Jeune Homme Marié Baisé Dans Les Dunes

J’avais 34ans, c’était l’été et ma femme, les s et moi séjournions à Montpellier. Pour ceux qui n’ont pas lu mes histoires précédentes : je suis brun, , viril de taille moyenne, assez costaud. J’ai joué au rugby en amateur dans ma jeunesse et j’étais encore quelque peu musclé et j’avais découvert quelques années auparavant ma bisexualité. Pour finir : j’étais et suis toujours très poilu.

Il faisait chaud et les s étant alors petits, nous décidâmes avec mon épouse de « renouer » avec les plaisirs du naturisme, joies auxquelles nous avions un peu goutés avant notre union. On se retrouve alors sur la plage naturiste située à Villeneuve les Maguelonne. On s’installe, les s jouent, on déjeune sur la plage. On fait la sieste collé l’un à l’autre, ma femme et moi, sous le parasol. Il fait encore plus chaud à 15h30. La vue de tous ces hommes et femmes à poil induit alors des pensées érotiques dans mon cerveau . Mon cerveau vagabonde : je m’imagine en train de faire l’amour à ma femme sur la plage devant les autres couples qui nous observent et se caressant… Avant que mon état d’excitation me trahisse, je me lève revêts un short de running, me saisis de ma banane de plage qui contient mes papiers et indique à ma femme que je vais aller aux toilettes et marcher un peu …

Je marche vers les dunes, la vue des corps allongés continue d’accen mon malaise…J’ai comme une boule au ventre qui irradie sourdement mon bas ventre et mes bourses. Je reconnais cet état de confusion caractérisé par une forte poussée de fièvre : c’est comme si les spermatozoïdes réunis en trop grand nombre dans mes testicules se mettaient à bouillonner, que le taux de mes hormones s’élevait dans de dangereuses proportions pulvérisant toute inhibition et limites de mon cerveau qui s’obstinerait à vouloir livrer mon corps tout entier à la copulation. En 2 mots, j’étais furieusement en chaleur et était prêt à tout pour coïter avec n’importe qui !

Obsédé par l’envie de baiser qui devient insoutenable, je contourne le camping, me retrouve sur la route et marche le long de l’étang qui la borde envahi de roseaux.

J’aperçois au loin au milieu de ce fatras de jonc une concentration plus haute de cannes de Provence agglutinées autour d’un tamaris tortueux où je crois distinguer une silhouette sombre. Frénétiquement, j’enjambe la clôture qui a du en être une il y a bien longtemps et je me dirige vers cette tâche indéterminé, qui j’espère n’est pas le fruit de mon imagination…

La tâche disparait et j’accélère le pas à travers l’amas de joncs coupants qui égratignent mes jambes. Heureusement j’ai au pieds ma paire de Dockside car à certains endroits malgré la sécheresse de la saison, je crois deviner des zones humides. Je m’en fous, je suis certain d’avoir vu quelqu’un et il faut que j’en ai le cour net … Comme un assoiffé dans le désert, je me rue littéralement vers ce mirage qui je pense pourra étancher ma soif de sexe…
J’arrive enfin vers cette touffe de cannes qui forment un cercle autour du tronc du tamaris. J’en fait nerveusement le tour par la droite, il semble qu’il y ait un étroit passage, encore plus obnubilé, sans conscience du danger, je m’aventure vers l’inconnu et me retrouve au cercle de ce qui semble être une assez confuse « clairière » baignée de soleil qui rend l’atmosphère encore plus étouffante.

Il n’y a personne, ma tension et ma déception atteignent leur comble. Je scrute tout autour de moi les lieux déserts au bord du désespoir. Tout à coup, j’entends puis je vois émerger d’un coin opposé, une forme. C’est un homme ventru très brun d’environ 45 ans, avec une grosse moustache aussi noire que ses épais cheveux, il porte un long short en jean sale qui lui arrive jusqu’aux genoux et sur jeté l’épaule droite, ce qui semble être un débardeur bleu. Il fume un reste de cigarillo du coin de la bouche. Son visage est encore plus basané et buriné que le reste de son corps et ses yeux sont d’un noir profond qui les font briller, ce qui rend son regard encore plus effrayant .

Je suis figé sur place, ruisselant de sueur, écorché et haletant et je sens une sueur froide me parcourir l’échine, lorsque ce gitan éteint son mégot puis en un éclair, tout en me dévisageant avec une expression mauvaise, tel un taureau en furie, se jette sur moi.
Je me retrouve plaqué par terre par ce véritable Minotaure. Il m’immobilise carrément à califourchon sur ma poitrine, ce qui me fait hurler de douleur et d’un geste violent arrache ma banane.
Je tremble furieusement de la tête au pieds et commence à penser au pire. Il vide avec dédain le contenu de la banane quand tout à coup son regard se fige : il extrait deux préservatifs. Etonné, il se fige et me regarde droit dans les yeux avant de sortir le tube de gel intime. Il me lance alors un tel regard noir que je me mets à me débattre encore avec plus de vigueur.

A cet instant, il lève en l’air sa lourde paluche sale comme s’il allait me gifler. Je regarde sa main énorme s’abattre vers mon visage et s’arrêter à quelques centimètres de ma joue droite… Mon cœur va exploser, je me mets à trembler encore plus sans même oser crier. Je suis désemparé et à la merci de ce « manouche « qui doit chercher de l’argent…Je n’en ai malheureusement pas sur moi sinon je lui donnerais tout.
Peut être se contentera t’il de ma montre ? A la sueur due à mon périple, je sens couler dans le bas de mon dos une sueur froide au fur et à mesure que les battements de mon cœur s’accélèrent dans ma poitrine immobilisée.
Je m’imagine étendu sans vie, avec ma femme qui me cherche désespérée. Mais je ne sais pourquoi aucun son ne sort de ma bouche.

- -Peut être se contentera t’il de me donner une bonne raclée auquel cas je pourrais me défendre ? me mis je à penser avec une lueur d’espoir.

C’est alors qu’il baisse sa main, me fixe avec un regard si perçant que je sens que le pire va m’arriver. Il réfléchi un instant puis son regard s’illumine d’un large sourire et il semble commencer à renoncer à son étreinte car il relève légèrement son bassin ce qui desserre quelque peu sa pesante étreinte. Mais au lieu de se soulever entièrement, il bascule l’avant de son bassin vers mon menton et de ses 2 mains agrippe mon visage par les cheveux et vient plaquer l’entrejambe de son short contre ma bouche.
Une violente, odeur de fauve se dégage du tissus sale, mêlée d’effluves de tabac froid et d’urine.
Là, mon esprit se brouille :
- oui , j’ai peur ! oui je regrette de m’être mis dans une telle situation, mais après tout peut être que je l’ai bien cherché !… Qu’est ce qui m’a pris après tout de venir me précipiter dans ce lieu incertain ?

Alors, il recule un peu son volumineux postérieur latéralement et l’éloigne de ma bouche . Ouf je suis sauvé me dis je !
Pas encore . Car toujours en me tenant fermement avec ses 2 mains, il bascule en arrière mon visage en arrière jusqu’à ce que nos regards se croisent.

Le temps s’arrête !
A cet instant l’expression de son visage à changé : il esquisse un sourire…

Machinalement, je lui rends son sourire comme pour le supplier mentalement de ne pas me faire de mal.
Mes yeux dans les siens, je m’applique à maintenir cette connexion fictive qui me semble porter ses fruits. Il semble aussi confus que moi.
- Aurais je réussi à le dompter du regard comme le font les dresseurs ? Tout dans son regard le porte à croire.
Il lâche alors mon visage et semble vouloir se relever. Ca y est il a compris que cela ne lui apporterait rien de me brutaliser. Puis à ma grande surprise, toujours à califourchon mais son bassin un peu plus relevé, de ses 2 mains il tire sur son short et le fait difficilement descendre. Il ne porte pas de sous vêtement, comme moi me mis je à penser bêtement.

Il libère ainsi son sexe et ses bourses énormes qui pendent à presque 10 cm de son dard.
Sa queue est quasiment noire. Elle ressemble à une épaisse saucisse terminée comme il se doit par un protubérant nœud en guise de méat . Elle est flasque et a l’air de peser une tonne. C’est alors qui se rabaisse et vient telle une grue, positionner son viril crochet sur ma bouche.
Alors défiant toutes les lois de la raison, je sort la langue et avec mes 2 mains, j’incline son bassin vers ma bouche.
. Le contact de ma langue se fait sur son gros méat ou perle une goutte d’urine. Un liquide salé se répand en effet dans ma bouche. Je lèche alors comme une gros sucre d’orge, la bite de ce gitan inconnu. Elle sent fort le mâle, mais je m’amuse à introduire la pointe de ma langue à l’intérieur du canal urinal qui parait énorme, ce qui arrache à mon inconnu des râles rauques.
Il pousse alors son membre toujours mou dans ma bouche. Hum ! elle est douce et a un gout d’épices qui me surprend. Moi qui, très à cheval sur l’hygiène n’a que l’habitude de sucer des bites propres.

Je suis là, plaqué à même le sol, par un inconnu qui ne m’aurait jamais attiré en de plus placides circonstances. Sa queue est aussi sale que lui, sa broussailleuse toison pubienne empeste la sueur, le tabac, l’urine et je ne sais quelle sécrétion douteuse et malgré cela je m’applique à faire durcir dans ma bouche d’honnête père de famille le sexe nauséabond de ce type qui n’a pas l’air de vouloir bander.
Justement, pour être honnête, il faut bien se rendre à l’évidence que ce tranquille mari et bon père bande lui comme un taureau qui se complet dans la fange et que cet diabolique état de souillure fait converger tous ses désirs vers ce pour quoi il était venu dans ce lieu hostile : se faire profondément et intensément mettre !
A cet instant abandonnant toute retenue et pudeur, j’entame une frénétique branlette à travers le tissus trempé de sueur de mon short.

Au bout de quelques minutes d’intenses coups de langues et de succions appliquées, son dard a presque doublé en longueur sans changer d’épaisseur . Il bascule encore plus son bassin pour mieux investir ma bouche. Ma salive mêlée à ses sécrétions viriles coule de mes lèvres et se répand dans mon cou.
Tandis que je desserre un peu l’étau formé par celles-ci autour de ce barreau de chair pour respirer, Il commence alors allègrement à me bourrer la gueule accompagnant ses coups de boutoir de « hans » . Son organe vient buter contre ma gorge ou mon palais. Quel étalon ! Ses énormes couilles humides de sueur frottent contre mon menton ! Il me baise la gueule comme si ma bouche était un vagin !

Puis il ressort son mandrin, vient souffleter mon visage avec celui-ci. Un fin filet de bave humidifie mon visage. Je profite de ce bref répit pour faire glisser mon short. Je libère mon sexe dur et je sens alors le contact de mes fesses humides avec la terre brulante qui se mêle à la sueur de cul. Ma rosette est mouillée mais semble t’il plus par l’envie que la sueur.
Il re-rentre alors son gros braquemard dans ma bouche et me tronche la gueule comme un animal qui cherche à assouvir ses instincts les plus vils. Pas en reste, je m’astique le manche comme un malpropre.

Sa respiration s’accélère et devient de plus en plus saccadée, je sens que mon salopard ne va pas tarder à expulser son élixir dans ce calice improvisé.. Je lâche ma queue et d’un geste appuyé, je le contraint à temps à extirper la sienne de ma bouche
Quelques millièmes de secondes après le forcené exulte et expédie sa sauce en 3 puissants jets brulants sur mon torse mouillé de sueur en un beuglement bestial. –
- Quel salaud ! il s’est soulagé sur moi sans attendre que je jouisse me dis je déçu !

Alors, il se relève un peu mais pas complètement. Il vient alors écraser sa croupe contre mon menton et me force à lui lécher la raie. L’odeur est trop forte. Je ne veux pas lécher un cul aussi maculé. Mais visiblement, cet égoïste veut profiter de l’occasion pour bien se faire nettoyer le fion.
Dans la contrainte, je m’exécute et commence à sortir ma langue. Et pour me donner du courage je recommence à me branler. L’homme du voyage écarte alors avec ses mains ses deux gros lobes pour que ma langue s’insinue au plus profond de sa raie. Elle trouve enfin sa rosette boursouflée mais très resserrée et il émet un râle de bonheur. Son trou de balle à un gout amer et poivré qui me dégoute. Puis la perfide tentation de mon état de souillure étant monté d’un cran, je me mets à essayer de forcer le passage dans le trou serré de ce lubrique individu qui se trémousse tout concentré comme il est sur son seul plaisir.

Il faut bien se rendre à l’ évidence qu’au bout d’interminables minutes ce qui me servait normalement jusqu’alors à manger ou m’exprimer en était réduit à un lamentable et crasseux état de toilettes impropres.

Peut être lui aussi dégouté, le satyre d’un bond se redresse.

- -Oh stupeur ! Son sexe qui pourtant a inondé de foutre gluant mon torse velu est aussi dur qu’auparavant ! il ne débande pas mon assaillant !

Il se recule et je comprends qu’il n’en a pas fini avec mes orifices. Que loin de là ! Qu’il compte les bourrer un à un !
- Mais comment est ce possible ? qu’un mec ne débande pas ? me dis je stupéfait.

Il se baisse alors et d’un geste plein de colère il tente d’enlever mon short ! Reprenant mes esprit, pour sauver ce qui est encore possible avec un aplomb retrouvé, je lui dit :

- Attend tu vas l’avoir mon cul ! Mais passe moi le tube de gel que tu as jeté la bas et une capote pour que tu rentres en moi plus profond ! Tu verras ça glissera mieux dans mon cul !
Il se saisit du tube, il me le tend un peu penaud. J’att une capote et je comprends instinctivement qu’il vaut mieux que je lui enfile avant qu’il ne le fasse dans mon cul.

Alors précautionneusement, comme pour ne surtout pas abîmer le joyau de mon »tortionnaire » que j’ai envie de sentir en moi, je me saisis du sexe violacé et gluant et je déroule avec une extrême délicatesse le préservatif sur son manche. Plus pour ne pas risquer de souiller la partie de la capote qui va frotter contre mes entrailles.

Toujours mu par mon instinct, j’ôte rapidement mon short et j’écarte mes cuisses sales de terre, j’ouvre le tube de gel et en un geste obscène plus digne d’une pute que d’un vrai mec, je m’enduits généreusement l’anus de gel brulant. Ce qui, au passage accroît davantage la taille de ma bite.
Mon amant se délecte de cet état de dépravation où il m’a entrainé. Un stupéfiant sentiment de compassion traverse alors mon esprit, ce pauvre bougre au physique ingrat encore plus écrasé par les contraintes ridicules que lui impose son appartenance à sa communauté qui exacerbe le coté macho de ses membres doit souffrir plus que moi du manque de rapports sexuels. En effet, il salive et sort fiévreusement sa langue qu’il passe sur ces moustaches.

Je lui sourit alors avec bienveillance, comme pour l’encourager à venir accomplir son devoir de mec. Son visage s’illumine d’un regard craquant d’innocence. Deux inconnus souriants : ceux de 2 êtres seuls au monde qui s’apprêtent à s’unir car l’un s’enfoncera au plus profond de l’autre jusqu’à ne former plus qu’un, brulants de passion sur le chemin de la commune extase.

C’est donc avec un vif et partagé désir que j’offre mon intimité de mec déchu à mon compagnon qui vient se positionner consciencieusement après avoir pris la peine d’étaler mon short sous mes fesses . Moment magique, tel le plus grand des gentlemen, son regard croise le mien comme pour me demander la permission.
Je ferme les yeux et dans un soupir j’incline la tête en arrière tout en projetant mon bassin en avant. Son sexe encapuchonnée s’avance alors, vers mon sphincter qui s’écarte pour lui permettre de s’immiscer dans mon rectum et de finir de coulisser au plus profond des mes entrailles ou il s’immobilise. Ce parcours triomphal autorise une possession pleine et entière de mon être. J’émets un cri rauque de plaisir qui encourage mon bel étalon à me saillir comme il se doit. Comme si ce n’était pas suffisant, je lui lance comme un défi :

- Vas y bourre moi ! Bourre moi bien la chatte ! Je suis à toi ! Prend ton pied mec !

Il commence alors à me pistonner les tripes comme un forcené. Je beugle comme un cochon et à chaque coup qu’il me donne, j’avance mon bassin afin qu’il rentre plus encore en moi et m’éclate les entrailles.

Il me besogne comme jamais je n’avais été besogné auparavant. Nos râles s’échappent de nos bouches qui constituent le premier des 2 orifices que possède l’homme et composent une mélodie cadencée par les incessants va et vient qu’il imprime dans mon second orifice qui ne doit plus être moins étroit que celui du haut.
Il y a longtemps que mes doigts s’agitent sur ma bite, mais j’adapte ma frénétique branlette afin de profiter des assauts virils de mon mâle.
J’ai la perverse impression qu’il redouble d’efforts pour me combler et me satisfaire et qu’il tente désespérément de prouver à sa femelle- en l’occurrence moi- qu’il est un mâle redoutable capable de la féconder dignement.

Comme pour lui épargner de telles souffrances, je lui fait comprendre qu’il doit se ménager et se retirer un peu. Je m’enduits alors d’une noix de gel et mes 3 doigts rentrent comme aspirés dans ce trou noir sans fond.
En un instant, une pensée troublante traverse mon esprit chauffé à blanc :

- que penserait ma femme si elle constatait que le petit trou de son mari était plus ouvert que son vagin ce soir?

Je bande alors encore plus, si tant est que ce fusse encore possible. Et tout à mon état de femelle, invite mon nouveau « époux » en me tournant sur le coté, à venir contre mon dos s’enfoncer latéralement en moi. J’adore pratiquer cette position avec mon épouse. Elle permet, en effet, pour ceux qui la pratiquent, pour le bonheur renouvelé des 2 partenaires, d’atteindre des parties intimes non sollicitées dans un coït traditionnel. Etat de fait qui se justifie pleinement.

Je sens le torse puissant imberbe et le ventre proéminent écrasé contre mon dos maculé de la boue qui s’est formée sur mon dos. Il me serre très fort contre lui pour mieux m’enculer et ses avant bras s’imprègnent de sa propre semence qui perle et effluve sur mon torse . Ainsi dans une odeur de stupre, nous nous vautrons plus profondément dans la fange en une animale copulation. Un peu pour redonner un semblant d’humanité à nos ébats torrides, je retourne mon visage et me rapproche du sien, ses moustaches sont contre mon cou.
Je sort alors ma langue vers lui, il hésite et me tringlant encore plus fort, il sort la sienne et elles se rencontrent avec autant de difficulté que de bonheur. Ce langoureux baiser scelle irrémédiablement notre accouplement d’un caractère « nuptial ». De statut de mâle déchu, induit par mon délit de fornication puisque m’adonnant à des rapports sexuels, hors mariage qui plus est contre nature, je regagnais en quelque sorte celui de compagne fidèle de ce nouveau compagnon.

Cette coupable mais au combien douce trahison, matérialisée par sa volumineuse langue qui émergeait de sa moustache pour s’enrouler dans un langoureux ballet autour de la mienne nous permis ainsi de nous enfoncer de façon plus complice dans le bonheur. Sa langue m’emplissait la bouche tandis que son énorme pine finissait de m’éclater le fion. Un seul léger soupçon de revanche me traversait lubriquement l’esprit : ma salive qui avait le goût de sa bite et de son cul se mélangeait à la sienne qui avait le gout du tabac et de la vinasse.

- Le souilleur était ainsi à son tour et son insu doublement souillé .

Cette position permis à mon amant de mieux me pénétrer , me tringler comme le ferait une bête, ralentir puis sortir pour venir me fesser la raie avec son chibre pour mieux rentrer à nouveau dans mon cul béant et me faire gueuler comme un malade. Au bout d’interminables minutes, mon bras qui maintenait ma jambe levée parallèlement à mon corps afin que mon entreprenant amant puisse mieux fourrer son vît dans mon trou commença à s’ankyloser…

Mon attentionné compagnon le comprends et se saisissant de son bermuda sale le jette devant moi sur le sol à hauteur de ma tête. Puis il décule, s’écarte de moi et me soulève le bassin et me retourne sur le ventre sur mon short. Mon nez se retrouve alors contre le tissus taché du sien. Mon prévenant baiseur du voyage, renouvelle le lubrifiant de mon anus meurtris avant de venir se planter encore plus profond en moi. Cette position humiliante décuple mon excitation.
- Je suis niqué comme une salope !

En effet , j’ai l’impression qu’il me casse encore plus le cul ; qu’il m’a pété complètement la rondelle. D’autre part, ma bouche lèche avec vice son short à la recherche de nouveaux gouts défendus et au comble de volupté : ma propre queue bandée frotte contre le mien de façon incontrôlée risquant à chaque coup de bélier de me vider de ma me sève. Je sens ma prostate qui est sollicitée et qui provoque une sourde douleur dans mon périnée et mes testicules qui telles des noix de plomb me font mal .

Je ne veux pas éjaculer ainsi et lui fait comprendre en tentant de relever mon bassin. Il sort son trépan de mon puits et s’affale par terre à coté de moi sur le dos. J’en profite pour me retourner.
Exténué, nos visages et nos corps ruisselants de sueur, il me regarde et je lui souris. Nous restons ainsi quelques minutes reprenant des forces.

Alors, je me baisse vers sa tige, et comme pour mieux vérifier de l‘intégrité de la capote qui n’a plus tout à fait sa couleur d’origine, j’approche ma bouche et engloutit cette besogneuse tige dans ma bouche. Ma langue avec une vile délectation s’imprègne des fortes saveurs ambrées de mon fondement.

Mon hidalgo est surpris et tétanisé par la hardiesse de ce geste de dévouement ultime :
- -je lui nettoie le jonc avec ma bouche comme une truie.

Il se dégage puis me couche sur le dos, il écarte mes jambes qu’il maintient avec ses bras et par un brutal déhanchement me care son gros pieu lubrifié par ma salive dans les fesses.

Il me tringle alors comme un damné, tellement fort et rapidement que j’ai peur que la capote ne cède. Puis sa respiration s’accélère, il me pistonne encore plus fort ; ses couilles claquent contre mon cul avec un tel bruit que j’ai l’impression que l’on va nous entendre. J’accélère la cadence de la cègue que je prodigue à mon propre membre. Il commence alors une série de beuglements gutturaux, sort sa queue de mon trou de balle, mes jambes retombent, il arrache la capote et telle une lance à incendie, sa bite inonde mon bas ventre, mes pectoraux et jusqu’au bas de mon visage d’une trop épaisse et abondante mousse blanche.
3 secondes après, j’expédie mon foutre qui rejoint mon ventre et se mélanger au sien en de violents spasmes. Il s’écroule sur moi, et me roule une divine pelle. La boucle est bouclée, il goute ainsi directement aux dernières saveurs ambrées et musqués de mon anatomie.

Nous restons ainsi, repus et heureux l’un sur l’autre reprenant peu à peu nos esprits. Je regarde ma montre, Il est 18H30. Cet inconnu m’a baisé pendant plus de 2 plombes. Ma femme doit s’inquiéter.

Je lui dit que je dois me grouiller. Mais nous nous sommes mis minables . Mon corps, et plus particulièrement mes fesses et mon torse dégoulinent de spermes mêlés à de la terre, des feuilles et autres saletés. A part mon mince short et ma banane. Je n’ai rien pour m’essuyer. Il me tend généreusement son débardeur bleu. Mais je le refuse poliment ; je ne veux pas salir ces affaires. Embarrassé, il m’aide à rassembler les contenu épars de ma banane. Puis avant que je ne m’avise à remettre mon short, il jette ce dernier et ma banane sur le coté. Il ôte délicatement mes chaussures qui vont rejoindre mes effets personnels. Puis avec un regard désarmant, il m’embrasse et m’invite à m’accroupir. Je m’exécute. Il prend alors dans la main sa queue qui commence à débander et se met à uriner sur moi en prenant soin de viser toutes les parties souillées de mon corps. C’est purement décadent, mais nullement humilié, je reçois son urine comme une douche libératrice.
Puis, malgré mes réticences, il me sèche avec son débardeur. Il m’aide à me lever et s’accroupit à son tour. J’hésite et me résouds à nettoyer mon partenaire en urinant à mon tour sur lui. Je le sèche avec son débardeur.

Je me rhabille. Il en fait autant et me dit avec une voix suave et virile, car jusqu’alors il n’avait dit aucun mot:
- Vous êtes marié ?
- Oui ! lui réponds je
- Vous aimez votre femme ?
- Heu oui !
- Vous faites souvent l’amour ?
- Oui ! 3 ou 4 fois par semaine
- Vous en avez de la chance Monsieur ! Vous êtes un brave homme Monsieur !

Je croise son regard. Il me sourit me prend dans ses bras et me dit :

- Merci Monsieur ! je ne sais pas comment vous remercier Monsieur ! Merci et excusez moi Monsieur! Que Dieu vous garde Monsieur !

Je suis stupéfait ! Il me serre vigoureusement la main et finis de s’habiller.

Trop pressé, malgré mon envie de m’éterniser ici, j’abandonne lâchement mon sauveteur qui m’a divinement soulagé. Je sais rien de lui ; pas même son prénom. Je m’enfuis donc en courant et tel une agile gazelle en un éclair rejoints la route et me mets à courir sur la route. L’air est plus frais et me fait un fait un bien fou en venant rafraîchir mon céans soumis à rude épreuve.

Arrivé sur la plage, je rejoints ma femme qui m’assaille de questions. Je réponds tant bien que mal pour la rassurer. Elle regarde alors mon cou qu’elle trouve rouge et me demande où est la médaille de naissance qui orne mon coup depuis qu’elle me connait. Confus, je lui dit que je l’ai perdu dans la brousse lors de mon observation des oiseaux migrateurs qui peuplent l’étang. Et que je retournerais la chercher avant de partir. Elle se lève et essaie de convaincre les s de quitter la plage. Prévenant je lui propose de ranger toutes les affaires pour l’aider ! Quel faux cul !

Des pensées m’assaillent : comme tout un chacun, je me dit :
- Que ce gitan s’est servi et à prélevé un gage de moi.
- Que j’y tenais à cette médaille.
- Qu’elle est peut être tombée au début dans notre différend.
- Qu’il faut que je me grouille de ranger !
- Mais comment retourner sur le lieu de nos ébats sans éveiller les soupçons ou pire tomber sur mon baiseur ?
Tout se mélange dans ma tête quand, je vois justement mon amant de l’après midi se diriger lentement vers moi. Un boule se noue dans ma gorge.
- -Que vient il faire sur la plage ?
- M’agresser assurément !
- Faire un scandale !
- Ou pire exercer un chantage sur ma personne pour me soutirer de l’argent…

C’est alors qu’il s’arrête, attend que mon épouse se retourne pour faire entendre raison à ma progéniture récalcitrante à quitter les vagues. Il bondit comme un tigre vers moi, les doigts de sa main droite joints vers le bas comme pour déposer quelque chose dans ma main que j’ouvre machinalement.

Puis dans un état second, en un instant qui me parait une éternité, j’entends :
- Vous avez une belle famille Monsieur !
- Votre femme est très belle Monsieur ! Faites lui l’amour ce soir pour moi!
- Que Dieu vous garde Monsieur !

Je ne dis mot, il s’éclipse, il est plus là... J’ouvre la main et je vois ma médaille.

Le soir même, sans même prendre de douche, j’ai honoré longuement ma compagne retrouvée et l’ai fait jouir 2 fois. Lorsque je me suis effondré en elle. Un sentiment troublant envahit mon cerveau : C’est comme si j’avais offert ma femme à ce gitan. C’est comme si c’était lui qui l’avais prise et fait jouir…Je me lève et vais fumer sur le balcon.
- Que c’était bon ! Qui va me bourrer demain ?

Aux vrais hommes, aux machos qui bourre les meufs et qui se délectent de délaisser le vagin de leur partenaire ou la femme de leur meilleur ami pour inonder de semence le cul de cette dernière qui n’est pas toujours ravie de se voir ainsi enculée, et qui bien souvent n’a même pas pris son pied , je dis :

- Oui j’ai eu le feu au cul !
- Oui je me suis fait bourrer par tous les trous et dans toutes les positions par un inconnu par terre !
- Oui à leur yeux je suis un bel enculé ! Et alors ?

En baise comme en amour il faut être 2 ! A mes yeux par contre, il faut que les 2 prennent leur pied ! Et TOC !

J’espère que cette histoire vraie comme toutes celles que je livre humblement à votre connaissance vous aura plu.
Pour finir, je ne peux qu’encourager tous les autoproclamés bien pensants qui stigmatisent ceux qu’ils jugent si différents d’eux et condamnent trop facilement les immigrés, les gens du voyage, les Roms …aussi stupidement que je l’ai fait, à réviser leur jugement.

Les hommes sont tous les mêmes : c’est l’espoir qui les fait vivre et c’est l’amour qui les rassemble.

Dites moi ce que vous, vous en pensez !!!

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