nez si et la bouche aussi ? Une terrible érection me survient ! Je ne vais pas voir ma maîtresse de suite et commençant bien à la connaître je ne pense pas la voir de la soirée. Je reste debout écoutant le moindre bruit.
-Alors je vois enfin de prêt mon jouet que je malmène depuis 3 mois.
Je reconnais ca voix, pas de toute
-Humm tes belle dans ton chemisier et ta petite cage. Me dit-elle visiblement satisfaite, et je te remercie pour les fleurs cest une délicates attention
-Par contre ce que je craignais est bien réel, ce petit ventre ne me plait guère mais je te confierai à une amie diététicienne qui sera remédier à cela.
Elle fait le tour de mon corps passe ces ongles sur ma chaire, soupèse ma cage de chasteté et commence à dégrafer le chemisier.
-Alors heureux de te retrouver devant ta maitresse ?
-Oh que oui Maitresse, être la devant vous est une récompense, Maîtresse Ana.
-Tu as bien raison, mais je pense que tu mérites dêtre là car tu as été jusque là bien obéissant, mais bon ce nest rien comparé à ce qui tattends. Tu le regretteras peut être. ?
- Je nai rien à regretter Maitresse, tout ce que je vis je lai souhaité et je vous le redis je suis prêt à vous obéir pour votre plaisir.
-Sache que je suis juste, que je cherche réellement ma moitié. Mais une moitié qui naura même pas la minorité dans mon couple. Je cherche un compagnon qui soit agréable dans la vie de tout les jours pour passer dagréable moment mais qui au premier claquement de doigt devienne un vrai jouet entre mes mains. Que cet homme mapprécie autant pour la femme que je suis que pour la Maîtresse. Je ne suis pas presser, jai déjà recalé beaucoup de candidat et pense que mon choix nest pas loin de sarrêter.
Jose une question
-Puis je connaître combien il reste de candidat
Pas le temps de finir ma phrase, que je reçois une gifle magistrale.
-tai je autorisé à parler ? Non alors tu la fermes et tu écoutes !
Son ton sec contraste avec la seconde davant ou elle parlait posément.
-Je disais, donc je recherche une relation sérieuse, pas juste une passade, je veux un vrai soumis mais qui soit à mon goûts et avec qui je prenne du plaisir tout les jours dans et hors BDSM. Quil soit capable de me proposer des activités, des centres dintérêts tout en sachant ce quil est réellement. Lidéal cest quil est une âme de joueur mais quil ne soit pas mauvais perdant car il ne gagnera jamais avec moi. As-tu compris ma démarche ?
-Oui Maîtresse Ane, je la comprends et laccepte volontiers car cest aussi ma recherche.
-Nas tu pas peur de ce qui pourrais tarriver, de ce que tu vas subir avec moi. ?
-Peur nes pas le terme, de lappréhension oui, je sais que je ne vais surement pas rigoler tout les jours surtout lors des phases dapprentissage mais je veux vivre cette vie Maîtresse, votre vie pour votre plaisir.
-Le discours est alléchant et nous allons voir si les actes seront de même. A genoux !!
Je me retrouve aussitôt à genoux dans cette entrée doù je nai toujours pas bougé. Elle me passe les mains dans le dos et les attaches ensembles grâce aux bracelets, se repositionne devant moi et me colle son entrejambe sur mon visage.
-Sens bien mon soumis, sens lodeur de ta maîtresse car tu devras la reconnaître entre mille. Ce que je tai pas encore dis cest que je suis une libertine, que jaime autant les femmes que les hommes et que tous mes amis savent la condition de mon futur compagnon, si je peux lappeler comme cela. !
Ma tête est plaquer contre son sexe, mais elle nest pas nue, elle doit porter une sort de jupe fendue devant en latex qui menveloppe et me fait frissonner. Jessayer dhumer toutes les odeurs que je peux, pour commencer à déjà reconnaître certain détail, mais elle me repousse, me disant quil fallait fêter cela, elle tourne dans le salon, va a droite, a gauche, puis reviens vers moi me poser au coup un énorme collier et y attache une laisse et me tire me faisant maffalé sur le parquet.
-cest quoi ce chien qui ne sais pas marcher à genou, relève toi et suis moi.
Elle me retire et ai toutes les peines du monde à la suivre. Elle me fait rentrer dans une pièce, me fait mallonger et me dis
-Nous allons trinquer à ta soumission, je nai pas osé aller trop loin lautre soir à la pizzeria même si jen avais envie et je sais que tu aimeras cela. Aller ouvre bien tas gueule mon WC !
Et des gouttelettes tombent en désordre sur mon visage puis sintensifient jessaye de diriger ma bouche vers ce liquide chaud et parfumé mais pas évident les yeux bandés. Son jet inonde mon visage, elle ne prend aucune retenue pour me permettre de boire, je pense quelle souhaite me baptisé de son liquide divin. Je bois au maximum, le jet se fait moins puissant. Les gouttelettes perlent, lodeur menivre, ma maîtresse bouge, déplace des objets, passe et tout dun coup son corps saffale sur mon visage
-Lèche bien, nettoies moi bien ma chienne.
Jexécute et mapplique à passer délicatement ma langue sur son sexe, elle savait quêtre son urinoir personnel et son papier toilette était la seule pratique que je sollicitais en échange de quoi elle aurait ma total soumission, je ne pensais pas quelle maurait donné accès à son divin liquide aussi rapidement, à moins quelle aussi apprécie plus que tout cela (japprendrais à mes dépends plus tard quêtre un urinoir nest pas si agréable que dans mes rêves). En tout cas je savoure ce moment où ma langue passe et repasse avec dévotion sur cette chaire si délicate et parfumée. Je bande comme un fou mais en souffre car je suis complètement comprimé dans ma cage.
-Mon salop, va falloir se contenir ! me dit-elle en regardant ma cage et en jouant avec mon sexe, ce qui a pour effet daccen lexcitation.
Impossible de répondre elle sest complètement aller sur moi, son poids mempêchant de parler
-Humm tu fais un bon siège, pointe ta langue pour me stimuler ! Comme tu vois jai un appétit certain pour la chose, et sache que toi seul ne me suffira pas.
Au moins cest clair mais de toute façon je ne demande pas lexclusivité du corps de ma maîtresse, juste sa complicité, un peu de son amour et de toute son imagination.
Je suffoque sous ces cuisses, mais na pas lintention de senlever de moi, elle bouge, joue avec mes seins, balance de droite à gauche ma cage
je suis en âge, à la limite de lévanouissement au moment ou elle se relève. Une bouffée doxygène salvatrice mais qui ne me permis pas de totalement récupère je me fis à nouveau tirer par la laisser me déplaçant dans la pièce et me faisant lever puis plaquer ventre au mur. Les mains et pieds écartés et attachés à des anneaux.
-mon petit soumis sache deux choses, ici tu nes pas chez moi, mais chez un ami dominateur, donc pas la peine de revenir mespionner en cachette, la seconde cest que tu va passer un sale quart dheure chose qui normalement narrivera que rarement, sauf si tu me manques de respects. Et à peine cette phrase finit un coup de cravache non retenue sabat sur mes fesses me laissant échapper un cri.
-Attention plus tu crieras, plus tu en recevras !
Et le second coup tomba non loin du premier. Je serrais les dents, ma maitresse le savais pourtant bien que je nétais pas maso, que ce genre de traitement était pour moi de vrai correction dans lesquelles je ne prenais aucun plaisirs. Le troisième fut encore plus fort.
-Tu dis merci Maîtresse !
-Bien Maîtresse !
Un quatrième coup plus fort. On dit merci me cris telle dun ton ultra sévère.
-Merci Maîtresse
Et les coups tombèrent, mes fesses mes brulent terriblement, je me convaincs de tenir bon que cest juste une épreuve à passer et que ce genre de ne se reproduirait rarement par la suite. A chaque coup je sorts de plus en plus difficilement un Merci Maîtresse entre mes dents de plus en plus serrées. Jai du en recevoir une bonne trentaine. Elle mavoua après quil y en a eu 35 ce qui correspondait à son âge. Mais hélas avant cette confidence, son supplice ne cest pas arrêté la. Mes fesses me chauffent plus que tout. Elle se met prés de moi et me passe ces ongles sur mon dos, sans aucun ménagement, elle évite mes fesses, mais descend de chaque coté de mes cuisses. Jai limpression quelle me laisse des sillons dans ma peau. Elle remonte prenant un chemin parallèle et arriver tout contre moi, me croque, cest le terme, le coup et lépaule comme si elle était un vampire. Je ne pu mempêcher de lâcher un nouveau cri de douleur, ce quelle attendait visiblement pour passer à la suite.
-Ah tu as crié et en plus tu ne dis pas merci, donc je continue, tant pis pour toi ! me dit-elle. Mais au ton de sa voix je comprends quelle nattendait que cela. elle me claque une fesse, oh malheur à moi, la douleur samplifie et irradie tout mon corps et je fais un effort surhumain.. Pour éviter de crier à nouveau et la remercie. Elle quitte la salle, je reste attaché, la fatigue se fait terriblement sentir, mes membres sont engourdis, ji très chaud, mes fesses me cuisent. Mais le répit ne durera pas longtemps, jentends ces talons sapprocher, mais restent à distance
soudain claquement se produit a coté de moi ! Je maffole, je comprends que cest un fouet
jai déjà eu une expérience de ce genre mais là je crains le pire entre les mains de cette femme si douce mais si sévère à la fois. Et à peine le temps de pensée à la douleur que le premier coup sabat sur mon dos, jétouffe dans mes dents un Merci Maîtresse mais je nai quune envie cest me soustraire à ces coups, me détacher et fuir mais si je le fais, si jose dire darrêter cela marquera certainement la fin de cette aventure et je ne veux pas car je suis persuadé que ce ne sera pas mon lot quotidien. Je décide donc daffronter ce fouet me cale contre le mur et comme on dit de laisser passer lorage. Mais la cest un ouragan. 35 nouveaux coups ont zébrés mon dos ponctué dun « merci Maitresse » très mal maîtrisé. A la fin de ce châtiment, elle me laisse encore de longue minutes attaché au mur, puis viens me « décrocher », mes jambes ne me tiennes plus, et je maffale au sol.
-Ca va me demanda-t-elle dune voix douce et réconfortante. Mais aucun son ne sortait de ma bouche. Je fais juste un hochement de tète
-Sache que je suis fière de toi, peu de soumis ne mont pas supplié darrêter ce traitement, pour moi cest une marque dune grande dévotion. Mets-toi à 4 pattes et approche.
Je me redresse et au lieu de mapprocher je suis plutôt tiré par la laisse pour arriver à nouveau entre ces cuisses, elle me fais poser ma tête, le nez sur son sexe, elle veut encore que je la sente pour que je sois totalement imprégné de son odeur ou est-ce plutôt une douce récompense ? Je pouvais juste comme cela deviner quelle est très excitée par la situation. Elle me caresse la tête et commença a ma parler delle , mais uniquement de son coté SM, quelle aime aller dans les soirées fétichistes, quelle a toujours voulu partager ce mode de vie avec un soumis mais quelle na encore que rarement trouver de soumis totalement compatible à ces envies ; le dernier en date lavait salement abandonner après 1 année de vie commune et quelle en avait souffert, que depuis elle prend de temps en temps des soumis pour assouvir ces envies mais quelle avait abandonné lidée de vivre une relation BDSM jusquau jour où elle ma parlé sur ce site . Je laurais touché et fait à nouveau avoir envie davoir un soumis régulier. Quelle a pris le temps avec moi, et quelle continuera à le prendre, quelle veut être certaine de moi et que le jour où je la verrais de mes yeux, sera le signe de ma première et dernière victoire sur elle. Mais que dici la il faut encore que je subisse quelques épreuves comme celle-ci. De mon coté je lécoute religieusement, mon nez planté de plus en plus loin dans son sexe car ces caresses faisaient pression dans ce sens. Elle me félicite pour ce début de soirée, que jallais pouvoir manger et me reposer un peu. Mon corps est endoloris de partout il me chauffe mais je suis heureux dêtre la entre ces sachant quelle paraît satisfaite de moi. Je lentends parler.
-Tes en bas ? Tu montes au 4ieme porte de droite.
Une personne arrive et moi qui suit nu, encagé, mon corps zébré et portant cette cagoule, mais qui peux monter comme cela? Cette femme est une joueuse dans lâme et prévoit tout pour me mettre dans des situations extrême. La porte sonne, elle se dégage de moi et ouvre.
-Bonsoir, entre nest pas peur, dit-elle à cette personne. Une voix féminine répond : « merci, je suis ravis de te revoir ». Cette voix me dis quelque chose et me fait tilt quand elle reprend: « je tai amené comme convenue 3 pizzas ». Cest la jeune serveuse de la pizzeria ! Mais que fait-elle-la ? Je suis toujours à 4 pattes dans cette pièce ma tête reposant sur le lassise du siège, je récupère mais minterroge toujours sur cette présence. Elles papotent, je lentends parler de ca tenue vestimentaire, de la domination. Quand tout dun coup je les entends arriver dans la pièce. .
Fin de la 4eme partie
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