Un Déménagement
Un déménagement
Ce déménagement me coute, 400km aller autant au retour et trois jours à prévoir de déplacement ; pour cela jai fait appel à mon beau frère (60 ans) et au fils de mon amie (28 ans) et pour lhébergement à lhôtel, deux chambres, lune pour Pierrot, lautre pour Aurélien et moi. Après le voyage et la fin de journée au travail, nous retournons à lhôtel pour nous changer avant le repas ; une bonne douche va me faire du bien car je suis un peu cassé, peu habitué à ce genre de travaux, lâge aidant (jai 66 ans).
Sans aucun complexe, je me déshabille et nu comme un ver, je me dirige vers la douche ; que cela fait du bien et comme dhabitude, quand je ressors, je suis en demi-érection ; la chaleur me procure cette situation ; javais oublié Aurélien qui me suit du regard, le visage coloré , encore en slip ; « à toi, profite sen cela fait du bien « et mallongeant sur le lit, jen profite pour me reposer ; quand il revient, entouré de sa serviette, je constate que le tissu est bien tendu ; et à son tour il sallonge , toujours couvert, manifestement gêné par son érection, il se met à plat ventre, mais ne me quitte pas du regard ; il faut dire que de le voir ainsi a donné de la vigueur à ma queue et cest maintenant une belle baguette qui se dresse ; il faut reconnaitre que cest un beau garçon, et lérection aperçue me laisse deviner un sexe de belle facture ; et je ne suis pas insensible à un corps masculin ; bisexuel, et jouant souvent à des jeux érotiques avec ma douce , jai déjà eu loccasion de faire lamour avec un mec et si ce nest pas mon sport favori, je ne dédaigne pas un beau corps et le sien me tente, mais le fait quil sagisse du fils de mon amie me gène un peu et discrètement je me recouvre avant de mhabiller ; quand à son tour il se relève, je peux constater quil bande toujours et rapidement, il se refugie dans la salle de bain .
La discussion pendant le repas court sur les objets quils nous restent à emballer et aussi sur notre fatigue et nos courbatures ; je constate que je ne suis pas le seul, même la jeunesse se plaint ;le repas fini, nous reprenons le chemin de la chambre ; rien de bien folichon à la télé et nous décidons de nous coucher ; Aurélien manifestement a mal au dos et je lui propose de le masser (cest mon ancien métier) ; après une hésitation , il accepte et sallonge en caleçon sur le lit ; manifestement le massage lui fait du bien, il se détend ; jen profite pour descendre son caleçon et mes mains glissent jusquà ses fesses ; rien encore de déplacer, mais le contact de ces deux lobes bien tendus me donne envie daller plus loin et ma queue commence a se tendre sous son boxer ; lui aussi doit bien aimer car sa respiration à changer et à chaque passage de mes mains sur son fessier, je le sens frémir ;
« Cela te fait du bien ? » une hésitation puis un petit oui ; mes mains caressent ses fesses plus hardiment, lui écartant les globes, découvrant ainsi le sillon et lanneau, « tu aimes ?, pas de réponse « si cela te gène jarrête
» Un petit silence puis enfin sa réponse « non continue, jaime beaucoup » ; maintenant je bandes comme un âne, lidée de me faire ce jeunot, et je lespère ensuite profiter de sa queue me stimule ; mes doigts lui caressent le sillon , contournant lanneau sans y toucher ; à chaque fois que je lévite, Aurélien a un petit mouvement du bassin ; son envie est évidente et quand je lui dépose un peu de salive et que mon doigt frôle la corolle, il ne peut retenir un gémissement ; un oreiller sous le ventre moffre un peu plus de facilité pour le caresser et une main saventure entre ses cuisses ; cest une bite bien tendue que je rencontre ; doucement je le branle alors que mon doigt dilate lanneau encore serré ; il na pas du avoir beaucoup de relation de ce style car le passage est étroit et il me faut beaucoup de salive pour louvrir peu à peu ; enfin lanneau cède et cest deux doigts maintenant qui dilatent le conduit ; manifestement cest pour lui agréable car il sagite sous mes doigts et ses gémissements traduisent un début de plaisir ;
« jai envie de ton petit cul
.
Allongé cote à cote, il semble gêné, et nose pas me regarder ; cest moi qui reprend le dialogue
« Cest la première fois quun homme te touche ?
« Non, lors dune soirée arrosée, je me suis fait sucer et branler par un copain »
« Tu as aimé ? » « Oui » « tu aurais aimé quil te prenne » « jy ai pensé plus tard quand jen ai parlé avec Delphine» « elle est au courant ? » « Oui et cela lavait excitée et elle aurait bien voulu le voir » « surprenant » « pas tellement car elle aussi a eu des relations avec une copine »
La conversation lui redonne des envies car à nouveau, il bande ; il est bien monté,20à22 cm décalottée, sa verge est large et arquée ; me penchant, je lui suce le gland, alors que ma main lui pétrie les couilles ; puis ma langue le lèche sur toute sa longueur, lui gobant au passage ses boules à nouveau pleines ; il se cambre, offrant un peu plus sa bite à mes lèvres et quant je lengloutie, il me peut retenir un grognement de plaisir ; son méat a encore le gout de son sperme et cest avec plaisir que je le suce ; à ma surprise il prend linitiative et me prenant la tête, il se branle littéralement, senfonçant profondément ; mais je nai pas envie quil jouisse ; jai envie quà mon tour il me prenne et je me retire, mallongeant à plat ventre
« à toi de me faire jouir, jai envie de ta queue », en mécartant le fesses, je lui découvre mon cul ; il ne lui faut pas longtemps pour que son gland frotte le sillon et se présente sur lanneau ; sans hésiter il pousse pour en forcer le passage ; pas dilaté, il résiste puis dun seul coup souvre au gland ravageur ; la douleur arrive , puissante car sans sarrêter il vient de me pénétrer jusquaux couilles qui battent maintenant sur mes fesses. Pour lui seul compte les coups de piston ; peu importe la brulure, qui dailleurs sestompe vite pour faire place à une première vague du plaisir ; sa queue, puissante ,rageuse me défonce le cul ;il baise un mec ; pour moi seul compte la bite qui me ramone les entrailles ; il est inexpérimenté, mais sa fougue remplace ; et le plaisir monte, monte et mes gémissements le stimule encore plus ; sa queue, énorme, me remplit, me dilatant les tissus et quand sa queue est parcourue de soubresauts et que je sens la chaleur de sa jute me remplir le ventre, un grognement puissant séchappe de sa bouche ; longuement, tout en continuant à me pilonner le ventre il jouit, mentrainant dans son plaisir.
Allongé, encore très excité, je repense à cette aventure ; sa queue me fait vibrer et jespère que sa jeunesse lui permet de belles performances ; je nai pas envie den rester là ; le sucer, le faire juter dans ma bouche et me faire prendre encore et encore ; rien que d-y penser, ma queue se dresse et je me branle doucement ; je ne sais sil a encore envie mais je le caresse, glissant doucement mes mains vers son sexe détendu ; il semble dormir et pourtant sa bite reprend de lampleur ; je la contemple, la cajole, la branle doucement ; sa respiration sest accélérée, il est réveillé, mais garde les yeux fermés ; ma bouche remplace mes doigts, ma langue joue avec le gland, le méat, puis descend jusquaux couilles que je gobe ; sa queue est maintenant complètement tendue ,poteau plein de promesses ; tout à mes caresses, il moublie. Ses tétons sont dressés et mes doigts les agacent ; excités, triturés ils rougissent et durcissent ; toujours pas de réaction, il fait semblant de dormir. Jen profite et masseyant sur son ventre, je guide sa queue vers mon anneau ; dune poussée, je le fait rentrer dans le conduit encore lubrifié par son sperme ; lanneau souvre sans difficulté ; je remonte, ressortant pour mieux mempaler sur ce membre vigoureux ; sa queue me remplit, cest un vrai bonheur et à chaque fois que mes fesses sécrasent sur son basin, la bite enserrée percute ma prostate, déclenchant une multitudes donde de plaisir ; sans éjaculer cela me fait jouir à répétition ; enfin il ouvre les yeux et me faisant soulever mes fesses, enfin il se déchaine, à grand coup de bite, il me défonce « taime te faire enculer ! » ce nest pas une question, mais une affirmation
« Oui et de plus ta queue mexcite plus que tout, vas-y profite en, défonce moi, remplit moi, fait moi jouir ! »
« Cest nouveau pour moi, mais ton cul me plait et je crois quil va en prendre encore plein »
« Profite, je suis à toi, tu as tout la nuit pour te satisfaire et moi jai envie de ta queue dans mon trou, dans ma bouche »
« Mico (cest sa mère) sait que tu te fais mettre par des mecs ?
« Oui et elle a déjà assisté plusieurs fois et elle a aimé »
« Tu aimes te faire mettre devant une femme, Mico ou une autre ?
« Oui jy prends mon pied et généralement cela plait aux femmes »
« Putain, jaimerai te mettre ma queue dans le cul devant elle »
« Mico ou ta femme, » « les deux, rien que pour tenculer devant elles »
« Moi aussi jaimerais tenculer devant elles, surtout devant la tienne »
Pendant cet échange, sa main sest emparé de ma tige et il la branle vigoureusement, me décalottant le gland au maximum, écrasant mes tétons de son autre main ; il nen faut pas plus pour que je jute, répandant mes jets sur son ventre ; il a accélère sa pénétration et entre deux râles de jouissance, je sens son sperme qui a nouveau me remplit.
A suivre
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