Une Soirée Pour Oublier, Inoubliable

Je ne m’étais pas remise de ma séparation avec Laurent. Je passais mes weekends end à trainer en boite ou dans les bars, me faisant aborder par différents mecs qui ne cherchaient qu’une chose : passer une nuit à baiser. Parfois je refusais, parfois je me laissais aller, profitant des attributs des mâles qui me prenaient pendant quelques heures.

Un soir alors que je buvais un verre dans un bar à Brest, je me fis aborder par un black, plutôt mignon.
« Salut, t’as pas l’air en forme …
- non en effet.
- Je peux t’offrir un verre ?
- ça ne fera que le 4ème …
- ça va si mal que ça ?
- …
- Si tu veux je peux essayer de te faire passer une meilleure soirée.
- Merci, t’es gentil …
Il s'asseilla en face de moi. J’appris que lui aussi, s’appelle Laurent (le hasard), qu’il a 29 ans –moi, j’en avais 26- qu’il bosse dans une banque du centre ville, et qu’il était célibataire.

Moi j’étais secrétaire dans un cabinet médicale, et depuis peu célib’ également.

Il tchatchait pas mal, me draguant sans vraiment de retenue, et me proposant de me raccompagner.
- tu sais, avec le nombre de verres que tu as bu, c’est pas raisonnable. Viens, ma voiture, n’est pas loin. Et je te promets que tu vas passer une nuit mémorable !
- ok…
Bah, il était plus beau gosse, et ça ne me fera pas de mal d’être prise ce soir.
Je montais à bord de sa belle voiture (je ne m’y connais pas, mais je ne suis pas monter souvent dans des cabriolets donc …). Tout en conduisant, il caressa ma cuisse gauche, remontant un peu ma jupe, m’excitant un peu plus.
Nous arrivions chez lui, un bel appart un peu à l’extérieur de Brest, un quartier que je ne connaissais pas du tout.

Il me fit visiter son appart, en terminant par sa chambre. La pièce était un peu sombre, mais un grand lit y faisait place. Il passa une main sur mes fesses, je me retournais vers lui.
- C’est ici que ma soirée sera bonne ?
- Oui, tu ne le regretteras pas, me dit-il avec un large sourire.


On s’embrassa longuement, tout en se caressant, je devinais une belle bosse sous son pantalon, il devina mon excitation quand je poussai un petit gémissement après ses caresses à travers mon string.

Il retira sa chemise, laissant apparaître un beau corps assez musclé, il dégrafa mon soutif, me complimentant sur la taille de mes seins – un bon 95C.
J’aventurai une de mes mains vers son entre jambe, déboutonnant son pantalon, et baissant son boxer noir, libérant un sexe de très belle taille
Oui, je vais passer une bonne soirée, en fait, me dis je au fond de moi.

Je m’agenouillais devant ce membre tendu, et tout en le branlant, je le suçais, passant ma langue sur le gland, descendant puis remontant le long de la verge…

Laurent appréciait cette fellation, me caressant les cheveux, me les tenant en ajoutant un petit mot du style : « Moi, aussi, je vais m’éclater cette nuit, suce-moi… »

Sa queue était très bonne, un peu veineuse, je l’aspirais le plus loin possible dans ma bouche, Je la sentais bien dure, et j’espérais qu’elle fut infatigable.

- Allonge toi, écarte tes cuisses.
Je m’attendais à avoir droit à gouter cette queue au fond de ma petite chatte, mais non, il me la redonna à sucer, il profita de la position pour passer une main entre mes cuisses, stimulant mon bouton d’amour, et de l’autre main, agrippant l’un de mes seins.
- Continue à bien me sucer, je vois bien que tu aimes ça.
- Mmmmppff
En effet, j’adore sucer, et avec ses caresses, je redoublais d’envie.
Il passa sur moi, approchant son visage de ma chatte, il commença à me faire un très bon cuni, donnant de bons coups de langue sur mon clito gonflé d’envie.
Mes gémissements étaient étouffés par la fellation que je lui faisais, mais les quelques moments de répits qu’il me laissait, il put comprendre ô combien j’aimais ça. Sa langue active m’envoya une belle décharge de jouissance, le bas de mon ventre tremblait sous l’orgasme.


- Baise-moi, lui dis-je, baise-moi s’il te plait
- Oui, je vais te prendre comme tu aimes ! Mets-toi à 4 pattes, direct !

Oui, c’est direct, mais c’est tellement bon, alors pourquoi attendre. Et puis j’assume mon côté cochonne, en lui présentant mes fesses, en cambrant les reins.
- Hé ! tu me provoques, tu vas déguster.
- Oui, montres moi ce que tu sais faire avec ta queue. Fais-moi passer une bonne soirée !

Il me fessa, avant d’approcher son sexe tendu vers ma chatte mouillée, prête à le recevoir. Il me pénétra lentement, comme pour que j’apprécie la longueur de son sexe, puis commença à faire des vas et vient, parfois en me secouant latéralement, m’empêchant de prendre une bonne respiration, me faisant pousser de rapides gémissements, parfois en allant très profondément, me laissant crier mon plaisir.

- T’aime la bite, hein cochonne.
- Oui, continue, encore !!! Encore !!!

Il me fit me mettre sur le coté, une jambe en l’air, lui toujours derrière moi, il put ainsi malaxer mes gros seins, tout en me baisant.
- Alors, tu passes une bonne soirée ?
- Ouiiiiii, dis-je entre deux gémissements.
- Tu veux qu’elle soit inoubliable ?
- Ouiiii (mais je ne voyais pas comment il pouvait faire mieux, les orgasmes s’additionnaient sous ses coups de queue)
- Prends ça ! puis ça !!
Il me baisait fortement quand son portable sonna, tout en me baisant, il l’attrapa sur sa table de nuit et répondit :
- Salut mon frère, ça ?
- …
- Oui, très bien, je baise une cochonne.
- …
- Tiens, dis à mot à mon frère, me dit-il en approchant le GSM.
- Ouiiii, salut
Il avait redoublé la cadence m’empêchant de parler, mais me faisant gémir plus fort, puis il reprit l’appareil
- Oui, une belle cochonne avec de gros nichons et qui aime sucer !
- …
- Okay, à tout de suite !!!
Et il raccrocha.
- Tu vois, Mary, ta nuit va être inoubliable !
Il me donna un gros coup de queue, puis une belle fessée.

Voila, je devais m’attendre à voir son frère débarquer dans les minutes à venir. Un plan à trois me faisait pas peur, je l’avais déjà fait, et puis l’idée de prendre deux bites me plaisait. Reste à découvrir le frère en question…

J’entendis la porte d’entrée s’ouvrir, puis une voix assez grave :
- On est là. T’es dans ta piaule ?
- Oui, venez, je vais vous présenter Mary !
« On » ? « Venez » ? Ils sont plusieurs ? La porte de la chambre s’ouvrit, laissant apparaître 2 blacks, contrairement à Laurent qui était sportif, eux faisaient plutôt dans les 120, à 130kg, me faisant réagir. Mais une grosse claque sur mon cul m’en dissuada.
- Mary, je te présente mon frérot et son copain. Théophile et Omar, voici Mary, la suceuse, à qui je remonte le moral ce soir.
- Une suceuse ? j’aimerai voir ça !
Avant même que je puisse dire quelque chose, Théophile avait sorti sa queue et me la présenta.
- Montre-moi ça, cochonne de blanche ! Putain, c'est vrai qu'elle a de gros nichons !!!
Sa queue était plutôt petite comparée à celle que j’avais en moi, mais très veineuse. Une autre claque sur les fesses, et une main me tenant les cheveux, Laurent m’ordonna de sucer son frère.

Je pris la queue de Théophile entre mes lèvres, ou plutôt, Théophile enfonça sa bite dans ma bouche sans ménagement.
Son ventre me tomba sur le visage, ses grosses cuisses m’étouffaient.
Les mecs me décrivaient de ce qu’ils allaient me faire,
- Je suis sur qu’elle n’a jamais été baisée comme ça !
Oui et non en fait, jamais par 3 queues, ni par de tels mecs ! Entre Laurent qui pilonnait depuis de longues minutes ma chatte, Théophile avec sa queue veineuse qui me remplissait la bouche et Omar dont je n’avais pas encore vu la bête…

Ils échangèrent de place, Théophile s’allongea sur le dos, Laurent s’écarta du lit et parti dans la cuisine, il me semble, je me mis en dehors du lit, debout, mais Omar me fis me pencher, la tête vers la bite de Théophile.


- Suce-le !! t’as pas fini avec lui !!!!
Il me plaqua la tête sur le sexe de son ami, et il vient se placer derrière moi, me donnant une bonne fessée.
Je sentis ses grosses mains sur les fesses, son gros ventre contre mon cul, tandis que je sentis un gros gland à l’entrée de mon minou trempé.
Théophile me tenais fortement la tête, sa queue enfoncée dans ma gorge, quand celle d’Omar me remplissait la chatte ! Le salop ! Sa bite était épaisse, plus grosse que les deux autres ! Les deux amis rigolaient de me voir prise ainsi sans pouvoir dire un mot, une bite dans la bouche étouffant le cri que j’aurai du faire avec cette pénétration e.

J’étais prise par deux gros blacks, 250kg à eux deux, je n’avais pas la force, ni la possibilité de refuser le traitement que je subissais. Etrangement, je n’étais pas dégoutée, j’avais accepté de venir chez un inconnu, j’avais envie de me venger de l’autre Laurent, j’avais envie d’être un garage à bite.

Les coups de queues étaient puissants, moins rapide que Laurent, mais tout aussi efficaces vu la grosseur de la queue d’Omar.
- HHHHMMMMPPPPFFFF
- La salope, elle aime ça !!!

Laurent réapparu dans la chambre, la bite toujours en érection, une bière à la main.
- Alors Mary, inoubliable la nuit, hein ?
- MMMMppppffff
- Laissez la respirer, les mecs !
Et Théophile relâcha son étreinte, je pus faire ressortir sa bite, et reprendre ma respiration, la bave aux lèvres.
- Oui … dis- je entre deux respirations.
- T’en veux encore ?
- Oui, baisez-moi, je veux être prise comme une chienne !
- Humm, mais c’est qu’elle provoque !!
Et les trois mecs se mirent à se marrer. Omar repris son travail de démolition de ma petite chatte.
- Tu veux voir la bite qui te défonce ? tu veux la voir de prêt ? Hein, cochonne !!
Et il joint le geste à la parole. Je me retrouvais à genoux face à sa très large queue. Il était plus imposant que Théophile.
- T’es une salope ?
- Oui…
Il réitéra sa question en me crachant au visage.
- T’es une salope ?
- OUI !!
Et il me baisa la bouche, me déformant les joues.
Je ne sais pas comment je me suis retrouvée sur le ventre de Théophile, sa queue au fond de moi, mais avec de si gros bras, j’étais à leur merci.

Je remuais comme une folle mon bassin, désirant jouir encore et encore malgré l’épuisement qui commençait à se faire sentir. La bite d’Omar se rapprocha de ma bouche, je la repris et la suça de nouveau.
Il me restait un orifice… qu’aucun n‘avait encore pris, et je devinais Laurent vouloir le prendre.
- On en aura sauté des salopes, mais une grosse cochonne aux gros nichons comme toi, jamais ! Allez, on te fait la totale ! Une bite dans chaque trou ! T’as jamais fait ça ?
- Non …
Laurent cracha sur mon petit orifice, enfonçant un doigt. Je sentais son doigt frotter la queue de son frère à travers la paroi. Puis forçant le passage, il m’encula. Ô mon dieu !!! Que c’est bon !!!!!
Sentir les queues se frotter, me défoncer, me pénétrer, m’enculer sans retenu…
L’humiliation n’était pas terminée, Laurent écrivit quelques choses sur mes fesses.
- ça c’est pour dire aux autres mecs qui te baiseront que je suis passé par là !
- Donne-moi le marqueur, dit Omar.

Retenue par les larges bras de Théophile sur mes reins, celles de Laurent plaquée sur mon cul, et mes cheveux tenus par l’un d’Omar, ce dernier écrit quelques mots sur mon front, et dessina une flèche vers ma bouche.
- Comme ça Théo, tu seras ou viser ! Ahahah !
- Les mecs, je vais venir déclara Théophile.
- Putain, merde, je l’enculais bien cette cochonne !!
Laurent se retira, je fus plus ou moins jetée sur le lit, les grosses mains de Théophile et d’Omar me forçant à prendre la bite de Théophile.
- Branle-moi, salope, ça vient !!!
J’astiquais frénétiquement sa queue, oui moi aussi, je voulais qu’il jouisse, à la fois parce que je voulais son foutre, pour lui montrer que j’étais bien une salope, et parce que ça en mettait un au repos.
Trois gros jets épais m’atterrissaient sur les joues par précipitation. Il prit soin de reprendre son sperme sur sa queue qu’il me donna à nettoyer.
- Quelle salope !!! Elle m’a tué !!! Putain, c’est trop bon !!!!
Et je reçu, une claque sur le visage.

Omar fut le suivant à éjaculer, il visa ma bouche puis mes seins, de gros jets très épais également, mais me laissa comme ça. Laurent put reprendre sa besogne et m’encula de nouveau. Ses copains lui dirent qu’ils allaient mater la télé en attendant. Omar me dit en rigolant, « demain matin, au réveil je t’enculerai moi aussi. » faisant rigoler ses copains.

Les mains plaquées sur mon cul, Laurent m’enculai sans retenu, m’insultant, me claqua les fesses.
- Je ne t’ai pas menti salope, hein, la nuit fut inoubliable !!!
Mes cris, plaisir et fatigue, lui donnaient raison. Oui, je vivais un moment intense, de baise et d’humiliation, de plaisir et de fatigue, mais de la bonne fatigue !
Ses coups de bite étaient devenus très irréguliers, alternant entre le rapide et le calme, le violent, et le profond.
Mes cris étaient de plus en plus rauques, comme ceux d’une truie. Oui, une cochonne. J’avais besoin de ça pour oublier les durs moments. J’avais besoin d’être baisée ainsi.
Laurent se retira de moi, je me mis sur côté, prête à recevoir son foutre sur mon visage, le mêlant à celui d’Omar.

- Salope ! Salope ! Salooooooooooooooope !!!!

Et sa bite cracha tout ce qu’elle avait sur mon visage. Il malaxa mes seins, puis pinça une dernière fois un téton, me procurant un dernier orgasme, et parti rejoindre les autres devant la télé.

Le corps fatigué, le visage couvert de leur sperme, la bouche rougit par leur bite, les fesses meurtries par leur fessées, les seins sensibles par le traitement subi, je n’avais pas le courage de me lever pour me rendre dans la salle de bain et je m’endormi.

C’est la voix d’Omar qui me réveilla. La voix et une caresse sur mon visage…
- Suce ma bite, refais moi bander, c’est à mon tour de t’enculer ! Ahahah !!!

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