La Porte Ouverte

Nue, assisse sur le fauteuil je me caresse comme souvent : je suis seule dans l’appartement, j’avais, comme souvent un creux dans le bas ventre. Ni une ni deux, me voilà me déshabillant, prenant un gode, le premier venu, prenant la position préférée les jambes sur les accoudoirs. J’ai une pensée pour mon mari qui n’assiste pas, pour une fois à ma masturbation.
Je vagabonde dans mes fantasmes : je suis aujourd’hui avec une voisine que je trouve sexy avec qui je faisais un jour une tournée des positions entre filles. Je me vois sous elle, sa tête plongée entre mes cuisses bien ouvertes, sa langue là où normalement est celle de mon époux. Il est encore tôt, à peine 14 heures. J’ai largement le temps de me branler plusieurs fois.
J’ai enfoncé deux doigts dans mon puits, je les fais aller et venir : c’est bon, si je continue je ne vais pas tarder à jouir. Je ne me sens pas bien alors j’avance mes fesses justes au bord du siège. Je me sens bien mieux : je recommence la masturbation. Le plaisir monte petit à petit dans mon ventre. C’est bon, délicieux, agréable. Pourquoi le Bon Dieu nous a donner, aux femmes plusieurs endroits pour jouir ? Les hommes sont moins bien munis que nous avec seulement leur bite, avec en annexe pour certain le cul.
Oh je ne pense pas à tous ça, non je pense à mon orgasme qui arrive lentement. Je suis là, allongée sur le fauteuil. Je sens le début de l’orgasme envahir mon bas ventre avant de monter vers le con. J’aime dire des mots orduriers quand je me branle. J’aime aussi quand des lèvres se posent sur les miennes au même moment.
Je pense rêver, alors que les lèvres existent bien sur ma bouche. J’ouvre les yeux pour voir que c’est la voisine celle que j’aimerais bien baiser qui m’embrasse. Comment est-elle là, je n’en sais rien, je m’en fiche totalement sur le moment, surtout que sa main remplace la mienne sur ma chatte. Je la laisse me faire du bien encore. Elle ne me fais pas pareil, elle branle le clitoris et le cul à la fois.

Douces sensations de plénitude.
Je la regarde avec des yeux plein de remerciements. Elle pose à nouveau sa bouche sur la mienne que j’ouvre pour laisser passer sa langue. Je ne me demande même pas comment et pourquoi elle se trouve chez moi.
Je passe une main entre ses cuisses, la monte le plus possible pour trouver le sommet de ses cuisses. Je sais que je suis très proche de mon objectif quand je sens sa chaleur entre ses jambes. Je ne suis même pas étonnée de sentir son intimité : elle ne porte pas de sous vêtements.
Sa chatte est au moins aussi mouillée que la mienne. Je vais au plus facile : j’entre un doigt dans son puits et un autre dans le cul. J’entame le vas et viens quand elle gémit aussitôt. Je lève totalement sa jupe pour être plus à l’aise. Là je vois toute sa féminité, je sens toute son odeur.
Pour la première fois je vais mettre en application mon rêve. Je vais la baiser. Ma langue sort juste pour lécher le peu de clitoris que je vois. Sa réaction est rapide, même si mes doigts sont toujours dans sa gaine et dans son anus. Elle jouit sur ma langue directement : sa cyprine est formidablement excitante.
Et puis j’en ai assez d’être ainsi mise, je lui demande de venir baiser au lit. Son oui, en souriant est franc. Je sens qu’elle me désire aussi.
C’est bon d’être nues contre l’autre, nos lèvres collées dans une long baiser érotique. Mes mains se promènent contre ses seins, ils sont plus durs que les miens. Elle s’occupe de mon ventre, de mon nombril : elle me fait frémir. Elle descend sur ma chatte. Quel bonheur de sentir sa main me branler. Elle me rend ce que j’ai fait : elle me met deux doigts dans le con, et un autre dans le cul.
Je la laisse me faire du bien. Elle me branle mieux que ce que je fais, presque comme mon mari. Ca ne lui suffit pas, elle se tourne pose sa tête entre mes jambes. Elle veut me lécher, qu’elle le fasse. Je ne tarde pas à sentir les mouvements de sa langue contre mon bouton. Là, ce n’est pas comparable à l ‘ordinaire.

Aussi quand elle m’enjambe, je ne résiste pas longtemps à la tentation de la lécher aussi. Je fais comme elle me fait, je cherche et trouve bien sur son petit trou. J’y entre un doigt en profondeur avant d’y loger un deuxième. Puis, sentant sa langue contre mon anus, je lui rends la pareille tellement j’apprécie.
Elle reste dans la même position sa main remplace sa langue. Je n’attendais pas la suite, quand elle entre tous ses doigts et son poignet dans mon vagin qui s’élargi comme jamais. Elle me fait un peu mal. Je sens enfin un plaisir intense envahir non seulement mon bas ventre mais tout mon corps. Quel orgasme !!!
- Fiste moi aussi, demande-t-elle.
- Avec plaisir chérie.
J’ai heureusement une bouteille d’une fine huile pour faciliter les pénétrations douloureuses. Je m’en servais il y a longtemps au début des sodomies que tenait à me faire mon mari. Je n’en ai plus besoin maintenant qu’il la fait entrer sans problème dans le cul.
Je fais couler sur l’entrée du vagin et ma main une bonne quantité. Maintenant je suis prête pour la suite qu’elle attend. Je pense qu’au début que la tâche est presque impossible. J’entre deux doigts lentement, alors que je la doigte facilement. J’y colle un troisième. Je regarde ce con s’élargir lentement. Cette fois avec précaution j’entre les autres doigts. Elle gémit je ne sais si c’est de doleur ou de plaisir, je continu pour entrer comme elle m’a fait toute la main. Maintenant ça passe bien, alors pour la main c’est facile : je suis au fond de son nid. En pliant les doigts j’arrive à entrer la main, je peux y mettre encore un peu plus : le poignet entre jusqu’à mi avant bras.
Cette fois elle cri de plaisir. Comme si ça ne lui suffisait pas, elle trouve son clitoris pour le masturber en supplément. Ca marche tellement bien qu’elle jouit ainsi plusieurs fois.
Quand nous cessons cette mémorable baise nos bouches sont encore collées.
Reste la question qui maintenant me turlupine : comment est-elle entrée chez moi et pourquoi ?
- En passant j’ai vu la porte entrouverte, j’entendais des cris, je suis entrée en pendant que tu avais un malaise.
Tu étais dans un orgasme tel que je ne m’ai pas entendu. Quand je t’ai vue te donner du plaisir j’ai voulu en profiter : tu ne m’étais pas indifférente alors j’ai commencé à t‘embrasser..
- Nous pourrions recommencer, j’ai beaucoup aimé.
- Si tu n’en parles pas à ton mari, oui.
- Tu non plus n’en parles pas à ton mari.
C’est comme ça que nous baisons souvent entre filles sans que nos époux soient au courant.

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