L'Auberge Des Trois Bouffons
" LAuberge des Trois Bouffons "
Elise chérie, ce soir je suis en mal de toi....
Je sais, jolie chérie que ce soir tu pourrais avoir tous les hommes du monde à tes pieds et surtout entre tes cuisses... Cela à la fois mexcite et me rend jaloux
Je naurais jamais du te laisser partir ce soir et aller à cette soirée dentreprise
Jai dit oui, sur le moment parce que je savais que tu en avais très envie et que je taime trop pour te refuser quoi que ce soit, mais maintenant je le regrette.
Vingt fois jai eu envie ce soir daller "planquer" près de "lAuberge des Trois Bouffons" où tu festoies avec tes collègues, hommes et femmes, histoire de savoir avec qui tu allais sortir sur les coups de une ou deux heures du matin, pour aller texhiber puis te faire baiser dans quelques coins de hangars ou banquettes de voitures, comme cela test arrivé tant de fois au cours de nos soirées de débauche.
Mais ce soir, ce ne sera pas moi, linstigateur, le "gérant" de ces situations et jen suis un peu jaloux et même très malheureux. Est-ce que ce sera une femme, un homme, ou plusieurs, qui te serviront de chevaliers servants ou de faire-valoir ce soir ?
Ce sera peut-être une femme, cette fois ? Cela me rappelle étrangement la Durand, tu sais pour le dernier réveillon de la St Sylvestre où cette femme mûre, perverse et très expérimentée, que nous surnommions "La Durand", tavait "assistée" dans ta débauche
Ou encore notre intervention à Amsterdam, il y a 2 ans où tu tétais surpassée, te souviens-tu dans les sous-sols de la "Taverne à bières", où la grande hollandaise blonde et sculpturale, te suivait partout pendant que tu te faisais emporter et baiser par tous les hommes, elle narrêtait pas de técarter les fesses pour te montrer aux autres, te langoter lillet, et y branler les vits des hommes qui y déchargeaient rapidement et abondamment, dont elle léchait ensuite avidement le foutre dans ta fente culière.
Bref, je ne puis mempêcher de penser à tout cela ce soir, et la jalousie de ce fait, métreint un peu
Je sais que tu avoir des opportunités, ma salope...
Il est maintenant 21h15, je sais que vous êtes à peine à table et que pendant les toasts, tes jambes, tes fesses tes hanches, ton joli minois et tes seins ont déjà fait lobjet de toutes les convoitises muettes mais appuyées de tous les hommes et de beaucoup de femmes... Cela me rappelle encore - décidément jai le temps ce soir de toutes les évocations ! - de cette superbe femme, magnifique blonde a qui tu avais tant plu lors du colloque de Strasbourg en janvier 2008, et qui, lors de la soirée conviviale que tu avais pas mal arrosée, tavait suivie aux toilettes et tavait proposé un peu daide pour relever ta robe de soirée. Elle tavait matée et caressée furtivement les hanches, les seins et lentrejambes... Ensuite, mavais-tu raconté très excitée, elle s'était retournée, avait enjambé la cuvette des toilettes et sétait masturbée, debout, et très retroussée, passant la main dans son slip et se frottant les fesses à toi qui te rajustais... Elle avait, mavais-tu dit, déchargée abondamment, tombant à califourchon sur la cuvette et écartant son slip, pour laisser sépancher la cyprine chaude et abondante...
Donc, vous venez juste de passer à table et je sais que ta robe bleu-marine qui thabille et te moule si bien, fendue sur le côté jusquà largement mi-cuisses, est déjà passablement relevée sous la table. Sans doute Jean Marie, parce que je sais quil est là, et sûrement assis en face de toi, avec Mireille à sa gauche et Thérèse à sa droite... Peu importe... Jean-Marie donc, a déjà dû très certainement faire tomber quelque chose pour reluquer tes jambes sous la table et plus sil la pu.
Est-ce le petit gris et blanc que je tai offert pour notre soirée de mars ? Celui qui te va si bien et qui te moule à merveille la motte et lentrejambes ? Est-ce le joli blanc en dentelles que tu avais lautre soir quand tu tes masturbée devant le voyeur dans le couloir de lhôtel à La Baule ? Ou bien est-ce plutôt celui à pois rouges et dans lequel tu as pissé sans vergogne laprès-midi du 15 août à Royan, sous la pinède... Jaurais dû rester avec toi pendant que tu thabillais
Oui, jaurais du !...
Sans doute, telle que je te connais, ne te prives-tu pas décarter largement les cuisses assise comme tu les... Pour être plus à laise, sûrement, mais aussi pour ne pas manquer tout ce qui pourrait "passer" sous la table !... En tout cas jimagine parfaitement le tableau, layant vu et vécu 10 fois, 30 fois. Mais jen redemande et je ne men lasse pas, crois-le bien !!
Vas-tu reprendre la stratégie du Cap dAgde - ou plutôt de Lattes - que tu avais si bien utilisée ce soir de Juillet 2005, où tu as entraîné sur la plage pour le bain de minuit, les 3 hommes et moi. Tu te souviens, il y avait la belle et pimbêche dAgnès qui cherchait Franck son mari partout, le pensant au billard, puis au cinéma ? Tu nous avais entraînés, Franck, Régis, Michel et moi, sur la plage de Palavas-les Flots, il était plus de minuit... Là dans la lumière blanche et luisante de la pleine lune qui se reflétait dans la mer, tu as dansé pour nous et devant nous, en silhouette sur la mer, éclairée en contre jour par la lune... Cétait à la fois divin et surréaliste !... Tu dansais avec la finesse et la fraîcheur qui te caractérisent... ondulant des hanches, cambrant le buste et ta coupe, relevant ta petite robe dété à fleurs, toute légère, montrant ton petit slip brésilien que je savais orange, mais qui nous apparaissait, à nous, brun et mordoré dans la lumière lunaire.
Puis, je me souviens, bien que je sois tellement dans le bonheur que cela fit un moment écran à laction... Je me souviens que tu es venue danser, toujours en contre jour, mais devant chacun de nous, individuellement, comme une aubade que tu aurais faite à chacun. Pour lun, te mettant de dos, tu tortillais ta jolie croupe, tout devant son visage... Pour lautre, faisant volte-face, tu lui présentais en le pointant bien en avant, ton pubis et ton petit ventre plat... Pour un autre encore, tu técartais bien face à lui, les jambes un peu fléchies et tu écartais le bord de ton petit slip, et tu lui donnais à voir, bien que dans lombre, ta chatte que tu caressais de façon provocante, ondulant du ventre et des hanches...
Je crois que cest lors dune de ces figures, alors que tu lui découvrais avec ostentation ta raie culière, que Michel le premier ta touchée. Il a avancé son visage entre tes fesses, promptement et ta dardé sa langue dans lillet. Je me souviens que tu as bloqué ta danse et que tu as frémi sous lardeur et la soudaineté de la caresse... Assis par terre, il ta tenue ainsi, jambes à demi fléchies et tout le buste penché en avant, te retenant par les hanches. Tu te frottais dun mouvement circulaire sur son visage.
Franck et Régis sont venus près de toi, plaçant leurs hanches à tes épaules pour te faciliter léquilibre, et te soutenant pour stabiliser ta position. Je me souviens que tu leur as sorti la bite, tandis que moi, je te suçais les seins avec délectation. Les salauds bandaient déjà énormément. Tu as commencé à les branler avec force, un dans chaque main. Et je sais combien, le fait de branler des bites quand tu es excitée, cest pour toi un réel plaisir érotique !... Dautant que Régis avait une bite extraordinaire, le salaud ! Un baudet ! Javais son sexe énorme tout à côté de mes yeux quand je te suçais les bouts de seins alors que tu le branlais...
Dailleurs, rappelle-toi, il dû se mettre à genoux pour que tu puisses le sucer tant il en avait un braquemart maous qui tarrivait bien au-dessus de la tête quand tu avais la bouche au niveau de ses couilles, sur sa racine. Excitée par tout cela et les caresses que nous te faisions, tu as déchargé fort et bruyamment, en gueulant des obscénités comme tu le fais le plus souvent dhabitude dans ces situations !!
Je me souviens aussi, mais je crois que tu ne ten étais pas aperçu tant tu étais occupée, quun couple qui passait à pieds sur le sentier en haut de la plage, sétait approché, et se caressait, debout à 5 mètres de nous... Dans ta jouissance, tu étais tombée à genoux... Et toujours suçant nos trois engins, à quatre pattes, tu avais voulu que tous passent derrière toi voir tes fesses, tour à tour, et fidèle à tes principes tu avais demandé quon ten fasse des compliments...
Ceux de Franck avaient déclenché chez toi, un nouvel orgasme. Il avait dit quelque chose comme : le sillon de la fente était bien profond et quau fond les petites lèvres dont il sentait la finesse, étaient bien pendantes et que cétait le signe que tu devais beaucoup te branler... Je tavais demandé alors de rappeler à ta mémoire les images que tu avais eu à lesprit la dernière fois que tu tétais masturbée... Et tu avais presque simultanément joui en disant que cétait en pensant à lexhibition de ta chatte dans larrière dun taxi...
Puis, insatiable, et hyper excitée, tu avais voulu avoir " dans ton con la jolie bite de Régis "- cétaient là tes mots ! - Régis sest glissé sous toi, a mis un préservatif et nous avons tous assisté à la rentrée du mandrin. Tu las avalé en une fois si jose dire et sur toute sa longueur - il faisait au moins 22 - 23 cm ! Et tu as commencé à aller et venir sur le braquemart hyper tendu. La femme a côté qui sétait rapprochée, a commencé à jouir, soutenue et caressée par son mari puis Franck qui était allé les rejoindre. Jai fait signe à Michel de te lécher le trou du cul que tu nous offrais dans cette position. Je sais que tu ne résistes jamais bien longtemps à ce double effet une belle bite qui te travaille la chatte et une langue qui sinsinue dans ton cul... En effet, une minute plus tard, tu inondais le vit de Régis et le menton de Michel. Régis bandait toujours comme un âne et résistait bien...
La femme qui était prise en levrette par son mari, tout en suçant Franck, jouissait en continu elle aussi.... Je tai alors proposé de changer un peu et je tai fait retourner sur la pine de Régis, de sorte que tu nous faisais face, accroupie, les cuisses ouvertes, lénorme bite te bouchant le con. Et, bien que nous ny voyons pas grand chose, pas en détails en tout cas, cétait infiniment érotique de te savoir enfilée ainsi et par un tel calibre !
Et comme toujours quand tu sens une femme dans ton entourage dans ces moments-là, tu exigeas de celle-ci des choses folles. Dans ton délire dêtre ainsi si fortement baisée - cétait merveilleux dêtre prise si à fond, disais-tu !... - Tu as exigé que la femme vienne se placer, toujours en levrette, à quatre pattes entre tes jambes, au niveau de tes genoux, pour quelle voit, disais-tu le piston qui tenconnait et quelle décrive ce quelle voyait... Mais trop occupée à sa jouissance, caressée par Franck et baisée par le mari, elle ne put rien dire. Je sentais que la rage qui montait en toi texcitait plus encore, et continuant daller et venir sur la bite qui te baisait au fond, et te démenant avec plus dardeur encore, tu exigeas telle une furie, quelle lèche les culs des hommes, pendant que tu les branlerais face à toi, jusquà ce quil te jute sur les seins, le visage, le corps.
Et là ce fut un grand moment que tu nous as fait vivre : aucun homme ne résiste plus de la minute, branlé par une femme et le trou du cul léché par une autre. Cest Michel qui est venu à toi, le premier en peu de temps il taspergeait de foutre brûlant et épais, les épaules, le visage et le cou.... Puis ce fut à Franck qui dirigea les jets sur tes seins. Tu en as joui dailleurs, souviens-toi... Et enfin ce fut moi, tu passais une main sous mes couilles et tu t'assurais que lautre femme me mettait bien sa langue dans le cul... Là, tu avalas mon foutre avec délectation... Même le mari, vint à son tour se finir sur tes seins... Régis donnait des signes de fatigue et toi, avec une sollicitude à légard des femmes qui test inhabituelle, tu lui demandas si elle voulait goûter à la superbe bite... La femme qui navait pas dû jusque là remarquer la taille de la bite, fut surprise dabord, puis elle sempressa d'acquiescer. Tu lui as dailleurs dit quà la voir comme ça, impatiente, elle devait aimer la bite. Tandis quelle sallongeait sur le dos en écartant les cuisses pour recevoir le mâle, tu as changé le préservatif, et cest toi même qui a dirigé lintromission au con de la rousse devant nous tous... La femme a joui très vite, en quelques allers et retours de Régis. Elle en redemandait encore et encore dans sa jouissance disant :
- "Ah putain que cest bon - elle avait un fort accent du midi - une bite comme ça, cest inouï... Ah quelle flèche !... Vas-y encore, encore, achevez-moi, achevez-moi, achevez-moi !!", gueulait-elle à la fin. Le mari la retenait aux épaules pour quelle puisse être pénétrée bien à fond...
Puis, passant derrière Régis, tu as sorti le vit du con de la rousse, retiré le préservatif, et plaquée derrière lui, lui faisant sentir tes jolis seins dans le dos, tu las branlé énergiquement. Il déchargea très vite sur les fesses et le dos de la femme... Son éjaculation était à la hauteur et proportionnelle à la taille de son sexe, cest dire !! La rousse repartie à jouir encore une fois sous leffet du sperme chaud sur sa peau...
Enfin tout se calma, pas encore complètement cependant, car te souviens-tu encore, que fidèle à tes rituels tu es allée à deux mètres, et debout, à demie fléchie, le ventre pointé en avant, tu as battu le rappel en disant :
- " Eh les mecs, je pisse "... Nous avons tous fait cercle autour de toi, sauf la femme qui restée, sonnée, étendue sur le flan et nen croyant pas ses yeux
On devina plus quon ne vit mais dans le silence meublé du seul ressac de la mer, on entendit londe franchir avec le bruissement caractéristique, les lèvres de ta vulve, tous subjugués et sous lemprise dun enchantement surréaliste... Franck tendit la main sous le jet. Londée chaude éclata sur sa main ce qui changea le bruit... Puis tu continuas de pisser longuement, longtemps.... Enfin, tout en te secouant, tu courus vers la mer en disant :
- "Aller, tous à leau !
"
Tous ces souvenirs me chauffent la tête et pour me raisonner, je me dis que même si les choses pourraient se passer ainsi, au "Trois Bouffons", il ny a pas de mer ni de sable, ni de bain de minuit
Justement, il va être minuit et je suis inquiet de ce qui peut tarriver là-bas
Surtout là-bas, cest la forêt, alors
Un autre souvenir, de forêt justement celui-là, me revient
Non, non !! Je nen veux pas ! Je ne veux pas me souvenir de ta partie de baise dans la clairière un jour de randonnée où tu tétais soi-disant tordu la cheville et où tu ne pouvais plus marcher
Que deux grands gaillards dont un beau noir, avaient du te porter sur plusieurs kilomètres avant dêtre obligés de sarrêter dans cette maudite clairière
Alors que tout le groupe avait filé, vous étiez arrêtés tous trois
Non, non ! Je ne veux pas y penser !
Je préfère monter dans notre chambre et là je vais ouvrir larmoire regarder tes jolis sous-vêtements et sans doute me branler dans une de tes petites culottes fines et transparentes
Mais avant je vais faire linventaire de tes soutifs pour essayer par déduction de voir ce que tu as pris sur toi
Devant larmoire, je commence le tiroir des soutiens gorges
je ne remarque pas quil en manque ; u du moins je ne vois pas celui qui manque à ta collection, pourtant je les connais tous
Voyons le tiroir de tes slips et strings
là encore à première vue pas dabsent !... Je me dis que
Non ! Quand même pas !...
Je décide de frapper fort et de renverser sur le lit les 2 tiroirs, celui de tes slips et celui de tes soutiens gorges
Cela prend du temps de reconsti tes parures et de les assembler par forme et par couleur : les jaunes, les noirs, les plus nombreux
Les rouges avec la dentelles blanche ou la dentelle orange
les deux verts avec fanfreluches blanches
Mais le temps ne compte pas
Je nai que cela à faire ce soir, en tattendant
Bientôt je dois me rendre à lévidence, tout est là
Il ne manque rien
Jen déduis que tu es partie nue sous ta robe, sans soutien gorge et sans culotte, les fesses à lair, la fente accessible directement et la poitrine prête à être sortie et sucée
Non, ce nest pas possible tu nas pas prémédité cela au point dy aller presque à poils : avec tes bas et ta robe sur le dos, cest tout
Je comprends pourquoi les conjoints, conjointes, compagnons et compagnes ne sont pas invités à cette soirée dentreprise
Je regarde lheure au réveil sur la table de nuit : minuit dix... Les libations et les flirts doivent commencer
Je connais bien cette auberge, vaste avec de nombreuses pièces, pleine de coin et de recoins, avec de grandes dépendances dès que lon sort dans la cour derrière : des granges, des hangars, des greniers à foins
Et puis il y a la forêt qui commence juste à la porte
Cette auberge est un lieu idéal pour une coquine comme toi et je sais quil te faut toujours une coterie avec toi quand tu as envie de tenvoyer en lair et que tu es bien excitée
Cest dailleurs sûrement maintenant le cas : tu dois être partie avec deux ou trois types et une jolie collègue, au moins une
Je timagine très bien figure-toi, sans doute entre deux mecs, debout pour commencer, dans lencoignure dune porte de grange, en train de rouler des énormes patins à celui qui te fait face. Un autre derrière te trousse déjà, se frotte à toi, et te pelote les seins
Lhomme qui en face de toi te soulève une cuisse dune main, ce qui permet à lautre type, derrière davoir mieux accès à ta chatte. Il te met un doigt, peut-être deux déjà et il a commencé à te branler
Je sais que tu adores être entreprise comme ça, par plusieurs hommes, coincée debout entre les deux et que tu mouilles rien quà lidée de sentir leurs mains sur toi et leur bite même à travers les vêtements
Sans doute il y a-t-il aussi avec toi, une autre femme. Qui soccupe elle aussi des deux types à sa façon : elle leur a sorti la bite et elle les suce comme pour te les préparer
. Accroupie aux pieds des hommes, peut-être se branle-t-elle avec sa main libre passée sous sa robe
Comme tu as la cuises levée, elle passée dessous et elle est venue te sucer le clitoris et les petites lèvres
Tu vois, je sais exactement comment est ton sexe quand tu es bien branlée et excitée. Ta fente est joliment bordée de tes petites lèvres fines, découpées et surtout très colorées par lafflux de sang que provoque ton désir. Au-dessus delles, le clitoris est bandé et sort pour plus de moitié de son capuchon. Quand il est comme ça, il est très réceptif aux caresses, tant des doigts que dune langue. A chaque caresse, il sérige, bande et se rengorge donnant de petits coups sur son col
Et si tu as commencé à mouiller, les petites lèvres longues et bien dessinées ne se touchent pas, laissant un espace entre elles de lépaisseur dun doigt tout le long de la fente. Autant dire que ta vulve est prête alors, à accueillir un vit
Mais je sais aussi quavant quil entre bien à fond dans ton trou de salope, tu vas le faire aller et venir sur toute la longueur de ta fente et tarranger pour que le gland vienne titiller le bouton damour
Dordinaire ; là, à ce stade tu décharges abondamment, surtout si en même temps une autre bite, comme cela doit être le cas ce soir et dans ta position, vient te frotter le petit trou de derrière. A moins quun doigt y soit entré, alors là, cest le déluge : ta liqueur dégouline et mouille partout alentours
Il ny pas que aimes autant quun doigt dans la rosette quand tu te fais sucer ou baiser
Mon Elise est une branleuse de première ; elle na pas sa semblable pour faire décharger un type avant quil ait le temps de " mettre le Jésus dans la crèche " comme lon dit chez moi
Avec elle, ce sont beaucoup de mecs qui deviennent des éjaculateurs précoces ! Elle est si adroite pour se passer les membres dans la fente et de telle façon quau bout de 3 ou 4 minutes et souvent moins, les mecs déchargent entre les lèvres du con, sans avoir eu le temps " de faire une visite au temple "
Je sais tout cela chérie, et cela nest pas fait pour me rassurer ! Je me surprends à timaginer dans la grange, penchée en avant les mains appuyées sur les anciennes mangeoires des animaux, en train de faire prendre en levrette, suçant en même temps une bite et te faisant peloter la poitrine, comme je te lai vu faire si souvent
Les jambes bien écartées, un braquemart te limant la matrice et sans doute un troisième homme te suçant par-dessous le clitoris, à moins que ce soit une femme qui te fasse cette caresse que tu apprécies tellement
Sans y faire trop attention, perdu dans mes souvenirs de situations bandantes, je me rends compte que je suis en train de mastiquer la bite. Je me branle en ayant entouré mon membre dun de ses strings de ma coquine dépouse. Je maperçois que le fait dévoquer ce quelle est sans doute en train de faire sans que je puisse y participer, augmente grandement mon excitation et me donne envie de décharger. Dailleurs je me dis que je devrais sortir aller dans la rue et ramasser une pute pour avoir le loisir de me faire sucer, au moins ça, alors quelle-même fait la pute avec des tas de mecs qui la sucent, la branlent, la baisent
Elle a besoin toujours que lon soit plusieurs pour jouir bien à fond
Au moins trois ou quatre mecs et une ou deux femmes en plus delle
Pour jouir pleinement, il lui faut cet environnement où dautres hommes et femmes à côté, baisent aussi, sucent ou branlent
Mes pensées reviennent vers " LAuberge des Trois Bouffons ", où elle est en train den prendre plein les fesses et le con
Elle doit sen donner à cur joie en soccupant de bites et de couilles quelle aime vider... La garce est maintenant couchée sur son baiseur le con enfilé à fond sur le braquemart tendu, un doigt dans le cul, quune femme, une collègue sans doute est en train de lui mettre. Un homme vient se mettre derrière elle, il retire le doigt du cul de ma femme et y met à la place son membre. Il pousse un peu et le voilà entré au sanctuaire. Elise est prise par devant et par derrière : deux bites à la fois comme elle aime
Elle en suce une troisième, celle dun mec venu se positionner devant elle. Son baiseur lui suce les seins, son enculeur la chevauche en lui tenant aux hanches. Elle jouit et décharge en râlant et en blasphémant comme elle sait si bien le faire :
- " Oui
. Oh, putain, que cest bon
Allez-y, allez-y !! Narrêtez pas
Continuez, défoncez-moi, je veux jouir je veux que vous déchargiez dans mon con et dans mon cul !... Allez-y, aspergez-moi !
Je veux sentir vos bites décharger ensemble !!... Oh ! Ouiiiiiii ! Ouiiiiiii !.... Je jouis ! Je décharge !! Ah putain, allez-y mes salauds
Allez-y ! " Et bien évidemment, la garce décharge en continu
Et moi, là maintenant, je sens que je décharge aussi, incapable de résister à ces images trop fortes et que je connais si bien... Je mamollis un instant sur le lit, mécontent et doublement frustré. Frustré davoir joui presque à mon insu et donc sans un réel plaisir et aussi frustré de ne pas avoir participé à la folle équipée de mon épouse, qui elle prend de son côté, son plaisir à fond sans penser à moi
Alors que jétais en train de me décider de me lever, jentends une clé dans la serrure puis la porte qui souvre
Des voix dans lentrée
Je me rajuste et descends en toute hâte. Elise est dans lentrée avec 2, 3 ou plutôt 4 autres personnes : une femme et trois hommes
- " Et alors chéri, me lance-t-elle, voilà nous sommes venus finir la soirée avec toi !... " A sa voix jentends quelle a du boire un peu plus que de raison
dailleurs, il me semble que la femme à côté delle est encore plus éméchée.
- " Tu ne pensais pas que jallais te laisser seul et men donner à cur joie sans toi, mon gros loup !... Tu sais bien que je naccepte de faire toutes ces jolies choses bandantes quavec toi présent, mon chéri
Je lai dit à mes collègues, ils sont daccord et ce sont eux qui ont dit : pourquoi pas ? "
A cet instant la femme blonde savance rapidement vers moi et me dis sans aucune gêne :
- " Allez le gros loup, je vais commencer tout de suite à moccuper de toi ! " Puis sadressant à un des hommes :
- " Hervé sort les bouteilles de Champagne pendant que je prépare le gentil monsieur ! " Et ce faisant, elle matt par le cou et me roule un patin denfer. Son haleine est chargée. Jhésite entre le champagne et le Picon-bière. Sa main descend déjà vers ma ceinture, tandis que mon épouse, entreprise par deux hommes est poussée sur le canapé
La dame blonde passe sa main dans mon pantalon
Mais là, je sais que je ne suis pas très prêt à
Pensez, il ny pas 5 minutes que jai déchargé !
Dommage pour moi ! Et je me dis : quel c
!
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