Monique Et Nicole

J’ai répondu NON. Je ne veux pas qu’elle me touche. Je la connais trop, je sais qu’elle en profitera pour me faire chanter. Qu’elle fasse l’amour avec mon père, passe, mais m’ajouter à sa liste déjà longue d’amants, pas question. D’accord elle est attirante avec ses cheveux toujours bien coiffée avec une raie au milieu pour que les mèches couvrent son front et ses tempes.
Un matin mon père s’est levé : il n’était pas seul dans la chambre : elle était là aussi. Elle s’est levée plus tard entourée d’une simple serviette de bain. Je pouvais la voir ainsi presque nue. Mon paternel me la présente comme sa future copine.
Je ne le comprends pas, à presque 60 ans, se mettre en ménage avec une fille qui devait avoir à tout casser 25 ans. Il me semblait qu’il ne pourrait la combler.
Un matin mon père est parti très tôt. J’étais seul dans la cuisine à préparer mon petit-déjeuner quand elle est venue. J’entendais ses pas venant vers moi. Je regardais la porte quand elle apparaissait. Sa robe de chambre ouverte laissait voir tous ses trésors.
Au lieu du bonjour habituel, elle venait vers moi, ses lèvres sur les miennes, une main sur ma bite. Je bandais bien vite aussitôt que le sentais la douceur de sa main qui ne cherchait à faire sortir ma bite du pyjama. Elle y arrivait facilement.
Elle commençait à me masturber, plutôt bien, fruit d’une longue expérience. Sa douce main me donnait un plaisir inégalé. Elle faisait tomber son peignoir pour apparaitre totalement nue. Quand elle s’est colée à moi, je sentait que son ventre pressait ma bite contre le mien. J’étais près à aller très loin quand :
- Baises moi.
- Non :
Ce non est parti tout seul : je n’allais pas plonger ma bite là où mon père venait de la lui mettre.
Je suis parti ailleurs pour m’installer loin de cette nana fondue de sexe.
Nous nous sommes quittés un peu en froid. Pourtant je venais de trouver une gentille fille un peu, sinon beaucoup, sensuelle.

Je pouvais lui faire ce que je voulais sans qu’elle refuse. Si au tout début nous ne faisions que baiser normalement, un peu plus tard soit sur ma demande, soit sur la sienne, nous varions tellement les positions que nous en étions à baiser en trio.
Pour elle le triolisme ne s’entendait qu’avec une autre fille pour pouvoir jouir plus souvent et longtemps. Elle aimait Nicole, c’est avec une de ses copines que nous faisons souvent, sinon tous les soirs l’amour à trois. Monique sa copine finissait par s’installer avec nous. Un bon plan pour nous trois, à tel point que je me demandais la qu’elle était ma copine.
Nous ne baisons en duo que rarement. Soit j’avais Nicole, soit Monique pour me tenir compagnie disons un soir sur sept. La fournaise commençait quand nous étions trois sur un lit. J’étais l’objet de leurs caresses, surtout quand je débandais après la première jouissance dans un cul ou un puits : j’avais deux bouches sur moi, une sur mes lèvres, l’autre sur ma bite.
Des fois à table, nous étions pratiquement nus quand une de deux passait sous la nappe pour venir me prendre dans la bouche. Je pouvais deviner à qui était la bouche, rien qu’à la façon de me manger la queue. Je me laisser toujours aller vers l’orgasme, surtout que la bouche de l’autre ne se contentait que de mes lèvres. Rarement, dommage pour moi la bouche venait entre les cuisses de l’autre fille. J’aidais à sa jouissance en caressant la poitrine. Mes lèvres aussi faisaient leur part de la besogne.
Si j’avais été la cible, le soir, je savais qu’elles voulaient baiser seules. J’assistais à leurs ébats lesbiens. Mis à part le fait que ce soit deux femmes qui se fassent jouir, je trouvais agréable de voir deux filles jolies, plaisantes à regarder : leurs jambes mêlées, leurs bouches enchâssées contre l’autre et surtout leurs mains attirées par tous les trésors du corps de l’autre.
Quoi de plus beau qu’une main de femme sur le sein d’une autre ou dans la chatte mouillée de sa compagne ? J’aimais regarder le mouvement lent d’un doigt sur le clitoris, ou entrer dans un cul ouvert.
Je ne restais pas immobile : je respectais leur désir de jouir à deux. Ce qui me paraissait difficile était de ne pas bander. Je restais près d’elles la bite bien droite, je ne me touchais surtout pas, au moins au début de leurs étreintes. Parfois j’arrivais à retenir mes mains pour ne pas me toucher. Souvent, hélas je devais satisfaire mon besoin de plaisir.
Je le leur disais toujours juste avant de me branler. Là : se savait qu’elles me regarderaient faire. Elles aimaient quand je me masturbais devant elle. Elles n’arrêtaient pas leur baise, elles mettaient un bémol à leurs caresses. Sans me toucher, elles attendaient surtout que je lâche ma semence pour la récupérer à la partager.
Nous aimions passer des nuits dans des hôtels éloignés pour mieux nous donner ce plaisir. Notre plaisir était le matin quand nous baisions, nous commandions le petit déjeuner pour voir arriver soit un serveur, toujours bien reçu, soit une serveuse qui ne partaient qu’avec beaucoup de retard.
Pour le serveur, c’était rapidement fait : rien que de voir que je baisé une des deux filles avec l’autre sur ma bouche, il bandait vie. C’est Nicole qui s’attaquait à lui : une main sur la bite vite sortie : elle lui faisait une fellation comme elle peut les faire rapidement. Nous la regardions faire : même si le serveur résistait, il ne pouvait tenir longtemps dans la bouche de notre amante. Quand il partait satisfait de son orgasme, les deux filles se partageaient toujours son sperme.
Pour les serveuse c’était plus délicat. Pourtant il en fallait peu pour décoincer les filles assez jeunes; C’est Monique qui les excitait en les embrassant sur la bouche, en prenant ma queue pour la leur montrer. Elle me masturbait sans honte jusqu’au moment où cédant à la tentation la fille acceptait de lever sa jupe et enlever son slip pour se donner. Selon mon désir du moment je m’attachais à la lui mettre derrière pendant qu’une des deux filles lui lèche le clitoris avec succès. Nous gardions toujours le sous vêtement pour nos souvenir.
Nous connaissions un sous bois parfait pour l’été. C’est Monique qui l’avais trouvé au cours d’une promenade: elle s’y étais promenée nue pour trouver un endroit magique où elle s’était fait du bien. C’est-ce que nous avons fait un après midi, à trois. Ce jour là il faisait particulièrement chaud aussi de nous trouver nus dans la nature nous donnait des envie de jouir.
Je me souvient encore qu’à peine nu, je bandais. Les deux filles se sont aimées devant moi juste à l’endroit magique. Nous avions laissés nos affaires à la voiture: deux robes, un soutien gorge , un pantalon, un slip d’homme et des chaussettes.
Elles marchaient devant moi qui avait la bite allant de droite et de gauche selon mes pas. Je bandais de plus en plus, surtout en regardant les fesses adorablement baisables se dandiner devant moi. Ces fesses qui étaient à moi. Il fallait que j’arrête juste un instant pour me détendre en me masturbant un peu, appuyé contre un arbre après avoir averti les deux filles de ce que j’allais faire. Elle me regardaient à peine: leur objectif principal était de baiser entre elles.
Quand j’arrivais à leur hauteur, elles étaient couchées, déjà en 69. Je n’avais pas joui. Je le regrettais en les voyant. J’allais me masturber encore une fois quand je ne sais plus laquelle m’a invité en me donnant son cul. Entre ma main et l’anus, je n’avais pas à choisir: le cul m’attirait comme le nord attire l’aiguille de la boussole. Surtout que leur cul étaient particulièrement hospitaliers. Pourtant la main qui me guidait n’était pas celle que j’allais enculer. Comme par miracle le gland passait tout seul: je le sentais entrer lentement comme prévu. Le reste de mon bâton entrait lui aussi, mais plus rapidement. J’entendais les soupirs de l’enculée, je sentais les mains de celle qui était dessous caresser mes couilles.
J’étais tout au fond du cul, je m’y trouvais bien alors je ne bougeais pratiquement plus. Je sentais des mouvements du sphincter. Ils me massaient la queue. Je restait inerte quand je sentais les spasmes de jouissance autour de ma queue: j’avais fait jouir un cul sans bouger.
Quand nous sommes revenus vers la voiture, j’ai eu droit à une fellation à mis chemin: Monique crevait d’envie de sucer ma bite. Je restait immobile sous la caresse, d’autant plus que Nicole s’attaquait elle aussi à mon cul: elle y mettait trois doigts comme souvent. Je ne pouvait contenir mon jus qui partait dans la bouche de Monique.
Dans la voiture, les deux filles sont montée à l’arrière, les robes sur les cuisses pour pouvoir s’embrasser et se peloter. Je savais comment allait finir la chose: elle se sont branlées jusqu’à la maison.