17 Juste Revers Après Un Cocufiage Intensif
Comment définir les sentiments qui se succédaient dans ma tête depuis que javais vu mon épouse tant aimée sillustrer dans le pluralisme masculin avec quatre de mes amis ? Elle avait encore gagné un échelon dans léchelle de débauche que Philippe avait dressée pour elle, javais peur quelle ne se perde dans lescalade de luxure, javais peur de la perdre.
Jen étais là de ma vie affective, cocu mais toujours amoureux de ma femme. Certes, je partageais désormais ses charmes avec ses amants réguliers ou occasionnels mais je métonnais moi-même de ne pas en souffrir plus que ça. En vérité, ma femme était toujours de bonne composition, enjouée et épanouie, elle se montrait très amoureuse, très câline, et nous avions de biens meilleures relations depuis quelle était moins vertueuse. De plus, même si javais souvent conscience de passer après ses amants et de couvrir leur jouissance avec la mienne, nous faisions lamour tous les jours, bien plus et bien mieux quavant. À la réflexion, et même si personne ne mavait donné le choix, je préférais méclater avec une salope que memmerder avec une nonne. Jétais cocu de fait, mais mes cornes ne me pesaient pas trop, même si tout nétait pas beau dans le meilleur des mondes.
Convaincu que je ny pouvais rien, jacceptais avec le même fatalisme que Philippe soit devenu le mentor sexuel incontesté et incontestable de mon épouse légitime, amant, initiateur, guide, gourou, maître, je ne sais quoi encore ou plutôt si, il était le maquereau de ma putain conjugale ; il lavait ferrée, pervertie au point davoir créé chez elle une addiction au sexe sale, et jouait avec elle en la soumettant à tous ses délires. Maria, femme de lun et femelle des deux, formait un couple avec chacun de nous, tantôt épouse salope avec son mari cocu, tantôt chienne obéissante avec son maître pervers. Cétait cette inconditionnelle soumission de sa part qui me révoltait plutôt que mon statut de cocu à longues cornes.
Ce samedi, jétais absorbé à préparer mes affaires, cannes, appâts, lignes et autres apparaux quand Maria vint me faire part de ses projets pour la soirée :
- Hélène vient de mappeler, elle voudrait profiter que nos maris soient absents ou occupés pour passer une soirée entre filles.
- Ça me parait très bien. Vous y allez seules ou avec dautres copines ?
- Non, pas des copines, des copains plutôt.
- Des copains ? Je les connais ?
- Je ne sais pas, elle viendra avec Paul, je lai déjà rencontré plusieurs fois, il est très sympa mais je ne sais pas si tu le connais.
- Je ne le connais que de nom, ce ne serait pas son amant par hasard ?
- Si, cest lui.
- Ah ! Donc elle va dîner avec son amant et toi sans doute, tu penses y aller avec le tien ?
- On ne peut rien te cacher.
- En fait, vous voulez passer une soirée en couples, mais avec vos amants ?
- Nous serions plus de quatre, Il y aurait dautres copains de Paul je crois.
- Encore une occasion de te faire sauter !
- Si tu crois que jai attendu cette soirée pour me faire sauter, tu te trompes. Je nai pas besoin dun dîner pour me taper qui je veux.
- Ça je le sais figure toi, que crois tu, que je suis aveugle ?
- Si tu le sais déjà, je nai plus rien à tapprendre.
- Je sais ce quil me faut savoir, je sais que tu me fais copieusement cocu depuis la première fois que Philippe ta baisée.
- Mon pauvre, si tu savais !
- Si je te dis que je préfèrerais que tu nailles pas à ce dîner, je suppose que tu ne tiendras pas compte de mon avis.
- Je rentrerais tard, ne tinquiète pas.
Lépouse attentionnée sapprêta en salope distinguée pour aller retrouver Philippe et les autres, petite robe moulante et très courte, bas noirs, sous-vêtements affriolants, maquillage sophistiqué, sexy sans être vulgaire, bref, très attirante.
Jétais donc parti rejoindre deux autres fous de pêche, peut-être étaient ils cocus eux aussi, pour passer toute la nuit à traquer quelques beaux poissons. Mes efforts savérèrent très fructueux, les poissons étaient là, morts de faim, et venaient remplir nos paniers. Le plus souvent, ils délaissaient inexplicablement les lignes de mes compères pour se jeter sur les miennes, ce qui mamusait et mettait en rogne mes deux amis qui trouvaient que javais trop de chance. Une chance de cocu semble til ! Je rentrai au petit mâtin, épuisé et heureux de ces sensations, avec en bonus les paniers pleins.
Leuphorie disparut en rentrant à la maison pour laisser la place à une sournoise inquiétude : depuis que javais surpris ma femme au lit avec dautres hommes, je me demandais toujours ce que jallais trouver derrière ma porte. Aucun bruit suspect ne me parvint, ce qui me rassura. Par contre, de nombreux verres, des bouteilles dalcool non rangées, dautres bouteilles de champagne vides me prouvèrent que la soirée avait du se passer en partie à la maison, peut-être sy terminer.
La surprise était là, dans mon lit, deux femmes assoupies et nues dans la clarté du jour naissant. Maria était de dos vers la fenêtre, le drap coincé entre ses jambes, elle semblait dormir à poings fermés, Hélène, sa meilleure amie dormait de lautre coté, allongée sur le dos, le même drap la couvrant jusquau nombril. Cétait la première fois que je voyais ses seins, ils étaient bien plus gros que ceux de Maria. Hélène ne dormait pas profondément, elle ouvrit les yeux et madressa un magnifique sourire. Elle regarda en direction de son amie, fit le même constat que moi en la voyant endormie et me fit signe de ne pas faire de bruit. Elle se leva et se découvrit toute entière ; elle ne fit aucun geste pour me cacher ses parties les plus intimes, je pouvais admirer à loisir ses seins opulents, ses fesses bien rebondies, et son minou aussi mignon et bien entretenu que celui de Maria. Mes yeux se portèrent à nouveau sur ma femme, le drap qui la recouvrait avait glissé et plus rien ne cachait sa nudité. Mais ce nétaient pas ses formes généreuses qui attirèrent mon attention, mais de nombreux gribouillages exécutés au marqueur noir par de bien piètres artistes. Cétait un mélange dinterjections grossières et de dessins obscènes de toutes tailles, caricatures de sexes mâles dressés et au gland bien voyant appairés de boules rondes et pleines. En mapprochant, je pus lire « baisez moi » avec notre adresse et le vrai numéro de téléphone de notre domicile, en grosses lettres dans son dos, tandis que le minou, et lanus étaient décrits comme garages à bites avec les phallus pointés sur les destinations de plaisir mises à disposition.
Après ces constatations, je pris conscience quHélène se tenait à coté de moi. Elle avait juste passé une chemise qui lui arrivait au milieu des fesses et maccompagna dans la cuisine. De fait, cétait elle ma bonne surprise, une surprise beaucoup plus agréable que celle que mavait réservée quelques semaines plus tôt ma femme, que javais surprise en pleine action, empalée sur un chibre noir hors concours. Je proposai un café, quelques biscuits et nous nous installâmes face à face. Jétais troublé par cette belle femme, petite, menue, délicate, elle était très belle dans cette petite chemise qui la couvrait sans rien cacher rien et surtout pas ses seins lourds et terriblement tentants qui apparaissaient et disparaissaient au gré de ses mouvements, sans quelle tente de mieux refermer son vêtement. Cétait un beau spectacle, et je nétais pas de bois. Je ne savais pas si elle nétait pas tout à fait éveillée et ne se rendait pas compte de son exhibition, mais javais envie de croire quau contraire elle me montrait ses charmes en en ayant pleinement conscience. Quoi quil en soit, jétais troublé, et Hélène sen rendait compte, ment. Elle me souriait tout en grignotant quelques biscuits et buvant son café. Il me tardait den savoir un peu plus :
- Alors, la soirée a été bonne ?
- Une soirée de folie, avec du bon et du moins bon. Je ne sais pas si tu seras content de savoir tout ce qui sest passé mais si tu me le demandes, je veux bien te raconter.
- Moi, je préfère savoir plutôt que dimaginer, raconte moi tout sil te plait, mais seulement si tu en as envie.
- Je veux bien mais quelques détails sont assez gênants.
- Si tu veux parler des frasques de ta copine, ne tinquiète pas, je sais quelle me fait cocu, et copieusement.
- Jignorais si tu le savais ou non.
- Je ne sais pas tout, loin de là, mais je ne suis ni aveugle ni complètement stupide.
- Et tu acceptes quelle se tape dautres mecs ?
- Je ne laccepte pas, je le supporte parce que je ne peux pas len empêcher et parce que je veux rester avec elle.
- Bon, alors je commence. On sest tous retrouvés dans un petit restaurant que Paul connaît, un genre de petit bistrot très sympa. Je suis arrivée la première, juste avant Maria qui est arrivée deux minutes plus tard. Philippe était là peu après, presque en même temps que Paul qui est venu avec un de ses copains, un type qui travaille avec nous mais dans un autre service, le genre de type qui sait tout mieux que tout le monde et surtout mieux quune femme, si tu vois ce que je veux dire. Je naime pas trop Bruno, pour parler franchement je ne peux pas le sentir. Il y a quelque temps, il ma fait des avances auxquelles je nai pas voulu céder, en fait il me harcelait, il avait été même très lourd, un jour il ma coincée dans lascenseur en me mettant les mains sous la jupe, je me suis fâchée et je lui ai collé une gifle en me dégageant, depuis je crois quil ruait dans ses brancards en attendant loccasion de se venger. Quoi quil en soit, ce soir je voulais passer une soirée romantique en amoureux et cétait fichu, je ne savais pas que Paul viendrait avec ce type, je navais quune hâte, quil disparaisse hors de ma vue après dîner. Toujours est-il que nous nous sommes installés, et que Bruno a commandé du champagne pour lapéritif. Jai pensé quil se doutait bien que je nappréciais pas du tout sa présence et quil voulait me faire changer davis à son sujet ; il na pas lésiné sur les moyens, nous navions pas fini de vider la première bouteille quil en commandait une deuxième, puis une troisième. À ce moment précis, je ne pensais quà la note salée que cet imbécile allait payer.
- Cétait une sorte dinvestissement, non ?
- Je nen savais rien encore, mais la suite va te donner raison. Bref, les coupes se remplissaient et se vidaient à une vitesse ahurissante, nous navions pas commencé à manger que nous avions déjà beaucoup trop bu. Tellement bu que jai trouvé ça louche. Cest là que je me suis rendu compte que les coupes des filles ne restaient jamais vides, il y avait toujours un des trois garçons pour la remplir et nous faire trinquer. Maria commençait à être saoule, elle éclatait de rire à chaque fois que quelquun ouvrait la bouche, moi jétais en meilleur état parce que je tiens bien mieux lalcool. Je soupçonnais les hommes de vouloir nous faire boire, je ne comprenais pas pourquoi, vu que nous avions toutes les deux lintention de passer la nuit avec nos amants, mais je me disais quils devaient avoir une idée tordue derrière la tête. Je gardais mes soupçons pour moi et le dîner se poursuivit, très agréable, la nourriture était délicieuse, les vins exquis, et nous rîmes beaucoup. Nous bûmes encore beaucoup, heureusement que nous avions beaucoup mangé pour atténuer les effets de la boisson. Quoiquil en soit, Maria était bien pompette, elle rigolait de tout et de rien, elle éclata de rire en disant quelle avait de peur de faire pipi dans sa culotte tellement elle riait. Philippe lui demanda de lenlever, il insista tellement quelle commença à se tortiller sur sa chaise et nous montra sa culotte. Philippe sen empara, la sentit, et la repassa aux deux autres pour quils puissent constater que madame était toute mouillée et quils puissent humer sa bonne odeur de femelle. Tout le monde samusa de la culotte, de lodeur, je crois que tout le restaurant sut que Maria mouillait et quelle navait plus de culotte. En sortant de table, un des garçons proposa daller prendre un ou deux verres dans un pub, un autre de poursuivre la soirée en boîte, Maria préférait un endroit plus tranquille, elle proposa de profiter de labsence de son mari pour finir la soirée chez elle. Elle affirma quil y avait tout ce quil fallait, de la musique, des bonnes bouteilles, Paul fit rire les autres en ajoutant quil préférait lintimité et un bon lit pour finir la soirée avec deux bombes comme Maria et moi.
- Et cest comme ça que je vous ai retrouvées toutes les deux dans mon lit.
- Tout le monde a trouvé que cétait une bonne idée, alors nous sommes venus chez toi. Maria nous a fait mettre à laise, elle a sorti des bouteilles du bar, une bouteille de champagne du frigo, Philippe la aidée, il a mis de la musique, a préparé les coupes et les verres. Maria était vraiment saoule, elle a dit que nous devrions danser pour ne pas nous endormir, alors elle sest levée et a commencé à danser, Philippe sest levé aussi, je les ai rejoint, puis les deux autres. Après je ne sais qui a mis de la musique plus douce, Paul ma invitée, et Bruno a invité Maria, elle était obligée de se cramponner à son cavalier pour ne pas tomber. Philippe qui était seul est passé derrière elle, il a commencé à la caresser, à se frotter contre ses fesses, Maria était toujours dans les bras de son cavalier mais se laissait aller en arrière contre son amant, les mains sont passées entre les danseurs, il a peloté les nichons, le ventre. Puis il a remonté la robe de ta femme pour mieux la caresser. Puis il a déboutonné le haut de la robe, il lui a mis les seins à lair en samusant avec les pointes. Tout en restant dans les bras de Bruno, elle essayait de se tourner vers Philippe en cherchant à lembrasser, lun la branlait tandis que Bruno lui suçait les tétons. À un moment, ils lont débarrassée de sa robe et elle sest retrouvée uniquement habillée de ses chaussures à talons et ses bas entre les deux hommes. Maria se laissait caresser et embrasser tour à tour par Philippe et par Bruno. Je comprenais maintenant pourquoi ils nous avaient fait boire et comment ils voulaient finir la soirée, je venais de comprendre aussi que Paul était visiblement complice et heureux de la tournure des évènements qui se précisaient. Philippe proposa à Bruno de sauter Maria sur le canapé, elle ne protesta pas et se laissa emmener et mettre sur le dos, elle écarta les cuisses sans quon lui demande. Bruno la caressa puis baissa son pantalon, enfila une capote et la baisa sous nos yeux. La scène me semblait irréelle, cela semblait trop facile, Maria navait pas dit un seul mot, pas fait un seul geste pour sopposer à ce rapport, bien au contraire.
- Je ne doute pas un seul instant quelle était consentante.
- Tu as raison, cest comme si elle savait ce quon attendait delle et quelle était heureuse de se comporter en pute.
- Je peux taffirmer que ma petite pute savait quelle allait se faire sauter ce soir. Et le plus pathétique, cest que moi, son mari, je le savais aussi.
- Bien sur, moi aussi je pensais faire lamour avec mon amant, mais seulement avec lui.
- Connaissant les rapports très particuliers entre Philippe et Maria, je suis certain quelle se doutait bien que son mentor lui allait loffrir à dautres mecs.
- Je ne savais pas quils avaient ce genre de rapports. Paul quant à lui me caressait plus ostensiblement, il avait passé une main dans ma culotte et samusait avec mon petit bouton, il avait une forte érection, jai surpris un rictus de victoire sur son visage, cest à ce moment que jai compris quils avaient tout manigancé, il avait lui aussi lintention de se taper mon amie, et sans doute de me partager avec ses compères. Bruno avait fini sa petite affaire, il se rhabillait à peine quand la sonnette retentit. Philippe alla ouvrir, et fit entrer un monsieur dun certain âge, un de vos voisins qui voulait quon baisse un peu le volume de la musique.
- Merde, alors Émile, cest notre voisin du troisième étage ?
- Cest lui, oui. Philippe le fit entrer jusquau milieu de la pièce pour quil puisse voir ta femme encore allongée sur le canapé avec les cuisses ouvertes. Il semblait samuser comme un fou de la situation scabreuse dans laquelle se trouvait Maria. Il ajouta que tu nétais pas là mais que la maîtresse de maison nous avait invités pour faire la fête avec elle. Ta femme avait du mal à émerger, elle se leva quand elle reconnut votre voisin, elle ne se rendait pas compte quelle était nue et que lautre reluquait ses nichons et surtout sa minette. Comme elle tenait à peine debout, elle faillit tomber et se rattrapa dans les bras de votre voisin. Elle sexcusa pour le bruit, pour le désordre, pour je ne sais quoi encore, et resta pendue à ses bras. Philippe lui expliqua que Maria avait besoin quon soccupe delle. Loccasion fait le larron, dit-il, et il ajouta que les choses se présentait mieux que la première fois où il avait vu ta femme se faire sauter ; il demanda à votre voisin sil voulait profiter de labsence du cocu pour passer un bon moment en galante compagnie. Maria, saoule et quasiment nue au milieu des trois hommes avait une présence torride, je vis que lautre, malgré son âge, avait une belle érection. Émile dit alors quil ne pouvait pas être à laise avec une femme devant tout le monde et Philippe lui proposa daller jusquà votre chambre pour trouver lintimité nécessaire. Le vieux acquiesça et guida Maria jusquà la porte quil referma.
- Ma femme sest vraiment tapée le voisin ?
- Je crains que oui.
- Alors là, cest le pompon. On peut dire que la boucle est bouclée, il a assisté en direct au début de mes malheurs, et maintenant, il y participe en baisant ma femme. Ce nest pas beau tout ça.
- Pourquoi dis tu quil a assisté au début de tes malheurs ?
- Je peux te le dire, la première fois que Maria ma trompé, jétais avec ce monsieur, nous sommes entrés ensemble ici, et nous avons vu ensemble Philippe qui défonçait la chatte de ma femme sur ce canapé. Le vieux na pas perdu une miette du spectacle, et je te prie de croire que Maria se donnait à fond, elle est très démonstrative quand elle jouit. Aujourdhui, le vieux a pu le constater par lui-même, il a vu ma femme se tordre de plaisir au bout de sa queue. Cest pour ça que jai dit que la boucle était bouclée, une femme commence par tromper son mari, et elle devient une grosse salope qui se tape tout ce qui bande. je suis cocu, encore cocu, et toujours cocu. Je ne sais pas quoi faire avec ce vieux bonhomme qui vient de tirer ma pute de femme, il peut revenir pour remettre le couvert.
- Il na pas lair de quelquun de foncièrement méchant.
- De méchant je ne crois pas, mais je vais me sentir mal à laise à chaque fois que je vais le croiser. Et en plus, il est vieux, plus vieux que son père.
- Vieux, oui, mais apparemment, il était encore très vaillant car jai entendu ta femme jouir très fort.
- Ben voyons !
- Lhaleine de Maria sentait lhomme mais il a joui dans sa chatte, il ny avait pas de préservatif usagé, juste quelques mouchoirs souillés.
- Quelle salope !
- Ils sont restés tous les deux un bon moment dans votre chambre puis le vieux est ressorti, il déclara que ce nétait pas bien dr dune femme saoule.
- Facile de donner des leçons aux autres quand on vient de se taper la femme en question !
- Cest exactement ce que jai pensé. Quand il est parti, je suis allée voir, jai trouvé Maria tranquillement assise au bord du lit, elle essayait de se relever. Je me suis assise à coté delle et je lai prise dans mes bras. tu ne savais sans doute pas, mais je suis bisexuelle, jaime presque autant les femmes que les hommes.
- Toi ? Bisexuelle ?
- Jy trouve beaucoup de plaisir, crois-moi. Javais envie de Maria depuis longtemps, loccasion était trop belle.
- Pour toi aussi ?
- Je suis désolée, jai profité de la situation moi aussi. Jai commencé à la caresser, à lembrasser, et comme elle répondait à mes baisers et à mes caresses, nous nous sommes allongées pour faire lamour. Quand les garçons sont rentrés, ils nous ont trouvées dans les bras lune de lautre, ils se sont déshabillés et sont venus nous rejoindre.
- Cest beau et excitant, deux femmes qui font lamour.
- Ils nont pas regardé longtemps, ils nous ont séparées, Philippe et Bruno se sont occupés de Maria, Paul de moi, puis Paul est allé avec Maria et Philippe et je me suis retrouvée dans les bras de Bruno.
- Il te voulait, et tu étais dans ses bras, nue et mûre à point.
- Exactement. Les choses sont allées très vite, Paul a commencé à baiser Maria, et Bruno est monté sur moi. Comme Paul mavait bien chauffée, il ny a pas eu de préliminaires, il a ajusté sa queue à lentrée de ma fente et ma pénétrée dun seul coup. Il est resté longtemps sans bouger en me disant quil savait quil me la mettrait au fond un jour ou lautre.
- Il a du savourer sa victoire.
- Encore plus que tu ne crois. Je ne voulais pas mais je nai pas pu mempêcher de jouir très fort, je me suis sentie humiliée mais je nai rien pu faire contre ça, mon propre corps ma trahie.
- Ces choses là arrivent très souvent à ta copine.
- Après cest Philippe qui ma eue tandis que les autres se relayaient sur Maria. Bref, les garçons avaient gagné, ils avaient réussi leur coup, en deux temps trois mouvements les trois cochons nous ont baisées toutes les deux. Puis ce gros vicieux de Bruno est revenu à la charge, celui là a bien profité de moi, il a pris tout ce que je lui avais refusé auparavant, tout ce quil a voulu, même Paul na pas cherché à lempêcher de jouir en moi, alors que Philippe a exigé quil mette une capote pour baiser Maria. Alors lautre ma baisée en me chuchotant des obscénités, il me traitait de vielle salope lubrique et dautres noms plus dégradants les uns que les autres à chaque fois que javais un orgasme, franchement ça ma fait mal de constater que Paul se foutait de moi comme de sa première chemise, moi qui pensais quil y avait quelque chose de fort entre nous deux.
- Rassure toi, Philippe est pire avec ma femme.
- Tu crois ? Aujourdhui Paul ma prouvé le contraire, il avait envie de se taper ta femme et pour y arriver, il na pas hésité une seconde à me refiler à Philippe, et même à son collègue Bruno. Il a passé une partie de la soirée tranquille avec ta femme en me laissant entre les pattes des deux autres.
- Les deux en même temps ?
- Comme tu dis, un après lautre, et aussi les deux en même temps, je navais jamais été avec deux hommes en même temps.
- Ça ne ta pas plu ?
- La question nest pas là, jai été mise devant le fait accompli, je nai pas vraiment choisi de le faire.
- Ta copine adore ça pourtant.
- Moi je préfère faire lamour avec quelquun pour qui je ressens vraiment quelque chose que de baiser avec un ou plusieurs amants dune rencontre même sils savèrent être des amants extraordinaires.
- Et comment es tu devenue la maîtresse de Paul ?
- Par vengeance.
- Tiens, cest pour cette même fausse raison que Maria a couché avec Philippe la première fois. La première fois seulement, après, elle la fait par pur vice.
- Tu sais que jai divorcé de mon premier mari, le père de Lucas, je ne supportais plus quil me trompe impunément avec toutes les femmes quil pouvait. Ma première vengeance a été contre lui, vers la fin, nous étions toujours mariés, je lai fait cocu avec plusieurs de ses amis les plus proches, et je me suis arrangée pour quil le sache.
- Ben dis donc !
- Tu ne peux pas savoir comment je me suis régalée à le faire cocu, ce gros con.
- Jespère que les mecs avec lesquels tu as couché te plaisaient au moins.
- Leur physique nétait pas important, pas plus leur performance au lit, jai surtout privilégié de blesser mon mari dans son orgueil et dans son amour propre, cétait ma motivation première, et je tassure que cest extrêmement jouissif. Jai même rejoint son gros porc de cousin dans un hôtel tenu par le meilleur ami de mon mari, jai baisé le moins discrètement possible avec le premier et je lui ai demandé de nous commander du champagne, juste pour que lhôtelier me voit à poil dans le lit avec mon amant, ce grand ami est revenu dans la chambre après le départ du cousin de mon mari, à dire vrai cétait un très bel homme qui me plaisait dix fois plus que lautre, il avait envie de moi mais je nai pas voulu coucher avec lui pour quil soit vexé et quil dise à mon mari que jétais une vraie salope.
- Cest vrai que les hommes considèrent comme une salope absolue une femme que tout le monde baise sauf eux. Ce qui ne risque pas darriver avec Maria, elle, tout le monde la baise.
- Ne dis pas ça, tout est à cause de Philippe.
- Ce qui ne change rien au fait que tout le monde la baise.
- Je crois que ça va changer maintenant.
- Qui vivra verra !
- Après, jai été séduite au travail par mon mari actuel, Norbert était gentil et attentionné, comme on sentendait bien, nous nous sommes mariés. Et un jour, jai appris que lui aussi me trompait, il se tapait sa secrétaire, et sans doute dautres filles du bureau. Alors je nai pas hésité, javais le choix entre plusieurs prétendants, dont ce connard de Bruno, jai craqué pour Paul qui me faisait la cour et jai trompé mon mari avec lui pendant plusieurs années jusquà cette nuit.
- Cest ton amant ?
- Jai été folle de lui, tu ne peux pas savoir ce que je tenais à lui.
- Et lui ne tenant pas à toi ?
- Je le croyais, il ma même demandé darrêter de prendre la pilule pour me faire un .
- Tu voulais quil te mette enceinte ?
- Effectivement, jai arrêté de prendre la pilule et jai évité de prendre la semence de mon mari dans mon ventre, tout ça pour lui.
- Et il le sait ?
- Bien sur, ce qui ne la pas empêché de laisser Bruno et Philippe me prendre sans capote.
- Tu nétais pas obligée daccepter, non ?
- Je sais bien, mais Paul le faisait avec Maria sans se poser de question, alors dans le feu de laction, je lai accepté.
- Tu as joué la voyeuse ?
- ment, nous étions tous dans ton lit, et Maria est très démonstrative.
- À ce point ?
- Tu ne peux pas savoir.
- Oh ! Que si, je le sais très bien.
- Cest incroyable avec quelle facilité elle jouit, les mecs se régalent avec une fille pareille, quand Paul est passé sur elle, il lui a suffi de quelques allers et retour dans son vagin pour la faire crier, ça a été pareil avec Bruno, et aussi avec Philippe, elle a eu un orgasme à chaque fois.
- Et toi, tu nas pas pris de plaisir ?
- Si, bien sur, le comportement des garçons et les orgasmes de Maria ont créé une ambiance survoltée, et quand Bruno ma prise, je nai pas pu mempêcher de jouir très fort.
- Avec Bruno ? Jai cru comprendre que tu ne pouvais pas le sentir.
- Cest ça le dilemme, jai honte davoir crié de plaisir, je me suis sentie sale et humiliée mais je ny pouvais rien, je crois que les orgasmes à répétition de Maria ont provoqué les miens, et cest Bruno qui en a le plus profité. Je crois quil nest pas possible de posséder une femme plus quil ne la fait avec moi cette nuit, jai honte mais je me suis livrée complètement à lui.
- Il a joui en toi ?
- Ça oui, il ne sen est pas privé, il a joui dans mon ventre, dans mes intestins, dans ma bouche, sur mon visage, mes cheveux, mes seins, partout où il en a eu envie.
- Tant que ça ? Cest un surhomme ce type !
- À un moment, il ma dit quil allait me baiser toute la nuit parce quil avait pris un cachet.
- Cétait un traquenard alors ?
- Oui, ça a confirmé mes doutes, Paul et lui avaient prémédité leur coup. En fait, jai été lenjeu dun marchandage entre eux pour une promotion.
- Au travail ?
- Oui, un poste de cadre sest libéré, les deux ont postulé, et si jai bien compris, Paul savait que Bruno me voulait à tout prix, il a proposé à son concurrent de lui offrir loccasion de me baiser sil lui laissait le champ libre.
- Pas possible !
- Si, et le plus fou, cest que Paul va travailler directement sous les ordres de mon mari.
- Je sais par expérience que le dicton anglais « fucking in job fuck the job » est toujours vrai. Se taper la femme du patron nest pas la meilleure protection sociale qui soit.
- Tu as tout à fait raison, et je ne vais pas me priver de men servir au cas où lun ou lautre de Paul ou de Bruno voudrait me faire des choses que je ne veux plus faire avec eux.
- De vrais salauds, mais pourquoi les femmes craquent pour des pourris pareils ?
- Parce quon est des connes, Maria est une conne, et moi je suis encore plus conne.
- Et comme Maria, en plus dêtre conne, est une belle salope, ils ont réussi leur forfait.
- Tu as raison, elle a de sacrées dispositions la miss, je ne sais pas si elle est toujours comme ça mais cette nuit elle était déchaînée, une folle du sexe qui ma rendue folle moi aussi.
- Je crains quelle ne soit tout le temps comme ça quand elle est au lit avec plusieurs hommes.
- Elle offre son cul, sa bouche, elle pleure pour quon la prenne par la chatte, elle a joui je ne sais combien de fois avec tout le monde, ils lont même baisée avec une bouteille dans le cul et une autre dans la chatte, et elle a crié de plaisir. Philippe riait de la surprise des deux autres, je crois que ni Bruno ni Paul navaient jamais connu une fille comme ta femme.
- Il en a fait une chienne.
- Et il en est fier, il se vante volontiers davoir transformé une femme fidèle en salope nymphomane quil peut se taper à volonté et faire baiser par tout le monde.
- Ça me fait vomir mais cest vrai.
- Tu sais que la plupart de tes amis lont baisée ?
- Ça aussi me fait vomir.
- Il a dit quavant lui, ta femme était un peu nunuche.
- Nunuche ? Non, elle aimait beaucoup le sexe, mais seulement avec moi.
- Cest ce quil a dit, mais plus grossièrement. Ta femme te réservait son petit con bien serré et ne connaissait pas la sodomie, maintenant, son petit con est toujours aussi serré mais tout le monde en profite, et son cul est devenu très hospitalier depuis quil a ouvert la voie.
- Cest malheureusement vrai, elle lui a accordé ce quelle mavait toujours refusé. Et, ce dont jai honte, cest que ça sest passé sous mes yeux, la première fois quelle a couché avec lui.
- Alors il y a bien un fond de vérité dans ses fanfaronnades.
- Malheureusement oui, Maria est devenue sa salope attitrée.
- Tu sais, si ça peut te consoler, au cours de cette soirée, je me suis comportée tout comme elle, en véritable salope.
- Peut-être, mais tu ne las fait quune seule fois, tandis que ta copine le fait dès que Philippe lui demande.
- Tu as raison, ce soir je lai vu de mes yeux, elle a été offerte à votre voisin, à Paul, à Bruno, et elle semblait ravie de se faire prendre par tout le monde.
- Une vraie chienne en chaleur, cest ce quil en a fait.
- À un moment, après lavoir baisée et bien faite jouir, Bruno a dit en plaisantant que Maria cachait bien son jeu, elle donnait limage dune femme mariée sérieuse alors quelle était en fait une vraie cochonne. Philippe a suggéré quelle méritait lappellation de salope authentique, et quon devrait le marquer sur elle, pour valoriser la marchandise avec un label.
- Doù les cochonneries quelle a sur tout le corps ?
- Oui, Bruno a couru jusquà sa veste, il est revenu avec un gros marqueur dont il se sert au travail en disant quil fallait décorer ta femme.
- Et elle les a laissés faire ?
- Au début, elle a un peu protesté, mais peu à peu elle est entrée dans leur jeu et a fait ce quils voulaient. Elle se tournait quand ils lui demandaient, se mettait sur le dos, sur le ventre, à quatre pattes, écartait les cuisses, cambrait les fesses pour écrire dessus, rigolait comme une folle en voyant les bites fleurir sur son ventre et sur ses seins.
- Quelle idiote ! Salope et idiote !
- Apparemment, toutes ces obscénités lont beaucoup amusée. En fait, il ny a quà la fin de la soirée quelle a réagi.
- Ah oui ?
- Elle était à quatre pattes sur le lit et cambrait ses reins pour faire admirer les chef-duvres dessinés sur son cul, Philippe a dit quelle était une bonne petite pute et lui a demandé de venir le sucer. Elle a obéi, et la pris en bouche. Philippe a proposé à Bruno sil voulait tirer un dernier coup, Bruno a déclaré forfait, il a dit que je lui avais vidé les couilles et quil ne pouvait plus. Philippe a déclaré que Maria avait vidé les couilles de tout le monde. Et que maintenant, grâce à moi, elle appréciait aussi les chattes. Ils se sont amusés à estimer nos chances de gagner le concours de la plus grosse salope, ils sont tombés daccord pour dire que Maria était la plus salope de nous deux, daprès eux je suis meilleure gouine, mais Maria est plus une femme à bites que moi. Paul a déclaré quil me restait des progrès à faire avant de devenir une salope de concours comme ma copine.
- Et aucune de vous deux na rien dit ?
- Bien sur que si, les propos de Paul mont révoltée, jai dit que je navais pas lintention de devenir une salope soumise.
- Mais tu las fait ?
- Bien sûr, avec lambiance torride que mettait Maria, jaurais eu du mal à ne pas être excitée moi aussi. Je nai pas lhabitude de bouder mon plaisir au lit mais cette nuit jai été presque aussi salope que Maria. Même Paul a été surpris.
- Tu es amoureuse de Paul ?
- Je létais. Jétais amoureuse Paul jusquà cette nuit, mais après ce qui sest passé, cest bien fini maintenant.
- Jaimerais bien entendre ces paroles de la bouche de Maria à propos de Philippe, elle accepte tout de lui, vraiment tout.
- Je crois quelle sest rendue compte cette nuit quil la traitait comme une merde.
- Si tu pouvais dire vrai !
- Je pense ne pas me tromper.
- Et que sest il passé ensuite ?
- Bruno est parti le premier, nous sommes restés à quatre et nous avons refait lamour, dabord entre filles, puis avec les garçons et en changeant de partenaire. Philippe a continué, il tapotait sur la tête de Maria qui le suçait, tout en disant quil était content que sa pute soit plus salope que celle de Paul, il était très fier de sa petite chienne. Je suis sortie de mes gonds, jai crié que je nétais la pute de personne, et encore moins celle de Paul.
- Et Maria ?
- Elle aussi sest révoltée, elle a dit quelle était devenue une traînée à cause de lui, mais quelle voyait bien quil ne la respectait pas. Alors Philippe a rétorqué que pour quil la respecte, il aurait fallu quelle soit respectable, et quune salope bonne à vider les couilles du voisinage et à manger la moule de nimporte quelle pétasse était tout sauf respectable.
- Cest plutôt dur comme propos.
- Maria a commencé à pleurer, jai crié que la pétasse les emmerdait, je les ai traités de gros connards et ils sont partis sous mes insultes.
- Si ça pouvait être lépilogue de mon cauchemar !
- Nous sommes restées au lit toutes les deux, jusquà ce que tu arrives.
- Cétait une belle surprise de te trouver dans mon lit.
- Oui ? Cétait une bonne surprise ?
- Une belle femme nue dans mon lit, oui, cest une très belle surprise.
- Tu me trouves belle ?
- Bien sur, belle et sensuelle.
- Assez pour avoir envie de moi ?
- Je ne me ferais pas prier.
- Alors je sais comment me faire pardonner.
- Pardonner ? Mais que veux tu te faire pardonner ?
- Cette soirée était mon idée, je navais pas prévu tout ce qui sest passé, mais cest bien par ma faute que ta femme sest embarquée là-dedans.
- Je suis certain quelle ne sest pas faite prier longtemps pour écarter les cuisses.
- Elle était saoule, et cest aussi à cause de moi quon a tant picolé. Et puis Maria ma tout raconté à propos de ce qui sest passé avec Norbert et Lucas.
- Ah ! Tu es au courant.
- Oui, elle ma tout raconté. Autant je suis contente quelle initie mon fils, autant je suis en colère pour Norbert, je me demande comment elle a pu se taper mon connard de mari.
- Pour ton fils, Maria a compris quil était encore puceau et aussi quil avait envie delle, je crois quelle était ravie de jouer les initiatrices. Et pour ton mari, cétait le jeu, il a gagné et Maria a perdu, disons que le hasard a bien fait les choses pour lui.
- Tu ne peux pas savoir comment je suis soulagée pour Lucas, je ne lavais jamais vu avec une fille, je croyais quil préférait les garçons.
- Je peux tassurer quil aime les filles, je lai vu à luvre et il assure.
- Tant mieux, je vous remercie Maria et toi, pour Lucas et pour moi. Quant à ce salopard de Norbert, il aurait mieux fait de sabstenir de profiter de la situation, il ne perd rien pour attendre. Et je sais comment je vais me venger.
- Comment ?
- Tu nas pas ta petite idée ? Dailleurs, non seulement je vais me venger, mais en plus je vais y prendre beaucoup de plaisir.
- Le mot vengeance me fait peur.
- Et ça, ça te fait peur ?
Hélène navait pas fini de parler quelle défaisait la ceinture de son peignoir, sen débarrassait et venait se pendre à mon cou. Elle navait pas besoin de ma réponse, ma réaction à son baiser lui suffisait. Après un baiser torride, elle me conduisit à notre chambre où nous retrouvâmes Maria telle que nous lavions laissée, endormie comme une souche. Nous nous sommes allongés sur le lit, Hélène avait vraiment envie de moi, et sut provoquer chez moi un désir violent et une solide érection quelle chevaucha sans plus attendre. Elle eut bientôt un premier orgasme, sapaisa quand je passai sur elle, puis repartit vers le septième ciel après une cavalcade endiablée. Javais de quoi être fier de moi, elle avait eu trois orgasmes, elle devait me considérer comme un bon amant même si je savais pertinemment quelle était à linstar de ma femme une vraie bénédiction pour lego de ses partenaires, au vu de la facilité avec laquelle elle arrivait à jouir. Sur ce point, elle ressemblait à Maria qui sétait réveillée sur ces entrefaites et qui nous avait regardés faire lamour. Elle vint se blottir contre moi, et pour la première fois de ma vie, jeus ces deux femmes nues dans mes bras, une épouse et une maîtresse pour moi tout seul.
Hélène resta avec nous tout le dimanche, je leur fis lamour à toutes les deux, elles firent lamour ensemble, ce fut en vérité un des plus beaux jours de ma vie. Au soir, notre amie dut partir, elle affirma quelle était heureuse avec nous, elle voulait que notre relation amoureuse et triangulaire nen reste pas là. Elle promit de faire en sorte de nous revoir aussi souvent que possible, ensemble ou séparément. Je visais un rêve absolu, mais je ne savais pas si Maria vivait le même, cétait la seule ombre qui assombrissait mon paradis. Dès que nous fûmes seuls, je décidai daffronter mon inquiétude :
- Hélène est vraiment une chouette fille.
- Je trouve aussi.
- Dis-moi, il sétait déjà passé quelque chose entre vous avant ce week-end ?
- Non, jamais, en fait je navais jamais eue envie de faire lamour avec une femme, je ne mintéressais quaux hommes.
- Tu as aimé le faire ?
- Oui, je métonne moi-même davoir aimé à ce point, je viens de découvrir que jaime aussi les femmes.
- Jamais je naurais pensé quon pourrait un jour coucher avec la même fille.
- Moi non plus, mais cest arrivé, et cest magnifique.
- Tu es prête à recommencer ?
- Jai envie de vivre cette aventure à trois, Hélène, toi et moi, cest nouveau et cest troublant. À dire vrai, je suis troublée par mes sentiments pour Hélène, avant je laimais comme on peut aimer sa meilleure amie, maintenant je suis physiquement attirée par elle. En plus, tu es là toi aussi, tu fais partie de notre relation.
- Crois moi que jen suis ravi, pour une fois, tu ne me laisses pas sur le bas-côté de la route.
- Je ne tai jamais laissé de côté, mais je nallais pas te faire tenir la chandelle à chaque fois que je voyais quelquun.
- Admettons ! Mais tu comprendras que je préfère notre relation commune avec Hélène que tes aventures avec Philippe.
- Moi aussi finalement.
- Je ne pense pas quHélène te traite comme le fait ton amant, elle est plus sincère.
- Je le sais, et je ne sais plus trop où jen suis avec Philippe, il ma encore humiliée la nuit dernière.
- À sa décharge, avoue que tu téclates dans cette relation tordue.
- Cest la vérité, jai fait des folies à cause de lui, jai découvert des aspects du sexe que je nimaginais même pas, mais cest bon, jarrête.
- Si ça pouvait être vrai !
- Je suis sincère, tu peux me croire. Mais attention, je nai pas dit que je ne coucherais plus jamais avec dautres hommes, ni que je ne tromperais jamais plus, jai juste dit que jarrêtais de faire la pute pour Philippe.
- Je nen demande pas plus pour le moment. Je minquiète seulement quil ne te manque un jour et que tu finisses par revenir avec lui.
- Ça je ne crois pas, Hélène ma ouvert les yeux et plus jamais je ne veux être la sous-merde de quelquun.
Je faillis pleurer de bonheur, javais retrouvé ma femme adorée. Je navais plus quune peur, celle dun revirement de sa part. Mais grâce à Hélène, grâce aux sentiments quelles éprouvaient lune pour lautre, Maria sépanouissait dans notre relation triangulaire. Nous ne voyions pas trop souvent, nos rencontres allaient au gré des aléas de nos vies respectives, au gré des absences de son mari, et cétait parfait. Nous nous entendions à merveille, ces deux bombes sexuelles réunies dans le même lit mavaient transporté aux confins de la galaxie. Comme lors de notre dernière joute, javais successivement pénétré Maria et Hélène, elles avaient pris leur plaisir avec moi et sans moi, elles samusait de lintensité de mon désir, elles se jouaient de moi et de mon érection douloureuse en me laissant en plan au pire moment, puis Hélène avait eu pitié de moi et avait fini par récolter ma semence au fond de son ventre. Elles me laissèrent un peu de répit puis se firent à nouveau coquines, elles me mangèrent tout cru, dabord ma bouche, puis mes tétons, puis mon ventre et finalement mon sexe quelles avaient réussi à faire revivre. Leurs mains courraient sur moi, leurs langues senroulaient sur ma verge, leurs lèvres affolaient mon gland, leurs bouches aspiraient mes pensées et manéantissaient, leurs salives mêlées adoucissaient ces s si douces et si intenses. Javais affaire à deux artistes, je savais quHélène était une experte, je découvrais comment Maria légalait et la surpassait dans lart consommé de faire durer le plaisir dun homme. Jaurais oublié jusquà mon propre nom si elles avaient continué, elles avaient gagné, à dire vrai les femmes gagnent à chaque fois quelles le veulent, elles me soumirent à leur volonté, et ce fut seulement au moment où elles le décidèrent, après que jeus maintes fois limpression que les bourses allaient éclater, quelles me firent venir presque en claquant des doigts tellement cela leur fut facile. Ce fut un vrai déluge dun liquide de feu, jinondais le lit, leurs corps, leurs visages, elles en récoltèrent sur leurs langues, se léchèrent les seins, samusèrent de mon plaisir. Et moi, pauvre jouet entre leurs griffes de panthères, javais eu un des orgasmes les plus violents de toute ma vie.
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