Passer Son Permis : Une Histoire De Cul.
A 21 ans, j'avais enfin décidé de passer mon permis. Non pas que j'avais la flemme, je pensais juste être vraiment mauvaise en conduite, comme la plupart des filles...!
1e jour d'auto-école, voilà qu'on me présente mon moniteur, Viggo. Gigantesque, cheveux très courts, 28 ans à peine, pas ment très beau de visage mais il avait ce quelque chose d'extrêmement viril voire intimidant dans le regard. Il faut dire qu'il était aussi drôlement bien baraqué. Sa voix est roque et sa poignée de main ferme comme je l'imaginais. Une fois assise dans la voiture, je m'aperçois qu'il a un tatouage sur le bras. Il a vu que je regardais et me dit :
"- tu aimes les tatouages ?
- plutôt oui... (je suis devenue toute rouge car en réalité les tattoo, ça m'excite)
- si tu te débrouilles bien aujourd'hui je t'en montrerai d'autres."
Je n'osais pas imaginer s'il y avait un sous-entendu derrière cette phrase... Viggo m'intimidait tellement que je ne répondis pas et mis le contact.
Ma première conduite se passait plutôt bien
Il nhésitait pas à me recadrer quand ça nallait pas et parfois, il avait la main sur ma main pour maider à changer de vitesse. Dans ces moments-là, javais la chatte en feu. Finalement il mordonna darrêter la voiture : « Bon ça va ce nétait pas si terrible. Tu as bien mérité den voir un autre. » Il souleva son t-shirt et baissa légèrement son pantalon pour laisser découvrir un autre tatouage dans le creux de ses reins. Mon regard sattardait sur ses abdos sublimes et ses hanches musclées. « A demain, si tu es gentille tu en verras plus ! » et il me fit un clin dil.
En rentrant chez moi le soir jétais complètement bouleversée. Je repassais dans ma tête les images de son corps parfait et jétais persuadée quil devait avoir une sacrée bite. Allongée sur mon lit je sentais ma fente toute mouillée et je ne pu mempêcher de la toucher. Les jambes écartées et la culotte sur les chevilles, je me mettais des doigts bien profond en imaginant que cétait la queue de Viggo.
Le lendemain je me levais en pleine forme, impatiente de revoir mon moniteur sexy. Je me pomponnais et mis une mini-jupe + des chaussettes qui montent jusquau-dessus des genoux en espérant que ça allait lexciter. Il faisait une chaleur terrible dehors et alors que jattendais que Viggo arrive, je déboutonnai légèrement ma chemise pour laisser entrevoir mon soutien-gorge. Ma nuque était perlée de sueur et je trépignais dimpatience. Quand enfin il arriva, il ne prit même pas la peine de regarder ma tenue et me dit de monter dans la voiture. Jétais bien déçue. Une fois assise, je remarque quil me déshabille du regard
« Cest une tenue pour conduire ça, Mademoiselle ? » Je me mis à rougir comme jamais mais il fit un grand sourire pour me montrer quil plaisantait. La conduite se passait comme prévue et je commençais à avoir très chaud au bas ventre de savoir quil me dévisageait. Tout à coup, alors quon était à un feu rouge, il posa sa main sur ma cuisse. Jétais complètement paralysée. Puis sa main se glissa sous ma jupe et vint se loger entre mes cuisses. Javais le cur qui battait à 100 km/h ! Délicatement, il me caressa le clito à travers la culotte alors que jécartais un peu plus les jambes. Je commençais à me lécher les lèvres et à haleter tout doucement.
Le feu passa au vert, il retira subitement sa main. Sur le trajet, il ne fit aucune allusion à ce qui venait de se passer et resta très pro. Quant à moi jétais toute mouillée et ne tenais plus en place. De retour à lauto-école, il me dit : « alors, quest-ce que tu veux voir cette fois ? » je nosais pas lui répondre « ta queue » mais comme sil avait lu dans mes pensées, il commença à déboutonner son pantalon. Il sortit son énorme bite de son caleçon (elle était encore plus grosse que dans mes rêves). Apparemment je lavais bien excité avec ma petite jupe car il bandait très dur. « Elle te plait ? me dit-il, tu peux la toucher comme je tai touché tout à lheure si tu veux ».
Le lendemain, je mhabillais très sexy. Jétais trépignante dimpatience et mouillais déjà beaucoup en imaginant ce quil pourrait me faire. Une fois dans la voiture il fut très froid. Je ne comprenais pas ce changement de comportement mais faisais ce quil me disait. Peu à peu je maperçus que nous nous enfoncions dans des petits chemins de campagne déserts alors quil mindiquait où aller. Puis il mordonna de marrêter là. Nous étions en plein cul de sac, dans un bout de forêt. Je le regardai : il avait un sourire et un regard particulièrement pervers. Il déboutonna son pantalon et en sorti son énorme sexe, toujours aussi raide que la veille. « Suce-moi maintenant ». Cétait tellement brutal, jétais choquée ! Mais jen avais tellement envie quil ne me fallut pas longtemps pour obéir à ses ordres. Je me penchais sur son siège et commençai à lui lécher le gland. Sa bite frémissait sous mes coups de langue et je lavalai toute entière. Avoir un tel engin dans la bouche mexcitait terriblement et je gémissais alors que ma culotte se trempait de mouille. Lentement, jallais jusquau bout de sa queue et manquais de m, je serrais bien mes lèvres autour de son gland et redescendais. Viggo aimait ça et il prit ma tête avec ses deux mains pour lappuyer. Il guidait mes mouvements alors que je lentendais me complimenter sur ma bouche à pipe et javais quant à moi la chatte de plus en plus en feu.
Il me regarda et me dit « jen ai pas fini avec toi ma belle, je très envie de te faire les fesses, elles mont lair bien serrées ». Jamais on ne mavait enculé auparavant et lidée davoir son énorme sexe dans mon petit trou me fit peur. Mais jen avais terriblement envie moi aussi. Sans même quil ne me le demande, je me mis à quatre pattes entre 2 sièges et je lui dis « vas-y, fourre moi, jai envie que tu me la mettes dans le cul ». Il me répondit : « Tes une vraie petite salope, je vais te faire crier tu vas voir ». Son sexe était déjà redevenu tout dur et jétais quant à moi excitée comme jamais. Il plaça son gland à lentrée de mon cul et commença par le frotter tout doucement contre. Il me donnait des fessées en même temps, ce qui me faisait hurler. Il me murmurait que jétais une chienne qui aimait les grosses bites et il avait tout compris. Jadore quon minsulte. Puis, il écarta bien grand mes petites fesses et rentra tout doucement son gland.
Tous les jours, Viggo et moi allions dans ce coin perdu et il me labourait le cul. Il ne ma jamais pris par la chatte, jaimais trop quil mencule. Quelques semaines plus tard, jeus mon permis et je ne revis plus jamais mon moniteur sexy.
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