Leslie Hd87

Leslie HD87 – Vacances espagnoles, suite et fin…

Les vacances allaient se terminer, Stéphanie est rentrée et ils ne nous restaient que quelques jours à passer ensemble.
Le diner, le soir de son retour, fut excellent, Ornella nous avait préparé un repas de gala et nous nous sommes régalées, pour l’occasion la maman de Stéphanie avait invité Pilar, Alejandra et Luciana, à la fin du repas pendant qu'Ornella et Luciana faisait la vaisselle je me suis rendue dans le patio afin de prendre un peu l'air.
Pilar est venue me rejoindre et peu de temps après elle me demanda :
- Tu veux que je vienne cette nuit te rejoindre ?
- Non, Stéphanie est rentrée.
- Je peux demander de rester coucher et tu viendras me retrouver quand Stéphanie dormira.
- Et Luciana et Alejandra, si tu restes elles vont demander elles aussi de rester
- Trois filles et Stéphanie, ça fait beaucoup.
- Ce n’est pas un problème pour moi, c’est juste vis-à-vis des autres.
- Ecoutes, pour moi non plus ce n'est pas un problème, et je pense que pour Stéphanie non plus, reste à convaincre les deux autres.
- En fait tu proposes une partouze.
- Oui, en quelque sorte, pour contenter tout le monde.

Stéphanie est venue nous rejoindre, en demandant :
- De quoi parlez-vous ?
- De chose et d’autres, dit Pilar.
- A mon avis vous deviez parler cul, car je pense que Leslie ne s’est pas ennuyée pendant mon absence.
Elle avait raison et Pilar dit :
- Tu serais d’accord pour fêter la fin des vacances en nous retrouvant cette nuit, tous les cinq ensembles ?
- Ce serait génial, d’autant qu’il y a bien longtemps que je n’ai pas fait de folies.
La nuit donc, s’annonçait chaude…

J’ai été dans ma chambre et je me suis mise nue et je me suis allongé en attendant les autres, avant de les retrouver j’ai préparé les accessoires, on ne sait jamais…
Peu de temps après la porte de ma chambre s’ouvre et je vois Alejandra nue dans l’encadrement de la porte qui me dit :
- Je suis la première ?
- Viens, lui dis-je.

Elle s’est assise sur mon lit et nous avons un instant papotées, histoire de passer le temps.
Stéphanie est arrivée peu de temps plus tard et s’est mise aussitôt nue, arborant son sexe large aux yeux d’Alejandra, qui ne put se retenir de dire :
- Qu’il est large ton sexe Stéphanie !
- Tu l’aimeras, répondit Stéphanie.

Quand Luciana et Pilar nous ont rejointes, Alejandra était en train de caresser le sexe de Stéphanie, qui sous les caresses prodiguées commençaient à montrer une belle érection.
- Je vois que vous ne vous embêtées pas, dit Pilar.
- Ce n’est que pour passer le temps dit Alejandra.
En un rien de temps elles firent voler les nuisettes et se retrouvèrent nues, et vinrent nous rejoindre sur le lit.

Tandis qu’Alejandra suçait le sexe de Stéphanie, j’ai posé ma main sur la poitrine de Luciana, elle retenait sa respiration en attendant les caresses, alors j’ai commencé à lui caresser les seins, elle ne disait rien mais ses petits seins commençaient à pointer par l’excitation.
Alejandra se laissait aller sous les caresses de Stéphanie et sa respiration devenait de plus en plus forte, Pilar pour ne pas rester en reste s’était mise à me pomper le sexe.
Je caressais Luciana, un sein puis l'autre en jouant avec ses petits bouts, elle ne disait rien toujours rien mais sa respiration devenait saccadée, elle crispait ses mains sur les draps, et quand j’ai commencée à lui sucer les seins sa tête s'est mise à balloter de gauche à droite.
Ma main descendit doucement vers son pubis la faisant frémir davantage, ma main a touché sa vulve qui était mouillée, Luciana pleine de désir feulait en disant :
- Continue, continue, c’est bon.
Et j’ai continuée sucer ses seins et à lui branler la chatte d'une main, elle a commencée à haleter et à couiner de plaisir, à un certain moment elle s'est cambrée en resserrant ses cuisses sur ma main en poussant un petit cri, certainement emportée par la jouissance.
Elle m’a regardée et elle me dit :
- C'est trop bon de jouir !

Sous les caresses des lèvres de Pilar, je montrais maintenant une belle érection, tout comme Stéphanie, et nos sexes étaient bandés et durs.
Regarde, dit Pilar à Luciana en se relavant, comme il est beau ce sexe.
- Il est gros, dit-elle en regardant mon sexe.
Mais sans hésiter Luciana prend mon sexe à pleine main, et commence à faire des allers et venues tout le long, elle me branle lentement en me regardant dans les yeux puis elle se penche vers mon sexe et approche sa bouche, dépose un baiser sur le gland, puis passe sa langue dessus.
Ensuite sans rien dire elle entrouvre ses lèvres et engouffre dans sa bouche la moitié de mon sexe.
Ma main continue de lui branler la vulve qui est toute mouillée, elle est entièrement imberbe et je lui ai rentrée un doigt dans la vulve, elle a poussé un râle sans sortir ma bite de sa bouche qu'elle prend maintenant au fond de sa gorge.
Pendant ce temps Pilar a été s’équipé d’un gode ceinture et s’est harnachée qu’elle vient vers moi en disant :
- Attends, je vais la prendre.
Pilar lui a demandé de s'allonger sur le lit et elle lui a écartée les jambes, nous avons regardé son joli minou imberbe aux lèvres charnues bien dessinées, puis Pilar s’est installée entre ses jambes.

Luciana, les jambes écartées, attend, Pilar a positionné le gland du gode à l’entrée de sa chatte et l’a pénétré d’un coup, puis elle s’est activée en caressant du bout du doigt le clitoris De Luciana, la faisant pousser des râles de plaisir.
Luciana respirait fortement en agitant la tête à gauche et à droite, et elle a dit :
Continues, oh que c’est bon, continues, ohhh ouiii, que c’est bon.
Pilar a continué, la faisant feuler de plus en plus, avant de se cambrer envahie par un orgasme.
Pilar en sortant d’elle m’a dit :
- A toi maintenant !

A suivre…