Rêve Qui Pourrait Devenir Un Jour Réalité ? 5eme Partie : Ce Que Je Vais Écrire Ne Relate Pas Une Partie De Ma Vie. Juste Un Fantasme Surtout À Partir De Cette Partie.

Elles rentrent sans se soucier de moi, visiblement ma Maîtresse l’avait briefé avant de passer dans cette pièce. Elles parlent de son approche de la domination, de son plaisir à soumettre un homme et de la force que cela lui procure. L’autre jeune femme pose des tas de questions visiblement très intéressée par le sujet. Elles n’étaient donc pas complice au départ… ce qui m’est confirmé quand elles reparlèrent de moi ce fameux soir à la pizzeria.
-Quand je t’es vu sourire et être amuser de l’accoutrement de cet homme j’ai compris de suite qu’il fallait que je trouve un moyen de t’inclure dans mes jeux avec lui. Lui dit-elle t’un ton amusé. Heureusement que tu as accepté tout de suite quand je suis allé te parler à la sortie de ton travail.
Donc c’était prémédité, quand même, je m’en doutais, mon attractivité féminine en règle général est proche de zéro pas possible qu’une fille aussi joli qu’elle s’intéresse à moi sans raison.
Cette jeune femme lui avoue avoir pris du plaisir à se jouer de moi, mais qu’elle regrettait quand même de ne pas m’avoir gouté. Maîtresse Ana lui répondit que c’était un bon teste pour moi et qu’elle avait été surprise mais fière de mon comportement et elle la remercie d’avoir joué le jeu.
-Ah au fait je n’ai pas fait les présentations, Séverine je te présente L….. , mon soumis en cours de dressage, L… je te présente Séverine, la jolie serveuse, mais je suis sur que tu l’avais compris. Partant dans un rire sans retenue.
-C’est lui, l’homme que vous tester ? interrogeait-elle décontenancée.
-Oui ma chère, la chose que tu vois est bien celui que tu aurais croqué volontairement. Debout mon soumis. Montre lui tout !
Je me lève avec difficultés et me mets face à elle. Elle doit apercevoir maintenant ma cage de chasteté.
-Et ça, c’est le cadeau que tu lui as apporté de ma part. Fit-elle en secouant la cage
-Vous vous êtes totalement servit de moi à ce que je vois, constata-t-elle non sans un amusement dans ca voix.

-Oui ma chère, mais avoue que tu as apprécié, avoue que tout cela t'intrigue. Tu me l’as dis, voir cet homme en sous vêtement t’as excitée au plus au point. Si tu veux je t’apprendrais à devenir une femme dominante et à jouer d’un homme et tu auras peut être même le droit de te servir de celui là, me tenant toujours pas la cage.
Un blanc s’installe, cette situation m’excite et me procure une nouvelle érection.
-Humm je vois, ton air surpris par ces zébrures, sache que ce n’est pas une obligation, et je ne pense pas que cette chose est appréciée se traitement non plus. Mais sache que certains sujets adorent cela et que moi j’aime aussi de temps en temps. Mais en l’occurrence aujourd’hui je n’ai pas pris de plaisir à le faire, je voulais juste lui montrer de quoi j’étais capable, bien que je me sois retenue !
Retenue, mon corps se raidit, lui qui à tant souffert sous ces coups. Mon dieu ne jamais lui m’attirer ces foudres au risque d’y laisser mon cuir.
Dans un soupire de soulagement Séverine répond : « tu me rassure car c’est cruel un tel traitement »
-Oh une humaniste, et quand un mec te plaque lâchement ce n’est pas cruel ? Quand il te trompe non plus ? Alors une bonne correction parfois ca remet les choses en place et au moins je suis sur que celui là (me montrant en prenant mon menton) a bien compris ce qui lui en coutera de me défier ou de me tromper surtout quand qu’il ne portera pas ca petite cage.
Soumis approche, à genou, me fit-elle en me tirant sur la laisse pour me faire baisse. Je tombe à terre et ma maitresse m’ordonne de lèche les pieds à son invité. Je tâtonne pour les trouver et me cogne à ces jambes. « Aie, tu pourrais faire attention » me réprimande-t-elle. Et calque un coup de cravache sur mes fesses de la part de ma maitresse. Je la remercie et me mets à lécher les talons de cette jeune femme, je la visualise très bien et elle est vraiment plaisante. Je prends un plaisir non dissimulé à lui honorer ces pieds mais je suis interrompu par ma Maitresse.
-Passons à table, viens petit chien. Je suis trainer à 4 pattes dans l’appartement, je la suis difficilement. J’ai tellement chaud dans cette cagoule, j’ai du mal à garder mon esprit clair. Elle s’installe à table et moi reste aux pieds de ma maitresse. Elles commencent le repas informellement, juste pour grignoter. Je suis à jeun depuis ce matin et commence à me sentir mal avec le mélange des odeurs de pizza et mes efforts fournis pour encaisser cette séance très rude.
-Bon appétit !me fit-elle en me présentant une part de pizza, je veux la prendre dans mes mains et me fait réprimandé en me disant qu’un chien ouvre la gueule et ne mange pas avec ces pattes.
Elles discutent entre elles, de moi, de cette jeune femme, très peu de ma Maîtresse qui reste très discrète sur ca vie, et de la domination en générale quand soudain la jeune femme lui demande les toilettes.
-Oh oui... les toilettes, répondit ma Maitresse ne secouant ma laisse, j’avais totalement, avec ta venue, oublié de donner à boire à mon chien après cette épreuve, profitons en. Nous te guidons.
J’ai bien compris ce qui allait se passer, le jeune hôte, elle un peu moins, pourquoi partir tous les 3 aux toilettes alors qu’une simple indication aurait suffit. Maitresse Ana ouvra la porte et me dis « tu sais comment te placer ? » Je répondis par l’affirmative et place ma tête au dessus des toilettes face au plafond. Séverine fut interloquée. Ma maîtresse lui dit, ben quoi tu laisserais homme se déshydrater toi ? Place toi au dessus de lui, laisse toi aller et il t’essuiera après. Séverine paraissait hésiter car pas un mouvement n’était perceptible. Les talons de ma maîtresse s ‘éloignèrent me laissant seul bouche ouvert avec cette jeune femme. Elle me dit :
-t’es sur que c’est ce que tu veux ?
-Oui Mademoiselle, répondis-je poliment.
-Mais c’est dégoutant ! me rétorque-t-elle.
-Je ne sais quoi vous dire Mademoiselle, moi j’apprécie cela, ma Maitresse veux que je vous serve de toilette, je l’accepte. Elle me fait un beau cadeau en m’offrant votre urine et me permettant de vous nettoyer, enfin si vous en avez envie.
Elle s’approche de moi, me chevaucha et visiblement se concentra mais rien ne viens. Un instant plus tard, des goutes tombes sur mon nez et ma bouches, j’essaye comme tout à l’heure d’ouvrir au mieux ma bouche pour ne pas trop en perdre et tout d’un coup le jet ce fait plus violant, impossible de l’arrêter, elle me noie sous son urine, j’avale tout ce que je peux mais j’ai du mal à suivre la cadence. Elle ne s’arrête plus et j’entends son souffle qui devient plus fort. Visiblement Mlle à pris un pied énorme à m’uriner dessus. Elle n’a pas encore finit qu’elle plaque son sexe sur ma bouche pour que je ne perde plus une miette de son divin liquide et une fois finit me lâcha un « lèche » sec et ferme. Son sexe est soyeux comme une rose, visiblement très bien épilé car peux de poils me gène. Elle ne décolle plus son sexe de ma bouche et je compris vite qu’elle veut en jouir. Je m’applique à la satisfaire et Mlle part rapidement dans un râle qui ne laisse guère de place au doute sur sa nature. Elle se décolle de moi et me dis un discret merci qui me touche beaucoup. Ma Maîtresse revient, et nous dit que nous en avions passé un temps, sachant pertinemment qu’elle surveillait surement de loin ce qui se passait.
-Alors cette première expérience uro ma chère ?
-féérique, Madame, une sensation et j’avoue une jouissance terrible. Je trouvais cela répugnant, je trouve cela excitant maintenant !
-Eh ben d’un premier coup c’est adopté, va falloir te trouver un WC humain toi :o) rigola-t-elle
Nous repartons dans la cuisine, ma maitresse m’a visiblement préparé une gamelle de pizza et une d’eau, enfin de son eau à elle. À l’odeur je comprends vite. Elle ne m’avait pas prévenue que c’était une pratique qu’elle appréciait par dessus tout et que cela deviendrai vite ma boisson la plus commune.
Le repas est assez court, je n’ai même pas eu le temps de tout manger ce qu’il y a dans ma gamelle. Nous nous redirigeons dans ce que je pense être le salon. Ma Maîtresse m’ordonnant de déchaussé notre invitée et le lui lécher et masser les pieds. Ce qu’apprécie grandement Mlle Séverine qui par son travail ne ménage pas cette partie de son corps. Pendant ce temps les deux femmes papotèrent ensemble, ma maîtresse ne se privant pas de planté de temps en temps ces talons dans mon dos, sur me fesses et même de chercher à s’immiscer dans mon intimité rectale. Séverine reconnu que se faire dorloter comme cela était divin et que cette soirée l’a convaincu. Elle remercie Maîtresse Ana, qui ne lui répond pas mais au bruit de leur respiration je compris qu’elle était entrain de l’embrasser à pleine bouche. Séverine repris ces esprits et ma Maitresse lui dit qu’elle a un gout délicieux… Séverine osa une protestation lui disant qu’elle n’aimait pas les filles, ma Maîtresse partis dans un rire et lui rétorqua qu’avant d’arriver ici aurait elle jamais imaginer qu’elle aurait jouis après avoir fait boire sa pisse à un homme ? Alors que ces pseudos barrières judéo-chrétienne voleront rapidement en éclat mais qu’elle ne lui en veut pas pour aujourd’hui mais qu’elle devra changer rapidement d’idée si elle veut être sous son aile.
Séverine repartit, sans dire un mot, la porte se referme et ma Maîtresse revient vers moi et me donne un coup. Mon soumis je suis très en colère de ne pas avoir été satisfaite par cette jeune pucelle. Tu va être puni pour ca ! Si tu ne ‘avais pas fait jouir avec ta langue elle serait dans mes bras en ce moment.
Je n’essayai même pas de protester tellement j’étais fatigué. Elle me fit redresser sur mes genoux, mis à 4 pattes. Elle se mit derrière moi et je sentis un liquide froid s’épandre sur ma raie, puis l’instant d’après un objet pointu glacial se présenter à l’entrée de mon anus. Elle prit toute la délicatesse et son temps pour m’insérer cet objet métallique et froid. J’essayais de me détendre au maximum, mais poussais de petits gémissements, me tortillant et essayant même de pousser. « Humm salope tu aimes te faire pluger ? » constata ma maitresse. Je ne répondis pas tellement j’étais concentrer à accueillir ce corps étranger en moi… je pense qu’il est arrivé a son point le plus large je me détends et l’avale en poussant un oh ouiiiii de bonheur et de soulagement…je pense que c’est un plug de 4 cm de diamètre car c’est le maximum que je puisse rentrer en mois pour le moment. Mais ca longueur me paraît immense il me transperce l’anus.
-Ma pute pour m’avoir empêché de profiter de cette jeune fille tu va me garder ca en toi jusqu'à au moins demain soir…interdiction formelle de l’enlevé. Vu le peu que tu as mangé depuis se matin tu ne devrais pas fabriquer trop de déchet….et part dans un rire des plus pervers. Elle me frappe violemment le cul et me dit : « maintenant tu va retourner a ta niche, interdiction de prendre une douche jusqu'à demain soir ». Elle me détache le collier et mes liens, mon coup est enraidit et douloureux, me prend sous le bras et me lève, le plug bouge et m’arrache un gémissement. Il est bien en place vu ca forme ne partira pas car très évasé et me faudra bien pousser pour le sortir. Elle me redirige vers l’entrée ouvre la porte et me dis tu compte jusqu'à 10, retire la cagoule, la repose a son emplacement et tu te rhabilles et repart chez toi. Compris.
-Oui Maîtresse Ana, merci Maîtresse Ana pour cette soirée.
-compte ! me répondit-elle
Et une fois à 10 j’entreprends de retirer cette cagoule, j’ai les cheveux en sueur, je me rhabille, enfile mon pantalon difficilement à cause du plug et repart chez moi la tête dans les nuages et le corps meurtris. Dans la voiture le plug me rentre dans l’anus et me procure d’immense sensation, comme voulant me transpercer.
J’arrive chez moi, il est 2h du matin, je ne prends même pas le temps de me déshabiller, je m’affale sur le lit et tombe de sommeil.
6h le réveil sonne déjà, je me lève mon corps est totalement enraidie, je vais vers mon pc et écris mon mail du matin, en annonçant à ma maîtresse que je n’irais pas travailler aujourd’hui, car trop épuisé. Je fis l’erreur de me rendormir sur le canapé. Le téléphone m’extirpa à nouveau de mon état comateux.
-Mon soumis ne sera pas une feignasse, debout chien et va au travail.
-Mais Maitr...
-Tu n’as donc pas compris se qui peux t’arriver quand tu me désobéis ou quand je suis en colère, le traitement d’hier n’a pas été assez concret, je n’aurais pas du retenir mes coups a ce que je vois. M’interrompit-elle.
-Oh si si la correction d’hier m’a au contraint trop marqué, mais je ne sais pas comment je passerai la journée avec le plug en moi et mon corps endoloris.
-Moi je vais te le dire, ça va être dure et pas agréable mais c’est ce que je veux donc va au boulot.
Et comme à l’accoutumer elle raccrocha
Je m’extirpe du canapé, me dirige machinalement vers la douche mais me souvient que je n’ai même pas le droit a ce moment réparateur. Je m’habille donc et prend la route. Arrivé dans ma boite, mes collègues m’interpelle sur mon état, je trouve une excuse bidon de migraine et d’insomnie puis allume mon poste péniblement. Un SMS arrive : « T’es arrivé ? », en retour je lui dis « Oui, Maitresse mais c’est dur », « rien à foutre, et comme tu te plains, tu sauteras le repas de midi ». Elle veut m’épuiser ou quoi. Je n’ai plus de force et peu guère en prendre, je luis réponds un simple « à vos ordres » et me met au travail. Enfin j’essaye, mon dos et mes fesses me brulent, je me dandine sur ma chaise pour trouver la meilleure position pour que le plug ne me fasse pas trop d’effet et que je puisse casser ma cage de chasteté… La journée se passe ainsi, au lieu de manger je fais une bonne sieste en repensant à ma soirée, à toujours me demander si j’ai réellement fais le bon choix, si je dois continuer… me touchant le sexe, ou plutôt la cage de mon sexe je me dis que je ne peux plus reculer que c’est toujours se que j’ai voulu vivre et que si j’abandonnais maintenant je n’aurais plus d’aussi belle occasion. Je reprends du moral, l’après midi se passe mieux, hormis la faim qui me tenaille le ventre mais bizarrement quand on jeune pour quelqu’un s’est plus facile a supporter. 16H, j’ai décidé de quitter tôt le travail pour pouvoir me reposer, mais un SMS arriva : « Un ciné a 18h ca te dis ? » Elle me demande mon avis maintenant ? Je rêve de me reposer, d’un bon bain chaud (enfin dans mon état ca risque d’être cuisant), mais sais que si je refuse je risque encore plus gros donc répondit un oui Maitresse volontiers. Et dans la seconde d’après elle me sort un cinglant : « menteur !! Mais j’aime ta dévotion et ton intelligence » !! Encore une nouvelle fois démasqué mais en effet comme moi je lis dans son jeu, elle sait très bien aussi les réactions primaires.
Je fais donc du rab au travail pour tiré jusqu’à 18h, arrivé devant le cinéma convenu, un sms pour me dire le film et la rangé ou je dois me mettre, je m’assois, les bandes annonces passe, je ne cherche même pas a essayer de l’apercevoir tellement je suis fatiguer, le noir total se fait quand une voix a mon oreille me dis. « Bon film et attention je t’ai à l’œil si tu t’endors » !! Mon dieu elle est juste le siège derrière moi, mon sexe se dresse illico, mon anus se contracte sur le plug, m’arrachant un gémissant trahissant mes sensations. « Humm j’adore de sentir tendu comme cela pour ta maitresse, continua-t-elle, attention ne cherche pas a te retourner si tu ne veux pas avoir la honte devant tout le monde. Et comme d’habitude tu sortiras bien le dernier de la salle ! Bon film mon soumis ! »
Comment se concentrer sur un film, sachant que cette femme qui vous manipule est juste la à 2 mètres de vous à peine et que vous crever d’envie de voir son visage. 1h30 de supplice et de concentration pour suivre le film, un très beau film émouvant, d’art et d’essais comme je les aime aussi. Voilà la séance se termine, la salle se vide, je sorts totalement fourbu. Un appel arrive. C’est elle pour le débriefing
-Alors tu as apprécié
-Difficilement, avouais-je, j’ai eu du mal à me concentrer sur le film vous sachant derrière moi Maîtresse
-humm c’est flatteur ça, tu crève d’envie de me voir hein ?
-Oh oui maitresse
-bien retourne toi !
Non enfin le moment tant attendu, je marque un temps d’arrêt, prend ma respiration, me retourne et elle parts dans un éclat de rire au téléphone
-Humm je suis cruelle, me dit-elle, désolé mon soumis ce n’est pas encore le moment ou tu me verras.
Quelle déception
-Que vous être dure en effet maîtresse, mais je jouerai votre jeu jusqu’au bout.
-Bien j’aime cela. Je te donne rendez vous samedi à 16h, même lieu qu’hier, maintenant file te reposer, mange un peu et retire ton plug aussi, tu l’as assez gardé. Bonne nuit mon soumis
Je répondis un bonne nuit maitresse, mais dans le vide comme d’habitude.
J’arrive chez moi, je me dirige aux toilettes pour essayer d’expulser ce plug. Ce fut dur car pour en garder un p en moi, il faut qu’il soit très conique et pas trop arrondis sinon bizarrement je n’arrive pas à le garder en moi. Ma maîtresse c’était souvenu de cela car il était resté en place sans difficulté. La douleur et le temps que j’ai mis pour l’expulser ont eu raison de mes dernières forces, je ne pris même pas le temps de manger, m’affala sur mon lit, mis mon réveil a 5h30 le temps de prendre une douche avant d’écrire a ma maitresse et tombant vite dans un profond sommeil.
Le vendredi se passa sans nouvelle de ma maîtresse et le samedi matin a 6h je reçu un mail avant même d’envoyer le miens : au réveil, porte ta tenue de chienne (bas, guêpière, string), tu remets aussi le plug et passe une bonne journée. Je t’attends avec impatiente à 16h. Bise ma chienne. Ta Maîtresse.

A suivre