Le Cousin De Mon Futur Beau Père
Cétait il y a quelques années, ma copine 25 ans et moi 27ans décidons de passer quelques jours dans les Alpes de Haute Provence. Un des cousins veuf du père de ma copine qui avait une grande maison et avais lhabitude de recevoir des touristes nous proposa un fort agréable séjour.
Apres un éprouvant trajet dans ma Renault 5, sous la chaleur caniculaire à une époque ou la climatisation dans les voitures nétait pas répandue, nous arrivons sur place. Nous sommes très chaleureusement accueilli par Guy, que je ne connaissait pas. Cétait un homme de 55 grand et massif très bronzé, rouge de visage avec une calvitie prononcée sur le haut du crâne qui compensait avec la taille de son énorme moustache châtain. Ce qui finissait de lui donner un air débonnaire. En effet, des les premiers instants Guy nous témoigna beaucoup de bienveillance afin que lon soit à laise et comblés par notre séjour dans sa maison qui était la notre. Il me témoigna une sincère affection, étant donné que jallais faire partie de la famille. Apres avoir appris que je jouais au rugby, ce qui lenchanta, Il complimenta ma copine en disant que jétais un solide et brave garçon et mappela dès le départ fiston.
Il nous affecta le rdc de sa grande maison en nous assurant quil restait à notre disposition. Que nous les gens de la ville, qui plus est de Marseille, ont besoin dêtre à laise. Conscient et respectueux de notre intimité de jeune couple, il se mit au service de notre bien être de façon sympathique et attachante en nous disant sur le ton de la franchise que si la nuit était sacrée pour des jeunes il fallait avant quon partage notre bonheur avec les amis et la famille si nous le voulions bien. Nous dînâmes tous ensemble. Donc ce premier soir,. Il avait invité comme prévu des amis , des membres de la famille de ma copine quelle navait pas vu depuis longtemps.
Enfin seuls, nous décidâmes dhonorer le grand lit « nuptial » qui trônait dans la grande chambre face à la petite fenêtre aux volets couleur lavande.
Jéprouve une certaine gène , pour ne pas dire une certaine culpabilité par rapport à cet homme de 55a veuf qui vit seul et qui est si sympa. Nous les jeunes qui sommes si désinvoltes. Il me demande ce dont jai besoin, je lui dit que je souhaiterais prendre de leau fraîche. Il minvite à prendre le thermos bleu qui se trouve dans le réfrigérateur en me précisant quil lavait préparé pour nous mais quil avait pas osé nous déranger. Bien que dun naturel très cool, je rougis un peu
Guy toujours attentionné me regarde alors avec tendresse et me dit :
- Sois pas gêné fiston ! c est de votre âge ! Puis rajoute
- Tu sais jai été jeune et marié pendant presque 30 ans tu sais
- Profitez en au maximum quand vous êtes jeunes ! Goutez à toutes les expériences !
Sur ce, soulagé et heureux, je rejoints ma copine et lui fait une dernière fois lamour « pour la route » du sommeil
Le matin, vers 5h je suis réveillé par le chant de ce qui semble être un coq ! Ma copine est toujours dans les bras de Morphée ! Hum, mon érection matinale est carabinée ce matin et cest dans les bras de ma copine que je voudrais être ou plutôt bien ancré au plus profond delle ! Je ne sais si cest lintense chaleur, lair de la campagne ou les conseils de Guy, mais jai une envie de prendre la vie à pleines dens et de bourrer à qui mieux mieux !!!
Ma copine étant insensible à mes avances, je décide de prendre ma douche.
Jenfile alors un short et un t shirt et me dirige vers la cuisine. Quel plaisir de voir Guy qui déjà levé, nous a préparé un petit déjeuner royal : des tranches de pain de campagne, des toasts, des fruits frais, plusieurs sortes de fromages de la région, une ribambelle de pots de confitures maisons. Encore gêné, je lui dit quil fallait pas se donner autant de peine et que devant rester chez lui une semaine je ne saurais pas comment le remercier et jaurais trop honte dr ainsi de tant dhospitalité ! Il se mit à rire et me dit :
- Tu sais fiston ! ma maison est réputée et sans fausse modestie les gens viennent parfois de très loin pour gouter aux plaisirs complets que je leur offre !
Puis voyant que ma copine dormait toujours, je décide de prendre mon petit déjeuner et daccompagner Guy
Il nous verse un grand bol de café, beurre dénormes tartines et ne demande de me servir. Nous buvons le café. Sa bonne humeur fait chaud au cur, on sent tout de suite une profonde empathie avec ce grand gaillard. Il allume alors une cigarette roulée et minvite à en faire autant, je lui dit que jai laissé mon paquet de cigarette dans la chambre et que je ne veux pas réveiller ma copine. Il va chercher son paquet de Gitanes et men propose une. Je le remercie poliment mais cest trop fort pour mes poumons lui dis je. Il me dit alors quil aime bien comme ça le matin pour se détendre fumer un peu de lherbe que ses s laissent après leurs séjours ici. Je lui dit que cest bien mais que jen ai jamais pris ! Il me propose dessayer, jhésite puis crânement comme si je devais être à la hauteur du rite initiatique que me fait subir le membre le plus ancien de la famille, je tire 3 ou 4 bouffées puis lui rend en le remerciant de cette expérience. On déjeune de bon cur, jécoute ses histoires
Et je suis bien.
Il est 9h, quand je décide daller voir si ma copine dort toujours .
Mais ce matin , bien que câline, elle me dit quelle est en retard , quelle doit prendre sa douche et quelle a promis à ses cousines daller au marché ensemble. Un peu surpris et déçu, tel que lon peut lêtre trop rapidement à cet âge là, jarrête mes avances net. Elle shabille sans même prendre de douche, leffrontée qui mabandonne ainsi dès le premier jour ! A la déception fait place une forte contrariété ! Elle le sent et amusée vient membrasser et minvitant sans conviction à venir avec elle tout en me demandant mes clefs de voiture ! Ah ces maudites nanas !. Blessé ! je décline son invitation et lui dit que je vais un peu dormir en attendant quelle revienne. Elle me dit quelle sera de retour vers 14h puis senfuit comme si elle était impatiente de retrouver un amant !
Je suis donc là, à 9h30 couché la queue en lair comme un con, dans le pieu qui a abrité nos ébats torrides de la veille. Par la fenêtre et les volets mis clos rentre une douce lumière tamisée et une légère brise.
Quelle garce ! tu vas voir ce que tu va prendre dans le con pour mavoir pris pour un con ruminais je en silence. Jétais chaud brulant comme si cela faisait une éternité que javais pas éjaculé. Ah jeunesse ! jeunesse ! Je maudissait en commençant à me branler toutes ces connes de nanas ! Au bout de 5 mn lesprit encore bouillant, je dirige un de mes doigts vers mon anus humide puis le lèche pour mieux le faire rentrer ! Hum cest divin ! alors je pense que ce serait encore mieux avec du gel .
Je métends alors sur le dos et menduits généreusement le fion de gel et commence à me branler aussi vigoureusement par devant que par derrière
Cest bon mais pas assez pour me faire pleinement jouir
il me faudrait une bonne chatte et pour être complet une bite dans le cul ! Mon regard tombe alors sur la corbeille de fruits de Guy doù dépassent, pour la saison, de gigantesques bananes. Il faut pas gâcher me mets je à penser de façon perverse. Je me saisis de la plus grosse et longue que je sépare des autres et lapproche en la frottant sur mon ventre des profondeurs de mon intimité.
Je reprends ma partition à 2 mains et le fruit senfonce avec délice dans fion
Hum c est bon, je suis au bord de lextase, je ne sais si cest les bouffées que jai tirées au déjeuner avec Guy mais je mabandonne sans retenu et sans crainte aux plaisirs qui me submergent et mon esprit qui ségare balaie avec mes yeux la solitude de cette chambre jusquà ce que mes yeux se fixent sur la fenêtre ouverte.
A travers les volets mis clos, je distingue alors avec effroi, 2 yeux immobiles qui regardent vers ma direction .Je suis pétrifié une main sur la bite et lautre qui tient encore la banane que je me suis piteusement enfilé dans le derrière . Comme ne sont pas censés le faires les vrais mâles ou bête à 2 trous ! Les femelles en comptant 3 de trous !
Enfin plus que piteux, je me sens devant le regard immobile de Guy qui est aussi figé que moi . Le temps sarrête ! Haletant, mon cur se met alors à battre encore plus fort dans ma poitrine poilue ruisselante de sueur
Que va faire Guy ?
Que vais-je bien pouvoir lui dire ?
En un éclair, comme avant de pousser le dernier soupir avant la mort je revois dans mon esprit en accéléré tous les événements de la veille, puis je me vois menfuir à toutes jambes vers la voiture qui nest plus là, me disputer avec ma copine qui est dégoutée
Je crois, quimmobile, Guy lit alors en même temps mes pensées. Puis il ouvre en un éclair les volets, enjambe la fenêtre avec beaucoup de dextérité pour son âge , mais je ne suis quau début de ma surprise quand à la vigueur de celui que je considérais jusqualors comme un papy.
Puis après avoir clos les volets vient vers moi et sarrête devant le lit debout de toute sa masse devant moi qui a lair franchement con .
Il me regarde avec un regard tout aussi immobile et me dit :
- T es un Pd ?
- Non ! balbutie je encore tout rouge
Cherchant des explications qui ne viennent pas et qui compte tenu de la situation serait aussi grotesques que cette dernière.
Il se dirige alors vers la porte et donne un tour de clef, puis il déboutonne délicatement sa chemise à carreaux en laissant apparaître un puissant poitrail gorgé de soleil avec des épaules larges et des pectoraux volumineux presque aussi imposants que ceux dune nana mais qui avaient lair beaucoup plus durs comme de lacier. Jentrçois un gros nombril creux avec un volumineux bouton au milieu avant quil ne descende son short et son slip kangourou sur ce chevilles laissant apparaitre un énorme barreau de chair dressé à lhorizontale.
Puis il rajoute à mon attention :
- Je suis pas déçu que tu sois un Pd Fiston ! au contraire ! Si tu sais être compréhensif et accueillant je le serais en retour en me taisant ! ceci sera notre secret à tous les 2 !
Il finit dôter slip et short et dirige alors son sexe long et épais vers ma bouche . Maintenant ma tête de ses 2 mains énormes dagriculteur, Il commence à se branler dans ma gueule comme un satyre .
Toujours confus, mais quelque peu soulagé par la tournure que prennent les événements, je me dis que si à mon tour je soulage copieusement ce cousin indiscret de ma copine, cela scellera surement un pacte ou tout au moins une complicité qui me sauvera dune situation beaucoup plus embarrassante.
Beaucoup plus sur de moi, jentreprends de plus belle un magistrale pipe. Le bougre sen donne à cur joie et me défonce la bouche jusquau plus profond de la gorge. Manquant plusieurs fois de m tant le morceau de viande est abondant, je constate quil est entièrement épilé. Je le suce pendant de longue minutes ainsi . Moi couché sur le lit et lui debout puis je me retire et me décale au milieu du lit .
Il vient alors sur le lit ,enjambe mon corps et vient enfoncer à califourchon son bâton de berger dans mon gosier en prenant appui sur la tête de lit.
Il se déhanche de façon lubrique en de brutaux coups de reins tout en prenant appui aves ses bras musclés et bandés comme sa bite.
Il me tronche la gueule à grands coups de queue comme sil tronchait une chatte !
Puis au bout dun moment, toujours dans loptique de le combler pour mieux renforcer notre « union « de circonstance, je dégage non, sans peine son vier de ma bouche et entreprends de lui lécher les couilles. Elle sont grosses et bien collées au scrotum tout aussi glabres que tout le reste de son corps. Quand je tente de descendre jusquà sa raie, surpris il se recule et me regarde avec ses beaux yeux verts noisettes inondés de mépris et me lance:
- Sale Pd ! je vais tenfler comme un gonzesse ! salope de Marseillais !
Puis tel un taureau en rut, il descend son bassin contre le mien se dégage, pioche dans ma sacoche une capote et me la tend ! Bêtement jhésite un instant entre ma bite et la sienne pour enfiler la capote !
Quelquun va être effectivement enfilé, mais de toute évidence cest moi !
Ainsi préparé, il prend la banane délaissée sur le lit et vient la fourrer dans ma bouche puis il écarte et relève mes cuisses très haut et après avoir fortement craché sur mon starter vient se positionner « en pôle position » . A la levée de dau sans attendre quil retombe, il appui sur le champignon et senfonce plein gaz sur la piste des mes entrailles !!!
De douleur, je mords la banane à pleines dents. Sans perdre une seconde, il poursuit sa course effrénée sur la piste qui va le conduire à la victoire ! Des pensées obscènes massaillent, jessaie de les chasser et de me concentrer sur le plaisir qui commence à remplacer la douleur.
A lidée que cet homme qui a lâge de mon père est en train de me prendre moi qui pourrait être son fils, jimagine mon père en train de bourrer ma mère de la même façon puis mon futur beau-père qui ressemble un peu à Guy en train de me saillir tout aussi brutalement !
Pour finir jimagine et ressent le pire : le fils profondément ensemencé et souillé par son géniteur dans un diabolique coït doublement contre nature . Sur ces pensées extrêmes, je largue plusieurs jets de foutre gluants sur mon ventre trempé.
Toujours en se servant de mes pieds et de mes jambes écartées en lair pour rester en équilibre, Il accélère son déhanchement endiablé puis rouge de rage exulte :
- Tes quun sale Pd ! Une pute ! tu te fais mettre comme ta copine ! et rajoute : Cest ta copine que jai envie denculer ! Comme jai enculé sa mère y a bien longtemps ! chui peut être son père !
- Tas intérêt à pas moufter et bien donner ton cul de PD que je vais bien remplir ! sale cochon !
Sur ce, il donne un dernier coup qui marrache un cri avant de lâcher mes jambes et de venir sécraser contre moi en expulsant bien en moi telles de magiques étincelles fertiles de bonheur sur lesquelles reposent lavenir de lhumanité en un flot continue. Jai le carburateur noyé et le joint de culasse pété et littéralement le moteur en feu .
Comme lisant dans mes penses il crie dans un râle bestial :
- Prend mon jus grosse pute ! tiens je te remplis de foutre grosse truie !
Nous restons ainsi unis bien profondément lun dans lautre. Puis il fait mine de se réveiller. Comblé, je le regarde. Il me sourit un peu puis lorsque je menhardi à rapprocher mes lèvres des siennes, il se recule avec effroi et de façon brutale racle sa gorge et menvoi un mollard en pleine figure en me traitant de sale bâtard avant de me décocher une magistrale gifle.
Humilié au plus profond de ma chair et surtout dans mon amour propre, je comprends que le combat pour préserver ma dignité de jeune mâle auprès de ma copine et de sa famille ne pouvait être gagné quen renonçant à ma dignité de male auprès de Guy. Je me devais donc dêtre bien un mâle déchu être une bonne femelle docile qui par son silence préserverait la dignité de cet homosexuel refoulé.
Si tant est quil y aurait pu subsister un doute, le dernier geste de Guy dissipât complètement celui-ci.
Il décula dun coup sec comme pour me faire encore plus mal , enleva avec dégout la capote pleine presquà la moitié de sa semence de paysan quil vidât sur moi avant de rajouter :
- Tu te laves pas ! Je veux que mon foutre sèche et te pénètre pauvre con !
Tu es bien sage et tu fais comme si rien cétait passé ! compris la tarlouse ?
- Oui ! Guy !
- A partir de ce soir ! fiston ! je veux que tu baises tous les soirs ta copine fenêtre ouverte et volets mi clos ! puis tattend quelle sendorme pour venir te faire fourrer comme un porc dans la cave ! Cest compris rugbyman de mes 2 ?
- Oui Guy ! je mappliquerais à vous satisfaire tous les 2 ! répliquais je avec déférence et crainte
- Ah la bonne heure ! Tu vas voir des queues cest mieux quune banane ! Encore que vu la taille de ta chatte qui ressemble plus a un garage à bites, jai limpression que je ne suis pas le premier !!!
Effectivement, Guy nétait pas le premier ni même le dernier !
Après avoir aidé en cuisine, comme un apprenti dévoué ce faux cul qui mavait bien remplis le mien et lui avoir dit que ma copine rentrerait quaprès le déjeuner je fus généreusement farcit par ce cuisinier hors pair qui me remplit la bouche et le cul de concombres et de carottes avant dy fourrer sa saucisse dans toutes les positions sur lépaisse table de la cuisine ! Pour loccasion et pimenter encore plus le festin de ce lubrique cousin de mon futur beau père, je fus ainsi niqué pendant ¾ dheure en portant des bas et un porte jarretelle
Ma copine est rentrée joyeuse, nous avons tous passé une merveilleuse journée, tous pour des raisons différentes au demeurant.
Jespère que les voisins nont pas été intrigués par la lumière émanant du soupirail de la cave vers 1h30 du matin. Le spectacle grandiose dun jeune et fougueux amant qui après avoir longuement comblé sa copine se fait bourrer par tous les orifices par un étau limeur sur létablis de la cave et qui tel un soldat vaincu et souillé par lonction gluante de la défaite va retrouver le repos du guerrier auprès de sa compagne donnait à ce séjour provençal des allures de grande débauche pour ne pas dire dextrême luxure.
Une semaine à tirer, cest le cas de le dire !
Mais ceci est une autre histoire ! vraie
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