Leslie Hd91

Leslie HD91 – Confessions d’un couple, suite

C’est à cet instant qu’Anaïs reprend le relais de leur confession et raconte :
« Après un verre d’armagnac au salon, Olivier commença à me déshabiller, découvrant mes dessous sexy que j’avais mis ce soir-là.
Et quand je me suis retrouvée toute nue dans ses bras, ses baisers ardents me firent chavirer. Lentement, ses mains caressèrent mon corps, chaque endroit fut visité par ses doigts, mes seins gonflèrent et les bouts de mes seins durcirent, pendant que des fourmillements se firent sentir dans mon bas ventre.
Je commençais à onduler, sous ses caresses avec l’envie qu’il aille plus loin. Tout en m’embrassant à pleine bouche ses doigts me pénétraient de plus en plus profondément la vulve et l’envie de son sexe que je savais dur se fit sentir en moi.
Je lui demandais de se mettre debout devant moi pendant que je restais assise sur le canapé, ma bouche juste à hauteur de son sexe. Je commençais par lui lécher le bout du gland tout en le serrant très fort avec une main, pendant que l’autre se promenait entre ses fesses à la recherche de son anus.
Je sentis son excitation quand mon doigt toucha sa rondelle, il frémit en gémissant doucement, il était disposé et nous pouvoir aller plus loin.

Mes doigts s’enhardirent entre ses fesses et j’osais lui introduire un doigt dans le trou de son cul, il se cabra en disant :
- Ohhh !
Je m’harnachais le plus vite possible et je l’installais sur le canapé, les genoux sur le rebord et ses fesses offertes, dans cette position je ne pouvais pas le manquer.
Pendant que je lui enduisais le cul de vaseline, il gémissait, pour la première fois il allait se faire sodomiser et en plus par se petite chérie.
Après avoir enduit le gode, je posais le gland sur sa rondelle, c’est à cet instant que je pris conscience du pouvoir que procure la sodomie. Mon chéri était offert de façon indécente, attendant mon bon vouloir.


C’est à cet instant que j’ai poussé le gode dans son fondement, me rentrant par la même occasion un peu plus le gode intérieur en moi, sensation divine de pendre et d’être prise dans la même action.
A chaque poussée, je lui enfonçais un peu plus et je m’enfonçais aussi l’autre un peu plus en moi, et tout à coup je le pénétrais vraiment, son sphincter venant de lâcher je lui ai enfoncé entièrement, lui arrachant un râle de plaisir, même s’il avait un peu mal.

Nous restâmes un moment, immobiles, le temps que son trou s’habitue et qu’il se détende un peu. Nous étions tous les deux hyper-excités.
Je pris son sexe en main et lui donnais de petits coups de reins pour qu’il me sente bien enfoncé en lui. Puis tout en continuant à le branler, j’entamais des va-et-vient avec le gode. »
Olivier dit à cet instant :
« C’était génial, je n’avais jamais eu cette sensation d’avoir le sexe et les fesses en feu. À chaque fois qu’elle s’enfonçait en moi, elle m’arrachait un gémissement de plaisir. J’avais, à cet instant envie qu’elle aille plus vite, plus fort.
Je sentais une vague de chaleur monter dans mes fesses, mes râles se firent de plus en plus forts, et je fus submergé par une vague de jouissance. Jamais je n’avais pris un tel pied, j’en criais même. Et je savais que j’aimais me faire sodomiser. »

Anaïs reprends :
« Quelle nuit de folie !
Au petit matin, je me réveillais et je le regardais, encore endormi avec un petit sourire sur les lèvres. Comme j’avais été impressionnée la nuit dernière par sa montée d’orgasme et ses cris, j’en aurais presque été jalouse tant il avait pris son pied. Mais je n’avais rien à regretter non plus, étant donné moi aussi j’avais pris mon pied grâce au petit gode intérieur qui m’avait bien travaillé la chatte.
Le fait de l’avoir vu et entendu comme ça dans un plaisir intense me donna une idée, recommencer au plus vite et bien le préparer pour Tristan, et tout cela en prenant mon pied en même temps que lui et pouvoir lui donner un plaisir intense comme celui qu’il me donne à chaque fois qu’il m’encule, j’avais hâte.
»

Les soirs suivants furent délirants, nous prenions un pied terrible en nous sodomisant à tour de rôle.
Un soir, je suis venue le rejoindre, en soutien-gorge noir très sexy, un porte-jarretelles, des bas et des escarpins de la même couleur, mais sans culotte. Il dut penser que la fin de soirée allait être très chaude.
Je l’emmenais dans la chambre et le déshabillais en l’embrassant sur tout le corps, puis je lui ai demandé de me sucer la chatte, j’étais trempée, je soupirais et gémissais à chaque mouvement de sa langue.
Je m’agitais de plus en plus tellement c’était bon et que j’étais excitée, ma respiration s’accélérait, et sa langue ne quittait plus mon bouton. Je jouis sur un dernier assaut de sa langue sur mon bouton. »

Olivier continue :
« Elle se leva et alla dans la salle de bains un instant et revins équipée d’un gode ceinture, je vis de suite que ce n’était pas celui que nous avions l’habitude d’utiliser. Plus imposant et d’allure plus agressive, elle revint sur le lit, m’embrassa et me dit :
- J’ai une belle surprise pour toi, mon chéri !
Elle se mit à califourchon sur mon torse et me le proposa à sucer.
Je le pris dans ma bouche et le suçais, il était nettement plus gros que l’autre, pendant que je suçais le gode, Anaïs gémissait, l’autre pal fiché dans son sexe bougeait et lui procurait de divines sensations. Elle n’arrêtait pas de gémir, la tête penchée en arrière.
Puis elle se releva et me demanda de me mettre à quatre pattes, pendant qu’elle enduisait le gode de vaseline. Elle se plaça derrière moi. Je sentis le gode forcer contre mon anus, rentrer doucement. Elle m’attrapa par la taille et me tira vers elle jusqu’à ce que ses hanches butent sur mes fesses. Puis elle entama des va-et-vient, d’abord lentement, puis en accélérant progressivement.
Je ne ressentais aucune douleur, seul le fait d’être entièrement possédé me tirait des râles de plaisir.
Nos râles étaient rythmés par ses mouvements.
Je l’entendis crier son plaisir, puis ses mouvements devinrent de plus en plus rapides et violents, et me firent crier à mon tour.
Elle était vraiment déchaînée, elle prenait un pied d’enfer en me labourant les fesses, ce qui me faisait grimper aux rideaux !
Elle jouit en s’enfonçant en moi une dernière fois, dans un dernier cri de plaisir.
Je n’avais pas encore joui et je lui demandais de me faire éjaculer directement dans sa bouche, ce qu’elle fit avec un plaisir non dissimulé.
Nous nous sommes réfugiés sous la couette pour nous câliner et parler de notre future expérience à trois. »

Anaïs dit :
« Maintenant qu’Olivier avait été préparé avec les deux godes, il était temps que je leur fasse une surprise et que j’organise notre petit trio.
Je ne dis rien à mon chéri, me laissant une semaine pour organiser la soirée, Olivier accaparé par son travail ne parla de rien pendant cette semaine, me laissant le temps pour peaufiner un peu mon plan pour du samedi.
J’en profité pour aller m’acheter de nouveaux dessous sexy pour cette soirée.
Comme j’ai pris contact avec Tristan et l’inviter, après tant de temps il ne parut guère surpris et me dit qu’il serait là vers dix-neuf heures.
Tout était prêt ! Mais la surprise c’est qu’ils ne savaient pas que nous ne serions que nous trois.

Tristan, le samedi arriva avec un énorme bouquet très coloré, comme je les aime, et à sa grande surprise me trouva en peignoir. Il fut très étonné de ma tenue et pensa que je n’étais pas encore prête.
Il se confondit en excuses, croyant qu’il était en avance et qu’il s’était trompé sur l’heure du rendez-vous. Je le rassurais aussitôt en lui disant que non.
Je le priais de s’installer au salon, où j’avais déjà mis en place les verres à champagne et les petits amuse-gueules.
Olivier, après avoir sorti le champagne du frigo, pénétra dans le salon. Lui aussi fut très étonné de me voir encore dans cette tenue alors qu’il m’avait laissée me préparer en dernier pour avoir la surprise de ma tenue.

Nous voilà donc tous les trois dans le salon, les deux hommes sur le canapé et moi sur le fauteuil en face d’eux.
Olivier ouvrit la bouteille de champagne et commença à servir. Quand il me tendit mon verre et que je me penchais en avant pour le saisir, mon peignoir s’entrouvrit légèrement, laissant entrevoir mes bas noirs et mon porte-jarretelles, assortis à des dessous à leur couper le souffle.
Je me régalais de les voir tous les deux entre gêne et plaisir.
Je pris donc la parole et leur dit :
- Je vous ai concocté cette petite soirée rien que pour vous deux, et ce soir, le plaisir physique et charnel sera le thème que nous pouvons partager tous les trois, il vous suffit juste de vous laisser aller et de vivre pleinement le moment…

Je leur dis de se mettre à l’aise tous les deux et d’enlever leurs vêtements afin d’être nus. Olivier, ne portait pas de dessous. Quand il ouvrit les boutons de son pantalon, son sexe sortit d’un coup ce qui excita encore plus Tristan, qui était quant à lui en train d’extraire son sexe tout aussi dur de son caleçon.
Je commençais par me caresser devant eux tout en les regardant, ils se mirent à se branler doucement devant mon spectacle.
Pour pimenter un peu les choses je leur demandais de faire comme au bon vieux temps et que Tristan prenne le sexe de mon homme et Olivier le sien.
Un peu surpris sur le coup par ma proposition, ils se mirent néanmoins à se masturber et se caresser réciproquement. Après quelques instants Olivier se leva pour venir m’embrasser et me caresser, et fit signe à Tristan de le rejoindre. Celui-ci ne se fit pas prier, et commença à son tour à me caresser les seins et le reste du corps.
Olivier m’écarta les cuisses et les lèvres, et demanda à Tristan de venir se placer entre mes jambes pour me lécher. Pendant qu’il le faisait, Olivier admirait le spectacle de mes soupirs et ondulations. Il m’embrassait fougueusement pendant que Tristan me léchait de plus en plus vite et de plus en plus fort, jusqu’à ce que je sente monter un orgasme qui me fit hurler de plaisir.

Puis je les ai sucé l’un après l’autre afin de leur donner de la vigueur. Ils avaient tous les deux des sexes de même taille et de même grosseur.
J’invitais Olivier à venir me remplacer avec sa bouche sur le sexe de Tristan pendant que je continuais à lui prodiguer une fellation, Tristan, apparemment pas gêné du tout par cette attitude, prit la tête d’Olivier entre ses mains et lui fit faire des va-et-vient.
Toujours assise dans le fauteuil j’ai invité Olivier à se pencher pour me sucer la chatte, offrant ainsi son cul aux désirs de Tristan.
Pendant qu’Olivier me léchait, Tristan ayant compris, prit place derrière lui et sans un mot lui enfila un doigt pour lui dilater un peu l’anus en prévision de la suite des événements.
Quand il sentit qu’il était prêt l’à accueillir, il prit le cul de mon homme, d’abord avec douceur, puis avec toute sa puissance.
Olivier se mit à hurler, tellement il prenait son pied pendant que Olivier l’enculait.
Mon homme vivait son fantasme et paraissait heureux.
Tristan à jouit et il était temps de finir l’apéro, avant de manger et de reprendre le cours de nos plaisirs.
La soirée fut chaude nous ouvrant la voie à la suite de nos expériences… »

A suivre…

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