Petite Annonce 3
Lorsque je méveillais le lendemain matin, jétais seule
. Lappartement était calme. Une odeur de sexe planait dans la chambre. Au cours de la nuit javais encore subi les assauts, de, je pense, Victor.
Je me levais et filais sous la douche. Jenfilais une chemise qui était posé sur la chaise à côté de la douche et me dirigeais vers la cuisine. Surprise, jy trouvais Victor assis devant une tasse de café, en peignoir, les cheveux légèrement humides.
- Bonjour, bien dormi ? Demanda-t-il avec un clin dil
- Oui merci répondis je un peu gênée.
- Tu veux un café ? Les tasses sont rangées là, fit il en me désignant un placard.
Jouvrais le meuble, les tasses étaient sur une étagère en hauteur, sur la pointe des pieds je tentais den attr une mais jétais trop petite. Sous leffort, je sentais la chemise remonter juste sous mes fesses et pensais que Victor ne devait pas perdre une miette du spectacle.
Sans bruit il sétait levé et je le sentis dans mon dos.
- Attends je vais taider. Son corps se colla sur le mien et il attrapa une tasse. Il bandait déjà. Je sentais sa trique contre mes reins à travers son peignoir. Jétais coincée entre le plan de travail et cet homme qui se frottait contre moi. Une vague de chaleur envahit mon ventre. Il sattarda légèrement, se retira et me servit un café.
Il retourna sasseoir sur sa chaise en me fixant intensément. Jétais un peu décontenancée
- Tu me redonnes mes 20 ans poursuivit il, regarde je bande encore comme un âne dit il tandis quil dénouait la ceinture du peignoir puis écartait les pans, dévoilant son sexe en érection. Une onde de chaleur menvahit.
- Approche, jeune fille.
Jobéis les yeux rivés sur lentrejambe de Victor. Son sexe était de bonne taille, plutôt gros, la peau mate, le gland complètement décalotté était rouge foncé, pas très beau à regarder à vrai dire.
- Philippe ma dit que tu étais une bonne petite pipeuse, cest vrai ?
- Euh
je ne savais que répondre.
- Suis moi, tu vas me faire profiter de tes talents. Sur ce, il se leva, me prit par la main et memmena dans le salon. Il me fit mettre à 4 pattes sur la table basse, les jambes écartées, la chemise relevée jusquà la taille exposant mon intimité. Il se plaça devant moi le sexe à la main, à hauteur de ma bouche et se caressait doucement. Il approcha, le gland se posa sur mes lèvres qui instinctivement souvrirent pour laisser glisser le mandrin que je me mis à pomper. Une main me tenait la tête tandis quil me baisait la bouche délicatement. Javais une furieuse envie de me branler, ma chatte semblait trempée, mais je me concentrais pour le pomper consciencieusement. Il se retira, puis vint se placer derrière moi. Ses mains se posèrent sur mes fesses quils commença à caresser doucement, une de ses mains effleurait de temps à autres mon sexe, puis ses caresses se firent plus appuyées, je mouillais comme une chienne.
Il sajusta derrière moi, son manche à lentrée de ma grotte, les 2 mains maintenant fermement mes hanches; il poussa doucement mais inexorablement jusquà la garde. On aurait dit quil mavait déchiré le con. Il resta un moment immobile au fond de mon ventre, ma chatte palpitait sur sa queue, et il se mit à me limer.
- Ce que tu es étroite dit il admiratif. Si on mavait dit quà mon âge jallais encore pouvoir enfiler une gamine de ton âge
Il limait lentement, sortant presque entièrement de mon con et replongeant bien à fond au fond de mon ventre. Parfois un coup de reins brutal marrachait un grognement. Il voulait profiter de la situation le plus longtemps possible.
- Ne bouge pas mordonna-t-il en se retirant. Jattendis quelques minutes quil revienne. Il se replaça derrière moi et menfila à nouveau. Ses mains écartèrent mes fesses, une sensation de froid sur ma rondelle, ses doigts qui glissaient dans mon anus, il avait été chercher du lubrifiant. Ses doigts assouplissaient délicatement mes chairs, un doigt força délicatement mon anus, puis un deuxième et me branlaient doucement.
- Hummm, t es encore plus étroite du cul que de la chatte
tu la sens bien ma queue ?
- Oui cest bon je gémissais, ma cyprine coulait entre mes cuisses.
Cest à ce moment là que Philippe fit irruption dans la pièce, il se plaça devant moi. Il défit sa ceinture, ouvrit sa braguette en sortit sa bite qui prit aussitôt place dans ma bouche. Javais un mal fou à me concentrer sur ma fellation mais ça ne semblait pas gêner Philippe qui mimposait son rythme. Je ne sais pas combien de temps ils me baisèrent ainsi touts les 2 mais je commençais à avoir mal aux genoux.
Ils se retirèrent enfin . Victor sallongea sur le dos, sur le tapis devant le canapé et minvita à le chevaucher. Il mattira contre lui, sa bouche força la mienne, nos langues senroulèrent dans un long baiser. Je mempalais doucement sur sa queue, quelques instants plus tard des mains mécartaient doucement les fesses et le sexe de Philippe pris place entre mes fesses.
- Taimes ça petite cochonne demanda Victor.
-Ouiii
- On va te bourrer comme une chienne jusquà ce quon se vide les couilles bien à fond, ma chérie poursuivait Philippe.
La cadence saccélérait. Mes seins ballottaient dans tous les sens alors que je subissais les assauts virils de ces deux mâles en rut.
Mes gémissements et cris se mêlaient aux grognements et aux mots crus que les hommes proféraient.
Je jouis comme une folle. Victor déchargea le premier et inonda ma chatte de longs jets de foutre épais suivi de Philippe qui menvoya sa purée entre les fesses.
Epuisée je retombais sur le torse de Victor, haletante.
Philippe se retira. Je restais un moment allongée, le sexe de Victor qui avait perdu de sa vigueur toujours dans le ventre.
- Ne te sauve pas petite fille
Tas vu dans quel état tas mis ma queue ? Elle est poisseuse de foutre et de cyprine. Tu vas me nettoyer tout ça.
Jhésitais un instant, cétait dégouttant. Son engin, déjà pas beau à voir en érection, souillé de traces de sperme mélangées à ma mouille, pendait sur sa cuisse gauche . Mon regard croisa le sien. Il me fixait intensément. Je mexécutais. Ma langue lécha délicatement le gland, glissa le long de sa tige jusquaux couilles quil mordonna de lécher et de sucer, puis remonta jusquau gland. Sa queue nettoyée de toute trace de cyprine et de sperme reprenait déjà de la vigueur entre mes lèvres . La main qui me caressait doucement la nuque et les cheveux se fit plus ferme
- Oh putain, tu me fais rebander
oui pompe moi bien
comme ça oui
.
Je le suçais depuis un long moment lorsquil se crispa sur ma nuque, de longues giclées chaudes et visqueuses s écrasèrent sur mon palais. Javalais sa semence jusquà la dernière goutte.
Après une douche bien méritée je mhabillais et partais en cours.
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