Le Grenier 2

ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS


Je me penche vers le plancher et décolle les pains du plancher pour manger. Les pains sont un peu détrempé par la compote, mais ce n’est pas le temps de jouer la difficile. Sinon je vais les avaler de force ou me passer de nourriture. Comme je ne sais pas quand j’en aurai d’autre, aussi bien manger le plus possible. Je mange et nettoie le sol de mon mieux. Vous avez l’air satisfait.

- « Monsieur. Maitre, pardon, Maitre. Puis-je vous posez une question? »
- « Tu t’es bien repris. Vas-y »
- « Puis-je aller au toilette ? »
- « Pense-tu sérieusement que chaque fois que tu voudras aller à la salle de bain, je vais te descendre en bas. Non, mais tu rêves. Au fond du grenier, tu as une gazette ou un seau. »

Vous détachez la chaîne du collier.

- « Merci Maitre, mais je vais me retenir encore.»
- « Comme tu veux »
- « Bon viens ici. Et monte sur la table. On va te nettoyer un peu. »

Vous m’attachez les bras sous la table et remontez mes jambes de chaque côté de la table. Sans prévenir, vous insérez un tube dans mon cul.

- « Bon, pour que tout soit propre et présentable on va te donner un petit lavement. Je te laisse te remplir doucement et je vais me chercher à manger. Quand j’aurai fini de manger, tu auras le droit d’aller à la salle de bain. Tu es vraiment chanceuse. J’espère que tu le sais. En attendant, relaxe-toi et laisse le liquide entrer en toi. Et ne laisse rien sortir de ton cul. Tu gardes tout jusqu’à ce que je te permette de te vider. Je te plains si tu n’y arrives pas. »

Vous descendez les escaliers et me laissez me remplir seule. Je commence à stresser, je ne sais pas combien de liquide je peux garder en moi. Mais je sais que ça donne vraiment mal au ventre. Je dois tenir, je dois tenir. Mais je ne sais même pas combien de temps je dois le faire. Vous allez chercher votre souper, mais avec le temps de le préparer et de le manger, j’en ai pour un bout.

Ouff, ça commence à être pas mal rempli là. Mais je vois que la poche d’eau est presque vide. Je vous vois remonter et espère déjà pouvoir aller au toilette, mais vous ne me regardez même pas, et vous allez vous asseoir à distance pour manger. Moi, j’attends, sans un mot. Mon ventre se tord, mais je ne veux rien dire. Ça ne changerait rien de toute façon. Je ne veux pas faire de bruit pour ne pas vous déranger. Vous vous mettez un peu de musique pour finir le repas. Et moi, je souhaite constamment que ce soit votre dernière bouchée. J’ai maintenant vraiment mal au ventre. Vous vous levez pour venir me détacher et me conduire à la salle de bain. Mais j’ai vraiment de la difficulté à descendre de la table à cause des crampes. J’essaie de me dépêcher le plus possible avant que vous ne perdiez patience.

Vous me faites descendre les escaliers en me faisant regarder mes pieds et je reste au bas des marches le temps que vous descendiez. Puis, je vous suis toujours en regardant vers le sol. Vous me faites entrer dans la salle de bain et vous me faites mettre à genou à côté de la toilette pendant que vous déposez votre assiette sur le comptoir du lavabo.

- « Je crois que tu as oublié quelque chose, alors on va recommencer pour être sûr que tu vas t’en souvenir. Où sommes-nous? (« dans la salle de bain Maitre ») Où voulais-tu aller tout à l’heure?
- « Je suis désolé Maitre, je suis désolé, j’ai oublié »
- « Réponds à la question »
- « Je voulais aller au toilette Maitre »
- « Alors on va t’amener au toilette. Tu ne pourras pas dire que je ne fais rien pour toi après ça. »

Vous me prenez la tête et l’enfoncez dans la cuve de toilette deux fois.

- « Tu veux encore aller au toilette petite chienne. »
- « Non, Maitre. Je voudrais aller à la salle de bain. »
- « Tu es mieux de t’en rappeler cette fois. Car l’eau ne sera pas toujours propre. »
- « Oui Maitre. Merci Maitre. »

Vous me laissez à la salle de bain pendant que vous allez porter votre assiette.

- « Fais ça vite. »
- Oui Maitre

J’entre dans la salle de bain et me dépêche d’aller à la toilette. Oh que ça fait du bien. Et en plus je n’aurai pas à aller sur ma gazette cette fois-ci. Puis, je sors de la pièce en gardant les yeux au sol. Vous me faites remonter les escaliers et me demandez de retourner sur la table. Vous m’attachez à nouveau.

- « Maintenant que tu es propre, on va regardez tout ça de plus près. »

Vous insérez un speculum en moi. Et vous l’ouvrez le plus possible pour voir l’intérieur de mon vagin. Vous allez toucher aux parois internes. Vous me montrez à l’aide d’un miroir à quoi ressemble ma chatte. Et soudainement, vous crachez en moi. Je vois votre salive qui se répand partout en moi. Je trouve ça vulgaire, mais j’aime en même temps. Puis, vous enlevez le tout et recommencez avec un spéculum anal. Vous recommencez le même processus, en prenant un peu plus de temps pour ouvrir mon cul. Puis, vous me montrez mon anus et crachez à l’intérieur. Là encore, j’aime l’image. Même si un spéculum dans le cul, ça fait un peu plus mal que dans le vagin.

Vous retirez le tout et prenez le gode anal grosseur moyenne. Vous me l’insérer dans le cul avec beaucoup de lubrifiant. Ça fait mal et ça tire, mais je le connais un peu donc j’essaie de me calmer. Habituellement, je joue avec mon clitoris pour m’aider à faire passer la fin du gode, mais là vous ne voulez pas. Vous voulez que ce soit moi qui me calme par moi-même. Ça fini par entrer. Puis, vous insérez un dildo dans ma chatte. Puis vous quittez. Je ne sais combien de temps je reste remplie ainsi, mais cela me semble long.

Vous remontez ensuite et vous enlevez le dildo et le gode. Vous me montrez ensuite un plus gros gode anal.

- « On passe aux choses sérieuses. Donc, ne contracte pas chienne, sinon ça va faire mal et ça va surement . Même dans ce cas, je n’arrête pas. Alors à ta place, j’essaierais de m’aider à le faire passer.

Avec beaucoup de patience et de temps, vous finissez par l’insérer en moi. Je ne bouge pas, c’est énorme. J’ai l’impression d’avoir le cul complètement dilaté. Vous insérez à nouveau le dildo pour que je sois remplie au complet.

- «Tu vas rester comme ça un moment. Ça va t’aider pour de future double pénétration. Car ma chienne doit être capable de tout prendre. Tu attends que je revienne et tu en profites pour réfléchir à ta condition de soumise.

Encore une fois, vous me laisse gémir toute seule et vous quittez la pièce. Je passe beaucoup de temps à gémir et à essayer de me relaxer. Mais je me sens tellement pleine de partout. Puis, je me calme et attend patiemment votre retour.

Vous revenez et m’enlevez le dildo et le gode. En prenant encore le miroir pour me montrer mes deux gros trous. Puis, vous entrez plusieurs doigts dans mon cul et faites un va et vient. Oh que c’est bon. (« Merci Maitre »). Vous prenez ensuite le dildo et me défoncez le cul avec. Que c’est intense, j’aime et en même temps je voudrais le sortir de mon cul. C’est trop de sensations en même temps. J’ai de la difficulté à penser. C’est ce que vous voulez.

Puis, votre cellulaire sonne. Cela semble important car vous répondez sur le champ.

- « té chanceuse petite chienne. Je dois te laisser un long moment. Je te laisse donc dormir si tu en as envie. A ta place, c’est ce que je ferais pour reprendre des forces le plus vite possible. Je te remets le gode par contre. Je te veux dilater en ce moment. Ton cul aussi doit apprendre à s’ouvrir pour moi. Et à le rester. Voilà un peu d’eau avant de dormir. Bois tout. Et maintenant, tu voulais une couverture. Je t’avais dit que je t’en donnerais une, alors voilà.
Mais pour bien te faire comprendre que tu ne décides rien ici. Que tu es sous mon pouvoir et non pas une petite princesse qui peut avoir ce qu’elle veut. Tu vas voir qu’ici, c’est ce que JE veux qui compte. »

Vous mettez la couverture sur moi et videz une grosse bouteille d’eau sur nous. C’est froid.

- « Je t’ai fait plaisir en te donnant cette couverture, que je ne te vois pas l’enlever. Je te donne quelque chose. Tu es mieux d’être reconnaissante. Maintenant, dors. »
- « Oui Maitre. Merci Maitre » dis-je en frissonnant

Et je m’endors avant même que vous soyez parti.