Mon Amie Chérie
Surtout fait gaffe aux filles. On me répète ça presque tous les jours, depuis que j'ai une quinzaine d'années. A force j'en ai assez, d'autant plus qu'une jeune voisine venait s'installer: elle avait tout juste 16 ans, j'en avais 17. J'avais un peu flirté, j'en profiter pour essayer d'aller plus loin avec elle. Macache, elle ne voulait pas de moi. Je faisais tout un cinéma avec elle. Le temps passe vite, quand elle avait un peu plus de 18 ans, j'essayais encore une fois de l'approcher, cette fois avec une idée fixe en tête: il me la fallait. Comment faire quand on a tout juste 19 ans ? Je ne pouvais quand même pas la bloquer dans un coin, la forcer à m'embrasser et baiser. Je ne me sens pas du tout l'âme d'un violeur.
Un après midi, j'allais au cinéma voir un de ces films en relief dans un multiplex. Je installe au milieu de la salle, pour bien profiter du spectacle. Une jeune personne s'assoit à mes cotés. Je n'y prête pas attention. Après la publicité guère plus intéressant qu'à la télé, les lumières s'allument pour l'entracte. (3 minutes). Je regarde cette jeune femme. C'est ma surprise: ma voisine. Je lui souris, elle me le rend. Je me décide à lui parler j'ai juste le temps de lui dire que je la trouvais belle que le film débute. Comme certains films à grand spectacle, celui-ci n'est intéressant qu'en bande annonce. Je ne peux m'empêcher de soupirer d'ennui. Ma voisine, décidément décoincée me demande si j'ai envie de sortir de la salle.
Bien sur que j'ai envie, surtout si c'est avec elle. Nous voilà devant cette salle immense. Que faire ! Je connais un bon moyen, je lui propose d'aller nous promener un peu plus loin dans un jardin public pour bavarder. Demander à une fille de bavarder est une bénédiction des dieux: elles adorent ça. Nous trouvons facilement un banc totalement isolé. C'est moi qui ai choisi cet endroit.
Enfin seuls. J'entame la conversation par une sujet neutre: les études. La voilà parti dans la description de son lycée, de ses profs, de ses copines.
- Je vous trouve très sympathique.
- Merci, vous l'êtes aussi.
- Et en plus vous êtes très belle
Elle rougit, attend un moment pour continuer
- Vous n'êtes pas mal non plus.
- Merci, je vous trouve plus que belle, vous être très attirante.
Silence gêné. Je dois être le premier à le lui dire. Elle ne sait plus quoi dire. Je m'approche d'elle, lui murmure que je vais l'embrasser. Elle se tourne vers moi, l'air presque embarrassé. Tant pis pour elle, je pose mes lèvres sur les siennes: en tout cas elle ne se dérobe pas. J'essaye de rentrer ma langue dans la bouche. Je dois forcer pour le faire. Quand j'y arrive sa langue ne fait rien pour venir à la rencontre de la mienne. J'arrête mon baiser:
- Je dois être le premier à vous embrasser, non ?
- Oui, c'est vrai, j'ai bien aimé.
- Si on recommençait ?
Elle me tend sa bouche je lui mets à nouveau ma langue dans le bouche. Cette fois elle a comprit l'astuce: nous nous faisons un vrai baiser d'amoureux.
- C'était plus agréable que le premier, me dit-elle.
- C'est toujours comme ça la première fois.
- J'ai encore envie, embrasse moi.
Nous sommes passés du vousoiement à tu. Bon début.
J'aimerai aller bien plus loin qu'un simple baiser. Je réfléchis vite: si je suis le premier à l'avoir embrassé je vais être le premier pour tout. Je préfère aller doucement vers le principal.
Nous continuons nos baisers de plus en plus longs. Le temps passe vite: elle doit rentrer. Avant de nous séparer, en bas de chez elle, naturellement elle me donne rendez vous pour le lendemain après midi.
Je lui caresse le genou d'abord, je monte très lentement vers son paradis. Elle garde les cuisses presque fermées. J'ai tout juste la place pour trouver son bouton à travers sa culotte. Je le caresse un bon moment avant qu'elle se détende complètement en m'embrassant à pleine bouche. A ce moment là seulement écarte les jambes, juste pour me laisser passer la main. Je peux enfin soulever son vêtement, chercher en plus de son clitoris son entrée secrète. J'y entre deux doigts sans aller bien loin, elle est vierge: je n'ai pas envie de lui faire mal. Je mets mon pouce pour lui caresser le bouton. Elle gémit un peu. Je sens mes doigts à l'intérieur de sa moule serrés quand elle jouit. Elle pose sa tête sur mon épaule en disant:
- C'est bon ce que tu m'as fait.
- Si tu veut je recommence.
- Oui, encore.
Je ne me fait pas prier, je la branle encore une fois: elle jouit toujours. Je bande comme un âne, Je lui prends une main pour qu'elle la pose sur ma queue bien tendue dans mon pantalon. Elle me masse sans trop savoir que faire. Je lui demande de descendre la fermeture éclair pour arriver à mon sexe: je n'emplois pas encore de mot trop crus. Elle arrive enfin à prendre une décision qui me ravit: elle sort d'elle-même mon gourdin. Elle s'extasie devant ma queue pas si énorme que ça: normale simplement. Elle voudrait bien faire quelque chose, mais quoi ? Je lui tiens a main pour lui montrer comment me faire jouir: elle apprend vite à me branler. J'ai sorti un mouchoir pour ne pas jaillir n'importe où. Elle me masturbe avec une attention que je ne pensais pas possible: elle regarde ma bite, avec attention.
Je constate:
- Merci, tu m'as bien fait jouir.
- Tu veux que je recommence?
- Tu sais un homme ne peut pas rester raide après avoir jouit, il lui faut un moment de repos.
Maintenant que nous jouons à touche pipi, j'ai besoin d'aller bien plus loin. Je lui demande de venir chez moi: je dispose d'une chambre isolée où elle peut venir sans crainte.
- Nous y serons bien mieux pour nous faire ce genre de choses.
- Je veux bien, promets moi de me respecter.
- Je ne t'ai pas respectée, jusqu'à présent,
- Je crois oui.
- Alors à ce soir.
Je ne pensais pas la voir le soir même. Elle savait bien où était ma chambre par je ne sais quel miracle.
Nous nous embrassons encore. Je la fait asseoir sur le lit, la caresse, commence à la branler pour arrêter à mi chemin. Elle me demande de continuer. Elle serait bien mieux couchée, non. Elle se couche sans problème. Je lui passe mes mains sur ses seins. Je lui dégrafe son corsage: elle se laisse faire, comme elle accepte que je lui enlève son soutien gorge. J'embrasse sa poitrine: elle a des seins magnifiques, durs à souhait, aux tétons déjà raidi par le désir. Je sais qu'elle est consentante pour la suite. Je ne veux pas la brusquer. Je commence à me déshabiller: quand elle me voit nu, elle me regarde comme si j'était la huitième merveille du monde. Il faut dire que je bande pas mal. Elle m'att par la queue, commence à me branler, lentement.
- Viens me caresser entre les jambes: j'en ai envie.
- Oui, mais avant il faut que tu sois nue aussi.
- D'accord.
Elle se déshabille devant moi, sans trop de pudeur, s'allonge, écarte les cuisses:
- Viens me faire du bien.
- Tout le bien ! Tu sais ce que ça veut dire ?
- Bien sur, tu va me dépuceler: j'en ai envie !
- Avant je vais te faire quelque chose que tu vas aimer. Écarte les jambes.
Elle écoute fort bien. Ses jambes ouvertes je peux enfin aller goûter à sa cyprine: je lui lèche depuis les genoux en remontant vers son clitoris.
Je me pose entre ses jambes. Pour cette première fois elle me demande de faire attention. Je commence une très lente pénétration. J'arrive à sa membrane. Je m'y arrête un long moment.
- Vas-y, je te veux totalement en moi
- Je vais te baiser, embrasse moi.
- Je vais t'embrasser quand tu me l'auras mise au fond.
Je pousse ma pine à fond dans son con. Elle pousse un léger cri. Je fais mes aller et venue. Enfin elle gémit. Elle gémit de plus en plus fort. Enfin elle pousse un léger " je jouis" presque inaudible.
Je sors d'elle avant de jouir. Elle me vois toujours bandant, me demande des baisers, ce que je lui fait. Enfin elle veut me prendre dans sa bouche. Au début je pensais elle voulait encore ma langue que sa bouche. Pas du tout: elle veut ma queue.
Je m'allonge près d'elle, elle vient embrasser le bout de la queue avant de descendre à la main le prépuce. Elle me masturbe presque. Enfin elle avale presque ma bite. Je sens sa langue sur mon gland. Je lui dis qu'elle va me faire jouir. Elle me garde dans la bouche au moment où mon sperme gicle. Je croyais qu'elle allait le cracher. Elle le garde, me regarde bien dans les yeux et le déguste avant de tout avaler. Elle m'étonne:
- Pourquoi ?
- Pourquoi, quoi ?
- Pourquoi tu as avalé mon sperme.
- Parce que je t'aime et j'ai aimé ton goût.
Me voilà avec une fille qui m'aime alors que pour moi elle n'est qu'un réceptacle. Si elle m'aime je vais en profiter.
Le soir suivant nous sommes à nouveau nus sur le lit: je viens de la baiser, elle a jouit. Elle me demande de la sucer: elle prend vite goût aux bonnes choses. Elle veut me rendre la même chose. J'ai envie de son cul. Elle savait bien que je finirai par le lui demander. Elle ne dit pas non. Pour elle c'est un nouveau dépucelage. Par contre elle ne sait par trop comment ça fonctionne. Je lui demande de se mettre en levrette, de se mettre de la cyprine sur l'anus: elle m'excite quand je la vois faire sur son cul. Elle est totalement détendue, alors que j'attendais le contraire. Quand je pose ma pine sur son cul, je lui dis que je vais rentrer. Elle me demande d'y aller franchement. Je ne veux surtout pas qu'elle ait mal cette première fois. Je rentre très lentement dans son anus qui s'écarte. J'arrive à passer tout mon gland. J'arrête à ce moment là. Je la laisse "digérer" ma queue. Enfin je la lui mets à fond. Je la sens jouir autour de ma queue. Je ne peux plus me retenir: je jouis à mon tour dans son intérieur. Je sors d'elle la queue encore un peu bandée: elle me veut aussitôt dans la bouche. Je débandais, elle arrive à me faire bander encore et me suce somme jamais. Je jouis dans sa bouche. Elle se plaint du peu de sperme.
Je n'arrive pas à la larguer. Je ne l'ai pas larguée: nous sommes mariés simplement.
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