Leslie Hd93

Leslie HD93 – Confessions d’un couple, suite

« Lorsque nous sommes arrivés à la villa, la nuit était tombée et le silence avait enveloppé la maison, pas de voisinage pour nous voir, et de plus nous étions entourés de bosquets.
La piscine éclairée, nous a donné envie de nous baigner et c’est nus que nous en avons profités.
La sensation de l’eau sur nos corps nus, nous a réveillé les désirs et c’est le membre qu’Olivier me prit par les épaules pour me coller contre le bord de la piscine, dos à lui et, en m’écartant les cuisses, me pénétra doucement pour que je sente son membre entrer et sortir, gonflé de plaisir.
Je commençais à me tortiller pendant que ses mains se promenaient sur mon ventre, mes seins et finalement allaient rejoindre mon clitoris.
J’adore cette position, où il peut me prendre et me caresser en même temps. Il accéléra la cadence tout en pressant ses doigts sur mon sexe. Puis ses assauts se firent plus forts et plus secs, ses doigts, maintenant me triturant le clitoris jusqu’à ce que je sente monter une chaleur en moi, j’allais jouir.
Il accéléra encore et encore, et ma jouissance jaillit, si puissante et si forte que j’ai bien cru que j’allais défaillir. Nous avons jouis ensemble et à cet instant j’ai regretté que notre hôte, Lorenzo ne soit pas là pour nous observer, mais qui sait…
Nous sommes sortis de la piscine et sommes allés, bras dessus bras dessous, tout nus, vers notre lit pour aller nous coucher.

Le lendemain matin, après un petit déjeuner sur la terrasse, nous avons admiré la vue qui s’offrait à nous, le paysage camarguais à perte de vue, avec des taureaux en pâture et la mer au loin à l’horizon.
Après nous être douchés et habillés, nous avons décidé de faire le tour du propriétaire. Nous avons croisé notre hôte Lorenzo sur un magnifique cheval camarguais gris qui nous expliqua ce que nous pouvions visiter dans le coin.
Nous avons invité Lorenzo pour venir diner avec nous le soir et nous sommes repartis à la villa prendre notre voiture pour aller faire quelques courses.

Nous sommes allés à Arles, car c’était le jour du marché. Tout n’était que couleurs chatoyantes et odeurs agréables.
Après quelques emplettes, nous avons décidé de rentrer à la villa et d’en profiter pour faire une journée farniente et piscine.

Le soir venu, Lorenzo arriva vers vingt heures, avec une bonne bouteille de vin rouge. Pour l’occasion, j’avais mis une robe rouge longue et fendue dans le dos jusqu’à la courbure de mes fesses. Olivier portait un short de lin blanc et une chemisette ouverte sur son torse légèrement halé.
Notre salon était confortable et après nous être installés, nous avons commencé les festivités par une coupe de champagne, pour fêter le début de nos vacances
Après quelques discussions anodines, Lorenzo entra dans le vif du sujet en disant qu’il nous avait observés, hier soir dans la piscine.
Mon intuition était bonne, il était là !
Loin d’être gênés, je lui ai demandé comment nous étions et ce qu’il avait ressenti.
Et là, il nous dit :
- L’été ma femme n’étant pas là, j’en profite un peu, regarder au travers des bosquets et parfois tenir compagnie à des couples désireux d’avoir un autre homme avec eux, ou même inviter des couples à participer.
Nous lui avons dit que nous étions très ouverts sur le sexe, et que quelques fois il nous arrivait d’inviter un homme ou une femme dans nos relations, et que nous étions partants pour faire notre première partouze.

Je vis tout de suite un intérêt dans ses yeux, et dans son pantalon en lin où une bosse commençait à poindre et ne me laissait aucun doute, sans doute nu en dessous et aimait notre liberté et l’espoir se dessinait dans son regard.
L’alcool avait libérer nos retenues et Olivier commença à me déshabiller en un tour de main. Ma robe glissa le long de mon corps halé et je fus devant Lorenzo nue, avec pour seul rempart mon string blanc en dentelles.
Olivier commença à me caresser les seins.
Je fis signe à Lorenzo de s’approcher. Quand il se redressa et se tint devant moi, j’en profitais pour ouvrir son pantalon. Effectivement, son sexe apparut aussitôt.
Un sexe long et large, veiné avec de grosses couilles.
Je pris son sexe dans ma main et je constatais qu’il était vraiment très dur. Une petite pensée me traversa l’esprit en pensant qu’il serait agréable de le voir pénétrer Olivier. Mais pour cela il fallait que j’y aille doucement pour ne pas le choquer.

Olivier m’allongea sur le canapé pendant que je continuais à branler Lorenzo.
Il se mit à genoux au-dessus de moi, les jambes de part et d’autre de ma tête et me présenta son sexe à mes lèvres.
Olivier, descendait vers mon mont de Vénus et de mon côté j’entrouvrais les lèvres pour prendre en bouche ce le sexe de Lorenzo.
Il prit ma tête entre ses mains et m’attira vers lui, m’enfournant son sexe dans ma bouche entrouverte. Mes lèvres parcouraient son gland, s’entrouvrant toujours plus, avant de se retirer et ma langue en profitait pour s’enrouler autour, lui arrachant de longs soupirs de satisfaction.
Je l’ai finalement pris entièrement dans ma bouche et me suis mise à le sucer goulûment.
Olivier n’était pas en reste. La tête enfouie entre mes cuisses, il dévorait ma petite chatte, y enfonçant un doigt tout en léchant mon clitoris.
Il m’était très vite devenu difficile de me concentrer sur les deux choses à la fois.
Je m’abandonnais à la langue de mon chéri et à ses doigts fouineurs qui me rendaient folle.
Olivier me pénétra de ses doigt la chatte et l’anus tout en agaçant mon clitoris, tandis que je gardais le sexe de Lorenzo qui remplissait ma bouche, en fait c’est lui qui par de petits mouvements me baisait maintenant la bouche.
Je pressais le visage d’Olivier d’une main contre mon sexe et j’ai senti la jouissance monter de façon fulgurante dans mon ventre, m’envahir de toute part et j’ai pris mon pied dans un râle évocateur.
Je prenais un vrai plaisir à être entre mes deux amants, l’un baisant ma bouche de son gros sexe et mon homme qui me suçait la chatte en m’enfonçant un doigt dans mon petit trou.
Ce n’était que le début, la suite s’annonçait encore meilleure… »

A suivre…