Heures Sup Au Bureau

C'est ton week-end et tu es descendu chez moi, bien que je travaille. Aujourd'hui j'ai un boulot monstre et comme tu m'as excitée tout l'après-midi avec des mails enflammés et des photos très suggestives, j'ai pris du retard dans mon travail. Aussi, j'ai prévu de sortir tard du bureau ce soir pour rattr mon retard et être plus libre pour toi demain. Je t'en préviens et tu me dis de ne pas m'inquiéter, que tu sauras t'occuper en attendant mon retour.

L'après-midi passe et il est déjà presque 18 H 30. Très affairée toute la journée, je n'ai pas vu passer le temps. Alors je décide de m'accorder un peu de répit et de voir ce qui peut être remis à plus tard. J'ai trop hâte de sortir pour rentrer te retrouver. Je décide de mettre un peu d'ordre à tous ces dossiers et papiers qui encombrent mon bureau lorsque le bruit de la porte qui s'ouvre discrètement me fait relever la tête. Bien que les lumières du couloir soient éteintes, je distingue une silhouette familière. Ces cheveux blancs et ce parfum de mâle ne peuvent me tromper. Eh oui, c'est bien toi. Tu as décidé de me faire une surprise en venant me chercher au bureau. Bien que la journée ait été épuisante, je ressens soudain un regain d'énergie en te voyant refermer la porte derrière toi avec un léger sourire qui en dit long.

Cela faisait plusieurs minutes que tu patientais sur le parking pour t'assurer qu'il ne restait que moi dans les étages. Je suis agréablement surprise de te voir. Je t'invite à entrer et m'avance pour te souhaiter le bonsoir quand tu me saisis par la main pour me ramener vers mon bureau.

Tu me fixes doit dans les yeux et sans un mot, tes lèvres viennent se coller aux miennes et ta langue douce et chaude investit ma bouche toute entière. De longs et fougueux baisers gourmands me font tout de suite oublier le décor tristement administratif de l'endroit. Un long frisson me parcourt le dos.

Ce que j'ignore encore, c'est qu'avant de venir me retrouver, tu t'es mis en condition en regardant quelques vidéos hard et tu ne vas pas tarder à me faire découvrir le sort que tu me réserves.



Alors que j'allais te questionner, tu plaques une main sur ma bouche en me demandant de ne pas parler tout le temps qui va suivre. Puis, t'approchant de mon oreille, tu me murmures : "je vais te baiser comme tu ne l'as jamais été". D'un large sourire, je te fais aussitôt savoir que cette idée me séduit.

Tu te diriges vers ma lampe de bureau que tu éteins, ne laissant que les éclairages du parking diffuser une discrète lueur qui projette nos ombres sur les murs du bureau.

Nous sommes debout face à face et tu me gratifies à nouveau de tes fougueux baisers en promenant tes mains partout sur mon corps. Comme un fait exprès, je porte aujourd'hui un petit tailleur-jupe avec un joli chemisier, des dessous sexy : guêpière avec porte jarretelles, string assorti et bas soyeux.

Tu retires ma veste et tes mains soudain sortent mon chemisier de la ceinture de ma jupe et se glissent sous le tissu pour effleurer la dentelle du haut de ma guêpière. Tu dégrafes mon chemisier et d'une main, tu rabaisses le balconnet qui recouvre ma poitrine et ta bouche vient se plaquer sur un de mes seins pour en sucer le téton qui ne tarde pas à durcir sous tes coups de langue.

Ma respiration s'accélère, je passe ma langue sur mes lèvres en soupirant, geste qui te fait comprendre que le jeu peut commencer. Alors, tu remontes ma jupe sur ma taille et passes une main entre mes cuisses. La chaleur du fond de mon string t'excite et tu y plonges ta main. Tes doigts commencent à s'affairer sur ma chatte rasée déjà bien humide et je ne peux retenir un long soupir en renversant la tête lorsque tes doigts habiles écartent mes lèvres pour s'introduire dans mon vagin quelques secondes seulement, puis tu retires mon string et me soulèves pour me déposer assise sur le bord du bureau. Tu prends place sur le fauteuil dans lequel je travaillais il y a encore 10 minutes.

Tu caresses mes jambes gainées jusqu'en haut et d'un geste ferme, tu écartes mes cuisses et entreprends un cunnilingus tout en introduisant 2 doigts dans ma chatte grande ouverte.
Tu agites tes doigts en va-et-vient pour bien me faire mouiller pendant que ta langue vibre et tournoie sur mon clito. Tes doigts glissent au fond de mon vagin en m'arrachant un long râle. Je ne dis pas un mot et tout ce que je ressens s'exprime par les mouvements de mon corps et par mes regards. J'ai envie que tu me baises à fond.

Alors, tu te relèves du fauteuil et, debout devant moi, je peux enfin poser ma main sur ta braguette et sentir le paquet qu'il y a derrière. C'est à ton tour de soupirer longuement. Je descends la fermeture et glisse ma main dans ton jean. Je sens alors ton gourdin qui réagit sous mes doigts. Quelques caresses appuyées avant de m'accroupir à ta hauteur et baisser enfin ton pantalon. Tu bandes tellement que ta queue tendue dépasse de ton boxer que je m'empresse de descendre à tes genoux.

Tu me dis, d'un ton presque autoritaire : "suce ma bite et branle moi fort". Tirant la langue, je m'approche de cette bite que j'engloutis goulument pour te tailler une pipe. Je suis accroupie, pratiquement sous le bureau, tandis que tes mains prennent appui sur le plan de travail, le corps tendu légèrement penché vers l'avant. Tu donnes de légers coups de reins pendant que je te branle à deux mains en suçant ton gland. J'adore la douceur de ton prépuce tendu sur mes lèvres et je durcis ma langue comme si je voulais pénétrer ta queue et aller chercher les premières gouttes de ton plaisir. Puis je descends pour aller gratifier tes couilles gonflées de quelques grands coups de langue jusqu'à ton périnée et ton anus que je masse du doigt.

Je me masturbe en même temps, excitant et titillant mon petit bouton et m'enfonçant quelques doigts pour apprécier la quantité de mouille. On commence à être bien échauffé quand tu me demandes de m'asseoir à nouveau sur le bureau, cuisses grandes ouvertes, et tu me dis : "je veux te voir te masturber comme sur ta vidéo", pendant que tu continues toi-même à t'astiquer le manche. J'adore cette idée et je m'exécute dans la seconde.
Bien en position devant tes yeux grands ouverts, je lèche mes doigts et les passent sur ma moule luisante. C'est doux, c'est chaud, ça glisse. J'écarte mes lèvres d'une main et me pénètre de quelques doigts que je fais vivement remuer, produisant ce bruit caractéristique indiquant que je suis remplie de mouille. Avec la main restée libre, je viens recueillir un peu de ce jus pour humidifier les doigts que je vais m'introduire dans l'anus. Tu te régales du spectacle et l'état de ton gourdin s'amplifie. Tu me donnes des directives : "caresse toi, pénètre toi, écarte bien, laisse moi voir ta chatte, ça m'excite, je veux voir comment tu mouilles", etc… Tu sais que je peux me faire gicler en me doigtant frénétiquement et tu me demandes de te le montrer. Je m'active donc de plus en plus rapidement pour t'offrir ce plaisir divin. Je sens que ça va arriver et ma respiration haletante te le fait comprendre. Alors tu te rapproches de moi pour que je puisse arroser ta bite qui s'agite dans tes mains. Et dans un cri, j'expulse un jet de mouille tout droit entre tes jambes. Tu jubiles.

On est aux portes de la jouissance mais tu veux faire encore durer le plaisir. Tu t'approches, la queue à la main, et avec laquelle tu caresses ma fente dégoulinante de bas en haut, de haut en bas, puis tu places ton gland à l'entrée de mon antre intime. J'avance un peu le bassin en prenant appui sur mes mains, le corps légèrement renversé, les seins bombés hors du chemisier. Puis très lentement, tu fais entrer juste le bout de ta queue et tu ondules des reins tout doucement, comme si tu voulais seulement caresser l'entrée de mon vagin. Je gémis, c'est une pour moi, je n'en peux plus, je n'ai qu'une envie, c'est que tu me baises enfin. Mais tu ressors et à nouveau, tu fais glisser ta queue sur ma vulve. Puis sans prévenir, ton dard tout entier vient pilonner mes entrailles et commence alors la valse de tes couilles à chaque coup de rein. Tu me fourres furieusement, en râlant d'excitation.
Je sens tes grands coups de queue me secouer le ventre. Tu me baises si fort que le bureau vibre sous les assauts déchaînés de ton membre qui me liment la chatte. Ouiiiii ! encore ! encore ! encore !

Tu transpires, tu halètes. Alors pour reprendre un peu ton souffle, tu t'arrêtes et te laisses tomber sur le siège de bureau. Je ne peux laisser cette bite luisante se refroidir, alors je reviens te pomper ardemment pour me régaler et te donner envie de reprendre l'action. Et je lèche tes couilles fraîchement rasées, je les gobe l'une après l'autre en te branlant à 2 mains. Tu fermes les yeux pour mieux apprécier en posant tes mains sur ma tête pour me donner le rythme que tu souhaites. Tu me lâches à nouveau : "suce moi plus vite, plus fort, tête moi le gland et branle moi les couilles".

Puis, le souffle enfin retrouvé, tu te redresses et te lèves, la queue à angle droit, prête à repartir de plus belle, bandant encore plus fort. Et là, tu me dis : "je vais te prendre en levrette pour te défoncer la chatte".

Tu me retournes, me fais écarter les jambes et pencher en avant, en appui sur les avant-bras, je m'accroche au bord du bureau. Puis tu me pénètres sans attendre en enfonçant ta queue profondément, en m'arrachant un râle de plaisir. Et tu me bourres furieusement. Sans prévenir, tu te retires et soudain, je sens un objet long, dur et froid passer dans le sillon de mes fesses. Je détourne la tête pour découvrir que tu t'es emparé d'un ouvre-lettre au manche conséquent. Que comptes-tu ouvrir avec ça ? Une idée me traverse l'esprit et je pousse un "ooooh" évocateur, et tu profites de ma bouche ouverte pour me le faire lécher. Puis tu t'asseois à nouveau sur le siège de bureau, et t'approchant de mon fessier, tu le caresses avec douceur, tu l'embrasses en pétrissant mes fesses de tes mains fermes. Puis ta langue s'insinue dans mon sillon et s'arrête sur mon petit trou que tu invites à s'ouvrir. Ta langue douce et habile me détend et tu peux à présent y introduire aisément un doigt, puis 2, que tu remues en tournant à l'intérieur. Hummmm ! que c'est bon ! Tu reprends le coupe-papier de mes mains après que j'en ai bien sucé le manche puis tu me dis : "je vais te goder avec". Et je sens le manche entrer doucement en moi puis tu le fais aller et venir lentement. Je soupire de plaisir en ondulant du bassin. Tout en continuant, tu te redresses et à nouveau ta queue entre dans ma chatte toujours trempée. Je sens ta bite bien dure qui gonfle et je m'ouvre encore plus.

D'une main je cramponne le bureau et de l'autre, je masse tes couilles entre mes jambes. Et on bouge en cadence. Je suis double-pénétrée ! un régal !

Me sentant prête pour le grand final, tu te retires et viens enfoncer ta pine à la place du gode improvisé. J'attendais impatiemment que tu m'encules, et ta queue bien lubrifiée glisse toute seule au fond de mon trou accueillant. Je sens tes couilles cogner ma chatte à chaque coup de butoir. C'est trop bon !

Pour nous permettre de reprendre un peu de respiration, mais non sans s'arrêter pour autant, tu prends place sur le fauteuil et dos à toi, je t'enfourche, m'écarte les fesses et m'empale sur ta queue. Je monte et descends, faisant pénétrer chaque fois plus profond ta bite dans mon cul, puis je ralentis, je gigote pour mieux ressentir cette possession, pendant qu'une de tes mains passe autour de ma taille pour venir tripoter ma chatte et à l'occasion, y mettre les doigts.

On respire fort tous les deux, on se fait du bien et sentant l'orgasme imminent, d'un coup tu te relèves, me soulevant en même temps puis tu adoptes la cadence qui va nous mener au 7è ciel. Tu me ramones le cul à grand coup de bite et le plaisir monte, monte, monte. Je saisis vite un crayon que je place entre mes dents pour le mordre de toutes mes forces, aussi fort que tu me martèles. Tu vas jouir et dans un long cri de jouissance, tu lâches des jets de sperme chaud par vagues au fond de mon cul. "Aaaaaaah ! je jouiiiiiiiis". Et les spasmes de ta queue au fond de moi déclenchent un orgasme monstrueux. Je lâche un hurlement en laissant tomber le crayon et je jouis si fort que je gicle à nouveau, le ventre remué de secousses pendant de longues secondes.

On reste un instant encore l'un dans l'autre, juste le temps de retomber sur terre, épuisé mais comblé. Puis on se rhabille le sourire aux lèvres. Je remets un peu d'ordre à mon bureau et on ferme la porte derrière nous.

Je n'ai jamais autant apprécié de faire des heures supplémentaires !!!!

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