Ma Femme Et Le Puceau
Je lavais espéré et elle la fait. Elle a fait quoi ? Me diriez-vous ? Et bien, je vais vous le raconter.
Lors de nos galipettes, jai souvent soumis à Claire, ma femme, le souhait quelle couche avec un autre partenaire que moi. Mais pas nimporte lequel. Jaimerai que ce soit un puceau, à vrai dire. Et comme fait exprès, depuis quelques semaines, un jeun stagiaire à été alloué à Claire.
Jai pu constater par moi-même, lors de mes visites, quil était parfait. Le garçon idéal pour réaliser mon fantasme. Réservé, doux comme un agneaux, mais aussi mignon, pour rien gâcher. Mais à présent le plus dur restait à faire. Lamorcer. Et pour ça je comptais bien sur les talents de Claire.
Après quelques cuisant échec, le jeunot avait enfin, pourrais-je dire, daignait mordre à lhameçon. Dès son arrivée ce soir-là, par son rayonnement, je sus que sétait fait. Elle lavait ferrée, et jétais impatient quelle se confesse.
Devant une coupe de champagne, elle se lança.
« Jétais en train de recharger la photocopieuse de papier, me baissant au maximum pour exhiber ma chatte nue sous ma jupe. Je prenais un plaisir pervers à troubler mon collègue qui devait, le soir venu, se branler en pensant à mon cul.
Cest alors, quil me prit fermement dans ses bras, avec cette audace folle que manifestaient parfois les timides, et mentraîna sur le bureau. Amusée, je me laissais guider.
- Jai envie de toi depuis le premier jour. Me dit-il, jai bien vu que vous ne portiez pas de culotte, ce matin.
Tout sest passé si vite que je ne trouvais pas les mots pour réagir. Je me vis coincé en compagnie du jeune homme qui commençait à me peloter avec maladresse. Il haletait en me regardant. Il fourra sa main sous ma jupe et me palpa la motte. Je me sentais défaillir. Heureusement que nous étions seul. Ses gestes gauches mexcitaient de plus en plus. Jaimais sa bestialité avec laquelle il me pétrissait le clitoris.
Jencourageant, je lui demandais quil me lèche mon bouton. Son mon conduite, il parcourut les replis de ma vulve avec application, allant là où je lui dictait daller. Puis comme laurait fait un coutumier, il guida sa verge tendue jusquà lentrée de son vagin inondé de sécrétion, et poussa dun coup sec. Je ne pus que magrippa aux rebords du bureau pour me tenir. Sa bite me défonçait à men donnait du plaisir. Je sentais son membre vivant en moi. En transe, le gamin se mit à minsulter comme pour se donner une conduite. Je prenait un plaisir intense à me faire humilier par ce garçon dordinaire sage. Puis il se retira en continuant de se branler.
- Montre moi tes nichons, salope ! Me lança-t-il. Je mexécutais, retirant mon bustier et mes seins jaillissaient, le bout dressé.
- Masse toi les, souffla-t-il en se masturbant.
De ma main droite, je malaxais un sein tandis que de lautre, je pressais mon clitoris. Je voulais le voir cracher sa purée. Puis je me mis à fouiller ma vulve. Je distinguais mes doigts entourés dun manchon de poils soyeux. Une épaisse bave engluait lentrée de mon vagin. Je nen pouvais plus, je me suis mis à délirer.
- Baise-moi, je ten pris
baise-moi, lui criais-je.
Il me pénétra et cela provoqua un bruit visqueux. Tout mon bas ventre se mit à bouger au rythme de la queue qui me pénétrait.
- Je me doutais bien que tu aimais ça, lentendais-je me dire.
- Oui, jaime ça ! Lui répondais-je, à demi inconsciente, tant ce quil me faisait me mettait dans tous les états.
Il était en sueur et ahanait. Je sentis soudain une crème brûlante fouettait les parois de mes entrailles. Il déchargeait, tout en continuant sa besogne, attendant peut-être que je jouisse à mon tour. Je me laissais aller à gémir pendant lorgasme ».
Toute troublante, je la fis sassoir à croupetons sur mon visage. Mon nez emprisonné entre les fesse, je suffoquais. Jagitais ma langue entre les lèvres épaisses du vagin de Claire. Faisant un maximum de bruit, je lapais le mélange de sécrétion et sperme qui sécoulaient. Un épais ruban de ce cocktail pendait sous mon menton.
- Cochon ! Tu dois être content ? Me lança Claire, tu as eu ce que tu désirais
Penchée en avant comme si elle urinait, elle se tortillait sur mon visage. Des sursauts secouaient son bassin, et elle jouissait. Lorgasme lui arracha des cris étranglés.
Elle avait bien mérité ce plaisir, non ?
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