Pascale La Salope
Jaime le sexe, sous toutes ses formes. Avec mon mari, nous faisons lamour souvent et cest toujours très bien, mais jadore aussi toute sorte dexpérience. Lautre soir, jai décidé de moffrir au premier homme venu. Jai revêtu ma tenue « de salope » : jupe vinyle courte, petit débardeur, chaussures à talons, sans sous vêtement
et cest ainsi que je suis allée dans un bar en ville. Je me suis installée sur une chaise haute au bar, et jai commandé un whisky. Un homme sest installé à coté de moi. Pas très beau, un peu ventru, barbu. Comme jen avais fait le vu, jétais prête à tout avec lui, encore fallait il quil me drague
ce quil na pas fait, ouf. Sil avait su !
Pas très grave, je décide de descendre aux toilettes. En descendant lescalier, je croise un homme en chemise et jeans, un peu plus âgé que moi. Il me regarde de haut en bas, je soutiens son regard en le détaillant de même. Ça a lair de lintriguer. Il rebrousse chemin et me suit
Il y a un petit espace avant la porte des toilettes. Je marrête là et le regarde descendre en baissant les yeux. Il a saisi louverture et sapproche, près, tout près, presque à me toucher. Il caresse mes hanches, jondule sous la caresse. Il met sa main derrière ma nuque et plonge sa langue dans ma bouche et la fouille, tout en me plaquant contre le mur. Sa main libre caresse ma cuisse, puis remonte vers ma motte. Il se rend compte que je ne porte pas de culotte. Mon sexe est épilé, et il ne reste quune petite touffe sur le mon de vénus, quil caresse doucement. Il passe ensuite son doigt le long de ma fente humide, chatouille le clitoris. Ces caresses me font tressauter doucement. Jai très envie quil me baise, mais pas là. Il comprend et me traine par la main jusquà une cabine, dont il verrouille la porte, puis il me fait assoir sur la cuvette. Je déboutonne son jean et sort de son slip une queue déjà bien tendue. Je lèche le gland, doucement, comme une glace, puis la prend en bouche comme une sucette, et je serre mes lèvres sur la hampe.
Et puis brutalement, il sarrête, sort sa queue, se baisse, installe mes jambes sur ses épaules, et plonge sa bouche sur ma chatte trempée. Il titille dabord les grandes lèvres imberbes avec sa langue, la passe tout doucement sur la fente, effleurant le clitoris déjà bien tendu et qui affleure, insistant un peu plus sur les petites lèvres et lorifice vaginal, puis fouille plus profondément en écartant les lèvres, pour finir par sucer mon clitoris. Je sens la chaleur qui monte de mon bas ventre, qui minvestit pour exploser bruyamment en un premier orgasme fulgurant. Je brame doucement. Il lâche ma chatte, repose mes jambes et me fait tourner. Lenvie dêtre prise est à son summum. Comprenant son idée, je lui tourne mes fesses et me penche en avant. Jenlève ensuite ma juppette et mon débardeur : me voilà à poil devant lui. Tout doucement, il présente son gland devant ma chatte et la caresse avec. Je suis penchée en avant, en appuis, les jambes un peu écartées. Ma chatte est exposée un peu ouverte tant les petites lèvres sont gonflées, sensibles ; Je le supplie : prends moi, baise moi fort
je suis hyper chaude
il continue de promener son gland sur ma chatte, je tends les fesses, essaie douvrir ma chatte au maximum pour sa queue. Ça vient ma salope, tu va la prendre, tu vas voir, je vais te faire chanter.
Brutalement, un coup frappé à la porte me fait reprendre conscience.
Quest-ce tu fout dédé ? tu niques ?
Ben oui répond-il, il y avait de la salope en chaleur, je rends service, venez, à mon avis elle en voudra encore après que je me sois occupé delle. Elle a lair den vouloir.
Il déverrouille la porte et ses deux potes entrent dans la cabine.
Pendant quil continue de me défoncer un de ses potes me caresse les fesses et la chatte, et lautre me présente une belle queue bien tendue à sucer. Je la gobe, et me voilà prise en même temps par le sexe et par la bouche. Jai limpression dêtre embrochée : quand la queue du premier me pousse, jenfonce celle du second. Les va et viens sont synchrone, mais assez vite, le besognage de mon sexe associé aux caresses de mon clitoris me conduisent à un orgasme violent, pendant que mon baiseur rempli sa capote à grand coups de jets, en grognant son plaisir. Il se retire, je continue à sucer et son pote approche sa bouche de mes fesses et se met à sucer ma chatte et mon petit trou de derrière, tout délicatement.
Tas raison, dit il à son pote qui est en train de se remettre : cest un vraie salope, tout en glissant un doigt dans mon fondement.
Rapidement, il le retire et présente sa queue, revêtue dune capote devant mon petit trou et pousse doucement, mais surement. Il a mis du gel, et rentre sans difficulté. Cest vrai que ce nest pas la première bite qui vient là ! Il commence à me ramoner pour mon plus grand plaisir. Que cest bon dêtre ainsi baisée. Me voilà à poil dans des toilettes en train de donner mon cul à de parfaits inconnus
mais cest trop bon et puis jadore lidée. A force dêtre besognée, je me mets à feuler sous les coups de bite.
Mon baiseur décide de changer de position : il se retire, passe devant moi et sassoie, puis il me fait assoir sur lui et en particulier sur sa queue, qui bande toujours autant, non sans changer de préservatif. Du coup, celui que je suçais vient derrière mois, mets un préservatif et me prends par derrière, sans ménagement. Me voila en double pénétration. Je sens les deux queues qui me remplissent et me comblent. Si celui de devant ne peut pas beaucoup bouger, celui de mon cul en profite et me démonte littéralement, pour mon plus grand plaisir.
Mais à être baisée comme ça, la jouissance finit par venir, et la jouissance est aussi simultanée que violente.
Le temps de reprendre nos esprits, mes deux amants de retirent, je me lève et constate que nos ébats ont attirés quelques spectateurs qui se sont bien rincés les yeux
je finis par retrouver ma jupette et mon débardeur, et quitter les lieux, en ayant soin de déposer un petit baisers à chacun de mes trois mâles qui mont permis de me sentir si salope
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