Un Mariage Plutôt Sympa - 1
Chapitre 1 : le mariage.
C'était à la fin des années 80, à un mariage dans le centre de la France. Un de mes neveux épousait fort joliment la fille, non moins jolie, d'un riche éleveur du fin fond de lAuvergne profonde.
C'était un "grand" mariage où nous étions plus de 150 convives, qui rassemblait toute la bonne société de la région, le beau-père de mon neveu étant élu local. Il y avait là, comme à tous ces mariages de jolies femmes appartenant à la bonne bourgeoisie provinciale, dont le rang, le désuvrement et le manque de distractions n'empêchent pas d'avoir des fantasmes, bien au contraire... Surtout dans ces coins perdus et quand même très isolés de la France profonde. Et là, ici comme ailleurs, même si les mois ont 30 jours, ils passent moins vite que dans certains endroits, surtout pour ces belles personnes ! Les mariages, avec les enterrements, sont les seules " sorties sociales ", où ces jolies femmes ont l'occasion de se montrer. En tout bien tout honneur ; mais avouons quand même que les premiers sont une cérémonie plus propice à certains fantasmes que les seconds... !
Il y avait là, parmi d'autres jolies femmes, une qui en particulier retenait mon attention (et pas que la mienne, d'ailleurs !), 37 ans environ, peut-être un peu plus, belle rousse, rentrant dans les caractéristiques de ces bourgeoises définies plus haut. Moi javais à lépoque à peine la quarantaine... Et sans que je sois un expert du sujet, ni constamment "en chasse", il fut le dire, ce genre de femmes m'attire et capte malgré moi mon attention
Justement, cela me trouble peut-être à cause de "ce je ne sais quoi" qui agit fortement sur moi, et d'autant plus que je ne sais pas le définir !...
Cette jeune femme était la digne épouse d'un haut notable dune petite métropole dAuvergne. De lui, dune bonne vingtaine dannées son aîné, je tairai ici le nom par discrétion, de même que dire sa fonction ce serait dire son nom
Donc, peu importe lidentité de ce monsieur, mais ce détail est important.
Tout cela restait bien visible sur des formes aux lignes très pures et elles aussi irréprochables. Jeus le loisir dobserver cette jolie femme puisquelle marchait devant moi dans le cortège, pour aller à la mairie, à léglise, etc. Elle se déplaçait avec un beau déhanchement dans le soleil de l'après-midi d'été... Et vous pensez, il n'en faut pas plus pour que lesprit gamberge ! Surtout quand il n'y a rien d'autre à faire qu'à regarder et à penser en fonction de ce que lon voit devant soi !...
La journée se déroula comme dans tout mariage, en allers et venues, petites conversations et en moments de désuvrement
Nos regards s'étaient bien croisés à plusieurs reprises et ces moments d'échanges de regards m'avaient conforté dans mon intuition qu'elle était une femme sensuelle et désuvrée qui demandait bien plus qu'une simple distraction !... Je passe sur tous les détails de la journée qui, en plus des regards fournirent des indices en faisceaux sur ce point : elle en voulait et ne devait même demander que cela.
Autre détail qui aura son importance, elle était très souvent avec une autre femme d'un blond vénitien, assez grande, élancée, fine et fort belle, à peine la quarantaine, vêtue d'un bel ensemble très chic, elle aussi femme d'un haut dignitaire local, mais absent du mariage, en mission disait-on, loin de France.
J'avais remarqué, sans y porter autant d'attention que pour Marielle, que chez elle aussi la femme blonde en question, il y avait quelques indices convergents qui me faisaient dire qu'elle devait être une femme en manque et cependant, très portée sur la chose. Que ce soit dans la façon quelle avait de poser ses mains, son regard souvent en coin, observant les hommes à la dérobée, avec des incursions furtives mais appuyées, en dessous de la ceinture
Quelques détails de son visage : les lobes de ses oreilles, son nez très fin et très marqué, bien dessiné, son joli menton à fossette, indiquaient à mon intuition que la dame, elle aussi, devait aimer en croquer.... Nous la prénommerons : "Gisèle", par discrétion pour elle aussi.
Nous venions juste de passer à table, où justement par le meilleur des hasards, je me trouvais en face de Marielle et de son mari, avec à ma droite Gisèle, lorsque lon vint demander M. de...., le mari de Marielle, pour affaire très importante et urgente. Il s'excusa et dit qu'il ne pouvait faire autrement. Sadressant à Marielle il lui précisa qu'il ne savait pas s'il pourrait revenir, ne sachant quand il serait libre de ses mouvements. Il proposa de l'enverrait chercher. Il lui suffirait de lui téléphoner. Sur quoi, il fut dit ici et là à la ronde de la table, qu'il y aurait bien quelqu'un ou quelqu'une pour la ramener quand elle le souhaiterait...Ce qui fut convenu.
La soirée fut sympathique, libre et détendue, Marielle fut nullement farouche au plan de la conversation, ni avare de ses genoux et de ses pieds que nous ne nous privions pas de joindre et de mélanger sous la table... Nous avons beaucoup dansé ensemble. Je sentais son ventre se coller à mon sexe et se frotter à moi, mais sans provocation, discrètement et en tout cas personne ne pouvait remarquer une quelconque " mauvaise tenue " de sa part ou de la mienne.
Prétextant "un coup de chaleur" après danser, je l'entraînais un moment au dehors, jusque dans une des granges qui bordaient la vaste cour de lexploitation. Là dans lencoignure dun large portail de bois, sans oser s'appuyer aux murs, poussiéreux sans doute, ni s'allonger dans le foin ou la paille, nous sous sommes étreints violemment... Nous nous sommes embrassés passionnément et de façon torride... J'ai peloté et sucé ses beaux seins, pris ses fesses à belles mains, passé mes doigts dans sa fente brûlante et très mouillée... Elle me prit la verge, me la branla avec une énergie folle, me suça avidement, et se retournant lestement, elle remonta sur ses fesses sa petite robe de mousseline orange. Elle avait appuyé l'un de ses pieds sur la roue d'un engin remisé là, ce qui lui ouvrait bien l'entrejambes. J'écartais le bord du léger slip, et je l'enfilais au con, guidé par elle, vigoureusement et bien à fond. Manifestement, elle appréciait de se sentir prise ainsi par le côté du slip, à la hussarde, et par une bite ma foi, plutôt en forme et bien raide
Elle jouit très vite, et très violemment, m'inondant de façon intempestive tout le bas ventre. Heureusement, mon pantalon de tergal beige avait eu la bonne idée de glisser jusque sur mes talons pendant l'opération et de ce fait, fut épargné. Par contre ce ne fut pas le cas de mon slip que j'avais évidemment gardé, et même du bas de ma chemise.... Entre le moment où nous sommes sortis et celui où nous avons rejoint les convives, il ne sétait pas écoulé plus de dix minutes ! Dix minutes pendant lesquelles nous avions eu le temps de bien baiser...
Vers 2 h, elle demanda à Gisèle de la reconduire. Ce fut là sa demande très officielle, en réalité de façon plus discrète, elle me demanda de les accompagner. Gisèle apparemment en fit autant avec mon ami Georges, et elle nous embarqua tous les trois à bord de sa superbe B.M.W. gris métallisé. Il faut savoir que pour rejoindre la ville, il y a 35 kms d'une route peu roulante et toute en virages.
J'avais pris place à l'arrière avec Marielle, je la caressais avec ardeur et elle me le rendait bien... De temps à autre, je quittais ce que j'étais en train de faire pour porter une brève attention à ce qui se passait à l'avant : Gisèle apparemment avait un nouveau levier de vitesse et elle devait écarter très largement les cuisses
Cest que jen déduisais au vu des soubresauts et des variations brusques de vitesse de la voiture, qui n'accélérait pas régulièrement... Bientôt je fus surpris par les cahots que semblait faire la route et je vis dans les phares que nous étions dans un chemin forestier... Je ne dis rien mais Marielle remarquant ma curiosité me dit :
- " Ne t'inquiète pas chéri, Gisèle et son mari ont un délicieux pavillon de chasse à 5 minutes de la grande route... D'ailleurs nous arrivons ".
Je passe les détails sur le pavillon, délicieux et très confortable, champagne, etc. J'appris incidemment qu'elles y amenaient parfois quelques amants, mais très peu souvent, comme le dit Gisèle en souriant :
- " Ici tu sais, c'est mortel on ne voit pas âme qui vive et autre chose non plus, dailleurs ! Mais par contre tout se sait très vite
On ne sait pas comment cela se produit, mais le moindre geste, la moindre chose est immédiatement sur la place publique et colportée
Aussi Marielle et moi devons faire très, très attention. Il ny a que Paris et parfois Clermont-Ferrand, et encore là : prudence, pour nous permettre quelques folies de temps en temps
"
Les deux femmes étaient très belles. Je découvris là, à la lumière tamisée de la grande salle du pavillon, que la rousse Marielle avait une toison de feu, déjà fort mouillée et collée de cyprine, d'une couleur absolument "poil de carotte" du plus bel et du plus inattendu des effets... Sa fente fine et bien dessinée, ne laissait lextérieur, pratiquement rien découvrir des petites lèvres et de son trou de femme. Tout était à lintérieur des grandes lèvres, fines elles aussi et peu renflées, quil fallait écarter pour accéder aux délicats replis féminins
La blonde Gisèle, elle avait une fente dune pilosité assez peu fournie, mais très impressionnante, vraiment. Non par la taille des trous, mais par la dimension en longueur et en développement de ses lèvres, les grandes comme les petites. Ces dernières étaient superbes, nettement en deux parties : une partie antérieure, descendant du clitoris et bordant le trou à bites, pendait dune hauteur équivalente à la largeur de trois doigts ; tandis que vers l'arrière, ces petites lèvres étaient moins pendantes car moins longues, mais très épaisses et très bien "persillées". Les grosses lèvres elles, bien turgescentes et épaisses comme deux doigts, étaient très renflées et très longues, du pubis jusqu'à la rosette
Dieu qu'elle fente ! Ce fut un délice que de lui sucer et d'aspirer ces petites lèvres soyeuses, lisses, fines, vibrantes et frémissantes.
Son truc à elle, à la belle Gisèle, s'était de se faire lécher, sucer et engoder en s'exhibant du mieux possible... De plus, elle adorait se branler en donnant à voir sa vulve très ouverte
Il est vrai quavec une fente pareille, on comprend quelle soit prédisposée à ces situations !
Gisèle avait, en effet, une impressionnante collection de godemichets, au moins une quinzaine et encore, elle n'avait pas dû tous les sortir du placard à malice et à double fond ! Mais il y avait surtout des gods inattendus car elle faisait "feu de tout bois " : pommeau de bras de fauteuil, bouteille de champagne, socle d'une petite lampe de chevet, verre... et sans doute d'autres quelle ne sortit pas ce soir là ! Elle jouissait fort, longuement et ses orgasmes étaient si violents qu'elle en déchargeait comme si elle urinait... Et cela déclenchait chez elle une avalanche de mots crus, obscènes et orduriers qu'on ne pouvait s'attendre à trouver dans sa bouche de jolie bourgeoise raffinée. Marielle elle, voulait surtout être prise par les 2 trous, en suçant quand c'était possible. De fait elle savait aussi, bien le faire savoir :
- " Ah là, oui !
Allez-y, allez-y !
Ne vous privez pas ! J'ai envie de ça depuis des semaines depuis des mois !... J'ai un homme de la soixantaine qui ne bande que rarement et surtout qui décharge dès que le bout de sa bite touche à ma fente et qui débande aussitôt ! Je suis obligée daller me finir dans la salle de bain ! Allez-y faites moi du bien !! Mettez-moi !! Mettez-moi partout !!!.... " Elle jouissait vite, et tenait l'orgasme longtemps, mouillant abondamment, mais " en nappe " et en continu, à linverse de sa copine Gisèle, qui elle déchargeait en jets violents. Et comme à l'époque, il n'était pas encore question du sida, nous ne nous sommes pas faits priés Georges et moi !!
La belle Marielle, nous lavons prise plusieurs fois, en simple comme en double. Une fois je me souviens, ce fut délicieux, j'étais sous elle, elle me faisait face, et je l'enconnais alors que Georges la prenait derrière, à la pastille
Ainsi, tandis que nous la prenions fort et avec ardeur, pouvions-nous dire en riant que : "nous l'encon-culions ". Gisèle accroupie sur ma bouche se masturbait, me donnant sa superbe à fente à lécher et ses seins à sucer à Marielle... Ce fut un intense moment, d'autant que Gisèle après plusieurs orgasmes bruyants, quitta sa position et passa derrière Georges que j'entendis jouir presque aussitôt avec des râles et des cris que je ne lui connaissais pas.
Je compris ensuite pourquoi, quand à quelques instants de là, je me trouvais dans la position de Georges et que je prenais Marielle en levrette, Gisèle vint derrière moi, et là elle fit une chose que je ne connaissais pas vraiment avant. Même si on me l'avait déjà faite, cela navait rien à voir ! Pendant que je baisais Marielle, elle écarta doucement mes fesses, darda sa langue à mon trou de cul, et le lécha avec délicatesse et dune façon jusque là inconnue pour moi
Une "feuille de rose" comme je nen ai jamais connu depuis !
Puis, elle frotta mon trou du bout de son joli nez, en tournant, tandis que sa bouche, ses lèvres aspiraient la peau de mes couilles et qu'elle y donnait de subtiles coups de langues... Jouissance rapide garantie. Tu ne tiens pas la minute à ce jeu là et tu décharges illico ! Je ne vois pas beaucoup dhommes pouvoir y résister. Car il ny a pas que le principe de la caresse, il y a aussi et surtout avec le savoir-faire, lart et la manière de la mener à bien !.... Je souhaite à tout homme de connaître cela au moins une fois !
A un moment, vers la fin de la soirée, alors que je gamahuchais la grande Gisèle, tête-bêche sous elle, que Georges lenfilait au petit trou et que Marielle, étendue juste à côté de moi se branlait, la blonde sépanchait en déchargeant et en gueulant comme elle lavait déjà fait à plusieurs reprises :
- " Ah, putain que cest bon
Oui, allez-y encule-moi bien toi mon grand et toi mon joli, lèche-moi bien la fente
Toute la fente, tu entends
Et pompe-là bien, mon chéri
Ah, putain !... Vous me faites jouir, mes salauds
Vous laviez vu que jaimais la bite, hein
Vous laviez deviné
Et vous avez bien fait !!... Oui, jaime me faire baiser et me faire enculer
je suis trop en manque ici !... Trop !... Ah
Je jouis encore... Je jouis !... Vous me faites décharger !... " Et se disant, elle sécroulait sur moi, Georges par-dessus elle. Jétais une nouvelle fois inondé de sa liqueur chaude et collante. Marielle vint se pencher sur moi pour me lécher le torse et le cou et le visage. Gisèle, se retournant, vint la rejoindre et les deux femmes se délectèrent un long moment de la cyprine de Gisèle.
Durant toute la soirée, les deux femmes furent ainsi honorées chacune à plusieurs reprises et elles en redemandaient encore quand il fut décidé de mettre fin à la parenthèse.
Après deux bonnes heures passées dans le pavillon de chasse, vers les 5 heures du matin, nous sommes repartis pour la ville
Un peu avant darriver chez elle Marielle pria Gisèle darrêter la voiture. Elle sortit rapidement mon sexe du pantalon quelle suça avidement une bonne minute encore
Puis elle membrassa à plusieurs reprises passionnément et me dit :
- " Oh mon chéri, merci... Merci de ce moment
Tu mas donné beaucoup de plaisir et je ten remercie
Cest bon tu sais, davoir des hommes jeunes et qui en ont dans la culotte
, et qui bandent bien pour donner du plaisir aux femmes, ajouta-t-elle
Ce fut merveilleux. Je ne toublierai pas
". Elle embrassa rapidement Georges sur la bouche en le remerciant lui aussi et le pria de lui laisser sa place devant.
- " Georges, merci à toi aussi, ce fut super
Maintenant laisse-moi sil te plaît ta place à lavant à côté de Gisèle, car lorsquelle va sarrêter devant limmeuble pour me déposer, il viendra voir à la fenêtre ; il mattend
Surtout ne vous montrez pas à larrière ".
On changea donc les positions. Gisèle repartit et après deux rues elle sarrêta devant un immeuble très cossu et imposant, genre hôtel particulier. Marielle prit congé :
- " Allez, bonsoir les amis
Vous avez été merveilleux ! Gisèle on sappelle demain
Bises à vous ! ". Et elle descendit prestement. Dès que la portière de la voiture fut refermée, une lumière sallumait dans lentrée derrière la lourde porte. Gisèle démarra rapidement sans attendre que Marielle soit arrivée en haut du perron. Déjà la grosse porte tournait sur ces gongs
Il était temps.
Gisèle reprit la route de lhôtel et tout en conduisant dans les rues du centre ville, elle dit :
- " Eh, les garçons, ça vous direz que lon finisse la nuit ensemble, moi personne ne mattend, cest déjà ça ! Et pour une fois que moi aussi, je peux me donner une mission, jen profite
Allez, daccord ? Mais à votre hôtel sil vous plaît, hein ? Parce que je vous lai dit : pas question daller chez moi, le personnel serait averti et ça, ce nest pas possible !
".
On se regarda avec Georges un court instant et ce fut lui qui dit :
- " Mais bien sûr ma belle, si tu en veux encore, on a toujours un petit quelque chose pour toi !
". Ce sur quoi elle renchérit :
- Vous appelez cela : " un petit quelque chose " ? Vraiment tu exagères ! Je men contenterais tous les jours, moi de votre " un petit quelque chose " ! "
Ainsi la cause fut entendue. Il y eut une suite, à ce fameux mariage
Mais il nest pas sûr que mon marié de neveu ait eu une aussi belle nuit de noce que nous ayons eue avec les deux bourgeoises dabord, puis avec lune ensuite
Ce fut encore autre chose
Mais cela, cest une autre histoire
A suivre
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!