Francois (9)

Une vie après Marvin

" Tu vas voir François, tu vas adorer ça. Cesse de faire ton intéressant. Un jour tu verra, tu en redemandera. Il faut seulement te laisser aller et tu découvrira qui tu es réellement. Et quand ce jour arrivera, n'oublie pas de passer me voir".
Marvin avait raison. Totalement raison. Cela fait un mois qu'il est parti, un mois qu'il me manque et la vie pour moi avait changé.
Une semaine après son départ des changements déjà s'était opérés. Au boulot j'ai été promu pour des raisons liées à ma relation avec mon patron. Robert et moi couchions régulièrement ensemble sans pour autant être des amants. Il ne faudrait pas que sa femme et ses s l'apprennent. Entre autre je couche avec d'autres hommes sans aucun scrupule. Je me suis mis à aimer le sexe de l'Homme. Je sais qui je suis réellement. Et après avoir terminé de faire l'amour, à chaque fois la phrase de Marvin trotte encore dans ma tête.
" Tu vas voir François, tu vas adorer ça. Cesse de faire ton intéressant. Un jour tu verra, tu en redemandera."
Laissez-moi vous raconter ma vie après Marvin.
Nous sommes un vendredi. Il y a exactement un mois depuis que Marvin a quitté la boite. Durand cette période écoulée je n'ai couché qu'avec Robert et les rares hommes que je rencontre dans la rue ou le métro. Mais voila, il y a quatre jour que Robert a été a un congrès . J'ai cru que j'allais passé le week-end tout seul, sans une bonne queue pour satisfaire mes envies de cul, jusqu'a ce que j'entends frapper à ma porte. Je levai la tête et vu le merveilleux visage de Julien me sourire. Il entra et s'assit sur le bureau. Julien me faisait toujours de l'effet. Lui et son beau corps musclé comme ceux des danseurs. De taille moyenne, brun aux yeux bleus. Julien était l'homme qu'il me fallait.
Julien me dit qu'il a envie de me voir, qu'il a envi de nous. On se donne rendez-vous dans mon appart pour demain à 18h. Il me laisse en me lançant un sourire charmeur.

La dernière fois qu'il a souri de la sorte c'était quand il a juté dans mon cul.
Le lendemain j'avais passé toute la journée a préparer l'appart pour la venue de Julien. J'avais allumé des bougies parfumées et j'avais mis de la musique d'ambiance. Comme apéritif j'avais mis deux bouteilles de vin dans la glacière. Je passai une heure dans du bain moussant afin de raffiner ma peau et de bien nettoyer mon rectum. Une fois prêt, je n'attendais plus que Julien. Il ne tarda pas à venir.
Quand je l'ouvris, sur le seuil de la porte il me donna un baiser. Ses mains me tenaient fermement contre lui, il me pressait les fesses et le rythme de sa respiration me rendais dingue. Il fallut que je ralentisse les choses car je voulais cette fois-ci aller en douceur. Nous mangeâmes donc puis nous bûmes. Ne pouvant résister plus longtemps, je m'abandonnai à ses caresses.
Assis tous deux sur le canapé, il se rapprocha de moi et m'embrassa. J'ai toujours aimé sa manière de m'embrasser, de mélanger sa langue à la mienne. Il avait sa façon propre à lui de m'enlever les vêtements en un rien peu de temps. Ma belle chemise jaune de circonstance était déjà déboutonnée. Julien abandonna ma bouche pour se rendre sur ma poitrine. Il me mettait des baisers partout sur le tronc. Cela faisait du bien et me calmait tant j'avais chaud. Il m'agaçait le bout des tétons avec des mordillements coquins. Se fut a mon tour d'enlever la chemise de Julien sur lui. Elle reposait maintenant par terre. Sa poitrine musclé me rendait fou d'envies. Je m'y mis comme lui à sucer ses tétons. Il semblait apprécier cela mais semblait vouloir tout prendre en main lui-même. Je le laissai donc faire.
Les lèvres de Julien vinrent se reposer sur ma poitrine afin de stimuler mes points érogènes. Mes tétons durcissaient complètement tant j'étais excité. Je passai mes doigts dans les cheveux de l'homme qui me donnait du bien. Sa tête descendit en direction de mon nombril jusque sur pubis où un fin duvet annonçait la présence de mon sexe.

Julien dégrafa mon pantalon et le fit glisser le long de mes jambes ainsi que mon caleçon. Mon sexe se dressa devant lui plus ferme que jamais. Julien le regarda avec admiration, puis le décalotta et approcha son visage. Il le prit en bouche. Il commença à saliver, puis il débuta son va-et-vient sur ma pine. Foutre que c'était bon! C'était la première que Julien me suçait et il se débrouillait plutôt bien. Le plaisir qu'il me procurait était si intense que je me retrouvai rapidement en sueur. Cela faisait longtemps que ma pine n'était pas bien entretenue. Julien jouait sa langues sur mon gland, serrant bien fort les lèvres quand il remontait vers mon gland. Tout en me suçant, il passa sa main sous mes fesses pour chercher mon trou. Il m'y mit un doigt, puis deux tout en me suçant. Cela avait augmenter mon désir. Je commençai à gémir. Il me regardait dans les yeux tout en me suçant. Je ne pouvais plus me retenir. Et après un moment je lâchai ma sauce dans sa bouche. Il l'avala et s'attarda sur ma pine comme s'il voulait être sur qu'il ne reste plus de sperme.
Je me levai et à mon tour je lui enlevai son pantalon et son caleçon. Pour la deuxième fois de ma vie je revit la pure merveille qu'étais la queue de Julien. Une belle bite bien droite de 18cm mais avec un gland énorme qui invitait à la sucette et qui rendait la sodomie agréable. Je collai mon visage dans ses poils afin de renifler son odeur masculine que j'aime tant. Je lui suçai ensuite les prunes qui étaient pleine de jus. J'empoignai sa bite qui était toute raide et toute chaude. Je la branlais délicatement. Un liquide vint sortir du méat de sa bite. Je ne me fis pas prier, je la pris en bouche. Je le sentis frémir au contacte de ma langue sur l'extrémité dur de son pénis. Son gland remplissait déjà toute ma bouche et je creusais mes joues pour intensifier le plaisir. Je serrais mes lèvres sur sa queue tout en m'appliquant le plus suavement possible.
j'aimais bien cette sensation d'avoir sa queue dans ma bouche, de savoir qu'a tout moment il pourrait m' avec.
Mais je suçais quand même, poussant sa pine au plus fond de ma gorge. Je l'entendais divaguer sur l'effet du plaisir:
- Oh ! Que tu suce bien!... Ça se voit que tu sais t'y prendre avec les queues… Vas-y, salive… Humm! J'adore quand tu me suce, petite chienne.
Il allait regretter de m'avoir insulter. Je me concentrais maintenant sur son gland. Je ne sucerais que son énorme fraise afin qu'il jouisse rapidement. Je jouai de ma langue sur son frein. Je salivai beaucoup et quelque fois au passage je mordillais la pointe de son gland. Il explosa dans ma bouche en un râle. Cela lui avait plut.
Epuisé, je m'étendis sur le canapé. Julien approcha son visage du mien. Nous nous embrassons pour partager le gout du sperme que j'avais en bouche. On se caressait chaudement. Je passais mes mains sur sa bite qui restait toujours raide et lui, il passait ses mains dans ma raie. Il trouva mon trou et commença à m'enfoncer des doigts dans le tunnel. Je renversai la tête en arrière tandis qu'avec ses doigts il me donnait du plaisir.
Couché sur le dos, jambes écartées je m'offrais aux plaisirs que me procurait Julien. Il saliva son index puis me l'enfonça délicatement dans le fion. Il me mit un autre doigt dans le cul. Il cherchait patiemment les points sensibles de mon espace anal. Il les avait trouvés. Un troisième doigt se glissa et se mit à y faire des cercles de plus en plus gros. Il les entrait et les sortait sur un rythme assez lent et dans l'espace d'un cillement j'étais en sueur remuant la hanche criant haut et fort son nom pour qu'il m'enfonce sa bite.
- Tu veux ma bite, hein? … Tu veux qu'enfin je te satisfasse? … Je veux t'entendre me supplier …
- Julien… Baise-moi s'il-te plait, je n'y peux plus…Pitié! … Aie!… Hum…
Julien n'était pas un maitre ur, cela explique pourquoi il retira ses doigts de mon cul et y vint se positionner. Il se mit une capote puis je sentis son gland dans toute sa grosseur traverser mon trou. Même quand j'ai été préalablement dilaté, je sentais le frottement de son gland dans les parois de mon rectum.
Une douleur a laquelle j'étais habituée se fit ressentir. Millimètre par millimètre, je sentis toute sa pine me pénétrer. Il avait mis deux mains sous ma hanche pour mettre mon cul à la hauteur de sa queue.
Quand il fut sur d'être entièrement en moi, il commença à entrer et sortir lentement sa verge en moi. La douleur finit par se calmer mais se fut toujours un plaisir de sentir son gland transpercer ma rosette. Le rythme de sa hanche venant et s'éloignant de moi devenait plus vite. Ses testicules frappaient mes fesses, ses poils me grattaient les fesses, sa bite me faisait du bien.
Une jouissance immense s'empara de moi. Et déjà fatigué de notre position, nous en changions. A quatre pattes parterre, j'offrais ma croupe ouverte et bien tendu à Julien qui s'était à peine assis sur le divan. Son gland réentrant en moi me fit comprendre qu'il reprenait son ouvrage. Et avec une vitesse étonnante il me laboura le cul pour mon plus grand plaisir.
Une sensation de bien-être m'envahit tout entier. Je me tordais le ventre tant cela était bon. Julien s'agrippa fermement à ma hanche pour préciser ses gestes. Des plaintes sortirent de ma bouche, des pleurs de mes yeux.
Julien aussi commença à crier. Pour la deuxième fois il allait jouir. Dans une violente saccade, Julien éjacula au fond de sa capote.
Quand il fut certain d'avoir juter toute sa semence, il se retira au fond de moi. Il ôta la capote pleine de sperme, me fit ouvrir la bouche pour la vider. Le foutre chaud alla se poser au fond de ma gore. Il m'embrassa pour partager sa semence dans ma bouche.
Puis il se leva et se rhabilla. Il me lança froidement qu'il avait un autre rendez-vous. Je compris qu'un autre cul devait l'attendre quelque part. Je ne dis pas un mot. Je le regardai se rhabiller tandis que je suis resté nu assis par terre les fesses ouvertes par sa belle bite. Puis il s'en alla me laissant seul dans le salon où il venait de me prendre. Je repensai aux mots de Marvin. Il avait raison. J'aimais les bites bien raides coulissant dans mon trou. Fatigué, je me couchai sur le canapé. Repensant à ma séance de baise, je passai mes mains entre mes fesses et avec mes doigts j'agaçai ma rosette. Un doigt, deux puis trois … je prenais mon pied, mais à cet instant on frappa à ma porte. Qui ça peut bien être?

A suivre …

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