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Leslie VN96 Le week-end de Laure, suite
« Après ça, nous avons bus un autre verre de champagne, en se caressant du bout des doigts nos zones érogènes, et évidemment à ce petit jeu leurs bites commencèrent à se relever et ils furent bientôt en état de reprendre les ébats.
Là, cest Marie qui reprit linitiative :
- Les mecs, jaimerais bien essayer une double pénétration. Cest Laure qui, experte dans cette pratique, va diriger les opérations.
Nous allons te faire ça comme à une reine, lui dit Laurent.
Jallongeais alors Laurent sur le dos et lui donnai par quelques mouvements de succion un maximum de fermeté.
- Marie, cest bon, empale-toi dessus.
Elle se mit donc sur son mec et je la couchais au maximum sur lui pour accéder à sa rondelle.
- Maintenant je vais te préparer le fion.
Je commençais à enduire son trou de salive à grands coups de langue.
Je récupérais le tube de lubrifiant dans mon sac et lui enfonçais un, puis deux doigts, enduits de gel, tout en commençant des va-et-vient de plus en plus rapides.
Claude devant ce spectacle sétait mis en attente à côté de moi et se branlait dune main tout en me caressant le cul de lautre.
Me dérobant un peu, il sinstalla entre les jambes de Marie, derrière elle près à lassaut, mais avant je lembouchais pour lui redonner un maximum de vigueur.
Cest vrai que son membre était épais et que javais du mal à le prendre entièrement, mais bientôt il bandait comme un âne.
Je braquais sa queue sur la rosette de Marie et commençais doucement à lenfoncer, me demandant comment elle allait faire pour accepter un pieu aussi large.
Mais lentement les fronces seffacèrent et son anneau se tendit, le gland franchit le sphincter, le passage était fait. Sans attendre Marie recula doucement pour senfoncer la boite de Claude dans son cul et ce jusquà la garde.
- Allez les gars à vous de jouer et faites ça bien, dis-je.
Je me retirais et je me dis quil fallait immortaliser la scène, alors je pris notre caméscope dans mon sac et commençais à filmer les ébats.
- Tiens dailleurs, me dit-elle, je te montrerais le petit film.
Les gars y allaient en douceur, lun senfonçant quand lautre se retirait. Je zoomais au Claude sur la queue de Claude qui dilatait lanus de Marie de façon ahurissante, puis je passais derrière eux pour filmer les deux queues prenant possession des orifices de Marie.
Au bout de quelques minutes Marie commença à crier de plus en plus fort en disant :
- Cest fort, cest bon, waouh je jouis de la chatte et du cul !
A ces mots, ils se ruèrent en elle tels des soudards et je voyais distinctement leurs bourses sécraser les unes contre les autres quand ils senfonçaient à fond.
Je filmais tout ça sans en perdre une miette, puis filmais le visage de Marie, qui avait les yeux révulsés et la bouche grande ouverte à la recherche dun peu dair.
Elle hurlait son plaisir sans discontinuer.
Au moment où les garçons lui remplirent les entrailles et la chatte, sous leffet de son orgasme elle perdit connaissance.
Quand Marie repris ses esprits elle embrassa dabord Laurent puis se tournant vers moi elle me dit :
- Je comprends que taime ça, cest fou.
Elle sapprocha alors et membrassa à pleine bouche.
Après un dernier bain, nous sommes partis nous coucher et ce fut Claude qui, me suivant dans ma chambre moffrit de sa belle queue un orgasme, il me fit lamour par la chatte et en me quittant après mavoir embrassé, il me dit :
- Demain je moccupe de lautre côté.
Je mendormis, nue sur le lit, et vers deux heures du matin je fus réveillée, par une main qui caressait mon entrejambes.
Claude était près de moi, il se rapprocha et membrassa tendrement et je sentis contre ma cuisse sa queue qui commençait à gonfler.
Il commença par menlacer tendrement et ses mains commencèrent à ségarer sur mes fesses.
Lentement, Claude fit remonter ses mains vers mes seins et commença à les peloter, Je commençais à mouiller sérieusement, excitée comme une puce
Ma main attrapa son sexe et je constatais quelle était déjà dure, il se souleva et menjamba pour se positionner au-dessus de moi, tout cela sans un mot et dans une extrême douceur.
Son énorme pieu vint se positionner au-dessus de mon pubis, alors jécartais les jambes et je sentis le gland à lorée de ma chatte, prêt à sintroduire dedans ;
Claude ne bougeait pas et cette attente silencieuse devenais insupportable, je désirais quil commence à entrer en moi.
Appuyé sur la paume de ses mains de part et dautre de mes épaules, Claude commença une lente descente vers moi, le gland son sexe toucha ma vulve me faisant tressaillir.
Puis lentement il glissa en moi, se frayant un passage dans ma vulve qui souvrait doucement sous la légère pression. Il continuait lentement à glisser en moi, inexorablement, ma vulve souvrait et la queue de Claude continuait à entrer lentement. Jamais je ne métais autant senti remplie, et cette lente douceur n&tait que pure jouissance, je mouillais comme une dingue. A ma grande surprise, je finis par arriver à accepter toute sa bite, et après avoir buté au fond de moi, il commença à remonter lentement jusquau moment où je crus que son gland allait sortir de mon vagin, il marqua une pause et membrocha dun coup jusquà la garde.
Jai poussé un cri de démence tellement cétait intense, il répéta la manuvre jusquà ce que je craque et parte dans un orgasme de folie.
Ruisselante de jouissance, il me retourna sur le ventre, passa un coussin sous mon ventre, afin que je sois cambrer le cul en lair.
Il se pencha sur mon cul et commença à me lécher la rondelle de sa langue, prise deffroi en me doutant ce quil voulait faire je lui dis :
- Tes fou Claude, ça ne passera jamais, il est bien trop gros !
- Mais si, tu vas voir, on essaie et si tu as trop mal, promis, je marrête.
- Non, non personne ne peux recevoir un membre aussi épais.
- Marie la bien prise dans son cul tout à lheure.
- Oui jai vu, mais elle doit avoir lhabitude que tu la sodomise.
- Cest vrai, elle aime ça, mais il y a bien eut une première fois.
- Bon daccord, je ladmets, mais tu y va tout doux, hein ?
- Bien sûr, mon chou.
Il commença alors à me mettre du lubrifiant en bonne quantité, puis avec précaution il mintroduisit un doigt, puis un deuxième, en me disant :
- Il a déjà été visité ton petit trou !
- Oui, je te lavoue.
- Et même souvent, car il souvre facilement.
Il se positionna derrière moi et commença à écraser son gland sur mon petit trou. Celui-ci fit de la résistance quelques secondes puis, sous la pression le sphincter céda et sa bite commença son intrusion dans mon rectum.
Durant la lente progression je me sentais remplie, avec juste une légère douleur, une chance que mon cul soit souvent visité, je lacceptais sans problème.
Il ne sarrêta pas et continua sa lente poussée jusquà ce que je sente son pubis contre mes fesses.
- Tu vois, tas même par crier ! Me dit-il.
La sensation dêtre remplie me procurait un intense plaisir, je sentais la jouissance montée dans mes reins et dès quil se mit à bouger en moi, la jouissance memporta.
Jétais aux anges et jenchaînais orgasme sur orgasme, tandis quil sactivait dans mon cul.
Quand il jouit me remplissant les entrailles je défaillis un instant, puis il se retira me laissant le trou grand ouvert, membrassa en me souhaitant bonne nuit et disparu.
A suivre
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