Jeune Homme Marié Baisé Dans Les Dunes
Javais 34ans, cétait lété et ma femme, les s et moi séjournions à Montpellier. Pour ceux qui nont pas lu mes histoires précédentes : je suis brun, , viril de taille moyenne, assez costaud. Jai joué au rugby en amateur dans ma jeunesse et jétais encore quelque peu musclé et javais découvert quelques années auparavant ma bisexualité. Pour finir : jétais et suis toujours très poilu.
Il faisait chaud et les s étant alors petits, nous décidâmes avec mon épouse de « renouer » avec les plaisirs du naturisme, joies auxquelles nous avions un peu goutés avant notre union. On se retrouve alors sur la plage naturiste située à Villeneuve les Maguelonne. On sinstalle, les s jouent, on déjeune sur la plage. On fait la sieste collé lun à lautre, ma femme et moi, sous le parasol. Il fait encore plus chaud à 15h30. La vue de tous ces hommes et femmes à poil induit alors des pensées érotiques dans mon cerveau . Mon cerveau vagabonde : je mimagine en train de faire lamour à ma femme sur la plage devant les autres couples qui nous observent et se caressant
Avant que mon état dexcitation me trahisse, je me lève revêts un short de running, me saisis de ma banane de plage qui contient mes papiers et indique à ma femme que je vais aller aux toilettes et marcher un peu
Je marche vers les dunes, la vue des corps allongés continue daccen mon malaise
Jai comme une boule au ventre qui irradie sourdement mon bas ventre et mes bourses. Je reconnais cet état de confusion caractérisé par une forte poussée de fièvre : cest comme si les spermatozoïdes réunis en trop grand nombre dans mes testicules se mettaient à bouillonner, que le taux de mes hormones sélevait dans de dangereuses proportions pulvérisant toute inhibition et limites de mon cerveau qui sobstinerait à vouloir livrer mon corps tout entier à la copulation. En 2 mots, jétais furieusement en chaleur et était prêt à tout pour coïter avec nimporte qui !
Obsédé par lenvie de baiser qui devient insoutenable, je contourne le camping, me retrouve sur la route et marche le long de létang qui la borde envahi de roseaux.
La tâche disparait et jaccélère le pas à travers lamas de joncs coupants qui égratignent mes jambes. Heureusement jai au pieds ma paire de Dockside car à certains endroits malgré la sécheresse de la saison, je crois deviner des zones humides. Je men fous, je suis certain davoir vu quelquun et il faut que jen ai le cour net
Comme un assoiffé dans le désert, je me rue littéralement vers ce mirage qui je pense pourra étancher ma soif de sexe
Jarrive enfin vers cette touffe de cannes qui forment un cercle autour du tronc du tamaris. Jen fait nerveusement le tour par la droite, il semble quil y ait un étroit passage, encore plus obnubilé, sans conscience du danger, je maventure vers linconnu et me retrouve au cercle de ce qui semble être une assez confuse « clairière » baignée de soleil qui rend latmosphère encore plus étouffante.
Il ny a personne, ma tension et ma déception atteignent leur comble. Je scrute tout autour de moi les lieux déserts au bord du désespoir. Tout à coup, jentends puis je vois émerger dun coin opposé, une forme. Cest un homme ventru très brun denviron 45 ans, avec une grosse moustache aussi noire que ses épais cheveux, il porte un long short en jean sale qui lui arrive jusquaux genoux et sur jeté lépaule droite, ce qui semble être un débardeur bleu. Il fume un reste de cigarillo du coin de la bouche. Son visage est encore plus basané et buriné que le reste de son corps et ses yeux sont dun noir profond qui les font briller, ce qui rend son regard encore plus effrayant .
Je suis figé sur place, ruisselant de sueur, écorché et haletant et je sens une sueur froide me parcourir léchine, lorsque ce gitan éteint son mégot puis en un éclair, tout en me dévisageant avec une expression mauvaise, tel un taureau en furie, se jette sur moi.
Je tremble furieusement de la tête au pieds et commence à penser au pire. Il vide avec dédain le contenu de la banane quand tout à coup son regard se fige : il extrait deux préservatifs. Etonné, il se fige et me regarde droit dans les yeux avant de sortir le tube de gel intime. Il me lance alors un tel regard noir que je me mets à me débattre encore avec plus de vigueur.
A cet instant, il lève en lair sa lourde paluche sale comme sil allait me gifler. Je regarde sa main énorme sabattre vers mon visage et sarrêter à quelques centimètres de ma joue droite
Mon cur va exploser, je me mets à trembler encore plus sans même oser crier. Je suis désemparé et à la merci de ce « manouche « qui doit chercher de largent
Je nen ai malheureusement pas sur moi sinon je lui donnerais tout.
Peut être se contentera til de ma montre ? A la sueur due à mon périple, je sens couler dans le bas de mon dos une sueur froide au fur et à mesure que les battements de mon cur saccélèrent dans ma poitrine immobilisée.
Je mimagine étendu sans vie, avec ma femme qui me cherche désespérée. Mais je ne sais pourquoi aucun son ne sort de ma bouche.
- -Peut être se contentera til de me donner une bonne raclée auquel cas je pourrais me défendre ? me mis je à penser avec une lueur despoir.
Cest alors quil baisse sa main, me fixe avec un regard si perçant que je sens que le pire va marriver. Il réfléchi un instant puis son regard sillumine dun large sourire et il semble commencer à renoncer à son étreinte car il relève légèrement son bassin ce qui desserre quelque peu sa pesante étreinte. Mais au lieu de se soulever entièrement, il bascule lavant de son bassin vers mon menton et de ses 2 mains agrippe mon visage par les cheveux et vient plaquer lentrejambe de son short contre ma bouche.
Là, mon esprit se brouille :
- oui , jai peur ! oui je regrette de mêtre mis dans une telle situation, mais après tout peut être que je lai bien cherché !
Quest ce qui ma pris après tout de venir me précipiter dans ce lieu incertain ?
Alors, il recule un peu son volumineux postérieur latéralement et léloigne de ma bouche . Ouf je suis sauvé me dis je !
Pas encore . Car toujours en me tenant fermement avec ses 2 mains, il bascule en arrière mon visage en arrière jusquà ce que nos regards se croisent.
Le temps sarrête !
A cet instant lexpression de son visage à changé : il esquisse un sourire
Machinalement, je lui rends son sourire comme pour le supplier mentalement de ne pas me faire de mal.
Mes yeux dans les siens, je mapplique à maintenir cette connexion fictive qui me semble porter ses fruits. Il semble aussi confus que moi.
- Aurais je réussi à le dompter du regard comme le font les dresseurs ? Tout dans son regard le porte à croire.
Il lâche alors mon visage et semble vouloir se relever. Ca y est il a compris que cela ne lui apporterait rien de me brutaliser. Puis à ma grande surprise, toujours à califourchon mais son bassin un peu plus relevé, de ses 2 mains il tire sur son short et le fait difficilement descendre. Il ne porte pas de sous vêtement, comme moi me mis je à penser bêtement.
Il libère ainsi son sexe et ses bourses énormes qui pendent à presque 10 cm de son dard.
Sa queue est quasiment noire. Elle ressemble à une épaisse saucisse terminée comme il se doit par un protubérant nud en guise de méat . Elle est flasque et a lair de peser une tonne. Cest alors qui se rabaisse et vient telle une grue, positionner son viril crochet sur ma bouche.
Alors défiant toutes les lois de la raison, je sort la langue et avec mes 2 mains, jincline son bassin vers ma bouche.
Il pousse alors son membre toujours mou dans ma bouche. Hum ! elle est douce et a un gout dépices qui me surprend. Moi qui, très à cheval sur lhygiène na que lhabitude de sucer des bites propres.
Je suis là, plaqué à même le sol, par un inconnu qui ne maurait jamais attiré en de plus placides circonstances. Sa queue est aussi sale que lui, sa broussailleuse toison pubienne empeste la sueur, le tabac, lurine et je ne sais quelle sécrétion douteuse et malgré cela je mapplique à faire durcir dans ma bouche dhonnête père de famille le sexe nauséabond de ce type qui na pas lair de vouloir bander.
Justement, pour être honnête, il faut bien se rendre à lévidence que ce tranquille mari et bon père bande lui comme un taureau qui se complet dans la fange et que cet diabolique état de souillure fait converger tous ses désirs vers ce pour quoi il était venu dans ce lieu hostile : se faire profondément et intensément mettre !
A cet instant abandonnant toute retenue et pudeur, jentame une frénétique branlette à travers le tissus trempé de sueur de mon short.
Au bout de quelques minutes dintenses coups de langues et de succions appliquées, son dard a presque doublé en longueur sans changer dépaisseur . Il bascule encore plus son bassin pour mieux investir ma bouche. Ma salive mêlée à ses sécrétions viriles coule de mes lèvres et se répand dans mon cou.
Tandis que je desserre un peu létau formé par celles-ci autour de ce barreau de chair pour respirer, Il commence alors allègrement à me bourrer la gueule accompagnant ses coups de boutoir de « hans » . Son organe vient buter contre ma gorge ou mon palais. Quel étalon ! Ses énormes couilles humides de sueur frottent contre mon menton ! Il me baise la gueule comme si ma bouche était un vagin !
Puis il ressort son mandrin, vient souffleter mon visage avec celui-ci. Un fin filet de bave humidifie mon visage. Je profite de ce bref répit pour faire glisser mon short. Je libère mon sexe dur et je sens alors le contact de mes fesses humides avec la terre brulante qui se mêle à la sueur de cul. Ma rosette est mouillée mais semble til plus par lenvie que la sueur.
Il re-rentre alors son gros braquemard dans ma bouche et me tronche la gueule comme un animal qui cherche à assouvir ses instincts les plus vils. Pas en reste, je mastique le manche comme un malpropre.
Sa respiration saccélère et devient de plus en plus saccadée, je sens que mon salopard ne va pas tarder à expulser son élixir dans ce calice improvisé.. Je lâche ma queue et dun geste appuyé, je le contraint à temps à extirper la sienne de ma bouche
Quelques millièmes de secondes après le forcené exulte et expédie sa sauce en 3 puissants jets brulants sur mon torse mouillé de sueur en un beuglement bestial.
- Quel salaud ! il sest soulagé sur moi sans attendre que je jouisse me dis je déçu !
Alors, il se relève un peu mais pas complètement. Il vient alors écraser sa croupe contre mon menton et me force à lui lécher la raie. Lodeur est trop forte. Je ne veux pas lécher un cul aussi maculé. Mais visiblement, cet égoïste veut profiter de loccasion pour bien se faire nettoyer le fion.
Dans la contrainte, je mexécute et commence à sortir ma langue. Et pour me donner du courage je recommence à me branler. Lhomme du voyage écarte alors avec ses mains ses deux gros lobes pour que ma langue sinsinue au plus profond de sa raie. Elle trouve enfin sa rosette boursouflée mais très resserrée et il émet un râle de bonheur. Son trou de balle à un gout amer et poivré qui me dégoute. Puis la perfide tentation de mon état de souillure étant monté dun cran, je me mets à essayer de forcer le passage dans le trou serré de ce lubrique individu qui se trémousse tout concentré comme il est sur son seul plaisir.
Il faut bien se rendre à l évidence quau bout dinterminables minutes ce qui me servait normalement jusqualors à manger ou mexprimer en était réduit à un lamentable et crasseux état de toilettes impropres.
Peut être lui aussi dégouté, le satyre dun bond se redresse.
- -Oh stupeur ! Son sexe qui pourtant a inondé de foutre gluant mon torse velu est aussi dur quauparavant ! il ne débande pas mon assaillant !
Il se recule et je comprends quil nen a pas fini avec mes orifices. Que loin de là ! Quil compte les bourrer un à un !
- Mais comment est ce possible ? quun mec ne débande pas ? me dis je stupéfait.
Il se baisse alors et dun geste plein de colère il tente denlever mon short ! Reprenant mes esprit, pour sauver ce qui est encore possible avec un aplomb retrouvé, je lui dit :
- Attend tu vas lavoir mon cul ! Mais passe moi le tube de gel que tu as jeté la bas et une capote pour que tu rentres en moi plus profond ! Tu verras ça glissera mieux dans mon cul !
Il se saisit du tube, il me le tend un peu penaud. Jatt une capote et je comprends instinctivement quil vaut mieux que je lui enfile avant quil ne le fasse dans mon cul.
Alors précautionneusement, comme pour ne surtout pas abîmer le joyau de mon »tortionnaire » que jai envie de sentir en moi, je me saisis du sexe violacé et gluant et je déroule avec une extrême délicatesse le préservatif sur son manche. Plus pour ne pas risquer de souiller la partie de la capote qui va frotter contre mes entrailles.
Toujours mu par mon instinct, jôte rapidement mon short et jécarte mes cuisses sales de terre, jouvre le tube de gel et en un geste obscène plus digne dune pute que dun vrai mec, je menduits généreusement lanus de gel brulant. Ce qui, au passage accroît davantage la taille de ma bite.
Mon amant se délecte de cet état de dépravation où il ma entrainé. Un stupéfiant sentiment de compassion traverse alors mon esprit, ce pauvre bougre au physique ingrat encore plus écrasé par les contraintes ridicules que lui impose son appartenance à sa communauté qui exacerbe le coté macho de ses membres doit souffrir plus que moi du manque de rapports sexuels. En effet, il salive et sort fiévreusement sa langue quil passe sur ces moustaches.
Je lui sourit alors avec bienveillance, comme pour lencourager à venir accomplir son devoir de mec. Son visage sillumine dun regard craquant dinnocence. Deux inconnus souriants : ceux de 2 êtres seuls au monde qui sapprêtent à sunir car lun senfoncera au plus profond de lautre jusquà ne former plus quun, brulants de passion sur le chemin de la commune extase.
Cest donc avec un vif et partagé désir que joffre mon intimité de mec déchu à mon compagnon qui vient se positionner consciencieusement après avoir pris la peine détaler mon short sous mes fesses . Moment magique, tel le plus grand des gentlemen, son regard croise le mien comme pour me demander la permission.
Je ferme les yeux et dans un soupir jincline la tête en arrière tout en projetant mon bassin en avant. Son sexe encapuchonnée savance alors, vers mon sphincter qui sécarte pour lui permettre de simmiscer dans mon rectum et de finir de coulisser au plus profond des mes entrailles ou il simmobilise. Ce parcours triomphal autorise une possession pleine et entière de mon être. Jémets un cri rauque de plaisir qui encourage mon bel étalon à me saillir comme il se doit. Comme si ce nétait pas suffisant, je lui lance comme un défi :
- Vas y bourre moi ! Bourre moi bien la chatte ! Je suis à toi ! Prend ton pied mec !
Il commence alors à me pistonner les tripes comme un forcené. Je beugle comme un cochon et à chaque coup quil me donne, javance mon bassin afin quil rentre plus encore en moi et méclate les entrailles.
Il me besogne comme jamais je navais été besogné auparavant. Nos râles séchappent de nos bouches qui constituent le premier des 2 orifices que possède lhomme et composent une mélodie cadencée par les incessants va et vient quil imprime dans mon second orifice qui ne doit plus être moins étroit que celui du haut.
Il y a longtemps que mes doigts sagitent sur ma bite, mais jadapte ma frénétique branlette afin de profiter des assauts virils de mon mâle.
Jai la perverse impression quil redouble defforts pour me combler et me satisfaire et quil tente désespérément de prouver à sa femelle- en loccurrence moi- quil est un mâle redoutable capable de la féconder dignement.
Comme pour lui épargner de telles souffrances, je lui fait comprendre quil doit se ménager et se retirer un peu. Je menduits alors dune noix de gel et mes 3 doigts rentrent comme aspirés dans ce trou noir sans fond.
En un instant, une pensée troublante traverse mon esprit chauffé à blanc :
- que penserait ma femme si elle constatait que le petit trou de son mari était plus ouvert que son vagin ce soir?
Je bande alors encore plus, si tant est que ce fusse encore possible. Et tout à mon état de femelle, invite mon nouveau « époux » en me tournant sur le coté, à venir contre mon dos senfoncer latéralement en moi. Jadore pratiquer cette position avec mon épouse. Elle permet, en effet, pour ceux qui la pratiquent, pour le bonheur renouvelé des 2 partenaires, datteindre des parties intimes non sollicitées dans un coït traditionnel. Etat de fait qui se justifie pleinement.
Je sens le torse puissant imberbe et le ventre proéminent écrasé contre mon dos maculé de la boue qui sest formée sur mon dos. Il me serre très fort contre lui pour mieux menculer et ses avant bras simprègnent de sa propre semence qui perle et effluve sur mon torse . Ainsi dans une odeur de stupre, nous nous vautrons plus profondément dans la fange en une animale copulation. Un peu pour redonner un semblant dhumanité à nos ébats torrides, je retourne mon visage et me rapproche du sien, ses moustaches sont contre mon cou.
Je sort alors ma langue vers lui, il hésite et me tringlant encore plus fort, il sort la sienne et elles se rencontrent avec autant de difficulté que de bonheur. Ce langoureux baiser scelle irrémédiablement notre accouplement dun caractère « nuptial ». De statut de mâle déchu, induit par mon délit de fornication puisque madonnant à des rapports sexuels, hors mariage qui plus est contre nature, je regagnais en quelque sorte celui de compagne fidèle de ce nouveau compagnon.
Cette coupable mais au combien douce trahison, matérialisée par sa volumineuse langue qui émergeait de sa moustache pour senrouler dans un langoureux ballet autour de la mienne nous permis ainsi de nous enfoncer de façon plus complice dans le bonheur. Sa langue memplissait la bouche tandis que son énorme pine finissait de méclater le fion. Un seul léger soupçon de revanche me traversait lubriquement lesprit : ma salive qui avait le goût de sa bite et de son cul se mélangeait à la sienne qui avait le gout du tabac et de la vinasse.
- Le souilleur était ainsi à son tour et son insu doublement souillé .
Cette position permis à mon amant de mieux me pénétrer , me tringler comme le ferait une bête, ralentir puis sortir pour venir me fesser la raie avec son chibre pour mieux rentrer à nouveau dans mon cul béant et me faire gueuler comme un malade. Au bout dinterminables minutes, mon bras qui maintenait ma jambe levée parallèlement à mon corps afin que mon entreprenant amant puisse mieux fourrer son vît dans mon trou commença à sankyloser
Mon attentionné compagnon le comprends et se saisissant de son bermuda sale le jette devant moi sur le sol à hauteur de ma tête. Puis il décule, sécarte de moi et me soulève le bassin et me retourne sur le ventre sur mon short. Mon nez se retrouve alors contre le tissus taché du sien. Mon prévenant baiseur du voyage, renouvelle le lubrifiant de mon anus meurtris avant de venir se planter encore plus profond en moi. Cette position humiliante décuple mon excitation.
- Je suis niqué comme une salope !
En effet , jai limpression quil me casse encore plus le cul ; quil ma pété complètement la rondelle. Dautre part, ma bouche lèche avec vice son short à la recherche de nouveaux gouts défendus et au comble de volupté : ma propre queue bandée frotte contre le mien de façon incontrôlée risquant à chaque coup de bélier de me vider de ma me sève. Je sens ma prostate qui est sollicitée et qui provoque une sourde douleur dans mon périnée et mes testicules qui telles des noix de plomb me font mal .
Je ne veux pas éjaculer ainsi et lui fait comprendre en tentant de relever mon bassin. Il sort son trépan de mon puits et saffale par terre à coté de moi sur le dos. Jen profite pour me retourner.
Exténué, nos visages et nos corps ruisselants de sueur, il me regarde et je lui souris. Nous restons ainsi quelques minutes reprenant des forces.
Alors, je me baisse vers sa tige, et comme pour mieux vérifier de lintégrité de la capote qui na plus tout à fait sa couleur dorigine, japproche ma bouche et engloutit cette besogneuse tige dans ma bouche. Ma langue avec une vile délectation simprègne des fortes saveurs ambrées de mon fondement.
Mon hidalgo est surpris et tétanisé par la hardiesse de ce geste de dévouement ultime :
- -je lui nettoie le jonc avec ma bouche comme une truie.
Il se dégage puis me couche sur le dos, il écarte mes jambes quil maintient avec ses bras et par un brutal déhanchement me care son gros pieu lubrifié par ma salive dans les fesses.
Il me tringle alors comme un damné, tellement fort et rapidement que jai peur que la capote ne cède. Puis sa respiration saccélère, il me pistonne encore plus fort ; ses couilles claquent contre mon cul avec un tel bruit que jai limpression que lon va nous entendre. Jaccélère la cadence de la cègue que je prodigue à mon propre membre. Il commence alors une série de beuglements gutturaux, sort sa queue de mon trou de balle, mes jambes retombent, il arrache la capote et telle une lance à incendie, sa bite inonde mon bas ventre, mes pectoraux et jusquau bas de mon visage dune trop épaisse et abondante mousse blanche.
3 secondes après, jexpédie mon foutre qui rejoint mon ventre et se mélanger au sien en de violents spasmes. Il sécroule sur moi, et me roule une divine pelle. La boucle est bouclée, il goute ainsi directement aux dernières saveurs ambrées et musqués de mon anatomie.
Nous restons ainsi, repus et heureux lun sur lautre reprenant peu à peu nos esprits. Je regarde ma montre, Il est 18H30. Cet inconnu ma baisé pendant plus de 2 plombes. Ma femme doit sinquiéter.
Je lui dit que je dois me grouiller. Mais nous nous sommes mis minables . Mon corps, et plus particulièrement mes fesses et mon torse dégoulinent de spermes mêlés à de la terre, des feuilles et autres saletés. A part mon mince short et ma banane. Je nai rien pour messuyer. Il me tend généreusement son débardeur bleu. Mais je le refuse poliment ; je ne veux pas salir ces affaires. Embarrassé, il maide à rassembler les contenu épars de ma banane. Puis avant que je ne mavise à remettre mon short, il jette ce dernier et ma banane sur le coté. Il ôte délicatement mes chaussures qui vont rejoindre mes effets personnels. Puis avec un regard désarmant, il membrasse et minvite à maccroupir. Je mexécute. Il prend alors dans la main sa queue qui commence à débander et se met à uriner sur moi en prenant soin de viser toutes les parties souillées de mon corps. Cest purement décadent, mais nullement humilié, je reçois son urine comme une douche libératrice.
Puis, malgré mes réticences, il me sèche avec son débardeur. Il maide à me lever et saccroupit à son tour. Jhésite et me résouds à nettoyer mon partenaire en urinant à mon tour sur lui. Je le sèche avec son débardeur.
Je me rhabille. Il en fait autant et me dit avec une voix suave et virile, car jusqualors il navait dit aucun mot:
- Vous êtes marié ?
- Oui ! lui réponds je
- Vous aimez votre femme ?
- Heu oui !
- Vous faites souvent lamour ?
- Oui ! 3 ou 4 fois par semaine
- Vous en avez de la chance Monsieur ! Vous êtes un brave homme Monsieur !
Je croise son regard. Il me sourit me prend dans ses bras et me dit :
- Merci Monsieur ! je ne sais pas comment vous remercier Monsieur ! Merci et excusez moi Monsieur! Que Dieu vous garde Monsieur !
Je suis stupéfait ! Il me serre vigoureusement la main et finis de shabiller.
Trop pressé, malgré mon envie de méterniser ici, jabandonne lâchement mon sauveteur qui ma divinement soulagé. Je sais rien de lui ; pas même son prénom. Je menfuis donc en courant et tel une agile gazelle en un éclair rejoints la route et me mets à courir sur la route. Lair est plus frais et me fait un fait un bien fou en venant rafraîchir mon céans soumis à rude épreuve.
Arrivé sur la plage, je rejoints ma femme qui massaille de questions. Je réponds tant bien que mal pour la rassurer. Elle regarde alors mon cou quelle trouve rouge et me demande où est la médaille de naissance qui orne mon coup depuis quelle me connait. Confus, je lui dit que je lai perdu dans la brousse lors de mon observation des oiseaux migrateurs qui peuplent létang. Et que je retournerais la chercher avant de partir. Elle se lève et essaie de convaincre les s de quitter la plage. Prévenant je lui propose de ranger toutes les affaires pour laider ! Quel faux cul !
Des pensées massaillent : comme tout un chacun, je me dit :
- Que ce gitan sest servi et à prélevé un gage de moi.
- Que jy tenais à cette médaille.
- Quelle est peut être tombée au début dans notre différend.
- Quil faut que je me grouille de ranger !
- Mais comment retourner sur le lieu de nos ébats sans éveiller les soupçons ou pire tomber sur mon baiseur ?
Tout se mélange dans ma tête quand, je vois justement mon amant de laprès midi se diriger lentement vers moi. Un boule se noue dans ma gorge.
- -Que vient il faire sur la plage ?
- Magresser assurément !
- Faire un scandale !
- Ou pire exercer un chantage sur ma personne pour me soutirer de largent
Cest alors quil sarrête, attend que mon épouse se retourne pour faire entendre raison à ma progéniture récalcitrante à quitter les vagues. Il bondit comme un tigre vers moi, les doigts de sa main droite joints vers le bas comme pour déposer quelque chose dans ma main que jouvre machinalement.
Puis dans un état second, en un instant qui me parait une éternité, jentends :
- Vous avez une belle famille Monsieur !
- Votre femme est très belle Monsieur ! Faites lui lamour ce soir pour moi!
- Que Dieu vous garde Monsieur !
Je ne dis mot, il séclipse, il est plus là... Jouvre la main et je vois ma médaille.
Le soir même, sans même prendre de douche, jai honoré longuement ma compagne retrouvée et lai fait jouir 2 fois. Lorsque je me suis effondré en elle. Un sentiment troublant envahit mon cerveau : Cest comme si javais offert ma femme à ce gitan. Cest comme si cétait lui qui lavais prise et fait jouir
Je me lève et vais fumer sur le balcon.
- Que cétait bon ! Qui va me bourrer demain ?
Aux vrais hommes, aux machos qui bourre les meufs et qui se délectent de délaisser le vagin de leur partenaire ou la femme de leur meilleur ami pour inonder de semence le cul de cette dernière qui nest pas toujours ravie de se voir ainsi enculée, et qui bien souvent na même pas pris son pied , je dis :
- Oui jai eu le feu au cul !
- Oui je me suis fait bourrer par tous les trous et dans toutes les positions par un inconnu par terre !
- Oui à leur yeux je suis un bel enculé ! Et alors ?
En baise comme en amour il faut être 2 ! A mes yeux par contre, il faut que les 2 prennent leur pied ! Et TOC !
Jespère que cette histoire vraie comme toutes celles que je livre humblement à votre connaissance vous aura plu.
Pour finir, je ne peux quencourager tous les autoproclamés bien pensants qui stigmatisent ceux quils jugent si différents deux et condamnent trop facilement les immigrés, les gens du voyage, les Roms
aussi stupidement que je lai fait, à réviser leur jugement.
Les hommes sont tous les mêmes : cest lespoir qui les fait vivre et cest lamour qui les rassemble.
Dites moi ce que vous, vous en pensez !!!
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!