Un Drôle De Zob
Je marche dans la rue, perdu dans mes pensées, quand soudain jai le regard attiré par un type qui arrive en face de moi.
Cest un maghrébin, 45 ou 50 ans, moustache, cheveux drus poivre et sel. Il porte des courses dans un sac plastique. Son corps est massif et son ventre proéminent. Il marche pieds nus dans des savates de bain en plastique, mais ce qui attire surtout mon regard, cest quil porte un pantalon de jogging blanc qui, au niveau de son sexe forme une bosse si explicite que lon devine lanatomie de son pénis presque comme si on le voyait nu !
Je dois avouer quil marrive souvent de reluquer des mecs dans la rue, et que je moblige en général à détourner le regard pour éviter toute embrouille. Mais là, jen suis incapable, tant cette vision me fascine. Évidemment, il sen aperçoit et en me croisant, il dit :
Quest-ce quil y a ? Quest-ce que tu regardes ?
Je réponds de façon confuse :
Oh, excusez-moi ! Je ne regardais rien de précis, je regardais dans le vague
Je pensais à autre chose
Il me regarde dans les yeux. Il me semble que je rougis très nettement.
En vérité : jadore rougir ! Bien sûr, par rapport aux autres, cest toujours très gênant, cest un signe de faiblesse, etc. Mais par rapport à moi-même, jaime beaucoup cette sensation : on sent une chaleur affluer au visage, lémotion monter, on se sent complètement déshabillé et cest incontrôlable, cest comme une érection inattendue !
Cest ma bite que tu regardais ?
Me demande-t-il ça pour mengueuler ? Je ne crois pas
Jai plutôt limpression quil tâte le terrain
Je prends le risque :
Oui. Je suis vraiment désolé, excusez-moi.
Tu veux la voir ?
oui.
Suis-moi. Tu restes à 10 mètres derrière moi.
Je le suis sur 500m environ. Il rentre dans un immeuble récent, genre HLM de ville. Dans le hall, il ne prend pas lescalier ni lascenseur, mais se dirige vers une porte au fond : celle du sous-sol.
Dans ce réduit obscur, encombré dobjets divers, il ny a pas beaucoup de place. Il sassoit sur le bord dun carton, face à moi, les cuisses ouvertes, et attire ma tête vers son entrejambes. Je me mets à genoux et y plonge mon visage. Cest doux, cest tiède. Je sens lodeur de lessive de son jogging, mais à mesure que je respire plus fortement je commence à distinguer une légère odeur virile qui me parvient à travers celle du tissu propre.
Je reste longuement le visage collé sur son sexe à respirer les odeurs et à sentir le contact de son pénis à travers le tissu. Par moments, sa bite durcit, de façon assez rapide, puis, elle redevient flaccide.
Au bout de quelques minutes, la minuterie dans le couloir arrive au bout et la lumière séteint : nous voilà plongés dans lobscurité la plus complète. Il ne bouge pas. Je commence à remonter son T-shirt pour coller ma joue sur son ventre et embrasser ses poils autour du nombril. Puis, je saisis son pantalon de jogging par lélastique pour le baisser. Il soulève légèrement les fesses pour maider : je le lui enlève complètement après quil a fait tomber ses savates.
Me voilà en contact direct avec son pénis. Je le caresse avec mes joues, le respire, le lèche et finis par le prendre dans ma bouche. Je suis alors surpris de le sentir gonfler et se durcir très rapidement dans ma bouche : en près de 10 secondes, il est en parfaite érection !
Son pénis nest pas très long, mais assez épais. Il occupe bien lespace de ma bouche : je suis obligé douvrir grand les mâchoires, mais je parviens à lengloutir en entier sans difficulté. Je vais le sucer longuement et avec plaisir, mais je commence par le ressortir de ma bouche pour aller titiller et embrasser un peu ses couilles velues.
Alors que je commence à les lécher, je sens quelque chose de tiède et de doux se poser sur ma joue : je réalise que cest sa bite, qui a débandé ! Elle est redevenue molle aussi vite quelle avait durci ! Très surpris, japproche ma main pour la caresser : cest incroyable, elle réagit presque aussitôt, en reprenant de la vigueur ! On dirait quelle est vivante : constamment, elle se met en érection à la moindre stimulation, et retombe presque dès quon la lâche.
Je mamuse à la prendre dans la bouche, puis la délaisser pour aller embrasser les cuisses, les couilles, etc. Elle se retrouve ainsi à augmenter et diminuer en permanence ! Javais jamais vu ça !
Je finis par avoir pitié de sa gymnastique et la prends bien au chaud dans ma bouche où elle retrouve une fermeté immédiate. Et je commence à la faire coulisser entre mes lèvres, tout en moulant bien son gland avec ma langue. Le type se met aussitôt à pousser des halètements répétés et je sens un petit jet de sperme gicler contre mon palais. Déjà sa bite devient moins dure. Il pousse un long soupir de satisfaction, je retire doucement ma bouche et laisse pendre sa bite tout en continuant de déposer des petits bisous affectueux sur ses cuisses. Je les bisouille longuement, un peu déçu quand même par ce dénouement trop rapide. Puis, je vais pour me relever mais il pose sa main sur mes épaules pour minviter à rester entre ses jambes.
Surpris, je recommence à lui embrasser le ventre, les cuisses, et quand japproche ma joue des son sexe, je le sens de nouveau réactif, de nouveau je le sens se gonfler à la moindre caresse ! Je reprends son gland dans la bouche, et voilà sa bite qui se re-durcit dans ma bouche en moins de 10 secondes, comme la première fois ! Je me remets à sucer. Il me dit :
Hhhhmmm. Ça faisait très longtemps que je navais pas vu de femme
Cest bon
Tu le fais bien
Il met un peu plus longtemps à éjaculer. La 2e giclette nest guère plus abondante que la première, mais il soupire daise et de volupté tout pareil.
Lui qui mavait paru rude et autoritaire dans la rue, il me dit maintenant des mots doux pendant que je le suce. Il me parle comme à une épouse soumise, me dit que je suis une femme très gentille, très douce, etc. Il mappelle « ma chérie », « ma jolie » et me dit même des mots damour. Je pense que dans le noir, il fantasme que je suis vraiment une femme ! Ça mexcite de me mettre dans ce rôle. Je continue de sucer amoureusement son pénis, avec application et dévouement.
Or, jy prends réellement beaucoup de plaisir, car si pendant mon ouvrage, il ne me caresse pas du tout, ne me touche même pas la tête, reste parfaitement statique, en revanche, sa bite réagit dans ma bouche à chaque caresse de ma langue ou de mes lèvres. Elle flanche un peu quand je ralentis, se redresse soudain quand je lui titille le frein avec la langue, a des petits soubresauts quand je parcours lourlet de son gland avec la langue. Parfois, son gland vient taper contre mon palais sous leffet dun spasme inattendu
Jai presque limpression quelle est animée, comme un petit animal qui sagite !
Et je continue de recueillir docilement dans ma bouche ses petites éjaculations successives.
Finalement, jai goûté son sperme cinq fois en tout ! Cest quand jen étais aux préliminaires de la 6e fois que sa bite se mit à ne plus vraiment réagir. Il me dit alors :
Cest bien. Pars, maintenant : tu es une bonne chérie. Tu sais vraiment très bien faire lamour.
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