Mon Gay
Je reviens enfin en France. Mon contrat est enfin fini. Je dis enfin à cause de la dureté pour trouver une amante comme je veux. Ouf, je peux madonner à mon principal plaisir. Je retrouve cet espace de liberté sexuelle un peu changé. Cest que pour moi le plaisir dit charnel est important.
Je me masturbe depuis mon plus jeune âge avec plus ou mois de bonheur au début, maintenant je ne me rate jamais, je me fais toujours jouir facilement, surtout que jai mes petits amis : un gode simple, basique, le premier que jai eu, ensuite mes boules de geisha que je porte pratiquement tout le temps. Jai mon autre gode double pour me faire jouir par les deux trous principaux, et enfin mon chapelet comprenant 12 billes de plus en plus grosses dont je me sers souvent pour jouir longtemps en faisant durer ce plaisir intense plus dun quart dheure à chaque fois. Inutile de dire que je ne men sers pas tout le temps.
Jai aussi des livres à ne lire que de la main gauche tellement ils sont osés, plein daventures extraordinaires de filles en chaleur comme je le suis souvent.
Je ne reconnais plus personne : il faut que je trouve dabord un homme bien monté, une fille pas farouche et sans doute un couple bien intentionné qui aime faire des trios.
Il est facile de dire que sur Internet on trouve ce quon veut : cest difficile en réalité de tomber sur lannonce qui correspond à la vérité : je me suis faite avoir une fois par un type qui sous prétexte de me connaitre ne trouvait rien de mieux que me faire coucher avec toute sa tribue de copains. Javais joui, pas comme jaurais aimé.
Aussi je ne me fis plus quà moi.
Dernièrement jai trouvé mon bonheur dans un simple bistrot où je prenais un café. Un homme grand me semblait bien faire laffaire. Cest lui qui ma levé. Je me suis laissée entrainer chez lui. Il me propose de faire des choses.
- Quelles chose ?
- Tembrasser.
- On vient de le faire, tu en bandes ?
- Oui, jai envie de te baiser.
- Moi aussi.
- Tu es salope ?
- Un peu je crois. Tant mieux, jaime baiser les filles qui en ont.
- Si cest des couilles, je nen ai pas, cest toi qui dois en avoir pour me la mettre.
Jai fait celle qui met en doute sa capacité, il me prend dans ses bras, membrasse longuement : nos langues sont de la partie. Jai envie quil montre ce quil sait faire. Je frotte mon ventre contre sa bite qui en effet bande pas mal. Elle me semble un peu grosse ; tant pis, je men accommoderais. Il manque quand même dinitiative alors je lui mets une main sur les fesses pour arriver à le débloquer.
Jai bien fait, il cherche enfin mes seins. A croire quil est paralysé de trouver mes seins nus. Je naime pas avoir de soutiens gorge qui me gêne, comme je ne porte pas non plus de string ou culotte : cest plus facile quand jai mes boules dans le vagin. Enfin il commence à caresser un sein. Il ne le sait pas, il me fait mal : il les serre trop dans ses mains.
Par contre il trouve louverture de ma robe, derrière, sur mon dos. Il ouvre tous les boutons, je suis nue rapidement. A mon tour de lui enlever ce quil porte. Je fais surtout tomber et son pantalon et son slip. Cest-ce que je pensais : il est gros, pas très long mais gros. Je me baisse pour le prendre dans la bouche.
Mes lèvres seules le décalotent : son gland ressort contre ma langue : le but recherché. Là je le trouve tout doux, même la peau de son sexe est douce, plus douce que les autres. Ma langue se promène tout le long de sa tige jusquaux couilles poilues. A tant quy être je pose un doigt sur sa rondelle. Il me semble quil ouvre trop son cul : soit il se fait mettre, ce qui ne métonnerais pas, soit il possède un gode.
Je suce un bon moment avant quil décharge. Là, encore une surprise, son sperme est lun des meilleur que je nai jamais eu dans la bouche. Dommage quil ne men ait pas mis davantage. Je pense quensuite il va débander. Miracle, il reste inflexible : sa queue reste bien bandée.
Enfin la bonne invitation :
- Allons-nous coucher.
- Tu me veux ?
- Bien sur je te veux partout.
- Même mes fesses ?
- Pas seulement tes fesses, ton cul, jaime les culs.
- Jaime me faire enculer quand cest bien fait.
- Je te la mettrai là après.
- Après quoi ?
- Tavoir baisé.
Nous sommes sur le lit. Jaurais bien aimé quil me suce la chatte. Tant pis pour moi. Il vient entre mes jambes, insère sa bite dans ma gaine lentement. Mon abricot souvre devant cette pine. Elle me fait à la fois du bien et du mal parce quelle est grosse, plus grosse que celles que jhéberge normalement.
Il va-et vient dans mon con, lentement, presque trop. Je sens enfin venir le plaisir, limmense plaisir davoir une bite dans la moule. Cest tellement bon que je sens monter doucement ce plaisir invraisemblable de lamour physique. Ca commence par un genre de chatouillis autour de mon sexe, avant déclater brusquement autour de ma chatte avant daller sur mon cul et de remonter vers mes seins et mon cerveaux. Je sens mes spasmes secouer tout mon bas ventre pendant quil décharge son poison dans le ventre.
Je me laisse aller à crier mon plaisir en de nombreux :
-Oui, Oui, recommence, cest bon jai jouis.
- Moi aussi jai jouis. Cétait bon, tu baise bien.
Au fond de moi, je nai fit que subir son assaut. Le reste est naturel.
Comme il débande un peu, je le prends dans la main, je le branle pour quil relève la tête : il me regarde faire. Ma main caresse sa grosse bite que japprécie maintenant. Je remets mon doigt dans son anus : cest ça qui le fait revivre.
- Tu aimes te faire enculer ?
- Oui, je suis bi sexuel.
- Javais deviné. Si tu avais un homme à coté de nous tu lui demanderais quoi ?
- Quil mencule pendant que je tencule.
Il est bien dur aussi :
- Encules moi.
Je me mets de la cyprine sur le rectum pendant quil vient sur moi, en levrette. Sil aime se faire enculer, je pense quil doit aussi sodomiser ses copains. Je le pense dautant plus quil me pénètre avec une foule de précautions. Je sens à peine son gland. Jai toute se queue dans le cul. Il me sodomise comme un chef : je sens à peine sa grosseur. Sa bite me fait du bien. Il passe une main sous moi pour chercher ce que jaime bien : mon clitoris. Le salaud me branle bien. Je gémis fort, de plus en plus, jusquau moment dun orgasme hors norme. Que cétait bon de lavoir ainsi dans le cul. Je jouis deux ou trois fois avant quil décharge son sperme dans le fond de mon ventre. Là, je jouis encore une fois.
Il sort de mon corps et pourtant il a oublié une chose importante : me sucer. Je lui demande de ne pas oublier de me lécher. Il vient entre mes jambes, sa tête presque contre mon intimité. Je sens son souffle que moi. Cest savoureux de sentir quand sa langue me cherche dans ma chatte. Il lèche mon con de haut en bas, en entrant dans le vagin et finissant par prendre le bouton entre ses lèvres : juste ce que jaime.
Il prolonge mon plaisir plusieurs fois. Je jouis dans sa bouche, il fait comme moi, il avale mes fluides. Ses mains sadoucissent sur les seins : il fait ressortir mes pointes qui sont fragiles.
Il bande encore rien quen me goûtant. Je lui demande un 69. Il connait mieux ceux quil fait avec un copain ; cest facile davoir une bite dans la bouche, je le fais presque à chaque fois que je suis avec un homme. Mais de là à lécher une figue !
Il a apprit tout à lheure. Il recommence à passer sa langue plus bas : sur mon cul. Il la rentre un peu. Cest bon, je jouis encore comme quand cette fois il entre sa langue dans mon trou de devant. Jéclate tellement que quand il jouit dans ma bouche, jabandonne la partie ; je suis repue de plaisir.
Le lendemain nous nous revoyons, cette fois il est avec son copain/ Il annonce vite la suite : nous allons baiser en trio, seulement cest lui qui aura droit à une bite dans le cul.
Nous sommes nus, je suis la proie du copain pour me faire embrasser pendant quil masturbe déjà mon amant. Au lit, la situation reste la même : je suis au second plan. Pendant quils se sucent, je me branle en voyant les bites dans la bouche dun autre homme. Je suppose que cest la même chose que quand un homme voit deux filles se baiser.
Ils se séparent sans avoir déchargé. La suite est simple. Cette fois je participe. Mon amant mencule normalement pendant quil reçoit une autre bite dans lanus. Je suis excitée comme une puce : je jouis plus quhier. Ces bites qui coulissent dans le cul des autres me font du bien.
Je nai jamais plus revu lun et lautre des deux hommes. Pour moi ça devenait écurant.
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