L'Inconnu Du Tram
Lété venait de commencer, mais il faisait déjà une chaleur abrutissante. Jattendais un tram à un arrêt ; sur le quai den face il y avait une seule personne, un superbe mec denviron 25 ans. Musclé mais pas trop, une petite barbe, un débardeur qui laissait voir le haut de son torse légèrement velu ; son jean moulait son paquet qui semblait dune taille conséquente. Alors que dordinaire jessaie dêtre discret, je laissais mon regard rêveur sappesantir sur son entrejambe. En relevant les yeux je le vis qui me regardait avec insistance ; sa bouche avait pris un pli ironique
Se payait-il ma tête ? Essayait-il de me brancher ? Je me posais ces questions quand son tram est arrivé ; sans réfléchir jai bondi, traversé la voie et je suis monté par une autre porte que mon bel inconnu. Le tram est parti, je ne savais pas où jallais, je ne savais même pas si ce type avait envie de moi, tout ce que je savais cest que moi javais une envie folle quil me baise
Le tram roulait, il se tenait à 5 ou 6 mètres de moi. Je nosais pas le regarder directement, je vérifiais juste à chaque nouvel arrêt quil ne descendait pas. Enfin nous sommes arrivés en bordure de la ville, dans un quartier résidentiel ; il est descendu, jai fait de même. Il marchait dans la rue quasi déserte, sans se retourner, je marchais derrière lui à une vingtaine de mètres ; arrivé devant un hall dimmeuble, il a tapé un code pour rentrer, poussé la porte et franchi le seuil. Là enfin il ma regardé, lexpression du visage toujours un peu ironique, et a tenu la porte ouverte. Je suis rentré sans hésiter, puis je lai suivi jusque devant les portes dun ascenseur. Et tandis que nous montions au 4ème étage, que nous arrivions devant sa porte, je nosais pas un mouvement vers lui, je nosais pas le regarder. Jétais fébrile, terriblement excité à lidée de me faire enculer par un total inconnu.
Sitôt rentrés dans son appartement, il me plaqua contre un mur et me roula une pelle gigantesque ; sa langue fouillait ma bouche goulument, son corps appuyé contre le mien je sentais sa queue grandir rapidement.
Je me mis à genoux, baissait son jean et son caleçon et découvrit sa bite aux proportions déjà impressionnantes ; je donnais dabord des petits coups de langue sur son gland, léchait ses grosses couilles et les prit en bouche : elles avaient le goût salé de sa transpiration. Sa queue était devenue magnifique, au moins 22 cm de long et 5 de largeur. Je commençais à lavaler, mais nallait pas beaucoup plus loin que son gland. Comme si ma tête nétait quun sex toy, il la prit entre ses mains et la poussa vers son ventre pour me forcer à lavaler toujours plus. Je suffoquais et poussais des petits cris mais il sen fichait, il mimposait un va-et-vient toujours plus rapide et toujours plus profond. Je me disais que sil samusait déjà à mettre ma bouche en lambeaux avec son engin, mon cul allait prendre cher...
Il se retira soudain : « Vas dans ma chambre et mets toi à poil ; je te laisse cinq minutes pour préparer ton trou » Je me pressais sans tarder, et trouvai à côté de son lit des capotes et du gel. Ca faisait quelque temps quon ne mavait pénétré et que je ne métais pas doigté, alors jeus un peu de mal au début, mais je réussis finalement à me mettre un deuxième puis un troisième doigt, et enfin un petit gode laissé sur sa table de nuit. Je mallongeai sur le ventre, bras et jambes écartés, le cul complètement offert.
Il entra, déjà déshabillé ; il prit une capote sur le sol, me la mit entre les dents pour que je déchire lemballage, la déroula sur son membre qui me parut gigantesque. Il sallongea sur moi, sa queue contre mes fesses, samusant à la balader le long de me raie, sattardant légèrement chaque fois quil passait sur mon trou. Jétais fou de désir, je respirais rapidement, je transpirais, il me dit : « tas envie que je te baise, hein salope ? »
« Oui, vas-y, baise-moi ! »
« Jentends rien
»
« Oui, vas-y, baise moi, je suis une salope ! »
« Plus fort ! »
« JE SUIS UNE SALOPE ! JE SUIS UNE PUTE ! BAISE-MOI ! BAISE-MOI ! »
Il poussa alors sur mon trou mais ne put entrer, je criais, je le suppliais.
Quel après-midi ! Mon amant infatigable, tour à tour tendre et dominateur, dune endurance impensable, ma pris dans toutes les positions que je connaissais et de nouvelles encore ; un de mes moments préférés a été lorsque lui-même assis sur une chaise, il ma assis à califourchon sur son engin. Membrassant à pleine bouche, il appuyait sur mes épaules pour me pénétrer au plus profond
La chaleur était dautant plus suffocante que son appartement était sous les toits ; nous buvions beaucoup deau fraîche, nous léchions la transpiration ruisselant sur le corps de lautre
Enfin il mallongea sur le dos, releva mes jambes et me prit comme si jétais son épouse, sa légitime. Je métais joui dessus depuis longtemps mais ça navait aucune importance, jentendais et sentais avec bonheur ses couilles pleines de foutre frapper mon cul, je regardais son visage haletant, les yeux fermés, au bord de la jouissance, et jétais fier de lui donner tant de plaisir, dêtre sa salope, sa pute, de nêtre plus quun trou. Au bout dun temps interminablement long et bon où il continua à me labourer le cul sans pitié, je le sentis accélérer plus encore et jeter ses dernières forces, je magrippais à son dos, appuyai de toutes mes forces avec mes jambes sur ses fesses pour quil aille encore plus profond en moi, et il finit par hurler tout en déchargeant sa semence au plus profond de mon corps.
Il est resté encore quelques minutes en moi, à membrasser, puis sest retiré et sest allongé à mes côtés ; haletants, luisants, nous sentions à plein nez la sueur, le sperme et un peu la merde, et nous redescendions lentement du nirvana
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