La Main De Julie
Jai soudain peur davoir accepté ce que Julie va me faire. Je vais avoir mal, même si elle affirme le contraire. Avant de nous connaitre dans le début de soirée nous étions comme des gamines à rire follement dun rien, dune simple bêtise dite comme ça en lair. Nous voyons un couple de lesbiennes se faire des mamours devant tout le monde et nous en riions. Mais le rire sest transformé quand brusquement elle me dit sérieusement :
- Jai envie de toi.
- De moi ? Pourquoi ?
- Pour te faire jouir.
- Ne plaisante pas avec le plaisir, cest une chose trop personnelle.
- Mais cest justement parce que cest personnel que je te redis jai envie de toi.
- Ce sont les deux filles que nous avons vu ?
- Oui et des souvenirs de ma jeunesse.
- Parce quà 35 ans tu es vieille !
- Dieu men garde, javais une copine avec qui
tu comprends.
- Tu veux dire que tu tamusais avec une copine ?
- Oui.
- Mais nous lavons toutes fait.
- Jen ai encore envie.
Cette conne de Julie me donne maintenant envie de partager mon corps avec elle. Elle est comme moi, bien faite, jeune, sensuelle, mais de là à vouloir coucher avec moi, que dirait mon époux ?
En prenant ma main elle me regarde droit dans mes yeux : elle ne plaisante pas. Sa main reste sur la mienne, je ne la fais pas partir. Elle me sourit gentiment, sort légèrement sa langue pour se lécher les lèvres. Je comprends quelle voudrait un baiser. Je résiste encore comme la chèvre de monsieur Seguin. Je sens un creux dans mon ventre : je sais ce que ça veut dire : jai envie de jouir. Mais enfin, pourquoi maintenant cette brusque demande ?
Julie me serre le poignet pour me faire lever. Je sais que nous allons dans une chambre. Je ne résiste plus. Je la suis dans les étages de lhôtel.
Dans sa chambre nos lèvres se touchent avant de nous faire un vrai baiser. Je ne sais pas comment je fais, jentre ma langue contre la sienne.
Julie joue avec ma poitrine en me pinçant légèrement les tétons qui semblent apprécier. Je nose pas trop la toucher, alors je caresse à peine un globe. Quand sa bouche vient sur mon cou, je frémis : comment sait-elle que dans ce cas je mabandonne complètement à mon mari qui peut me faire ce quil veut, même me sodomiser quand je nen ai pas envie. La garce a deviné mon désarroi, elle en profite pour enlever ma culotte. Julie frôle mes fesses avant de chercher ma raie. Je me réveille à cet instant, non pas que je refuse cette caresse sur un endroit de mon intimité, mais je crains quelle me fasse des petites caresses peu appuyées, ce que je naime pas du tout.
Je reste comme une cruche, immobile, hésitante sur la façon de me comporter. Mais quand elle pose lautre main sur ma chatte, jouvre mes jambes, ne refusant pas la suite logique. Cest quand un doigt vient sur mon clitoris que je comprends enfin le désir quelle a de moi et de mon corps. Cest à mon, tour de chercher son sexe.
Julie est trempée, elle ne mentait pas en disant quelle avait envie de moi. Jallais lui faire cette caresse intime que jaime me faire quand elle me force à me coucher. En vérité elle me le demande gentiment. Tout près de moi, allongée je peux lui caresser enfin son bouton. Je ne lai jamais fais à une autre, alors jagis comme pour moi. Je tire vers le haut ses fines petites lèvres pour faire ressortir son clitoris. Je le masse lentement sans trop appuyer. Elle gémit doucement comme un chat qui miaule. Soudain sans que rien de le laisse prévoir elle jouit. Je sens ses spasmes, jarrête de la masturber.
A nouveau nos lèvres se touchent.
- Oui, branles moi bien encore, plus fort.
- Je fais comme tu ma fais tout à lheure. Tu ne voulais pas et maintenant tu en veux encore, putain.
- Oui, je suis ta putain, ton esclave, baises moi.
- Je vais de faire jouir à mort.
Elle se tourne pour me donner tout son sexe à hauteur de ma bouche pour mettre sa bouche sur mon sexe. Je sens sa forte odeur qui mexcite contrairement à ce que je pensais. Je sens sa langue sur ma fente ; je fais comme elle je commence par poser ma langue tout près de son cul, dans la raie des fesses. Pour moi ça a un effet extraordinaire. Je suis une fontaine. Elle aussi : si elle jouit ainsi je vais recevoir une bonne dose de cyprine ; Nos langues explorent lentrée du cul de lautre. Jessaie douvrir le mien le plus possible. Le sien en tout cas est très accessible. Julie jouit la première, ce qui narrête pas mes mouvements dans son anus. Je suis étonnée de jouir aussi, normalement je jouis avec une bite dans le cul.
Puis lentement nos langues montent vers des endroits plus civilisés. Le vagin est idéal pour faire jouir une femme avec une langue. Je ne sais pas trop comment elle fait, je la sens dans mon ventre me donner des spasmes inédits (même mon mari ne ma jamais faite jouir ainsi). Moi jai entré ma langue pas tellement loin, je la tourne pour la sentir se crisper souvent quand elle jouit.
Julie enfin vient reposer sa langue sur le clitoris. Pour moi le summum. Jadore faire des 69 avec mon mari, jai sa bite dans la bouche, je le lèche pas tellement longtemps, juste ce quil faut pour quil me donne sa semence.
En guise de bite jai un tout petit bout de chair durcie que javale en partie. Je le rejette aussitôt avant de recommencer. Elle doit me faire pareil, ce nest pas possible de tenir longuement : nous jouissons comme des dingues. Elle me donne comme je le pensais sa bonne dose de cyprine de femmes fontaine: javale tout. Je sens son souffle sur le vagin, encore une excitation supplémentaire ajoutant à cela deux doigts dans le rectum : le paradis sur terre.
- Nous allons changer de position : remets-toi sur le dos.
- Tu veux faire quoi ?
- Te mettre ma main dans le con.
- Ta main ?
- Oui, toute ma main, te me le rendras après.
- Comme tu veux.
Jai accepté cette chose comme la normalité. Maintenant jai peur quelle me fasse souffrir.
Pourtant tout commence bien : elle entre dabord deux doigts dans le vagin : ce nest quun simplement doigtage, elle me baise ainsi avant dajouter un troisième doigt. Cest toujours agréable dêtre prise ainsi. Là ça devient un peu inquiétant quand elle rajoute lauriculaire puis le pouce.
Jai déjà eu un pouce dans le ventre : avant de me la mettre au cul, mon mari essaye toujours avec le pouce enfoncé à fond : cest excitant. Mais elle enfonce le tout dans mon tout petit vagin qui sélargie lentement suivant son mouvement entrant. Jai à peine mal et même le temps de le réaliser je sens un plaisir monter de mon con. Elle enfonce toute sa main, maintenant elle me dit enfoncer son poignet. Je sens le plaisir augmenter. Elle me défonce et je demande encore. Ses va-et-vient sont réguliers et lents. Je mentends gémir sans cesse. Je sais aussi que je jouis sans arrêt. Dans un éclair je me vois demandant à mon mari de me faire la même chose : il me demandera doù jai appris cette déviance.
Julie sort lentement sa main. Je mécroule sur le lit totalement hors course. Je dois mettre une bonne demi heure avant de revenir dans mon état normal.
Jembrasse Julie sur la bouche en lui touchant la figue :
- Je te veux autour de ma main.
- Maintenant ?
- Oui je te baiserais comme tu mas fait, garce, salope, pute.
- Baises moi.
Elle sinstalle couchée sur le dos, les jambes grandes ouvertes. Je mets mes doigts dans la chatte, jentre tout ainsi que le poignet, je force à peine pour entre presque à mi avant bras. Je la baisse sans arrêt un long moment jusquà ce que je sois fatiguée de mes aller et venue.
Julie est comme moi, assommée de jouissance, de plaisirs incontrôlables et incontrôlés. Notre dernier baiser dure longtemps. Nous savons que nous allons nous revoir simplement pout le plaisir reçu et donné.
Ce soir je ne pourrais peut être pas baiser avec mon époux. A moins que je lui raconte tout: excité il me baisera
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