Mère-Grand

Mère-grand reste notre aïeule depuis la mort de son époux. Notre famille l’aime bien, malgré ses 85 ans, elle se porte à merveille. Elle a gardé toute sa tête pour ses souvenirs de jeune fille et jeune femme. Justement ses souvenirs lui font regretter sa jeunesse de quand elle pouvait. Elle a connu l’exode massif de 40 : l’occasion pour elle de perdre sa virginité un soir au bord d’un fossé, caché des autres par un buisson.
- Il était beau comme un dieu ce jeune homme. Depuis quelques jours, il me cherchait : il m’a trouvé en m’embrassant quand j’ai décidé de le laisser venir près de moi. Ces lèvres étaient douces. Il m’a fait ouvrir la bouche pour y venir loger sa langue. J’étais à la fois excitée et scandalisée. Une langue dans la bouche de l’autre : une saleté, mais une saleté agréable. Je sentais pour la première fois ma culotte se mouiller.

A cette époque ce n’était pas comme maintenant : les filles ne se donnaient pas de plaisir ou alors les dévergondées. Il a réussit à passer sa main sous ma robe (je me souviens encore d’elle : bleu avec des rayures blanches très fines). Son baiser me laissait sous son emprise. Je sentais bien sa main monter vers ma chatte. Je n’aurais pas du le laisser faire : pourtant quand sa main est venue me caresser sous la culotte, je l’ai laissé faire : il me caressait lentement. C’était bon. Tellement que je l’ai laissé finir ce qu’il me donnait. J’ai senti un choc quand il m’a donné pour ma première fois un orgasme.

Il a sortir son sexe que je trouvais bien trop gros. Je l’ai pris dans la main, je le sentais vibrer comme un petit animal. Je ne savais par trop comment faire : il a prit ma main pour me montrer comment lui donner du plaisir. J’étais maladroite quand je l’avais bien dure dans la paume de ma main. Je caressais lentement le bout : il en voulait bien plus. Il est venu sur moi qui écartais mes jambes pour mieux le sentir.

Je me souviens qu’il a écarté ma culotte pour venir me mettre son sexe dans le mien.

Je n’osais rien dire : mon père et ma mère étaient tout proches. Lentement je l’ai senti venir dans mon ventre. Il m’a fait mal en entrant, puis il est entré en entier. Mon mal avait disparu : je sentais un début d’orgasme. Je sentais quand un liquide inconnu est entré dans le fond de mon ventre.

Puis nous nous sommes séparés : je n’étais plus pucelle. Au fond de moi c’était un soulagement. Je n’avais qu’une crainte : que je sois enceinte. Ce souci c’est effacé quand en revenant chez moi j’avais les règles.
Il m’avait mis le feu au ventre. Dans mon village je n’avais pas grand monde à qui parler, sauf à Cricri, la seule fille de mon âge. Pour nos 18 ans nous avons voulu fêter ça. Oh, le repas était simple, nous n’avions pas de phonographe pour danser. Alors nous sommes allées nous promener vers la grande isolée du père Jules. C’est là que j’ai décrit pour la première fois mon dépucelage et le plaisir que j’avais eu quand sa main me caresser entre les jambes, et que depuis il m’arrivait souvent de remplacer sa main par la mienne.

Sans être bégueule, Cricri me demandait plein de détails. A force de parler de mon expérience, j’avais à nouveau la culotte mouillée. Je le disais à ma copine qui elle aussi sentait la même chose. Nous nous sommes entendues pour montrer nos sexes à l’autre. Bien entendu j’étais la première à lui montrer ce que je me faisais. Elle voulait que je le lui fasse. Je ne voyais pas de mal à la branler. Je sais qu’elle était plus que satisfaite de ma prestation puisqu’elle a voulu me le rendre.

Trop souvent nous pallions le manque de garçon pour nous satisfaire ainsi. Finalement ça n’a pas duré trop longtemps : un jeune de 25 ans est venu s’installer chez moi. J’avais l’interdiction formelle de parler de lui. Bien sur je m’empressais de le dire à Cricri, sous le sceau du secret.

Mettez une fille de mon âge avec un jeune, beau, grand et fort : il se passe ce qui devait se passer. Un soir en allant me coucher, je le voyais nu dans sa chambre : il se touchait la bite.
Sa nudité m’inspirait beaucoup, et en plus il se touchait l’organe qui m’avait faite femme. Je suis entrée sans rien demander. Il était surpris de ma voir pendant qu’il se donnait du plaisir. Une fois la porte fermée nous nous sommes embrassés. Sans trop me caresser avant, il m’a faite coucher sous lui. J’écartais mes jambes. Il est venu en moi trop vite : j’étais à peine mouillée. Il est entré sans rien me demander. Je m’offrais, il me prenait.

Une nouvelle sensation : il ne me violait pas, il me prenait quand je n’étais pas tout à fait prête. Je le sentais aller et venir dans mon vagin : ce devenait bon, tellement bon que je jouissais normalement. J’étais en avance sur lui. Il m’a retournée sur le ventre. J’ai senti sa queue entre mes fesses. Je crois qu’il a craché sur mon cul avant de mettre sa queue dessus. Il entrait très lentement : j’avais mal. Il me la mise tout au fond. Je sentais ses poils contre mes fesses. J’ai eu moins mal quand il a commencé ses allers et venues dans le ventre. J’ai eu du plaisir quand il a pris mon clitoris pour me masturber. Là, enfin je connaissais le plaisir anal allié à la masturbation.

Nous nous arrangions pour nous retrouver la nuit, soit chez moi, soit chez lui. Il m’a appris à le branler, surtout à la sucer. Je commençais à aimer son sperme. Nos amours duraient longtemps. Je me souviens que le matin j’avais les yeux cernés au grand désespoir de mes parents qui me pensaient affaiblie. Je ne l’étais pas comme il le pensait.
Un jour, la guerre terminée je pouvais être plus libre, d’autant plus que je trouvais un travail de vendeuse en ville. Vendeuse de vêtements, le grand chic pour moi. C’est en ville que je trouvais un amant avant qu’il devienne mon mari. C’était un bon baiseur, il connaissait presque tout en amour. C’est grâce à lui que l’ai fait m’amour en trio, d’abord avec une autre fille et ensuite avec un autre homme : c’était agréable de me donner à un autre devant lui. Mais le fin du fin était quand il me baisait pendant que je me faisais mettre dans le cul.


Mais l’âge venant nous avons progressivement arrêté nos baises, même s’il m’arrive encore de me branler seule, le soir dans le lit.

Et toi, demande la grand-mère à son arrière petite fille âgée de 19 ans ?

Moi tu ais je suis comme toi, je me suis faite baiser la première fois par un ami de mon frère. Je garde un très bon souvenir de cette première : il m’a sucé la chatte, j’en ai joui, il me la mise dans la foufoune plusieurs fois. Ensuite il m’a sodomisé, j’ai de suite aimé cette forme de plaisir. Il avait l’avantage de ne pas jouir facilement : il a été est reste toujours mon meilleur coup. Nous sommes restés ensemble plusieurs mois. Il est parti un jour vers un ailleurs que je ne connais même pas.
Depuis je baise régulièrement, comme toi avec des mecs ou des fois des filles. J’aime assez les filles, c’est plus simple, sauf quand on se met les jambes écartées les abricots contre pour mieux jouir. Et je t’assure que jouir ainsi est aussi bon qu’une bite dans le puits. Mais voilà, à moins de se mettre en ménage, il est difficile de trouver une fille qui consent à coucher avec toi.

Je ne me plains pas trop, je suis avec une bande de copains et copines ; l’exclusivité n’existe pas. Nous vivons dans une grande maison : nous baisons avec qui on veut quand on veut. Les fins de semaines sont très chaudes : nous jouissons tous plusieurs fois avec des partenaires hommes ou filles différents. Souvent nous baisons en trio, ce que je préfère, avec un homme et deux filles. J’aime avoir une bite dans le cul et ma bouche sur la chatte d’une copine qui me remercie souvant en me léchant la figue. Nous n’avons aucune morale sexuelle.

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