Le Grenier

ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS

J’ai souvent imaginé me faire enlever, ne pas voir mon agresseur. Subir un peu, mais finir par tellement me débattre qu’il décidait de me laisser aller pour trouver une proie plus facile à manœuvrer. Je me suis rendu compte qu’il ne faut jamais imaginer à ce point. Car nos idées peuvent finir par se réaliser. Et c’est ce que j’ai découvert aujourd’hui.

J’étais partie me promener en forêt, pas très loin de chez moi, quand tout à coup, je sens des bras puissants qui me plaquent contre un arbre. Mes bras se retrouvent attachés dans mon dos et je me fais mettre une cagoule sur la tête et un foulard sur la bouche. Je n’ai même pas eu le temps de voir qui ça pouvait être, ni même de me débattre, que tout était fini. Je me faisais entrainer contre ma volonté vers un endroit exigu : j’étais coincée dans le coffre d’une voiture. Le trajet de voiture a été long, très long, du moins il m’a semblé. Il faut dire qu’une valise, ce n’est pas l’endroit le plus confortable. Durant ce trajet, je me suis mise à espérer que ce soit vous et non pas un inconnu qui m’entrainez vers une destination inconnue. Bien que la pensée que ce soit vous n’était pas plus rassurante. J’avais peur de ce que ça impliquait, mais au moins je n’aurais pas peur pour ma vie si c’était vous.

Le trajet se termine enfin. Je sens la voiture s’arrêter. Je panique un peu car je sais qu’on viendra me chercher. Le coffre s’ouvre et je sens qu’on me tire hors de la valise, puis qu’on m’entraine à l’intérieur. Je ne distingue toujours rien et le silence me semble interminable. Je n’ose parler de peur de recevoir une gifle, alors j’attends.

On m’enlève le bandeau et un doigt se pose immédiatement sur ma bouche pour me faire comprendre que je ne dois pas parler. Puis, je reçois un coup derrière les genoux et je tombe au sol. J’entends ensuite le bruit d’une fermeture éclair. Je ne bouge pas. Je reçois une claque sur la joue alors j’approche doucement car je ne suis pas encore sûre que c’est vous.

On lève le bas de ma cagoule pour rendre ma bouche plus accessible. Je commence à prendre la queue en bouche doucement. On m’att fermement la tête et je sens la queue disparaître bien au fond de ma gorge et y rester. J’étouffe. Je n’ai pas le temps de penser à rien, je ne fais que cherche mon air. Les mains ne me lâchent pas tout de suite. Puis, lorsque je peux enfin respirer je me dis qu’il vaudrait mieux que je m’applique. Mais je n’ai pas le temps de me rendre jusqu’à la jouissance de l’homme. On me pousse par terre et on me remet à genou.

Après quelques minutes, je sens un métal froid contre ma peau. Je le savais, je savais que c’était vous : ce sont vos foutus ciseaux médicaux. Mais juste au cas où ce ne serait pas vous, je ne bouge pas. Je sens les ciseaux faire leur chemin au travers tous mes vêtements. Mon cœur bat plus rapidement : en fait, il n’a pas vraiment ralenti depuis mon enlèvement dans les bois. Une fois nue et mes vêtements en lambeaux, je sens que l’on pince mes mamelons et il n’y a aucune douceur là dedans. Je gémi et reçois une autre claque sur la tête. Puis, on me remet debout et on me dirige vers une autre salle. Avec le son, je dirais que c’est une salle de bain.

- « Monte dans la baignoire et ne t’avise pas de bouger sale pute ».

Ça y est, je vous reconnais. Un stress de moins, je connais mon agresseur. Mais la diminution de mon rythme cardiaque ne dure pas. L’eau commence à couler sur mon corps : froide. Pourquoi gaspiller votre eau chaude pour moi? J’imagine que la encore, si elle avait été chaude, elle l’aurait été beaucoup trop. Pas de demi-mesure avec vous. Je sens ensuite votre main, dans un gant de crin, se poser sur moi. « Merde ça va faire mal ». Vous me frottez le corps énergiquement, de même que les fesses. Mais vous laissez le soin au pommeau de douche pour bien me rincer la chatte. Puis, l’eau se met à me couler sur le crâne et je commence à paniquer car j’ai toujours la cagoule qui me recouvre la tête.
Le tissu s’imbibe d’eau et il m’est de plus en plus difficile de respirer, mais je ne bouge pas : je sais ce qu’il m’en coûterait.

Vous me faites sortir de la baignoire et m’essuyez sommairement.

- « Je t’enlève la cagoule, mais té mieux de garder les yeux fermés sinon tu vas t’en rappeler longtemps. Je t’enlève aussi le foulard, mais ta gueule».

Je ferme les yeux forts, pour être certaine de ne pas les ouvrir, pour être certaine que vous voyez qu’ils sont bien fermés. Puis, vous me remettez un bandeau pour ne pas que je vois l’intérieur de votre maison (je présume que c’est la vôtre). Vous me passez mon collier au cou et y fixez la laisse. Vous me prenez par le collier puisque je ne vois rien et vous me conduisez ensuite au travers de la résidence, encore nue. Vous arrêtez quelques secondes pour prendre la laisse puis vous me faites monter les escaliers qui mènent à l’étage que j’imagine être le fameux grenier. Vous me traînez en laisse jusqu’à ma place et m’immobilisez les poignets ensemble à une chaîne suspendue à des poutres. Puis vous prenez mes chevilles et les fixez à une barre d’écartèlement pour ensuite attacher mes chevilles à d’autres poutres au sol. Vous m’enlevez le bandeau et mes yeux s’habituent tranquillement à la lumière dans la pièce. Puis, vous détachez la laisse.

- «Tu n’en aura plus besoin pour le moment ».
- « Monsieur, je vous demande pardon de parler, mais je veux juste dire que je n’ai pas donné assez de nourriture aux chats pour plus d’une journée. »

Je reçois une gifle.

- « Je t’ai dit de te taire, mais pour ton information et pour que tu arrêtes d’y penser, avant d’aller te chercher dans les bois je suis arrêté leur donner de la bouffe et rajouter une litière pour azur. Ils ont eu au total 10 cups de bouffe pour au moins 5 jours. Alors arrête de stresser et que je te vois pu ouvrir la bouche, compris? »
- « Oui Monsieur ».

Je frissonne un peu, nue dans ce grenier.
En plus d’être stressée, il faut dire que la douche froide n’a pas aidé.

- « Ok avant de continuer, je te donne le droit de parole si tu veux dire quelque chose… après c’est fini. Ton droit de parole te sera supprimé. Outre pour dire des « Oui Monsieur », et autres phrases d’usage et de politesse. »
- « Merci Monsieur. Puis-je avoir une couverture pour le moment de dormir et j’aimerais bien boire de l’eau. Et sans vous forcer, il faudrait que je prenne ma pilule vers 17h tous les soirs pour ne pas tomber enceinte. »
- « Avec verre de champagne et lit confortable? Non mais, tu n’es pas au Ritz là. Pense tu que je vais passer mon temps à répondre à tous tes petits caprices? (« Non, Monsieur »)… mais comme je t’avais permis de parler, tu auras ce que tu veux, au moment voulu (« Merci Monsieur») ». Donc, tu en as rêvé longtemps, ça commence maintenant. Ah. Et avant que j’oublie. Ici, le safeword n’existe pas. Tu n’auras aucune échappatoire dans ta tête pour te dire que tu peux tout arrêter. JE décide. Et moi seul. Toi, tu subi et c’est tout. Voila.»

Je n’ai même pas le temps de penser à tout ce que ça représente, que vous passez derrière moi et sans prévenir, je reçois plusieurs coups de cravache un peu partout sur le corps. Vous installez ensuite des pinces sur mes mamelons.

- « Tu sais que je met ma vie de côté pour te dresser et qu’en plus j’ai dû aller te chercher dans ton trou perdu pour un aller-retour. Sais-tu au moins la chance que tu as? »
- « Oui Monsieur. Merci de m’accorder autant de temps en dressage. »
- -« 260km donc 26 coups de cravache de plus, et tu les comptes. »

J’essaie de me contrôler, je ne veux pas briser si vite. Je compte tous les coups et vous remercie, mais vous avez vu mes yeux changer pendant que je pensais à me contrôler.

- « Ah oui, tu veux jouer à ça ».

Vous installez donc une corde sur les pinces pour relier les deux mamelons. Puis, vous tendez la corde et la tenez avec vos doigts.


- « Je t’ai dis que si je n’aimais pas ton attitude ou tes regards, tu y goûterais. Donc, si tu ne veux pas dormir avec, tu sais quoi faire ».

« Merde de merde, je peux pas faire ça. Ça va m’arracher les mamelons. Ça fait longtemps qu’ils sont accrochés. Mauzuss, je ne veux pas tirer moi-même là dessus. C’est presque cruel de me donner ce choix là. Mais, si je ne le fais pas, il va vraiment me laisser dormir avec et demain ce sera pire. Merde. » Je me tire par derrière et je réussi à arracher les pinces de mes seins. « Ouch ».

- « Bon tu vois, tu es capable de plein de chose quand tu veux. »

Vous me détachez ensuite et me rattachez plus bas : une chaîne à mon collier. Puis, vous me donnez un bol d’eau et je lape et aspire tout pendant que vous quittez la pièce. Je vous attends ensuite, toujours attaché par la laisse.

Vous remontez rapidement. Trop rapidement à mon goût. Je n’ai même pas pu faire un bilan de ma journée. Voir ou j’en étais rendu. Mais je crois que c’est un peu ce que vous voulez : ne pas laisser mon côté rationnel prendre le dessus. Vous vous penchez vers moi :

- « Le repas est servi. (2 grill-cheese et compote de pomme) Dis-toi que tu as de la chance de manger ça, car ca ne sera pas toujours le cas. Et je te conseille de tout manger. Tu auras besoin de force et de toute façon, on ne gaspille pas ce qu’un Maitre prend la peine de faire pour sa chienne. »
- « Oui Monsieur. Merci Monsieur » (C’est trop de nourriture, mais je ne dis rien de plus.)
- « O non, non, non. On va régler un autre truc avant. Depuis le temps que tu es à moi. Et surtout dans cet endroit. C’est fini les jeux de petite fille pas prête. Je représente qui pour toi? (« Mon Maitre »). Ben traite moi comme tel. Je ne suis pas n’importe qui, je suis ton Maitre. Ne l’oublie pas. »
- « Bien Maitre »
- « Bon, tu peux aller manger. »
- « Merci Monsieur. »
- « Quoi? Non mais, tu fais exprès. C’est toi qui l’auras voulu. »
- « Désolé Monsieur, heu pardon, Maitre, je dois juste m’habi. »
- « Ben té mieux de t’habi vite, car ici, je ne serai pas le plus patient. »

Vous prenez ma nourriture et la renversez sur le plancher. Vous marchez ensuite sur les pains et renversez ma compote sur le tout. Vous approchez ensuite de moi.

- « Je ne serai pas trop dur, puisqu’il est vrai que tu dois t’habi. Donc 10 claques sur chaque fesse. Oui, 10 et ne me fais pas ces yeux la. Tu es ici pour finir ton dressage. Je ne fais pas les choses à moitié et tu le sais. Tu comptes les coups et me remercie à chaque fois. J’espère pour toi que tu vas finir par retenir mon nom. »

Je sens la première claque. (« 1, Merci Maitre »). C’est de plus en plus douloureux, mais je ne bouge pas. Je vous trouve même un peu indulgent car vous n’y allez pas aussi fort que d’habitude. Je vous en remercie dans ma tête. (« 8, Merci Maitre »). Oh que la je n’aime pas ça, on arrive vers la fin. Je sais que vous vous donnez toujours plus à la fin. Mais je dois être calme et résigné. Je dois apprendre. Faites que ce soit rapide, faites que ce soit rapide. C’est toujours pire quand vous prenez votre temps car je ne sais jamais quand le coup va venir. Je passe mon temps à l’appréhender. Vous me donnez les deux dernières claques rapidement et je vous en remercie mentalement. J’ai de la difficulté à prononcer mon compte et mes remerciements, car je ne pense qu’à la douleur des derniers coups. Mais je me dépêche tout de même à vous remercier.

-« Bonne chienne, va manger maintenant. Tu peux utiliser tes mains et n’oublie pas : mange tout. »

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