La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 56)
Avec la collaboration de 'encorebelle' une soumise membre de mon site que je remercie très sincèrement, voici une nouvelle histoire qui sera donc écrite à deux. Chacun de nous deux en écrira une suite soit chacun son tour et ainsi de suite :
Telle une ruche en plein été, le château bourdonnait dune activité frémissante en ce matin de juin. Ce jour anniversaire aller donner lieu à de grandes festivités. En effet, cétait lanniversaire du Maître des lieux, le Marquis dEvans. Pour cette occasion, il y avait plusieurs surprises de prévues. David, le compagnon du Marquis aidé du fidèle majordome Walter avait préparé une belle journée en réjouissances.
Déjà dès 10h une limousine noire devait arriver au château. En effet, David avait pris contact avec un ami du Marquis, le fameux Maître Aristocrate. Celui-ci avait accepté bien volontiers pour marquer lanniversaire de son vieil et Noble ami de venir au château en présence de sa soumise prénommée « encorebelle ». Quavaient-ils imaginé ce grand Maître Aristocrate et David par téléphone ? Quavaient-ils convenu ensemble ? Ce qui était certain, cest quapparemment ils sétaient très bien entendus sur le programme et sur la raison de la présence de la soumise. Tout avait été préparé pour lanniversaire mais aussi pour laccueil de ce couple Maître/Soumise.
Les jardiniers avaient rendu la grande cour de la bâtisse impeccable. Les graviers de couleur rouges-marrons au lever du soleil étaient même parfaitement ratissés et aucunes mauvaises herbes napparaissaient. Les massifs de fleurs abondants étaient taillés telles des uvres dart. Les pelouses d'un vert tout autour savamment entretenues étaient d'un gazon digne du meilleur terrain de golf. Les serviteurs et femmes de chambres esclaves dans leurs meilleurs effets en tenue de soubrette. Les esclaves affectés à la tâche, soit au cuisine soit au ménage s'affairaient tête baissée. On frottait, on lavait, on faisait briller, on cuisinait sous les ordres de Marie la sévère cuisinière.
La venue de la limousine se précisait quand on entendit les pneus crisser sur les graviers près de la grille du château. Le comité daccueil était quasi au complet. David, Walter, Marie et deux rangées de 3 esclaves nus et immobiles de chaque côté des escaliers du volumineux perron. Quand la luxueuse limousine stoppa devant le bas des escaliers, le chauffeur descendit ouvrit la porte arrière tout en abaissant sa casquette derrière son dos. Maître Aristocrate sortit et David descendit quelques marches pour venir saluer et accueillir lInvité :
- Soyez le bienvenu, Maître Aristocrate, chez votre Ami, le Marquis dEvans, dit David en lui tendant un main des plus amicales
- Mon cher David, tout le plaisir est pour moi, répondit le Maître en serrant cette main tendue, mais comment avez-vous fait pour quEdouard ne sache rien de ma venue ?
- Oh, très simple, il est parti de très bonne heure ce matin comme chaque dimanche, à la chasse aux sangliers sur ses terres et il ne reviendra quà midi. Nous avons donc deux heures devant nous pour préparer la surprise de votre venue qui, je le sais, lui fera très plaisir... Mais je ne vois pas votre soumise ? dit David en zieutant à lintérieur de la limousine
- Ha oui ! cest vrai, Rodolphe, dit Maître Aristocrate à son chauffeur, sortez-moi cette chienne du coffre avant quelle ne puisse plus respirer !
(la suite par encorebelle)
Après avoir remis sa casquette, Rodolphe obéit à son Maître. « Allez, debout ! » Dune main sous le bras, il aida la soumise à sortir du coffre. Le voyage avait été moins inconfortable que ce à quoi elle sétait attendue, grâce notamment à la bonté de son Maître qui avait bien voulu que lon disposât une couverture bien molletonnée au fond du coffre. En effet, Il tenait à ce que sa soumise arrive dans de bonnes conditions pour les événements à venir. Nue comme au jour de sa naissance, encorerebelle ne portait quun large collier de cuir, incrusté dun anneau dacier, dont Rodolphe tendit la laisse à Maître Aristocrate.
« La voici donc », dit David en sapprochant pour mieux la regarder. Après sêtre rapidement étirée pour se détendre de son voyage dans le coffre, encorerebelle demeurait debout, tenue en laisse, à peine gênée par cet examen. Simplement, par moments, elle essayait, à travers ses cils baissés, de découvrir les lieux dont elle avait si souvent entendu parler les jours précédents.
Cétait une semaine auparavant, lors de sa dernière visite chez son Maitre. Après la séance, tandis quelle profitait du bonheur dêtre assise à Ses pieds, la tête sur Sa cuisse, Il lui avait annoncé quil lui préparait une surprise pour le week-end suivant.
- Je viendrais te chercher à 14h00. Nous allons faire pas mal de route en voiture. Habille-toi en conséquence
mais juste pour le voyage
- Bien, Mon Seigneur.
Ils ne sétaient pas revus de la semaine mais, régulièrement, dans ses mails, Il lui avait donné un peu plus dinformations. Le samedi matin elle savait donc quils se rendraient chez le Marquis dEvans, un ami de son Maître, et dont on allait célébrer lanniversaire. Que de fois elle avait entendu parler du Château du Marquis. En bonne fille dEve, sa curiosité navait eu de cesse daugmenter ces derniers temps.
Le samedi arrivé, elle était tellement excitée, mais également quelque peu angoissée, quelle ne put presque rien avaler, hormis une pomme. Elle avait préparé ses affaires de toilette dans un petit sac, et prévu une tenue de rechange, au cas où
Les derniers mots prononcés par son Maître ne laissaient que peu de doute sur ce que serait sa tenue pour le reste du week-end. Cest donc uniquement habillée dune robe bleu ciel très courte, décolletée, et chaussée dune paire descarpins bleu roi, ses sacs à la main, quelle attendait son Maître sur le trottoir, comme convenu. Bien sûr, les hommes ne manquaient pas de la klaxonner ou de la siffler.
- Bonjour Mon Seigneur, dit-elle en lui embrassant la paume de la main quIl lui tendait
- Bonjour ma petite pute, répondit-Il avant de lui faire signe de sinstaller à Ses pieds
Elle sagenouilla donc sur lépaisse moquette, prête à obéir au moindre de ses signes. Cest ainsi que le voyage se passa, jusquà arriver dans une ville où Maitre Aristocrate avait prévu de faire étape avant de se rendre au Château le lendemain.
Voilà ce qui occupait lesprit dencorerebelle tandis que David lexaminait, des yeux et des mains, sous toutes les coutures. Elle sentait sur elle le regard de son Maître, qui lemplit de bonheur.
- bien bien, cest une belle petite chienne que vous avez là cher Ami, et je constate quelle aime ça, dit-il en ressortant un doigt plus quhumide dentre les cuisses dencorerebelle.
Walter va vous conduire à votre chambre. Il faut que je continue ma petite inspection avant que le Marquis ne rentre de sa partie de chasse.
Le petit groupe gravit donc les marches du magnifique perron, Walter ouvrant le passage à Maître Aristocrate. A peine la dernière marche franchie, encorerebelle se mit à quatre pattes, et cest ainsi quelle suivit son Maître qui la tenait en laisse ...
... (la suite par le Marquis d'Evans)
Ce que encorebelle aperçut de suite en évoluant ainsi en laisse dans un déhanchement de féline exquise sur le reluisant carrelage en damier aux immenses carreaux blancs et noirs, cétait les 2 esclaves nus, hormis leur cage de chasteté et leur épais collier au cou. Ils étaient agenouillés au fond à droite du grand hall dentrée derrière une grande porte massive largement ouverte qui donnait sur des escaliers de pierre descendant certainement dans les sous-sols du château.
David proposa à Maître Aristocrate un bon café salvateur et convia donc son hôte à sapprocher du luxueux bar flanqué au fond sur le côté gauche dans langle du hall dentrée. Un lustre dépoque trônait sur le plafond et apportait au volumineux miroir mural du bar et aux nombreuses bouteilles des éclats de brillances. On aurait cru voir un ensemble de cristal multicolore.
- Et pour votre chienne ? elle doit avoir soif après ce voyage, demanda David avec un sourire presque sadique, tant il avait lair content de cette supposition
- Oh, une gamelle deau à même le sol lui suffira, répondit Maître Aristocrate. Elle lapera à 4 pattes comme toute bonne chienne.
Sitôt dit, sitôt fait, David sortit une gamelle disposée sous le massif comptoir en chêne verni, quil remplit deau par la poignée couleur or du haut robinet-pression du bar. Contournant celui-ci pour arriver face à encorebelle, et voulant déposer cette gamelle à terre, il renversa malencontreusement de leau sur le carrelage. De ce fait, David ne déposa pas tout de suite lécuelle sur le sol car il observait la soumise qui ayant une véritable soif, léchait déjà le liquide à même le carrelage
- Eh bien, dit David, elle sort du désert cette chienne !
- Nous lavons pourtant fait boire lors de notre dernier arrêt, à la sortie du dernier village que nous avons traversé
- Allez bois le reste, dit David sadressant à la soumise, en déposant cette fois la gamelle à même le sol.
Encorebelle ne se fit pas prier pour laper à 4 pattes et à grands coups de langue, le précieux liquide. Maître Aristocrate prit la parole et avec politesse, il demanda à David :
- Je suis vraiment désolé mais lors de cet arrêt jai marché dans une grande flaque deau dun nid-de-poule terreux et jai souillé mes chaussures. Je ne voudrait pas salir vos beaux sols, alors si vous aviez de quoi nettoyer mes
- Mais bien sûr mon cher Ami, coupa David avec enthousiasme, puis spontanément, il cria aux deux esclaves toujours en train de frotter les escaliers à droite du hall : eslave541 et esclave69, laissez ce que vous faites et venez vite lécher les chaussures de Maître Aristocrate et plus vite que ça, tas de vauriens
Les deux esclaves obtempérèrent. Malgré la sueur du pénible travail sur leur corps, ils sapprochèrent assez rapidement à 4 pattes et osant lever légèrement la tête pour entrevoir les yeux inquisiteurs de David mais surtout son bras tendu avec un doigt ouvert montrant les chaussures du Maître :
- Allez les chiens, chacun une chaussure, enlevez moi cette terre séchée et je veux que ça brille.
David avait déjà attrapé un martinet de cuir qui était en permanence posé sur le comptoir. Il fit dabord claquer quelques coups dans le vide en lair puis il donna un énergique coup sur les fesses des 2 esclaves qui réagirent avec un cri de surprise et de douleur aux lanières fines mais nombreuses. Puis les chiens se mirent tous les deux au labeur sans rechigner. Leur langue passait et repassait sur les chaussures dans un bruit confus de gazouillis.
Encorebelle se retourna pour voir le spectacle, ce qui néchappa pas à son Maître qui spontanément prit des mains de David le martinet.
- Personne ne ta autorisé à regarder chienne, lit dit son Maître, approche un peu que je te corrige et relève ton cul qui mérite le martinet.
Encorelle sapprocha avec crainte, exposa son cul relevé et elle reçut de son Maître une volée de coups qui ne tarda pas à rougir ses belles fesses tout en rondeur. Elle essaya de ne pas crier, de se retenir en bonne soumise. Mais la douleur étant ce quelle était, elle ne put se contenir et quelques hurlements résonnaient dans la haute pièce.
- Tu sais que je ne veux pas que tu hurles quand je te corrige, alors, tu va sucer notre hôte pour te faire pardonner de troubler le calme régnant ici, petite pute, et sadressant à David : Mon cher Ami, si vous voulez une gâterie, cest le moment opportun, mon cher !
David ne se fit pas prier. Il trouvait la situation intéressante, alors il sapprocha, ouvrit sa braguette et sortit son sexe mou. encorebelle se releva un peu et cul tourné vers son Maître, elle prit en bouche cette verge qui ne demandait quà durcir.
Si quelquun était entré à ce moment là dans le hall dentrée, il aurait vu un spectacle assez insolite. En effet près de ce comptoir, il aurait vu, deux hommes debout, 2 à quatre pattes et 1 femme agenouillée. Un des 2 hommes debout se faisant sucer, lautre en train de fouetter le dos de la femelle agenouillée en train de sucer le premier. Et de chaque côté de celui qui fouettait, 2 autres hommes à quatre pattes léchant les chaussures du fouetteur. Belle scène qui, filmée aurait certainement comblé les amateurs de films SM.
David ne tarda à éjaculer dans la suave bouche de la soumise, tant celle-ci avait lart et la manière de la fellation. Ayant pour ordre de ne laisser aucune goutte, elle avala tout puis nettoya de sa langue experte la bite de David. Une fois que les chaussures de Maître Aristocrate furent nettes, les esclaves reçurent lordre de retourner à leur travail sous une pluie dinsultes et de coups de martinets.
Puis David proposa à son hôte de venir se délasser un moment dans limmense piscine dune eau bleue parfaite à 30 degrés, dans les jardins du château. Pour cela ils traversèrent (encorebelle suivit docilement en laisse et à quatre pattes) le château du Nord au Sud pour accéder derrière la demeure où les attendait Walter. Celui-ci avait installé à proximité de la piscine une cage carrée et suspendue à 1 mètre au dessus de leau, aux épais barreaux, qui devait faire environ 1 mètre 20 de hauteur, largeur et longueur. Cette cage était montée sur une poutre métallique traversant au dessus de toute la longueur de la piscine. Cette poutre montée sur un palan électrique pouvait ainsi se déplacer à lhorizontale comme à la verticale. A larrivée des nouveaux venus, Walter actionna la télécommande pour approcher et déposer la cage sur le carrelage autour de la piscine, puis il en ouvrit la porte. Maître Aristocrate comprit vite le scénario qui allait suivre et ordonna à encorebelle dentrer dans cette cage. La soumise regarda son Maître majestueux du regard puis baissa les yeux afin dobtempérer, comprenant quelle navait pas le choix. Une fois installée pas du tout confortablement étant quasi obligée de rester agenouillée telle une bête encagée, elle attendit la suite.
Walter referma la porte, puis actionna de nouveau le mécanisme pour positionner la cage à fleur deau, en plein milieu de la piscine. Pendant ce temps, David avait déjà proposé à Maître Aristocrate daller se changer lui offrant maillot de bain, crème solaire et drap de bain aux motifs des armoiries du château.
Quand le Maître revint en tenue de baigneur, il aperçu un spectacle assez excitant. En effet dans la piscine, David était déjà en train de se baigner, il se trouvait derrière la cage en train de caresser les parties intimes de la soumise à travers les barreaux. Un volumineux et épais plug à la main quil tendit vers Maître Aristocrate en lui demandant :
- Permettez-vous que je plugue votre chienne ?
- Mais que voila une excellente idée, mon cher, ne vous privez pas, jarrive, on va samuser un peu
Et Maître Aristocrate fit un plongeon digne dun nageur des jeux olympiques
(à suivre
)
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