Le Couvent
Je nai pas pu me défaire de mon habitude. Je pensais sérieusement que lentrée au couvent me serait profitable. Je suis heureusement seule dans ma cellule, sauf que je moublie juste avant de mendormir comme chez moi. Je me sors de ce carcan de chemise de nuit de pénitence pour me caresser les seins dabord, mon ventre et inévitablement entre les jambes où je retrouve toujours ma chatte bien mouillée.
Je caresse comme je veux, dans un élan de désir le clitoris. Je me fais du bien, beaucoup de bien, même plus que chez moi, avant dentrer où je suis. Jespère surtout quune consur ne me surprendra pas. Si elle allait le répéter à la mère supérieure ! Jaméliore mes plaisir en entrant un doigt dans la gaine de derrière. Jai découvert cette façon il y a peu. Cest drôlement bon de sentir son doigt aller et venir dans son cul.
Jai des fantasmes comme toutes les filles de mon âge : je me vois avec un homme bien monté, comme celui qui le premier me la mise devant, il y a longtemps. Ce nétait pas la grosseur de sa bite, normale si agréable la première fois, mais après quand il a pris lhabitude de mon corps, il ma faite jouir à chaque fois : je lui en redemandais même. Pour le second et dernier amant, jai joui dès le premier coup. Je me souviens encore de la grosseur de sa bite, normale, et surtout de sa longueur. Il allait tout au fond de mon vagin facilement, trop peut-être. En tout cas il me donnait le plaisir que je désirais.
Le soir jaimerais particulièrement quil soit là, sur moi, sa queue dans mon trou. Mais ça, je ne peux pas, je me dois de ne plus avoir damant. Cest pour ça que je ne peux pas tenir plus dune journée sans me branler.
Un soir, jétais malade : jai du passer plusieurs jours à linfirmerie. Malgré la fièvre, le soir je me suis caressée en faisant attention de ne pas me faire remarquer. Jentendais des soupirs de souffrance juste à coté de mon lit. Ce nest que le lendemain soir que je mapercevais que la sur à côté se faisait du bien comme moi.
Elle sursautait : il fallait que je la calme par un baiser sur les joues ; Jai remplacé sa main par la mienne ; elle se laissait faire en gémissant toujours. Jarrivais à la faire jouir. Si au départ elle restait immobile sous mes caresses, vers la fin elle les cherchait. Il a fallu que je lui demande de me caresser aussi.
Elle posait une main sur ma chatte, lentement comme si elle ne savait pas ce que cétait. Jai du la forcer pour quelle accepte de me masturber. Elle faisait bien bouger sa main et ses doigts sur le clitoris. Jétais comme elle, je jouissais avec un plaisir immense. Puis, nen pouvant plus je lembrassais comme si elle était mon amant.
Enfin javais à nouveau une langue dans ma bouche.
Jallais jusquà lui mettre trois doigts dans sa gaine que je supposais déjà ouverte. Heureusement elle nétait pas vierge. Cette fois elle ne jouait pas à linnocente. Je la baisais presque avec ma main. Je savais quelle devait avoir un orgasme.
Cest à partir de cet instant que nos vies se sont unies facticement : dans un murmure elle me donnait les coordonnées de sa cellule, come je lui donnais les miennes.
Pendant tout son séjour à linfirmerie, chaque nuit nous étions dans le même lit : nous en étions à faire des 69. Plus tard, je venais juste de revenir chez moi, jentendis frapper doucement à ma porte : elle entrait revêtue simplement de son vêtement de nuit. Sans un mot, elle venait près de moi, se penchait pour me donner le baiser charnel. Cest moi qui entrais ma langue sans sa bouche. Elle était vite nue pour venir contre moi.
Sa chaleur était le bien venu contre mon corps. Sans jamais dire un mot nous nous sommes aimé de plus en plus librement. Au début nous nous sommes branlées, nous avons joui une première fois. Je lai baisée avec plusieurs doigts. Pour la première fois elle aussi mettait ses doigts dans mon vagin. Quand elle les sortait cétait pour lécher sa main.
Jaurais tant voulu quelle me baise avec un objet style godemiché. Allez trouver de genre daccessoire dans un couvent ! Je trouvais ce qui pouvait servir pour nous bourrer la chatte. Une paire de chaussette emplie dun mouchoir devant faire laffaire.
Lavantage de cette formule était que la grosseur de la chaussette, agrandie par le mouchoir ajouté à la rudesse de lensemble dans le con faisait un effet magistral. Jessayais sur elle : elle écartait un peu trop les cuisses, je pouvais entrer ce que je voulais. Jenfonçais lentement lensemble dans son vagin extrêmement mouillé. Ses gémissements prouvaient au moins que ce nétait pas désagréable. Je la sentais se tendre souvent quand elle avait un orgasme. Il a fallut que jattende pour quelle me branle avec les chaussettes.
Je comprenais ses orgasmes à la chaine. Nous venions dinventer la nouvelle façon de jouir dans un couvent.
Les nuits ont succédé aux nuits jusquau moment de prononcer les vux.
Pour nous cétais trop demander : nous sommes sortie du couvent ensemble. Pas bras dessous bras dessous, mais presque. Si au début notre vie était difficile, maintenant nous vivons comme un couple presque normal avec nos disputes et nous réconciliations sur loreiller. Il nous arrive de temps en temps de nous donner à un homme à deux pour le simple plaisir davoir une bite à notre disposition, sinon, nous nous contentons entre filles.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!